« Pour réaliser une chose extraordinaire, commencez par la rêver. Ensuite, réveillez-vous calmement et allez jusqu'au bout de votre rêve sans jamais vous laisser décourager. » (Walt Disney)
« Killing doesn't run in a family » said a boy. « Maybe it does in mine. »
Fiche Technique.
Surnom(s) → Hip est le seule qu'elle accepte. Si vous ne voulez pas qu'elle se mette en colère, évitez de l'appeler Popotame ou Hipopo. Age → Elle vient d'avoir 19 ans.
Occupation / Emploi → Elle est étudiante en histoire. Elle adore l'histoire, et c'est certainement dû à ses origines. Cela l'a passionne autant que la mécanique. Surtout la mythologie grecque.
Votre personnage est-il tiré d'un conte ? : Non. Totalement inventé ! Si oui, lequel et qui est-il dedans ? : Aucun.
Vous.
Caractère → individualiste • égoïste • bagarreuse • susceptible • opportuniste • sociable • fidèle • peut être gentille lorsqu'elle est de bonne humeur • franche • colérique • Hippolyte est quelqu’un de très indépendant. Mais au-delà de cette indépendance, on pourrait même dire que la jeune femme est très individualiste. C’est-à-dire qu’Hippo a tendance à privilégier ses droits, ses intérêts et ses valeurs par rapport à ceux des autres. Certes elle respectera les autres points de vue, mais elle fera toujours passer les siens avant tout. Ceci fait d’elle une personne assez égoïste qui pense à sa petite personne avant de penser aux autres. Mais elle ne rapporte pas tout à elle, et ne se pense pas le centre du monde. Hippo n’est pas narcissique. Par contre, elle est très opportuniste. Ce trait de caractère se marie très bien avec son individualisme. Cherchant à valoriser ses propres intérêts, elle fera presque tout pour arriver à ses buts, quitte à se créer des opportunités, à en saisir le plus possible, sans forcément penser aux personnes qui l’aide. Et oui, individualiste la petite. En plus de ça, Hippolyte est assez bagarreuse. Il ne faut pas la cherche, elle a le sang chaud et part au quart de tour. Elle n’hésite pas à se battre pour se défendre et pour se défouler ou tout simplement pour remettre les gens à leur place. Malgré tout, Hippo est quelqu’un de très sociable. Elle n’a pas de mal à parler avec les autres, mais c’est souvent par intérêt plus que pour faire connaissance. Si par chance vous devenez une personne qu’Hippo apprécie, alors soyez sûr qu’elle ne vous lâchera pas. L’amitié et l’amour sont des notions sacrés pour elle. Elle est fidèle. Mais elle est également susceptible, risquant de prendre au premier degré une méchanceté toute bête, qui n’était qu’une boutade. Et là, vous risquez de réveiller la colérique. Pour terminer, la jeune femme est franche. Elle ne réfléchit pas quand elle parle. Elle dit tout sans filtre, et ça passe ou ça casse. Cette franchise peut être assez dure, mais le mensonge ce n’est pas beau, non ? Une Particularité ? → Demi-déesse. Elle a une force surhumaine qu'elle ne contrôle pas du tout. Un excès de colère pourrait être fatal pour la personne en face d'elle, comme ce fut le cas pour sa mère. En suite, Hippo n'est jamais tombé malade sauf une fois. Elle n'est pas immortelle mais elle résiste plutôt bien aux attaques, physiques mais aussi chimique. La preuve lorsqu'elle s'empoissonna sans faire exprès, elle aurait du mourir, mais elle est juste restée faible avec quelques lésions durant une longue journée. Pour finir, Hippolyte possède une arme unique au monde : Une lance. Cette lance a des particularités divines, et lui vient de son père, Arès le Dieu de la Guerre.
La vie avant "l'incident".
« Hippolyte ? » Une petite fille passa le seuil de la baie vitrée. Elle était assez salie par la boue. « Maman. C’est Hip’. » La mère ne prit pas la peine d’écouter sa fille, trop occupé à essayer de lui débarbouiller le visage. La petite grimaçait. Elle comprenait qu’elle exaspérait sa mère car cette dernière appuyait assez fort sur son visage. Qu’importe, elle aimait beaucoup s’amuser à se battre avec des gens, des personnes qu’elle ne considérait pas forcément comme ses amis. Il s’agissait plus de camarade de classe. Hippolyte n’avait pas vraiment d’amis. Il fallait avouer qu’elle avait un caractère assez dur. Et même si elle arrivait facilement à prendre la parole et à aller vers les autres, sa franchise et son côté colérique mettaient un frein aux relations amicales qu’elle commençait à tisser. Sa mère ne savait pas vraiment d’où venait son caractère, même si elle en avait quand même une petite idée. Mais pour l’instant elle préférait se taire sur ce sujet. La petite fille avait grandi sans père. Un véritable manque pour elle, mais cela l’avait rendu forte moralement par rapport aux autres. Malgré ça, Hippolyte ne manquait de rien. Chaque mois sa mère recevait de l’argent. Et à chaque grande occasion, Hip’ recevait un cadeau. Par exemple, à ses 10 ans, elle eut un très joli médaillon. Et ces cadeaux étaient toujours envoyés anonymement. La petite fille avait toujours pensé que c’était son père qui lui envoyait tout ça. Et lorsqu’Hippolyte essayait d’aborder le sujet, c’était toujours la même chose du côté de sa mère. « Arrête de dire des bêtises. Arrête de penser à lui, ça vaut mieux. » Des paroles assez durs que la petite fille ne voulait pas écouter. Elle ne voulait pas se dire qu’elle ne reverrait jamais son père. Malheureusement, au fil des années, elle se fit à cette idée-là commençant à le détester pour l’avoir abandonné, à le détester pour sa lâcheté. Elle en était arrivée à se dire que les cadeaux anonymes étaient envoyés par une toute autre personne. Mais Hippo n’avait jamais cherché à comprendre. Non, elle était trop occupée à admirer ses cadeaux et à les utiliser convenablement, telle une petite fille gâtée. Hippolyte avait grandi avec une place à prendre, celle d’un père absent. Malgré la confortable vie qu’elle avait, la jeune fille n’a jamais réussi à oublier cette absence, lui donnant un mauvais caractère. Elle était parfois difficile à vivre. Cependant elle essayait de se maintenir à niveau pour réussi sa scolarité. Elle avait des notes moyennes sauf en histoire où elle excellait, tout comme en sport. Très étrangement, elle avait développé lors de son adolescence une force au-dessus de la normale. Rares étaient les élèves qui voulaient se mesurer à elle en boxe. Pourtant elle semblait être comme les autres, juste une fille aimant bien se bagarrer. Mais ce n’était pas du tout le cas !
La fin de l'adolescence. Le début de tout.
C’est à partir de l’âge légal du permis que tout bascula. Le jour de ses 16 ans, l’adolescente reçut une voiture comme cadeau. « Oh mon dieu ! Merci beaucoup Maman ! » Hippolyte adorait la mécanique, surtout celle des voitures. Contrairement aux filles de son âge qui aimait parler de mode, qui aimait se maquiller et se coiffer, Hippo préférait les boulons et vis, les moteurs etc. La voiture était une voiture assez vieille. Non pas que c’était un tas de ferrailles mais plutôt une grande voiture de collection. Elle était magnifique et Hippo savait qu’il faudrait la retaper un peu pour qu’elle soit parfaite à ses yeux. « Ce cadeau n’est pas de moi. » Ce fut un véritable choc. Serait-ce encore l’anonyme qui lui aurait envoyé ce cadeau ? Hip’ n’arrivait pas à y croire. Qui est-ce que c’était ? La jeune fille commençait en avoir marre de rester dans l’ignorance. Et cela semblait être la même chose du côté de sa mère. « Il est temps que je t’avoue quelque chose. » Elles rentrèrent dans la petite maison et s’installèrent dans le salon. Sa mère lui fit signe de s’assoir. Hippolyte s’exécuta. Et là, sa mère lui fit tout un récit, portant sur le sujet de son père. Sa mère lui disait que c’était un Dieu répondant au nom d’Arès et tout pleins d’information sur la relation qu’elle avait entretenu avec elle, qu’ils s’aimaient mais que leur amour était impossible etc etc. Hippolyte prit sa mère pour une folle. « Cette fois c’est toi qui devrait arrêter de dire des bêtises. Tu me prends pour une conne ? » La jeune fille était en train de se mettre en colère, et ce n’était pas bon. Elle se leva en furie, sa mère fit de même. « Hippolyte. C’est la vérité, je te ju… » L’adolescente poussa violemment sa mère. « C’est Hip’ ! Et arrête !! » Mais ce qu’elle n’avait pas calculé c’était sa force. Sa mère tomba lourdement sur le sol, se cognant le coup contre le rebord d’un meuble. Coup du lapin. Elle ne se releva pas. Hippolyte s’était précipitée sur le corps inerte de sa mère, pleurant à chaude larme. Elle maudissait son père, même si c’était un soit disant Dieu. Elle arrivait à le détester encore plus qu’avant, le tenant pour responsable de la mort de sa mère. Même si au final, c’était bel et bien de sa faute à elle ! Hippolyte vécut très mal les dernières années de son adolescence. Elle fut envoyée chez sa grand-mère maternelle. Mais vers ses 18 ans, un événement étrange se passa. Alors qu’elle se trouvait à côté de sa voiture, en train de lui redonner une nouvelle beauté, son médaillon – celui qu’on lui avait offert pour ses 10 ans et qu’elle portait toujours autour du cou – se mit à s’éclairer tout seul. Sa lumière était tellement forte qu’elle aveugla la jeune femme. Quelques secondes plus tard, Hippolyte retrouva la vue. Cependant elle n’était plus du tout à côté de sa voiture. Les bâtiments avaient disparu, sa voiture aussi. Il y avait des ruines un peu partout autour d’elle, l’air était frais et semblait beaucoup moins pollué que son New-York natal. La jeune femme balaya le paysage du regard, cherchant quelqu’un, essayant de rester calme face à cette étrange situation. Puis tout d’un coup, un homme peu vêtu se retrouva devant elle. Hippolyte prit peur, reculant d’un grand pas. Mais ce dernier ne semblait pas lui vouloir du mal, il lui tendait un petit bâton. « Un bâton ? Pourquoi faire ? Et qui êtes-vous d’abord ? » Mais il ne répondit rien, il resta immobile. Hippolyte prit le bâton. Et lorsqu’elle le prit, ce bâton prit une allure beaucoup plus imposante. En effet, il s’étira, prit une couleur métallique, avec à son bout un pique. Hippolyte n’était pas une experte mais elle remarqua rapidement qu’il s’agissait d’une lance. Mais pourquoi ? Comment ? Par qui ? Hippolyte redonna la lance. Mais à ce moment-là, l’homme prit la parole. Il expliqua que ça venait d’Arès, son père, qu’il fallait qu’elle en fasse bon usage et tout le blabla. Il disparut aussitôt et Hippolyte se retrouva dans son garage. Les bâtiments étaient revenus, sa voiture aussi. Elle était de retour dans sa ville. Mais avec beaucoup de question…
L'arrivée à Storybrooke.
Quelques jours après son voyage dans un lieu inconnu, la jeune femme reçut une carte postale d’une ville nommé Storybrooke, accompagné d’une photo d’un jeune homme qui devait avoir à peu près le même âge qu’elle. Mais Hippolyte ne s’en préoccupa pas. Elle avait d’autres choses à faire, notamment en savoir plus sur son identité. Mais les jours suivants, elle reçut toujours la même carte avec la même photo. Cependant c’est lorsqu’elle se fit attaquer par un homme pour sa lance qu’elle décida, enfin, d’aller à Storybrooke. Elle ne savait pas vraiment pourquoi elle recevait ceci mais Hip’ espérait qu’elle trouverait des réponses à ses questions là-bas. C’est ainsi qu’Hippolyte prit sa voiture, mit le GPS et alla jusqu’à cette petite ville qu’elle ne connaissait pas. Son but, retrouver le garçon sur la photo, pensant qu’il détiendrait des réponses à ses questions. A ce jour, ça fait 3 mois qu’elle est arrivée à Storybrooke – début Mai. Elle s’est inscrite à l’université pour décrocher un diplôme en histoire. Mais cette ville possède son lot de mystère !
CREDIT
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→ Célébrité de votre Avatar : Shelley Hennig. → Est-ce un poste vacant ? : Non.
→ Multicompte ? : Non.
Entre nous
→ Pseudo / Prénom : Julie → Votre avis sur le forum : Toujours aussi actif → Comment l’avez vous découvert : J'y étais dès son début
Re-Bienvenue ici et bonne chance pour ta fiche :D Si tu as la moindres petite question ou si tu veux simplement parler, on est là! Garde moi un lien au chaud
Krystal Oliver
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| Conte : Ha ha ha.. | Dans le monde des contes, je suis : : Celle qui vous donne envie de prendre un cachet d'aspirine. T'inquiètes, tu peux toujours m'appeler Mina
(re)Bienvenue coupine de fandom !!! Et d'études aussi.
Bonne chance pour ta fifiche.
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Les secrets de Tata Mumu Aujourd'hui dans notre édition spéciale : Le maquillage c'est quoi ? Les talons en 10 leçons ! Pourquoi le orange c'est le mal. Et comment éteindre un incendie en moins de 2 minutes ! (c) P!A
Hippolyte Sherman
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Arrête de t'en faire. Je suis là maintenant, ok ?
Tu m'as vraiment manqué Peg !
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CREDIT
Aujourd'hui dans notre édition spéciale : Le maquillage c'est quoi ? Les talons en 10 leçons ! Pourquoi le orange c'est le mal. Et comment éteindre un incendie en moins de 2 minutes ! 
Il nous faudra un lien alors 
