« Pour réaliser une chose extraordinaire, commencez par la rêver. Ensuite, réveillez-vous calmement et allez jusqu'au bout de votre rêve sans jamais vous laisser décourager. » (Walt Disney)
Antropy, Lounis, Ozlem, Krystal, Zach & Cléo The World is Blue
Elle était désolée ! Tellement, tellement, tellement désolée ! Pardon pardon pardon. C’était la seule chose qui lui traversait l’esprit en courant comme une dératée au milieu de la route, évitant de justesse une voiture ancienne d’un rouge criard avec un homme à l’air gentil au volant. « Pardon ! » Elle sentait son cœur battre la chamade de son expérience de mort imminente par une jolie voiture brillante. Et un peu honteuse de partir sans vérifier si le conducteur allait bien. Elle s’autorisa un coup d’œil en arrière (espérant de toute ses forces qu’un caillou n’allait pas surgir entre ses pieds juste à cette seconde), pour voir l’homme lui sourire et lui faire un petit salut militaire du bout des doigts avec un air amusé. Comme s’il savait quelque chose qu’elle ignorait…
Pourtant elle n’ignorait pas de quoi elle avait l’air. Elle avait passé un temps fou pour que tout soit parfait. Une vibration dans sa poche la fit sursauter violemment en poussant un petit cri, perdant presque l’équilibre en s’emmêlant les pieds. Le portable ! C’est ça, c’est juste le portable. Pas de quoi paniquer. Elle courait toujours, une main dans la poche arrière de son pantalon essayant vainement de l’extraire sans s’emmêler dans sa longue veste en cuir, ni le faire tomber (parce que ça l’obligerai à s’arrêter et faire demi-tour et elle avait tellement pas le temps pour ça). Une fois le petit objet fermement dans les mains le petit message clignotant lui sauta aux yeux comme pour insister lourdement sur son contenu. t’es en retard! Tellement de temps à se préparer d’ailleurs qu’elle était en retard. Pardon pardon pardon ! Regardant toutes les demi-secondes que rien ne se mette en travers de sa route elle tapa une réponse en ratant la moitié des touches qui ressemblait plus à la bintot qu’au là bientôt simple et concis qu’elle aurai idéalement écrit. Heureusement elle était presque arrivée, elle voyait… c’était un feu d’artifice ? Les couleurs s’éparpillaient dans le ciel comme des petites étoiles éphémères et elle sourit malgré la situation. Il lui faisait toujours voir le ciel d’une drôle de manière. Et étonnement, c’était quelque chose qu’ils partageaient souvent lors de leurs rencontres. C’était étrange, mais elle avait appris à ne plus s’inquiéter des bizarreries qui pouvaient se produire autour de lui. C’était tellement charmant…
Avec son appareil en main (elle n’allait pas prendre le risque de le remettre dans sa poche), elle continua sur sa lancée jusqu’à apercevoir le lieu de rendez-vous qu’il lui avait donné il y a quelques jours. Parce que c’était l’idée de Zachary bien sûr. Et elle avait été emportée par son enthousiasme dès la première seconde.
Comme d’habitude.
Alors elle avait décidé de faire les choses bien, elle s’était appliquée sur son costume. Exactement comme il lui avait demandé. Elle avait tout les moindres détails auxquels elle avait pu penser : le cache-œil (évidemment), récupéré d’une fille sur e-bay qui vendait aussi des jolies chaussures ; la longue veste en cuir qui voletait derrière elle chaque fois qu’elle courait (et ça elle voulait bien l’avouer c’était cool) ; et la tenue noire de la tête au pieds (pas une couleur qu’elle portait souvent donc ça lui faisait un peu bizarre). Elle avait de la chance, elle était tombée sur une taille qui allait à sa petite stature sans la mouler comme un gant comme sur la photo du site. Elle avait laissé ses cheveux détachés (parce que ça elle ne pouvait pas y faire quoi que se soit de plus), et le blond ressortait vivement sur sa tenue sombre. L’un dans l’autre, elle était plutôt contente du choix de Zach pour son costume. Pas de cuir moulant, ni de choses trop déshabillées. Juste de quoi être à l’aise pour rencontrer des gens qu’elle n’avait jamais vu avant.
effrayant. Flippant. Idiot. Con.
Là par contre, elle s’arrêta dans son élan. De l’autre côté de la rue où ils auraient du se retrouver normalement. Fixant son écran comme s’il s’était mis à lui parler le langage des baleines.
Hein ?
Vu que rien de plus ne vint s’ajouter à cet amas étrange de mots, la blondinette supposa simplement que son ami devait avoir des soucis avec les participants. Elle espérait juste qu’ils seraient gentils les uns avec les autre malgré tout, c’était pour s’amuser après tout. Elle traversa la rue, cherchant à gauche et à droite en fronçant les sourcils. Personne. Est-ce qu’elle était au bon endroit ? Est-ce qu’elle s’était perdue ? Est-ce qu’ils leurs étaient arrivé quelque chose ? Est-ce qu’ils allaient bien ?! Elle s’emmêlait dans sa propre poussée de panique en ne voyant pas âme qui vive et s’assomma à moitié avec le téléphone qu’elle avait toujours dans la main en voulant se passer une main dans les cheveux.
Le portable…
Elle eu un petit sourire gênée, évidemment qu’elle pouvait savoir ce qui se passait. je suis là ! Elle espérait vraiment que « là » soit le bon endroit et qu’elle ne se soit pas trompée dans les informations qu’il lui avait donné. La réponse arriva presque instantanément. je vais te téléporter… hein ? Té-quoi ? Est-ce qu’il fallait qu’elle fasse quelque chose ? Normalement c’était lui qui savait mieux ce genre de chose, mais parfois il oubliait vraiment qu’elle n’y connaissait rien. Comment c’était supposé marcher ?! Et si elle ne faisait pas ce qu’il fallait il allait être ennuyé et peut-être qu’il ne voudra plus lui parler, et si c’est grave et que-- va dans l’herbe. asap. pronto. Il ne fallait pas lui dire deux fois ! Elle se précipita maladroitement dans le coin légèrement illuminé qu’elle avait prit pour une simple étendue d’herbe avec des éclairages avant de constater, que non, c’était des choses en train de brûler. Qu’est ce qui s’était passé ici ? Elle décida à cet instant qu’elle n’aimait vraiment pas arriver en retard, elle ne comprenait encore moins ce qui se tramait. Elle se positionna dans un coin éloigné des débris principaux (il faudra qu’elle revienne avec Maya et Wilson pour nettoyer tout ça, c’était vraiment pas écolo). plus à gauche Elle déporta docilement vers la gauche comme indiqué. Ne lui traversant même pas l’esprit de demander comment il savait où elle se trouvait. C’était Zachary, il savait un tas de choses.
l’autre gauche Un petit gloussement plus tard, elle se décalait à droite de quelques pas. encore Sauf qu’à sa droite un bout de pelouse était en feu. Elle l’observa une seconde d’un œil désolé, ce pauvre endroit avait souffert. Heureusement que le costume venait avec de bons accessoires, les boots en cuir épais résisteraient facilement au dernières flammèches. Elle sautilla quand même d’un pied sur l’autre plus par instinct qu’autre chose, espérant juste ne pas prendre feu par accident. Elle n’aimait pas particulièrement le feu. Ni l’air. Ni la terre… pour le principe. Mais elle savait la respecter au minimum. Sans prévenir ni rien, une lumière aveuglante l’entoura, et elle ferma les yeux avec une légère trépidation. A la situation, à l’idée de rencontrer des inconnus, à l’idée de voir Zachary… Jusqu’à ce qu’un boucan soudain ne lui fasse ouvrir les yeux en sursautant. Le calme apparent qu’elle venait de quitter était remplacé par une agression sensorielle de toute part. Les lumières clignotaient, une alarme résonnait, et l’odeur de l’herbe brulée laissait place à celle du métal. Elle resta un instant interdite ne sachant pas par quoi commencer. Jusqu’à ce qu’elle repère Zachary. Oh son petit symbole personnel de normalité, comme toujours. Elle se dirigea instinctivement vers lui un grand sourire aux lèvres avant de le serrer contre elle. Elle était tellement contente de le voir. Elle était toujours contente de le voir.
Les bras autour de son torse elle s’autorisa un petit soupir de contentement avant de marmonner dans son costume. « Le bleu te va vraiment bien... » Il portait bien les couleurs de l’océan, ça lui faisait chaud au cœur. Mais elle oubliait le plus important ! Elle se redressa, laissant ses bras autour de sa taille pour le regarder avec un air coupable. « Je suis en retard ! Je suis vraiment désolée. J’ai du chercher de nouveaux lacets parce que les anciens étaient cassés et j’ai juste trouvé du rose fluo, mais tout le reste est exactement comme prévu ! Et la veste n’arrêtait pas de s’emmêler dans mon vélo alors j’ai du le laisser devant chez Granny et venir à pieds, et il y avait cette voiture rouge qui aurait pu avoir un nom d’algue si elle avait été verte et moins brillante, et j’ai complètement manqué le rassemblement et les gens…»
Ah.
C’est vrai qu’il devait y avoir des gens. Elle tourna la tête en direction de la salle pour enfin remarquer que, oui en effet, il y avait d’autres personnes présentes. Elle rougit légèrement de son impolitesse, elle les avait complètement ignorés après tout, avant de se détacher doucement de Zachary et lancer les yeux baissés vers ses fameux lacets roses fluo qui clachaient complètement avec le reste de sa tenue : « Bonjour… » Et de lever les yeux vers eux avant de faire un petit sourire gêné et un coucou de la main. « Je suis Cléo. » Elle failli répéter encore une fois qu’elle était en retard, mais ça tout le monde pouvait s’en rendre compte. Quand elle dirait ça à December elle ne la laisserai pas oublier l’incident ça c’était certain. « Autodestruction activée : 10… » Une voix de femme venait de résonner à travers la pièce, la blonde par instinct leva les yeux au plafond.
Avant de se rappeler que la dernière fois, Zachary avait bien expliqué qu’un ordinateur de bord était partout, pas seulement dans le plafond. « 9… » Elle appréciait le fait que ça soit une femme qui parle. Pas qu’elle ai un soucis avec le précèdent ordinateur de bord ! Il était gentil comme tout et il leur avait sauvé la vie ! Et il avait un nom génial aussi. Mais une femme c’était plus… abordable ? Mais ce n’était pas comme si elle voulait la draguer hein !
Elle ne voulait pas de nouvelle relation en ce moment après tout.
« 8… » Cela dit elle avouait volontiers avoir un faible pour les ordinateurs de bords. C’était la deuxième qu’elle rencontrait et elle avait le même genre de voix calme que Captain Fish avait eu sur l’autre vaisseau. « 7… » Maintenant c’était sûr que---…
Elle avait dit « autodestruction ? »
La blondinette fronça les sourcils. Pourquoi faire ? Ce n’était pas un vaisseau comme un autre c’était celui de Zachary, il ne devrait pas faire ce genre de chose comme ça sans raison. « Excusez-moi ? » Peut-être qu’elle ne se sentait pas bien ? Est-ce qu’un ordinateur pouvait tomber malade ? Elle avait connu une murène qui avait le mal de mer, dans ces cas là tout est possible. « Oui ? » Non elle avait l’air de bien aller. Elle était civile et agréable. « Est-ce que vous pourriez désactiver l’autodestruction s’il vous plait ? » Après tout il valait mieux demander à la principale concernée. « Bien sûr. Autodestruction désactivée. Bienvenue à bord ! » Toute les alarmes et les lumières clignotantes s’interrompirent d’un coup pour laisser la pièce bercée dans sa lumière normale (autant qu’elle puisse en juger). Cléo lui offrit son plus beau sourire, ravie. « Merci beaucoup ! »« Je vous en prie. »
Ces ordinateurs de bord étaient vraiment cordiaux !
BY .SOULMATES
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« J'ai pas trouvé où on peut demander un rang personnalisé... ! »
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"Bambulk?" avais-je dit en m'approchant de la jeune femme du nom de Ozlem et en la regardant avec un air interrogateur. C'était quoi un Bambulk ?
"C'est quoi un Bambulk ?"
"Je n'ai pas ce nom dans ma base de données." avait immédiatement répondu l'ordinateur. Quand à cette Ozlem, elle n'avait pas fournie la moindre réponse. C'était à croire qu'elle parlait un langage que personne comprenait. A part bien sûr le faux Hulk qui lui avait répondu "présent". Il était totalement à côté de la place.
"Mais j'ai quelque chose à Bambulkine."
"Bambulkine Dobroduzstva, c'est un acteur."
Pourquoi elle appelait un acteur qui ne se trouvait pas ici ? Elle voulait qu'on le fasse se téléporter ? Heureusement, on avait été sauvé par le petit bip de mon portable que je venais de sortie "je suis là". C'était Cléo ! Je lui avais immédiatement répondue que j'allais la téléporter. Puis, je m'étais dirigé vers la planète au centre de la pièce et j'avais commencé à pianoter sur un petit écran qui venait d'apparaître.
"va dans l’herbe. asap. pronto" lui avais-je envoyé. Je voyais à peu près où elle se trouvait, mais ce système était un tout petit peu obsolète. J'aurai dû le faire changer. Pendant ce temps, Hulk était revenu, émettant un grand son très pénible. Puis ce fut au tour du rouquin de poser problème. Mais qu'est ce qu'ils avaient tous aujourd'hui ???
"C'est l'auto destruction, ça s’enclenche souvent... Suffit d'appuyer sur le bouton pour le stopper."
"plus à gauche" avais-je envoyé à Cléo. Elle apparaissait désormais sur mon écran. Ah la voilà. Ah non... "l'autre gauche". C'était pas la bonne gauche. On me disait souvent que les filles confondaient leur gauche et leur droite. C'était pas un soucis, elle était quand même compatible. "encore", avais-je envoyé une dernière fois, juste avant de presser un bouton de faire cramer de l'herbe à côté d'elle.
"Oups... c'est pas la téléportation ça."
J'avais déplacé le truc sur l'autre gauche et cette fois ci, je ciblais véritablement Cléo. C'était la bonne. Il ne fallait juste pas se tromper de bouton !
"Cléo Pescerosso !" m'étais-je esclaffé avec un grand sourire quand elle s'était dirigée vers moi pour me serrer dans ses bras. Quand elle s'était reculée pour dire bonjour aux autres personnes, je m'étais remis à pianoter pour désactiver la téléportation. Fallait pas que quelqu'un de l'extérieur se prenne les pieds dedans, surtout si on serait plus là. Je m'étais ensuite dirigé vers un autre petit tableau de bord contre le mur, où se trouvait juste à côté, un téléphone. J'avais pris le téléphone, composé un numéro et j'avais raccroché. Le tableau de de bord s'était activé et j'avais commencé à pianoter dessus. On avait ressentis une petite secousse.
Les alarmes et lumières avaient arrêtées de clignotter et je m'étais tourné vers le groupe. Qu'est ce qu'elle était jolie avec sa tenue noire, son cache oeil et sa veste de cuir qui voletait quand elle marchait. Sapristi, on allait gagner, c'était évident !! Je l'écoutais converser avec l'ordinateur tout en lui souriant, avant de me tourner vers l'écran pour appuyer sur une dernière touche. Le tableau de bord s'était éteins et j'étais revenu vers le groupe, croisant les bras.
"Quel tigre ?"
C'était une information qu'on m'avait transmise quelques minutes auparavant, mais je n'avais pas saisi de suite. Pourquoi Thor avait une tapette à mouche en main ? J'avais regardé autour de nous avant de tilter et d'ouvrir très grand les yeux !
"Les mouches... Vous avez quoi aux mouches ???"
Je m'étais dirigé vers Thor, je l'avais regardé très vite de bas en haut. J'en avais profité pour récupérer sa tapette et voir si je trouvais quelque chose dessus. Il y avait une petite trace noire que j'avais décollé et mis en bouche avant de cracher la chose par terre. C'était la mouche...
"Vous êtes complètement malade ???"
Pourquoi il avait tué les mouches ? Pourquoi ???
"C'est moi qui lui ai demandé."
Quoi ?
"Oui, moi."
Mais pourquoi ?
"En souvenir du bon vieux temps mon ami."
C'était complètement surréaliste ! Pourquoi ? Quel bon vieux temps ???
"Est ce que tu pourrais arrêter de penser et parler à voix haute, car ils n'entendent pas tes pensées."
"D'accord... Je disais, quel bon vieux temps ??"
"Oh pardon, j'ai oublié de modifier la voix."
De la voix habituelle de l'ordinateur du vaisseau, on était passé à une voix bien plus virile et masculine.
"Voilà c'est mieux. Bonjour Stitch... Tu me présentes tes amis ?"
C'était lui. Je le reconnaissais !
"Jumba... Qu'est ce que tu fais dans mon ordinateur de bord ???"
"Je ne suis pas dans ton ordinateur, je suis dans le vaisseau juste en face."
En face ? Où ça en face ?
"Stitch, tu penses encore..."
Il devait entendre mes pensées grâce à Pensée Profonde. Un petit appareil dont été équipés nos vaisseaux quand ceux là dataient encore de la troisième ère du second empire du premier testament. Je m'étais précipité vers la planète au milieu de la pièce et après plusieurs manipulations, elle avait changée et la grande paroie du mur face à nous s'était transformée en grande vitre. On pouvait voir au dehors ceci :
Spoiler:
"Bamboleo, bambolea."
C'était le nom de la planète qui se trouvait devant nous. Et juste en face, le vaisseau de Jumba et sa mini flotte. Il allait nous attaquer !
"Quelqu'un a du persil ?"
C'était notre seule chance de nous en sortir !!! Notre seule et unique chance !!!
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Bambulk avait enclencher L'autodestruction. Ozlem se massa les tempes, l'alarme faisait déjà un boucan assourdissant, et maintenant, l'autodestruction. Peurdon?Parfaitement, l'autodestruction... Peurdon... Mais calmes-toi bon sang, là tu vois tu stress tellement que tu te parles à toi-même en pensant. On va tous mourir je veux pas mourir je eux finir Walking Dead avant, je n'ai pas encore vu Avengers age of Ulton au cinéma, laissez-moi le temps de le voir pitié. Okay c'est bon, calme toi, reprends tes esprits...respire tu es Black Widoww bouges-toi le fiooooonnnnn.
L'expression d'Ozlem se décomposa. Machinalement, elle avait agrippé Bambulk pour lui faire un gros câlin. Quand elle était petite, faire des gros câlins à ses peluches Bambi et polochon la calmait. C'était peu être vrai aussi pour la version en chair et en os de Bambi. Thor jouait à chat avec des mouches et une tapette fluo. Thor avec une tapette à mouche c'était... EPIC FAIL ! Ozlem s'était enfin calmée, se détachant du grand bambulk, elle avait sourit.
"Heum...je prendrais mes peluches tsum Tsum avec moi la prochaine fois...mais j'ai que Tigrou et Stitch, je n'ai pas réussi à trouver de Tsum Bambi...c'était ma peluche quand j'étais petite, bambi pas le Tsum tsum...et heu...je veux pas paraître ennuyeuse à raconter ma vie hein...mais les peluches ça me rassure..."Elle eut un petit sourire. Plus gênée parce que les câlins, elle n'en avait jamais vraiment fait aux gens. Plutôt à des peluches.
Bambulkine...pourquoi il parlait de Bambulkine...il avait vaguement semblé à Ozlem qu'on lui avait posé une question. Malheureusement, elle était ailleurs et n'avait pas eu le temps de se concentrer sur la question qui s'était égaré dans sa mémoire. Cléo...la nouvelle arrivante était une fille. Han encore une fille ! C'était cool les filles, et puis elle était classe...et puis intelligente en plus...la solution était simple...ou pas, personne n'avait pensé à demander poliment au tableau de bord. C'était une sorte de Jarvis... ...ou un Jumba...la voix venait de changer après un échange avec Capitaine Stitch. Ozlem resta un moment bouche bée en voyant un vaisseau amiral ou pas devant une planète... Bombotruc...ça sonnait comme une chanson, c'était amusant.
"J'en ai!" Répondit Ozlem tout sourire à la question de Stich."Ben quoi le persil ça fait fuir les vampires non...? Faut toujours avoir du persil sur soi..." Elle eut un moment d'hésitation et réfléchit. Ha non, en fait elle s'était trompée, le persil, ce n'était pas de l'ail.
"Autant pour moi, l'ail, c'est l'ail qui fait fuir les vampires par le persil...mais bon ça se mange non?""Je sais! J'ai senti l'odeur! On en aura besoin ! Mangez en tout un peu !"
Ozlem fouilla dans la ceinture qu'elle avait autour d'elle. L'un des petits compartiments possédait du persil. Elle ne pouvait pas sentir, ça ne lui avait jamais posé de problèmes, petite elle faisait semblant, parcequ'elle pensait qu'elle pouvait sentir, avant de se rendre compte que tout ce qu'elle sentait avec la même odeur...une odeur de rien.
"Une question captain...pourquoi? Genre en quoi le persil va nous sauver de..." Il répondit avant qu'elle n'ait eu le temps de terminer sa phrase."Les feuilles sont riches en vitamine A et C ! Ça fera mieux passer la vitesse lumière !" Hannn heu...s'il le disait...mais ça n'allait pas nous dire comment on allait combattre Jumbo... Dumba...encore un effort... Jumba...
Ozlem distribua un peu de son précieux persil à tout le monde, puisqu'il le fallait... Sitch n'en ajouta pas plus, mais Ozlem devina qu'il n'allait pas vraiment attaquer...genre il allait faire son Boov et fuir en hyperespace ou un truc dans le genre. "Va dans la salle du fond et allume la lumière." Demanda il a Ozlem. "Okay Captain." Elle se tourna vers les autres avec un grand sourire...rho sa lui rappelait vraiment Disneyland Paris.
"Mettez vos capuches petites croutes de Pizza, on a une Cléotopia à ne pas faire exploser..." Ou pas, elle avait dit ça sans réfléchir, l'excitation sans doute. Pourquoi Cléotopia? Stitch avait l'air de connaitre Cléo...mais pas comme il connaissait Hawkal. Ozlem s'empressa d'exécuter les ordres, se dirigeant vers la salle du fond. La salle du fond, elle aurait bien voulu savoir de quel fond il parlait...Nan mais juste pour être sur d'avoir tout compris et de par finir en boulet de service. parce que c'était très vague comme indication la salle du fond.
Chanceuse. Elle trouva la salle sans problème. Il y avait un interrupteur sur le mur, à coté de la porte. Elle l'enclencha...ce qui fit exploser quelque choses. Merde j'ai cassé un truc? Ozlem...respire tu recommence à te parler. Mais j'ai cassé un truc. Calme toi...faux sortait d'ic.... BAM, une étincelle frappa juste là où elle se tenait trente secondes plus tôt. Tu'as le cul bordé de nouille, mais vaux mieux pas chercher à comprendre, foncent, Run, Run fort your life!
Ozlem se mis à courir vers la salle de commandes où se trouvait tout le monde, l'étincelle l'avait un peu aveuglée quelques secondes et il lui fallait encore un peu de temps pour se réhabituer. Elle courait les yeux fermer...littéralement, les ouvrants de temps en temps pour voir si elle allait dans la bonne direction. Finalement, sa cécité temporaire passa et elle put de nouveau voir où elle allait. Elle arriva dans la salle sur commande, brandissant son poing.
"Au rapport Captain...mission accomplie."
Elle avait posé son regard sur chacun de ses compagnons avant de croiser celui du captain...il était visiblement surpris.
"Quoi? Qu'est-ce qui sa passe? J'ai fait comme tu'as dit...aucun problème...normalement...je pense...pourquoi tu me regardes comme ça? Je n'ai pas fait ce qu'il fallait? Mais j'ai fait comme tu as dit."
Penser que Lounis écoutait ce qu'il se passait autour de lui quand il était concentré était encore bien une idée d'Antropy. Et peut-être de touts les autres aussi... Après tout, c'était ce que ferait n'importe qui. N'importe qui mais pas Lounis. Il avait quelque part dans la tête une option 'mode automatique' qui le mettait en stand-by quand quelque chose attirait son attention, et encore plus quand ce quelque chose commençait à lui demander de remplir un formulaire sur la quantité de boutons, la qualité du service, ou celle des boissons. Rien de plus facile que de déconnecter le jeune homme, et plus rien ne pouvait l'atteindre... Comment se sortit il la tête de sa concentration, c'était une bonne question, car ce n'était pas dans ses habitudes. Quand il commençait quelque chose, en général il le terminait... Mais parfois, il suffisait d'un mot, et il revenait à la réalité autre que celle de sa petite bulle de confort. Parfois un mot pouvait le mettre en colère, ou le bloquer, aussi... Essayez donc de lui montrer l'autre russe là.
Pourtant, dieu qu'elle était stridente la voix du petit rouquin! D'habitude, le simple fait de l'entendre suffisait à le garder dans la bonne dimension... C'était la faute de l'alarme tout ça. Avec son médicament, tout ça raisonnait dans ses oreilles comme une longue plainte stridente... Et même la voix de son ami ne surpassait pas ça. Essayer des boutons? Non non, il n'avait pas bien compris! Ils ne devaient pas les essayer, ils devaient les compter! Et le grand bonhomme resta un peu hébété, autant face à l'excitation -qui ne devrait plus l'étonner depuis le temps- de son ami, que face à ce professionnalisme impressionnant dont il fit preuve pour tester les boutons... Wow, comment est-ce que ses bras arrivaient à faire tout ça en même temps? Le jeune faon, lui, resta un peu bête en retrait, ne touchant à rien... Visiblement l'information pour essayer les boutons n'avait pas fait son chemin jusqu'au cerveau, ou peut-être qu'il était un peu comme un vieil ordinateur? Peut-être avait-il besoin de calculer?
C'était quoi ça? Des mouches? Et une tapette? Quoi? Sérieusement? Mais il ne fallait surtout pas mettre ça dans les mains d'Antropy, il allait blesser quelqu'un , à coup sûr! Et le pauvre Lounis n'eut pas le temps de réagir que le mal était fait. Trois pauvres mouches vaillamment aplaties sur le tableau de bord... Berk. Qui c'était le tigre? Pour toute réponse, le jeune brun leva les mains en signe de rédition. Non, lui il ne voulait pas de coup de tapette -pas comme ça-, alors si le fauve sauvage pouvait éviter de le prendre pour une mouche -une très grande mouche-, lui, ça l'arrangeait! Non pas qu'habituellement l'idée de se faire écraser par Antropy ne soit pas satisfaisante quelque part mais... Il y avait du monde.
Le jeune homme ne pu pas réellement entreprendre de retirer l'arme de la main d'Opy -car à n'en pas douter dans sa main, c'était une arme-, qu'il se sentit attrapé sans comprendre ce qui lui arrivait. Son souffle se coupa un instant... Wow, il n'aimait pas qu'on l'attrape comme ça sans le prévenir d'abord! Un simple 'je vais te câliner' aurait suffit! Mais ils étaient déjà dans une situation stressante, avec une alarme stridente dans les oreille -un peu comme un chien qui n'arrêterait pas d'aboyer pendant que vous taper un texte, très difficile de se concentrer!- elle ne se rendait pas compte que certaines personnes pouvaient être particulièrement perturbées par ce genre de gestes? Une chance, le xanax faisait pleinement effet, alors le jeune homme se contenta de rester en apnée tout le temps pendant lequel la jeune femme le cramponna, ses joues virant au rose... Difficile de dire si c'était à cause de la gêne, de l'apnée, ou du simili cuir froid contre sa peau nue... Cela ne l'empêcha pas d'envoyer un regard plein de signes de détresse à son ami.
Mais il ne la repoussa pas. Il se contenta de garder les mains en l'air, avec son air de petit faon pris dans les phares d'une voiture... Il arriva même à esquisser un petit sourire gêné lorsqu'elle s'expliqua. Aller, ce n'était qu'un câlin. Et l'explication avait quelque chose de mignon, même si c'était un peu étrange. Encore une fois... " Comment tu sais pour Bambi? " Mais ça l'intriguait vraiment. Il n'en parlait que très peu et pas aux inconnus, et à moins qu'il n'aie une soudaine perte de mémoire, il ne connaissait pas cette demoiselle, aussi charmante soit-elle... Quoique ce point là n'avait aucune importance. "Je veux bien servir de peluche, mais il faut le dire avant." Il était vraiment trop gentil, à ne pas savoir être méchant. Aller, elle avait l'air franchement sympathique cette veuve noire, alors il n'allait pas l'agresser pour si peu, si ça avait pu la calmer...
Et dans toute cette agitation, il n'avait pas vu la nouvelle venue! Il ne la remarqua que lorsque l'alarme cessa enfin, laissant traîner au fond d e ses tympans, un vieux sifflement désagréable... ouh, ça faisait du bien quand ça s'arrêtait! "Merci mademoiselle!" s'entendit-il lancer aussi bien à l'intention de l'ordinateur de bord que de la demoiselle à l’œil bandé qui se tenait non loin du petit groupe vers lequel Lounis était revenu peu de temps avant, quand Antropy avait commencé à tabasser des mouches. Enfin, ils étaient enfin tranquille, c'était très agréable pour les oreilles et c'était aussi très agréable pour planer... Il faudrait qu'il demande quelque chose de moins fort à Vassili la prochaine fois. Quoique. Le xanax, il ne l'avait pas demandé, et nul doute qu'il se ferait tirer les oreilles s'il en parlait... On lui avait dit que c'était un bon anti-stress... Il aurait du faire attention, il réagissait beaucoup aux médicaments lui...
Il ne comprit pas trop ce qui suivit, gardant un air un peu perdu... L'ordinateur de bord n'était pas une dame en réalité? Oups... Désolé mada... Monsieur. Et c'était quoi exactement, un Jumba? C'était un peu comme les sucettes qu'il achetait au tabac/presse en bas de chez lui quand il n'avait pas de monnaie pour acheter le pain? Oui parce que le tabac rendait la monnaie, même sur les gros billets, c'était une bonne chose! Lounis détestait les petits déjeuners sans pain. Sauf que ce Jumba là, il parlait visiblement? C'était un peu déroutant, mais ils se trouvaient dans un vaisseau... Qu'est-ce qui était le plus déroutant au fond? Le Jumba qui parle ou le vaisseau qui... ILS ÉTAIENT OU LA?! Le jeune homme écarquilla de grands yeux à la vue de la planête face à eux, et des vaisseaux et... Il délirait, non?!
Et un éclair de génie le traversa. Ce n'était pas des Jumbas qu'il mangeait, c'était des Chupas! Voilà un mystère d'élucidé! Donc une chose était sûr: le plus bizarre ici, c'était bien le vaisseau face à la verrière. Et pourquoi parlait-ils de persil? Pourquoi Ozlem lui donnait du persil? Il fallait le planter? Non, le manger? Okay. Il n'en avait jamais mangé cru et sans accompagnement, mais il n'y avait pas de raison que ce soit bien mauvais... Ah bah non, c'était même plutôt bon. Non Bambi, réfrène tes habitudes d'herbivore. Il était bien occupé avec ses feuilles de persil et ne calcula pas du tout ce qu'Ozlem s'amusait à faire avec la lumière... Il entendit qu'elle s'était trompé... Au moins elle n'avait pas déclenché d'alarme elle. Et il jeta un œil autour d'eux quand Captain leur demanda d'aller dans l'autre salle allumer la lumière... Ah, mais oui, c'était écrit gros en plus!
Plein de bonne volonté, le jeune homme allait se dévouer -une fois qu'il eu fini de grignoter son persil-, mais une secousse, forte, manqua de le faire tomber! C'était quoi ça? Aux vues du bruit, ça ressemblait à un impact, idée qui glaça le sang du jeune homme... Oh non, il aurait vraiment du rester chez lui! Et alors qu'il se rattrapait au mur -avec son adresse pour tenir debout, il devrait prendre une carte de fidélité spéciale mur- le jeune homme esquissa à peine son sursaut et son cri de terruer quand quelque chose lui tomba dessus. Wow, c'était quoi ça?! DE... Des masque à gaz? Il avait déjà vu ça dans les films... C'était mauvais signe non? En général c'était juste avant que l'avion ne s'écrase et que seul le héro survive... Qui était le héro ici? Il jeta un regard effrayé à toute la petite troupe, attrapant machinalement le masque qui lui était tombé dessus pour inspirer dedans... Mh de l'oxygène. Cela faisait planer avait dit Tyler Durden... Comme s'il ne planait pas déjà assez...
Mais par chance, la salle avec la lumière écrite sur la porte n'était qu'à deux ou trois pas du grand dadet... Et il longea le mur sans lâcher son masque pour aller écraser son épaule contre l'interrupteur qu'il trouva... C'était peut-être le bon non? Il n'en savait rien, et pour le moment il était assis à côté, avec son oxygène, et son air de faon désorienté... Ils n'avaient pas tord, l'oxygène ça calmait... S'il en proposait à Opy... Ou il était Opy? Il espérait qu'il aie pris un masque, c'était toujours bien, pour respirer... Mais il ne bougerait pas de là tant qu'il y aurait des secousse. Hulk costumé peut-être, mais Bambi dedans. Il ne fallait pas trop lui en demandé, il avait déjà réussi à atteindre un interrupteur, c'était bien non?! Tant que ce dernier ne leur servait pas de la limonade... Il n'aimait pas les trucs pétillants.
Et les petites étoiles là, c'était l'oxygène? S'il commençait à chantonner c'était qu'il planait vraiment, vous serez prévenus.
Lounis: 100% Robots restants: 3 (mais ils se planquent) Alarme à la con: UNE NOUVELLE?! NONNNNN
Krystal Oliver
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| Conte : Le roi lion | Dans le monde des contes, je suis : : Tama
L'autre femelle du groupe m'avait aidé à me sentir bien dans ce stupide ascenseur, des trucs comme ça, ça devrait tout bonnement être interdit. Avant j'avais pas peur, peur de rien plutôt, même pas de me faire éventrer par un zèbre lors d'une chasse. Rien. Mais là, maintenant dans ce corps et dans cette ville, j'avais découvert les cages et les endroits clos. Complétement clos, rien à voir avec une grotte où il y avait forcément une ouverture, là on pouvait se retrouver dans des endroits où il n'y en avait pas du tout ! Et puis des endroits moches en plus, comme ici …
Sans parler du faite qu'on se faisait agresser par des petits bébés humains sans chaire qui lançait des lumières brulantes. Celui qui les avaient créer était un monstre de toute évidence. Je me sentis attiré et je me retrouvais contre l'autre femme, pourquoi elle était comme ça alors qu'on ne se connaissait pas ? Et puis … Je pouvais vraiment pas retirer mes vêtements ? J'allais vraiment finir par mourir à force. Avant la fin je finirais par les retirer. Je m'étais un peu éloigné d'elle après lui avoir fait un grand sourire pour entendre que l'autodestruction était enclenché. Sérieusement c'était quoi ce bordel ? J'y comprenais rien, on avait pas ça nous dans la savane !!!
« J'ai choppé un mal de crâne ça y est … Pourquoi je suis venue déjà ? »
Désabusée, j'étais totalement désabusée par la situation. J'allais me mettre dans mon petit coin tranquillement, car les autres bonjours les conneries, d'autant que je ne comprenais RIEN, mais alors RIEN de ce qu'ils disaient. J'étais entourée de fou, des vrais, même Ed la hyène faisait moins dingue à côté d'eux. Enfaite, j'avais presque peur d'être là, coincé avec eux sans rien comprendre. Pourquoi Simba était pas venue avec moi ? Ça y est, je déprime, j'aurai une raison de plus pour boire, si je survies à ce calvaire. Je savais même plus si j'avais envie d'en tuer un ou pas. À en regarder un s'amuser avec taper des mouches, je ne savais plus ce que je pensais, comme si j'étais ailleurs, loin d'eux, loin, très très loin. Même la femelle avait craqué et se mettait à faire des câlins à un mâle.
« Et y'en a qui trouve quand même le moral pour venir malgré le bruit. »
Ah non, la nouvelle femelle était juste cinglée, elle faisait un câlin à la peluche bleue. Non mais tout vas bien, ils étaient tous cinglés et moi j'étais là avec eux, ça faisait étrange de me dire que j'étais peut-être la seule personne censé ici. Après nous avoir dit son nom, Cléo se mit à parler toute seule, enfin à la voix qui venait de nulle part, je nageais complétement dans une autre dimension là … Et l'alarme qui le crevait les tympans s'arrêta ainsi que les horribles lumières. Finalement elle était bien cette femelle, pas comme les mâles qui depuis un moment on se demandait ce qu'ils faisaient, et puis c'était pas un vrai tigre, mais une peluche !
D'ailleurs en parlant de peluche, la bleue prit une mouche pour … Sérieux? Il aimait manger les mouches ? À quoi bon en plus si c'était pour la recracher juste après ? Les gens sont vraiment pas bien dans leur tête ici. Stitch se mit à son tour de parler avec la voix inconnue, d'ailleurs elle changea pour devenir plus mâle. Suivant le bleu, on vit sur un écran beaucoup plus grand que celui de Sarabi, une boule ronde, une planète si je comprenais bien ce qu'on m'avait apprit et un truc moche, et tout ce que l'autre trouver à dire c'était de nous parler d'herbe, la bouffe des gazelles. J'avais une gueule de gazelle ?!
« Du persil ?! »
Mais j'étais encore plus choquée de voir que la femelle en avait sur elle … Tous des dingues. En plus fallait le manger pour passer la vitesse lumière … Non mais là j'abandonnais, clairement je cherchais même plus à comprendre la situation, ni une quelconque logique à tout ça. Si je partais avant d'avoir un mal de crâne encore plus violent ? Non car là, je restais planté là, dubitatif, regardant mon brin de persil, ignorant tout ce qui m'entourait. Il n'y avait que moi, et le persil. Quand une grande secousse me fit tomber au sol et glisser. Okay ça va je le manger ce putain de persil ! C'était pas bon … Comment il faisait le cheval ? … Et puis c'était quoi ce qui tombait sur le sol ? Des masques tout moche. Collé contre le sol je sentais les vibrassions, on était sur un truc qui bouge, on allait où là ? Ça bougeait trop pour que j'arrive à me redresser correctement, finalement j'aimais bien les murs.
« C'est trop tard pour partir ?! »
Des fauteuils sortaient de partout, ah ce que je donnerais pas pour retrouver mes griffes et les plantés pour mieux me tenir au lieu de partir à la dévire au moindre mouvement. J'allais avoir mal au cœur dans pas longtemps, puis un fauteuil là, près de moi, à même pas deux pas ! Miracle ! Je m'en apprendre, m'agrippe à lui et manque de me faire mal à m'asseyant dessus suite à une secousse. Aie, mes fesses, en plus ça avait fait un bruit affreux ! Pumba était de la partie ? Je connaissais bien ce bruit, il le faisait tout le temps. Je me redresse alerte le cherchant des yeux, je me redresse même et voit quelque chose sous mon siège, un coussin, je le prend et le bruit recommence … Moi qui voulait y caler ma tête … Contrarier d'avoir confondu le coussin avec le phacochère je le balance sur la tête du capitaine ou la chose atterrie dans un bruit d'agonie intestinale terrible.
Après un gros soupire, et un mal de cœur qui commençait à monter, je m'installais tranquillement sur mon siège, me cramponnant à lui pour ne pas en tomber et ça c'était plus dure. Lors d'une secousse qui me projeta fort contre mon dossier, il se mit à vibrer, mais pas simplement vibrer, enfaite c'était plutôt agréable, ça me détendait, mais pas trop, sinon j'allais tomber et me faire mal. J'avais une soudaine envie de ronronner quand même ...
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| Conte : Winnie l'ourson. | Dans le monde des contes, je suis : : Tigrou.
Wow wow wow… woooooow ! Wow, mais qu’est-ce qu’il se passait là, bordel ? Déjà, pourquoi est-ce que l’autre me volait ma tapette à mouche ? On n’a pas idée de venir piquer les trucs dans les mains des gens, c’est malpoli et c’est absolument pas drôle ! Enfin si, quand l’autre tient une glace et que vous la lui piquer en courant, ça peut être drôle ; si vous ne vous en mettez pas de partout en ratant votre bouche – courir et manger, tout un défi. Mais me piquer l’objet de mon pouvoir sur les mouches, ça ne m’amuse pas du tout, qu’il ait faim ou pas notre Cap’tain. Je pris une mine un peu boudeuse et enfantine, croisant les bras sur mon torse en marmonnant des « Saleté de mouchalien… » Dans ma barbe inexistante. Et l’autre-là qui faisait des câlins sans même s’offusquer, je croyais rêver. Depuis quand Lounis faisait des câlins à d’autres gens que December et moi ? Il allait m’entendre celui-là, dès que j’aurais cessé de bouder je viendrais réclamer la même chose qu’il venait de faire à la demoiselle brune. C’est ça, profite donc de pouvoir la peloter. C’est facile ça, de peloter les filles ! Tout le monde sait le faire ! D’ailleurs j’ai jamais compris pourquoi on disait peloter… elles ne ressemblent pas à de la laine quand même ? Et les traiter de brebis n’est pas très gentil donc, faudrait que je me penche sur la question. Je m’accroupis sur le sol en réfléchissant à tout cela d’ailleurs ; autant se mettre en condition.
L’ordinateur changea de voix soudainement, dialoguant avec notre capitaine de bord alors que ce dernier ouvrit une immense baie vitrée sur…. « TATOOOIIIIIIIIINE ! » M’exclamai-je en me relevant d’un bond pour courir vers les vitres et aplatir mains et visages contre. Comme si ça me permettait de mieux voir. « Ou alors c’est Calissandre ? Ou la planète aux licornes ? VULCAIN ?! » - « Bamboleo Bambolea » – « … Mais c’est RIDICULE comme nom ! On n'est pas à Rio ! Même George Lucas avait plus d’imagination que ça ! Où est le certificat de nomination ? Je suis sûr que son état civil de planète n’est même plus valide auprès de la fédération du commerce ; elle s’est déclarée récemment ? Elle paye des taxes ? Et qu’en est-il de la loi antigravitationnelle qui veut qu’il n’y ait pas de flotte armée à moins de 3 tics de distances de toute exoplanète ? C’est les Abrasax qui ne seront pas content que leur loi ne soit pas respectée… » Je désignai les vaisseaux devant nous, les découvrant avec de grands yeux émerveillés. Dites donc, ils étaient vachement bien fait les effets spéciaux dans les films aujourd’hui… Et pourtant je n’avais pas de lunettes immersives. La seule qui me tira de ma contemplation fut la fille déguisée en Romanov pour me tendre des drôles de feuilles. Je les regardai d’un air suspicieux, avant de faire de même vers la demoiselle. « C’est quoi ? Ça se met dans le nez ? » Mais vu que les autres semblaient y manger, elle me mima le mouvement d’un herbivore et je fourguai le persil dans mon gosier aussi sec. Sitôt venu, sitôt disparu. Quand on parle de nourriture, il n’y a plus de sentiments qui comptent. Rien. Niet. Nada.
Je revins progressivement vers le reste du groupe, avisant une nouvelle venue avec un cache-œil de pirate… Elle était arrivée quand très exactement ? J’essayais de me souvenir, était-ce la blonde déguisée ? Ah non, elle était là l’autre. Ah oui, la poitrine était reconnaissable, donc… Bon tant pis, un dédoublement féminin, pourquoi pas. En même temps, à toutes avoir la même tête blonde, on finit par s’y perdre ! Comment faisait le Cap’tain pour savoir à laquelle il devait faire des câlins et laquelle il devait gronder à la moindre occasion ? Moi je ne comprenais pas ; encore moins la manie de l’archère à vouloir dévorer tout le monde depuis la dernière fois. Après, c’était sûr qu’au moins elle palliait ainsi à la faim dans le monde : nous manger entre nous était une solution toute trouvée ! Mais d’un point de vue éthiquement sanitaire, c’était une autre paire de manche. Je lui demanderais comment elle parvenait à subsister en tant que cannibale à l’occasion. Mais plus tard. Parce que là, je venais de me raccrocher de toutes mes forces à l’un des sièges alors que le vaisseau faisait une embardée, avant de se mettre à vibrer de toute son long. « Le navire est en train de couler, Cap’tain !! » En espérant que ça ne soit pas l’autre type qui nous tire dessus, ou ça allait chauffer sévère pour leurs fesses – et je savais bien les chauffer, les fesses, quand on me les tendait.
M’installant sur l’un des fauteuils, je tendis tant bien que mal les bras pour essayer d’attraper un des masques à gaz qui venaient de tomber littéralement du plafond. Allons-bon, un sauvetage ? Mais c’était pas dans les avions que c’était censé apparaître ça, quand la cabine se dépressurise et qu’il faut rassurer les passagers ? Histoire qu’ils soient pas en train d’hurler quand on se crash à mille kilomètres heure quoi, ça ferait pas très propre avec les cris. En tout cas ceux-là ils avaient la classe ! « J’en veux uuuuuuun ! » Couinai-je, mais j’étais décidément bien trop petit pour ça, et se mettre debout sur mon siège semblait être une action des plus périlleuses. J’essayais quand même, posant les pieds sur le dossier pour essayer de sauter à leur hauteur, mais les mouvements du vaisseau me firent perdre l’équilibre et je me rétamai sur le sol, rebondissant entre les tableaux de commande pour aller m’écraser contre un mur. Aïe, ça fait mal aux fesses ça… Et où était Mjöllnir ? Mon marteau ? Allooooo ? Où était-il ? Je le cherchai des yeux, mais vu l’état général de la pièce… je le chercherais plus tard. Finalement je n’étais pas si mal assis par terre. En attendant que ça se calme, ce n’est pas un voyage en première classe du tout ça. Les billets étaient remboursés au moins ? Non parce que, la publicité mensongère ça va cinq minutes ! On les voit jamais se casser la figure dans Star Wars ou Star Trek… même Spock et ses oreilles ne bougent pas d’un cheveux au moindre truc. Peut-être les bottes antigravitationnelles ? Mais j’étais un dieu nordique. Un vrai en faux costume. Normalement ça n’aurait pas dû m’affecter...
J’étais là à mes pensées étranges lorsque le sol et les murs cessèrent enfin de trembler. Poussant un soupir, je me relevai pour épousseter mon costume, faisant quelques pas dans la salle en cherchant des yeux les autres personnages de l’aventure. Le capitaine, les yeux rivés sur son portable, disparu soudainement par l’une des portes en prétextant devoir changer de destination. Mais pour aller où ?! Déjà, on allait où, très exactement ? Parce que fuir une attaque c’est bien, c’est cool, mais faudrait peut-être prévoir un plan B, non ? Genre, une sortie de secours ou même un chemin ce serait pas mal… « Dites, monsieur l’ordinateur de bord… Il n’existerait pas un moyen de savoir où on va ? » Demandai-je à tout hasard. « Bien évidemment. » Me répondis la voix redevenue féminine - quelle efficacité transgenre - alors qu’elle m’ouvrait une porte juste à ma gauche. « Quatrième porte à votre autre droite, vous saurez où vous allez. » J’opinai de la tête, passant devant Lounis en lui tapotant la tête pour qu’il arrête un peu de chantonner, et filai à travers l’ouverture à la recherche de la dite porte. Elle avait dit troisième… non quatrième porte à mon autre… A ma droite. Je me trouvai fasse à une passerelle. Mon autre droite. Demi-tour. Une porte ! J’appuyai sur le bouton d’ouverture et levai un instant la main pour me protéger de la lumière à l’intérieur… avant de m’écrouler sous l’attaque simultanée de dizaines de chats !
« Waaaaaaah ! Les minous ! Revenez ! Non mais, eyh, ne vous barrez pas comme ça ! Vous allez vous perdre et… Oh tu es joli toi ! » Fis-je en me redressant, assis par terre alors que des matous venaient ronronner près de moi. Plissant les yeux, je vis alors que toute la pièce était remplie de chats de tous genres et de toutes espèces, s’amusant, dormant ou se promenant entre un ingénieux système d’arbres à chats, de passerelles et d’autres petits jeux du genre… « Non mais, c’est le paradis pour félin ici ! » M’exclamai-je en ouvrant la bouche, mais la refermant vite avant qu’un chaton ne mette sa tête dedans et me mordre la langue. Des jeux. Des grattoirs. Des coussins pour patouner. Des… « Haaaaaaaaan ! Même des petits plumeaux pour jouer à les attrapppeeeeeeeeer ! » Soulevant deux chats tigrés, je m’avançai à l’intérieur en cherchant par quoi commencer. Les croquettes ? La paille ? Les souris en plastique ?! « Trop de choses, trop de choses, trop de chooooooooses…. Et tout ça rien que pour moi et les chaaaaaats ! Vous partagez ? Hein, vous partagez ? Gentils minous. Très gentils ! Et après, Antalpy ose dire que les tigres c'est des gros chats sans cervelles… Non mais, il sait pas ce qu’il rate celui-là ! J’ai tout mon cerveau d’abord, vous n’êtes pas d’accord ? » Fixant les chats dans les yeux. Ceci dit, vu la manière dont je déconnectai, pas sûr que le cerveau soit toujours correctement en place dans la boîte crânienne. Quelqu’un pour vérifier ? Le petit robot qui venait d’entrer peut-être ?
Ce dernier m’attira un peu plus vers l’entrée, m’obligeant à lâcher le petit plumeau pour revenir en arrière de quelques pas. J’agitai une dernière fois le jouet avant de le rendre à leurs griffes et d’écouter ce que ce truc métallique avait à me dire. « Monsieur désire-t-il lire un magazine pour se détendre avec les chats ? Chasse et pêche ? Automoto ? Entrevue ? Scandale ? Playboy ? Nous avons une large gamme de produits et toute la collection de posters. » Il avait sorti au fur et à mesure les magazines concerné, ne manquant pas d’ouvrir le Play Boy pour m’exposer fièrement le poster central d’une femme entièrement nue à la pose suggestive. Je pris le poster, penchant la tête sur le côté avant de le retourner à droite… puis à gauche… Dans quel sens ça se regardait très exactement ce truc ? « C'est une poupée qui fait non. » M'assura le robot d'un air assuré. Mais qu’est-ce qu’elle avait sur les seins ? Et pourquoi elle avait sa main sur ses cuisses et… « Vous avez pas plutôt Têtu ? Le nouveau calendrier de mister gay est sorti avec. » Demandai-je en reportant mon attention sur le robot. Celui-ci émit des petits cliquetis magnétiques, cherchant dans sa mémoire avant de fouiller et de me tendre le dernier numéro – celui avec Christophe Beaugrand. « Pour le calendrier, y’a un petit supplément. » Me prévint-il. « J’ai du persil… ? » Hasardai-je. Il parut se satisfaire de la réponse aussi échangeai-je le poster de la fille à poil et le persil contre l’autre magazine. Me plongeant alors dedans après l’avoir remercié, je m’assis en tailleur sur le sol de moquette et m’appuyai contre la porte pour la maintenir ouverte. Au moins, on avait de quoi s’occuper pour le voyage !
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'CAUSE I DON'T CARE WHEN I'M WITH YOU
You know I love you, did I ever tell you? ☽ I'm at a party I don't wanna be at and I don't ever wear a suit and tie. Wonderin' if I could sneak out the back. Nobody's even lookin' me in my eyes. Then you take my hand. Finish my drink, say, "Shall we dance?" Hell, yeah. You know I love you, did I ever tell you? You make it better like that...
Ce n'était pas le bon bouton, ce n'était pas la bonne salle du fond. Ozlem s'en mordit les lèvres. Il fallait être plus précis, ce n'était pas totalement sa faute si les indications furent vagues. "J'ai faits des...recherches...j'en ai déjà fait plein quand je suis arrivée il y a quelques mois en ville, et puis je e suis fait virer de la ville, tu te rends compte? Viré! MOI! La fille de Poséidon! On ne me vire pas moi, c'est moi qui choisit quand je pars!" Annonça elle encore outrée par le fait qu'elle avait été virée de la ville. Heureusement qu'il y avait eu Alexis. Il y avait une fury aussi! Ouaaa c'était trop géant une fury! Manquait Iron Man...et Scarlett Witch aussi... Ozlem adorait Scarlett Witch...
Le navire coulait? Un spaceship pouvait vraiment couler? "Dinosaur in a Spaceship...bow ties are cool..." Pourquoi elle disait ça? Aucune idée, elle avait trop regardé Doctor Who...ça commençait à devenir inquiétant...ou pas. Le vaisseau se mis à trembler, ou plutôt, elle remarqua qu'il s'était mis à couler. Ou trembler...cela se mélanger dans son esprit...couler...eau...piscine. Elle avait une folle envie de nager. Les tremblements s'arrêtaient enfin. Opy quitta la salle. Bon ben puisqu'on en était là. Elle sortit aussi. "Jarvis, conduisez-moi à la piscine, vous devez bien avoir une piscine ." "Clic à droite, tout droit puis clic à gauche, tu clic et c'est un dernier clic à gauche."
Ozlem suivit les indications de la voix. Clic à gauche...puis à droite...puis...haa elle avait oublié un clic? S'emmêlant dans les clics puis BOUM sur un bouton. Pchhhh une porte qui s'ouvre..."Dinosaur...in a spaceship...!" Non, elle referma la porte, les dinos, elle ne cherchait pas les dinos. Elle revint sur ses pas puis après des minutes de recherches, découvrit enfin LA piscine. Bleue...liquide. Elle n'hésita pas, l'appel de l'eau était trop fort, comme le chant d'une sirène voulant noyer un navire. Elle se déshabilla. Se souvenant qu'elle n'avait pas de maillot. Une grande serviette rose traînait sur une chaise longue.
PLOUF. Elle plongea gracieusement, restant un moment sous l'eau en avançant avant de remonter à la surface arrivée au quart de la piscine. Ce n'était pas une petite piscine comme on en avait l'habitude sur terre. Elle était plus grande qu'une piscine olympienne. C'était le rêve. Sentir l'eau sur son corps nu, c'était agréable, elle adorait ça. Ne pensant plus à rien d'autre que nager. Oubliant tous pendant qu'elle était dans l'eau, absolument tout. Il n'y avait plus qu'elle est l'étendue bleue limpide. Elle fit quelques longueurs et plongeons avant d'en ressortir à contre coeur. Il changeait de destination? Il voulait les emmener où? Est-ce que tout ça avait été préméditer? Une cléotopia? il allait les emmener sur une cléotopia? Une capuche, il lui fallait une capuche."Jarvis...capuche." L'ordinateur de bord resta silencieux un court instant avant de répondre
"Capuche, coiffe conçue soit pour encadrer le visage, soit pour le cacher ; de fait, il a généralement une forme de voûte. La capuche fait souvent partie intégrante d'un vêtement, d'un manteau ou d'un imperméable...peut être utilisée pour se protéger de la pluie ou cacher un visage. Exemple : Sam, remet ta capuche." Ozlem tout en se séchant avec la serviette soupira. " Non je veux pas là de...et puis tant pis, oublie la capuche, la salle de commandes." Elle revint sans trop de problème s'asseyant dans un fauteuil de la salle sur commande. "Jarvis, Est-ce que les petits poids sont rouge?""Negatif...ils sont bleu"
Il n'eut pas à se trouver de fauteuil quoique ces derniers étaient certainement plus confortable que le sol dur sur lequel le jeune homme avait malgré lui posé ses fesses. Il était assis, et il était très bien comme ça. Sa tête lui tournait un peu et il avait les yeux lourds, et on lui avait toujours dit que quand la tête commençait à tourner, il valait mieux éviter de se lever, et encore plus pour lui qui ne tenait déjà pas bien debout en temps normal. Il éloigna bien vite le masque de son visage, avant de voir vraiment trop d'étoiles, mais le garda quand même avec lui, sait-on jamais cela pouvait peut-être servir. Habituellement, de ce qu'il en savait, les masques de ce genre étaient accrochés et alimentés par le plafond, mais ceux là semblaient avoir leurs petites réserves d'oxygènes, comme des vrais masques à gaz, c'était un peu effrayant, mais plutôt bien pensé il fallait avouer... Et il n'avait pas de masque à gaz dans son sac: ça lui ferait un souvenir, histoire de s'assurer quand il se réveillera, qu'il n'a pas rêvé... Une décoration de plus pour sa chambre, chic!
Le jeune homme ne resta pas assis très longtemps. Il chantonnait tranquillement, pour se détendre, comme avait dit Ozlem... Car même tout embrumé, ça ne l'empêchait pas d'être un peu nerveux: lui il aurait du être dans son lit là, pas assis dans un fond de vaisseau spatial à espérer que les secousses ne soient que des erreurs de pilotage, et pas quelque chose d'encore plus inquiétant... Et ce fut peut-être cette inquiétude qui empêcha le jeune homme de s'endormir quelques minutes... Nul doute qu'il en aurait pourtant eu bien besoin, même si le moment n'était peut-être pas très bien choisi. Il se tut quand on lui toucha la tête... Mh? Mais le temps qu'il relève les yeux, il n'y avait personne. Zut alors, il espérait que ce ne soit pas trop important. Sinon il allait encore passer pour l'empoté de service, il n'aimait pas, passer pour l'empoté de service.
Quand il reprit ses esprits suffisamment pour remarquer qu'il avait largement glissé le long de son mur, le jeune homme s'empressa de se redresser, en espérant un peu que personne n'avait remarquer ça. Il avait toujours la tête lourde, et avait l'impression d'être dans un bocal, mais au moins il comprenait -presque- ce qu'il y avait autour de lui. Il était toujours dans un vaisseau spatial, et visiblement, le vol -on appelait ça un vol?- s'était stabilisé. Il n'y avait plus d'alarme -cette saleté lui avait donné la migraine, il faudrait qu'il prenne un cachet, mais pas avec le Xanax, flûte. Pas de cris. Pas de bombardements? Visiblement les autres avaient commencé à vaquer à leurs occupations, et il restait juste notre Lounis assis là, avec ses grandes jambes remplies de fourmis, qui regardait autour de lui d'un air perdu... Il avait un peu frais. Ou était son sac?
Il s'aida du mur à côté de lui pour se relever -il n'avait jamais été très doué pour se lever quand il devait partir du sol, on le savait non?- en continuant de regarder autour de lui... Peut-être que Opy' l'avait pris avec lui? Où était Opy' d'ailleurs? Le connaissant il devait être parti s'égarer quelque part, c'était tout Opy' ça, mais en attendant, Lounis aurait bien aimé récupérer son sac, il y avait son pull dedans, et il semblait que l'équipage y était allé un peu fort sur la climatisation dans le vaisseau. Une fois bien en équilibre sur ses deux pieds, et après s'être assuré qu'en effet, le vaisseau était stable, le jeune homme lâcha son mur pour se diriger vers la salle où était précédemment le groupe qu'il avait quitté... Il n'y avait plus d'Antropy, évidemment, la miss Câlin n'était plus là non plus, le Captain avait disparu, la blondinette se faisait une petite séance de spa sur un des... Oh, des fauteuils avaient apparus?.. Okay, donc il pouvait aller chercher son ami sans craindre de se faire houspiller de s'être absenté.
Par où commencer? Évidemment, il aurait été facile de demander à l'ordinateur de bord où se trouvait le mignon rouquin, mais Lounis ne parlait pas aux ordinateurs. Pas d'offense: il n'y pensait juste pas! Alors il retourna là où il se rappelait avoir vu Opy' pour la dernière fois: la salle aux boutons... Personne. Par contre il y avait son sac! Génial! Et... Oh, le Mjomjo de son Thorpy... Il le récupéra en même temps que le sac, ouvrant ce dernier pour récupérer... Pour ne rien récupérer du tout. " Ah flûte. " Il avait oublié son pull. Mais quelle andouille il faisait! Il avait tout préparé en avance, tout aligné sur son lit par ordre de taille et d'importance, et il avait oublié son pull! Heureusement, il avait au moins les piqûres pour Opy'. Ouf. Fourrant le marteau dans son sac, le faon partit donc à la recherche de son rouquin d'un pas timide, curieux, et un peu tendu.
Il trouva une porte ouverte, passa la tête par cette dernière et ... "Oh non, pardon, désolé! " Et il y avait un demoiselle nue dans une piscine. Miss câlin, s'il avait bien vu, oups. Il se détourna vite sans traîner à la porte plus longtemps. Il valait mieux retrouver le tigre avant que ce dernier ne fasse un malheur. Puis il devait prendre ses médicaments bientôt! Et ça, peu importait qu'ils se fassent attaquer par des Daleks ou par une meute de lycantiens, Lounis insisterait pour qu'on laisse d'abord Opy' prendre ses médicaments!
"Brrr, ça caille ici...." maugréa-t-il pour lui même en frottant ses bras nus alors qu'il longeait le couloir. Un petit bip se fit entendre, le faisait s'arrêter au milieu du couloir... Quoi? "Si vous désirez, Vous trouverez le nécessaire pour éviter de vous enrhumer à la quatrième porte à gauche." Le jeune homme resta interdit, ses grands yeux bruns cherchant où regarder, cherchant d'où venait la voix? "Je suis l'ordinateur de bord, grand malin." Bien évidemment "Oh, désolé, je ne vous avais pas reconnu. Quatrième à gauche alors?" Pas de réponse, mais il savait qu'il ne se trompait pas. Trottinant jusqu'à la dite porte, le jeune homme appuya sur l'ouverture automatique, avant de lâcher quelque chose qui ressembla vaguement à un cri de fan surexcité. "Oh. Mais c'est génial! C'est.. Wow, c'est magnifique!" Et il ne cessa de couiner avec sa petite voix suraigüe alors qu'il pénétra dans la pièce. Cette dernière était remplie de portants, directement reliés au plafond, avec un tas de pulls et autres vêtements. Un VÉRITABLE PARADIS pour le jeune homme qui aurait volontiers laissé voler les étoiles qui apparurent dans ses grands yeux de biche.
Il laissa son sac à l'entré pour se précipiter vers le fond de la pièce. Là, entre tous les vêtements plus ou moins chauds, se trouvait un portant un peu plus vide avec un petit écran sur le côté. Curieux, le jeune homme s'approcha en jetant des coups d’œil autour de lui... "C'est pour?" Il se sentit un peu bête à parler dans le vide, mais heureusement l'ordinateur de bord ne le laissa pas seul très longtemps "Vous choisissez, je vous le trouve." Six mots. Six mots qui résonnèrent comme le paradis dans les oreilles du jeune brun. "Ce que je veux?" ... "Ce que vous voulez." Est-ce que c'était lui, ou bien il avait entendu un ton amusé dans le voix synthétique de l'ordinateur de bord? Il ne lui en tint pas rigueur, se mordant les lèvres d'excitation, en fixant l'écran... Il n'allait pas en demander trop à ce pauvre ordinateur, il était bien trop serviable pour ça! Aussi fallait-il qu'il choisisse bien... Compte tenu des circonstances... Mh, il avait une idée. Il tapa au clavier avec la plus grande application -et un manque de dextérité certain- finissant par enfoncer le bouton d'envoi avec un détermination qui elle, ne lui faisait pas défaut.
Et après un sifflement optimiste de l'ordinateur de bord, il y eut un bruit dans les murs... Qui s'avérèrent être en réalité des porte de placard -IL Y EN AVAIT ENCORE PLUS LA DEDANS?!- et le portant face à Lounis s’ébranla pour faire place à la petite trappe derrière ce dernier, trappe contenant une jolie petite boité blanche, avec un simple -mais Sainte- écriture argentée dessus: Valentino. Si Lounis avait des étoiles dans les yeux en entrant dans la pièce de fut au moins la voie lactée qui passa dans son regard quand il attrapa à bout de bras avec autant d'excitation que de délicatesse la petite boîte. "A ma taille?" "A votre taille."... Oh par tous les dieux, c'était noël parmi les Noëls. Inutile de dire que le jeune homme ne chercha pas très longtemps pour trouver un endroit où se changer... Parfait, il y avait un petit lavabo en plus. Pour se débarbouiller du vert qu'il avait sur le visage. C'était mieux comme ça. Et puis, il aurait largement assez de vert sur lui, une fois qu'il aurait enfilé ce superbe costume kaki à papillon brodés! Il lui allait comme un gant! Il FALLAIT qu'il montre ça à Opy! Et il sautillait sur place à cette simple idée!
Il ne manqua pas de remercier platement, très platement, très très très platement, l'ordinateur de bord. il lui revaudrait ça. Ce n'était pas tous les jours qu'on lui donnait -comment ça juste prêtait?- un Valentino. UN VRAI. Le jeune homme récupéra son sac et trottina hors de la pièce avec un regain d'énergie soudain qui semblait tout à fait disproportionné si l'on se disait que c'était uniquement du au fait de porter un costume tout neuf. Où était Opy bon sang?! Il allait poin... Oh. Un chat? Le jeune homme regarda l'animal, l'animal regarda le jeune homme... L'échange ne dura pas très longtemps, et se termina sur un long miaulement lancinant du petit rouquin qui tira un "Aaaaahhh" attendri à Lounis, qui se pencha pour attraper le petit félin dans ses grandes mains délicates. "Bah alors mon pépère qu'est-ce que tu fais là? J'en connais un qui couinerait de te voir là tu sais." évidemment le minet ne répondit pas, mais la patte toute velouteuse qu'il lui appuya sur le nez suffit à faire sourire le jeune homme, rien ne pouvait le mettre de mauvaise humeur de toute façon, pas dans un beau costume comme ça, et pas avec un joli chat dans les bras.
Et ce fut en releva les yeux de son copain à poil qu'il remarqua une porte ouverte. Jetant un œil complice au matou, il laissa échapper un sourire, "Tu le connais aussi? Pas vrai?" Après tout, il avait vu Ozlem dans la piscine, la blonde un peu flippante sur son siège vibrant, Le captain... C'était peut-être le captain, ou bien l'autre blondinette? Non, non, il en doutait. Aussi retourna-t-il le chat qu'il avait dans les mains -et qui se laissait faire comme une grosse peluche- pour qu'il regarde dans le même sens que lui, se cachant derrière pour passer la porte... Il vérifia d'un coup d’œil qu'il n'allait pas faire la plus grande erreur de sa vie -ce serait vraiment très bête de tomber sur le captain- et fut tout ravigoté de voir une silhouette connu assis là. Aussi trottina-t-il toujours avec son cha'arme devant lui. " Eyh, quand est-ce qu'on mange? J'ai des envies de tigre! Grrr! " sous couvert de faire parler le petit félin, il ne retint pas longtemps son sourire de gamin reprenant l'animal correctement dans ses bras. "Regarrrde, j'ai un nouveau costume!" Il était tout excité, comme d'habitude, même si, à son habitude, il retenait son excitation. "Tu t'instruis?" alors qu'il s'asseyait à côté de lui en grattouillant la tête du chat, attrapant de l'autre main le sac de son épaule. "Et c'est bientôt l'heure des médicaments! Si tu ne veux pas qu'on mange du tigre avarié, il ne faut pas oublier de les prendre. Et j'ai des gâteaux pour aller avec." Parce que nounou Loulou était toujours prêt à s'occuper des responsabilités des autres. Surtout, celles des autres.
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Cléo Pescerosso
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Antropy, Lounis, Ozlem, Krystal, Zach & Cléo The World is Blue
"Merci mademoiselle!" La petite blonde se tourna en direction de la voix pour apercevoir un grand individu avec des bouclettes et pas de tee-shirt s’adresser à elle. Elle pencha légèrement la tête sur le côté, ça devait faire parti de son déguisement, pourvu qu’il n’attrape pas froid. Elle lui répondit avec un sourire étincelant. « De rien ! » Il était poli, elle l’aimait bien. Zachary était totalement dans son élément. Elle le regardait faire avec un petit sourire en coin. Est-ce qu’elle était comme ça quand elle était à l’aquarium ? Assurée, heureuse ? Elle l’observa discuter (?) avec l’ordinateur de bord (elle supposa que c’était comme les signaux émis par les calamars et que parler n’était pas toujours le seul moyen de communiquer). Il savait vraiment faire un tas de choses… une sensation de contentement la rempli à cette idée. Oui… il savait tellement de choses.
L’ordinateur se transforma soudain en une voix beaucoup plus masculine, et lorsqu’il mentionna être un vieil ami, la blondinette failli lui demander comment il avait fait pour devenir leur ordinateur de bord, mais Zachary la devança. Ah ! Donc c’était vraiment quelqu’un. Dans le… Lorsque la paroi se transforma en vitre, Cléo se précipita devant pour regarder avidement dehors en même temps qu’un rouquin qui semblait connaître un tas de planètes. Même si certaines avaient des noms familiers… Ce n’était pas dans une série ? Elle n’était pas très calée en films (elle se contentait des documentaires), peut-être qu’ils pourraient se faire une soirée cinéma avec Zachary une fois revenus… Le rouquin commença à parler de loi galactique et Cléo l’écouta avec admiration, il s’y connaissait apparemment. Peut-être que lui aussi c’était un extraterrestre… Elle reporta son attention dehors, après tout, elle avait bien compris qu’ils étaient dans l’espace, mais la dernière fois il n’y avait pas eu vraiment de fenêtre pour admirer la vue. Du moins pas jusqu’à la sortie forcée en chute libre à laquelle elle ne voulait pas penser (et à ce moment là, la vue n’était pas sa priorité). En plus cette grande baie vitrée avait un petit côté familier, comme à l’aquarium. Ça lui plaisait. Ce qu’il y avait au-delà en revanche était à la fois exactement comme elle l’avait imaginé et totalement différent. Grand. Très grand. Comme les plus profonds des océans, là où on ne distingue plus le sol de la surface de l’eau. Et où la lumière ne provient plus d’en haut mais des rares sources lumineuses qui survivent à cette profondeur. Dans sa vie d’avant elle n’allait jamais aussi bas, elle ne résistait pas à autant de pression. Mais il lui était arrivée de descendre assez pour que les histoires des méduses lui donnent l’impression de s’y trouver. C’était comme un immense océan… Les autres vaisseaux qu’elle pouvait voir, ressemblaient assez à des sous-marins pour lui donner cette illusion et la laisser un peu désarçonnée : ils étaient bien dans le ciel pas vrai ?
Elle fut tirée de sa rêverie (océan ? Pas océan ?) par la jolie brunette (par la Grande Tortue, pourquoi toujours des brunettes ?!) qui lui tendit une poignée… de persil ? Elle la regarda la bouche ouverte son feuillage à la main, sur le point de bafouiller quelque chose, mais elle s’éloignait déjà. Elle avait définitivement raté quelque chose. En observant autour d’elle, la blondinette remarqua les autres grignoter leur bout de persil, alors sans y réfléchir plus elle suivit le mouvement. Elle était végétarienne après tout, ce n’est pas comme s’ils lui demandaient de manger Plume ou Sparky les hérissons de l’espace. En repensant à sa dernière aventure et au moment où elle avait appris qu’ils se nourrissaient de pauvres hérissons violets, elle eu un petit frisson. Heureusement ils étaient tous les deux sains et saufs à Storybrooke à l’heure actuelle. Elle mâchouillait son persil d’un air distrait quand un choc violent la fit trébucher contre une console et se cogner le genou dessus. Elle poussa un petit cri de surprise et de douleur tout en se tenant maladroitement au bord en métal à côté d’elle. Qu’est ce qui se passait ? Qu’est ce que c’était ? Pourquoi ça secouait ? On ne doit pas secouer les poissons ! Ils allaient s’écraser ? Est-ce que c’était possible de s’écraser dans l’espace ? C’est un peu comme un avion non ? Ils allaient tous mou-- « Le navire est en train de couler, Cap’tain !! » Ah, ça va elle savait nager…
… Si elle était vraiment dans un bateau c’est ce qu’elle se serait dit ! Pas océan ! Pas océan ! C’était pas le moment de confondre l’eau et le vide ! Et miraculeusement tout mouvement terrifiant et prolongé s’interrompit d’un coup. Tenant toujours vaguement en équilibre par une seule main et une jambe pliée sous elle, Cléo s’accroupit lentement, au cas où les secousses reprennent sans prévenir. Mais rien de tout ça ne se produit, et elle se décida à passer la tête par dessus le bord de la console pour voir derrière si tout le monde allait bien. Les autres étaient plus ou moins écroulés comme elle (ce qui la rassura légèrement sur sa coordination avant de se reprendre : c’était mal de se satisfaire des ennuis des autres). Le rouquin récupéra vite de sa position et demanda à la gentille ordinateur de bord (qui était revenue heureusement) où ils allaient. Il gérait vraiment bien ce genre de situation. Elle se releva complètement en s’époussetant comme si tout était normal. Zachary lui avait dit qu’elle était supposée être le directeur, celui qui donne des ordres à l’équipe. Pas qu’elle sache tellement quoi leur donner comme ordre, ni qu’elle ai envie de le faire. Simplement elle représentait l’autorité. C’est ça… l’autorité ! Elle toussota discrètement pour se donner une contenance avant de se positionner les épaules droites et les mains dans le dos.
Okay.
Et maintenant ?
La brunette s’éloignait déjà dans un couloir à la suite du rouquin et… elle tourna sa tête à droite et à gauche, Zachary aussi ? Elle restait avec deux personnes qu’elle ne connaissait pas, mais ça allait, elle était le chef non ? Elle s’approcha de l’autre blonde avec une tenue totalement indécente qui la fit rougir jusqu’à la racine des cheveux et faire demi-tour automatiquement. Non non non, on ne va pas parler aux belles femmes pour se rendre idiote et déprimer après. En plus elle avait l’air occupée sur son siège et Cléo ne voulait même pas penser aux mots vibration et cuir dans la même phrase. Elle rougit de plus belle avant de presque fuir hors de la pièce comme si elle avait un requin carnivore aux trousses (par opposition aux requins végétariens qu’elle connaissait bien et qui était touts à fait civils). Chercher Zachary. C’est ça. Bonne option. Et sortir. Loin. C’est bien aussi. Elle ouvrit la première porte devant laquelle elle tomba, avant de la refermer en appuyant violemment sur le bouton. Le délogeant presque de son axe et provoquant une douleur tenace dans son poignet. La brunette. Dans une piscine. Sans rien. Elle bondit dans la direction opposée, mettant le plus de distance possible entre elle et toutes ses femmes qui cherchent à la rendre dingue. Elle mit un moment à réaliser qu’elle marchait sans savoir où elle allait. Elle s’interrompit dans son élan regardant autour d’elle, un simple couloir sans plus d’indication. Elle n’était même pas sûre de retrouver la salle d’où elle venait maintenant. Indécise, elle pesait ses options lorsqu’un chat apparu au bout du couloir… Assis comme un sphinx, il l’observait d’un regard impassible. Cléo le regarda en silence sans bouger. C’était un résonnement plus qu’étrange, même pour elle, mais elle avait tendance à se méfier des animaux seuls qui la regardaient d’un air étrange. La dernière fois que ça lui était arrivé, un lapin lui avait presque fait avoir une crise cardiaque. Et pourtant elle aimait les animaux. Sans la quitter des yeux, le chat porta lentement sa patte à son museau avant de commencer à faire sa toilette tranquillement.
Pourquoi est-ce qu’il la regardait comme ça ?
Elle était peut-être un poisson, mais elle avait… elle avait eu une amie chat. Pourquoi est-ce qu’elle ne pouvait pas être amie avec lui aussi ? Elle n’était pas un sushi ! Sans regarder où elle allait vraiment, elle recula doucement jusqu’à passer le coin du couloir derrière elle et ouvrir la porte la plus proche. Un pas à l’intérieur et son pied s’enfonçant doucement dans une surface plus souple que du métal attira complètement son attention. Après une analyse presque blasée et un petit hochement de tête, elle fit demi-tour tranquillement en refermant la porte derrière elle. « Non merci. » On l’avait eu une fois, on l’avait eu deux fois, hors de question qu’elle retente l’expérience d’une forêt—tropicale ou pas, dans un vaisseau ou pas—dans un futur plus où moins proche. En se retournant, elle fit un bon d’un mètre au moins avec un petit cri, avant de se coller au mur le plus proche.
Le chat était là.
Au bout du couloir. Comme quelques secondes plus tôt dans l’autre couloir. Qui la regardait sans bouger. Elle se mordilla la lèvre inférieure pour s’empêcher de gémir, au cas où ça attirerai son attention plus que son cri précédent. Et que son attention ne soit pas déjà concentrée sur elle. Elle avait peu de chances de distancer un félin. Alors elle se cantonna à sa technique précédente, et bougea lentement jusqu’à la porte suivante. Un mouvement à sa droite lui fit détourner le regard, et elle resta les yeux écarquillés devant le poisson qui zigzaguait tranquillement dans sa direction, avant de la dépasser et de continuer plus loin. Dans le couloir. Dans l’air. Elle en était tellement sous le choc (est-ce qu’il existait vraiment des espèces capable de faire ça ? mais c’était sensationnel, elle avait besoin d’un carnet de prendre des notes, de l’étudier, de—le chat !), qu’elle tourna vivement la tête vers celui qui la traquait précédemment pour le voir assis à ses pieds fixant le poisson dans les airs.
Il leva les yeux vers elle. Elle le regarda.
Jugeant sûrement qu’elle n’était pas assez savoureuse, il reporta son attention vers là où avait disparu le poisson volant, avant de se mette à le suivre d’un pas tranquille (mais menaçant, tellement menaçant !). Elle laissa à son cœur le temps de retrouver une vitesse normale, et souhaita silencieusement bonne chance au poisson-volant. Elle ne pouvait rien faire contre l’ordre naturel (mais elle avait bon espoir pour le poisson, il semblait pouvoir aller assez haut contrairement au félin). Mais cette espèce l’intriguait vraiment, elle bougea enfin ses jambes encore un peu tremblantes (essayez de vous débarrasser d’une autre vie de réflexes), et partit dans la direction dont il tait venu. Un peu plus loin un porte ouverte attira son attention… MRAAAOU ! Où elle bondit sans demander son reste tombant à la renverse en fermant automatiquement tandis qu’un félin gris cette fois-ci signalait innocemment sa présence couché dans un coin du couloir. Il était dehors ! Bien… Bien bien… Il n’avait pas l’air inquiétant comme l’autre… mais quand même. C’est seulement à cet instant qu’elle remarqua les lueurs ondulant sur la porte qu’elle fixait attentivement. La luminosité était réduite sans être trop sombre et le mur face à elle ressemblait à celui d’une grotte sous-marine, brillant doucement comme au gré des vagues. Avec une trépidation dont elle ne se savait pas capable elle se retourna à moitié couchée sur le sol. C’était un aquarium ! Sauf que… non. Un sourire fasciné s’étala sur son visage tandis qu’elle se relevait maladroitement.
Il n’y avait aucun bocal.
C’était bien un aquarium, il y avait l’eau, les poissons, et les algues. Sauf qu’il n’y avait aucun mur, aucune vitre. L’eau bougeait aléatoirement dans les airs formant des dispositions en bulle ou en vague, ou en d’autres formes totalement indescriptibles. Tandis que les poissons passaient de l’une à l’autre en voguant dans les airs doucement. Comme s’il n’y avait pas de gravité, et que l’air soit un environnement aussi adéquat pour eux que l’eau. Elle passa doucement sa main dans la bulle la plus proche. Des petites bulles d’eau s’éparpillant dans les airs… suivies d’un tout petit poisson qui vint s’enrouler autour de ses doigts avant de repartir dans la bulle suivante.
« Parfait... »
Et c’était vraiment tout ce qu’elle trouva à dire pour décrire l’endroit. C’était suffisant.
BY .SOULMATES
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| Conte : Winnie l'ourson. | Dans le monde des contes, je suis : : Tigrou.
Je ne connaissais pas Têtu avant de rencontrer Lounis. Lui et ses lubies sur la mode, je m’étais fait sévèrement remonter les bretelles quand il s’était rendu compte que tout ce que je lisais, c’était des encyclopédies ou des magazines sur la musique – jamais une seule revue de mode ou de potins de célébrités. En même temps, qu’est-ce que je pouvais en avoir à faire de la dernière tenue de Kim Kardachienchianmachin – c’était qui ça, d’abord ? – ou de la dernière frasque d’une starlette shootée à l’héroïne ? Non franchement, on avait d’autres problèmes bien plus importants à régler dans l’existence pour se contenter des petits potins sur des personnes qui ne nous concernaient absolument pas. Certes c’était parfois follement intéressant, mais je trouvais ça d’une perte de temps notoire alors que nous avions déjà tant de choses à vivre ou faire. Comme être dans cet étrange vaisseau par exemple, à lire un magazine gay dans une salle remplie de chats et de jeux pour les félins. Si ça, ce n’était pas du scoop, les journalistes avaient probablement ratés leur carrière et pouvaient retourner combler les colonnes de « greluche magazine » ou « fan de ta mère ». Bon par contre, Têtu, je tolérais. Mon meilleur ami m’en parlait tellement et les faisaient venir exprès de France alors, autant profiter que l’étrange robot en possède un sous la main pour le parcourir d’un peu plus prêt. Et une chose était sûre : il n’avait pas menti sur la marchandise.
Ne faisant pas attention aux quelques chats qui quittaient la pièce, je vis cependant rapidement plusieurs d’entre eux venir se pelotonner contre moi en ronronnant. Haussant un sourcil à leurs manières, je ne pus m’empêcher de sourire en grattouillant la tête de l'un d’eux. Un petit rouquin rayé qui avait mis quelques essais avant d’oser venir se cramponner à mon haut de cosplay. « Tu me rappelles quelqu’un de très cher, toi… Enfin, qui m’était cher. Il doit être mort à l’heure qu’il est. » Petit instant nostalgique, mais ne sortez pas les violent cette passade s’en alla aussi rapidement qu’elle était venue. « Il avait les mêmes yeux globuleux et une capacité indéniable à se planter quand il tentait quelque chose ! » M’amusai-je à me moquer, sans doute pour chasser d’autres souvenirs un peu moins joyeux et enjoués. Je repris ma lecture, lorgnant un long moment sur la « sélection » du mois : y’avait des types quand même rudement bien foutus. Genre mon patron, au All New Rabbit Hole – dommage qu’il soit un dieu et visiblement un caractère qui allait avec – ou encore Jamie chez Granny. Mais dans ces pages plastifiées, les modèles n’étaient vraiment pas mal dites donc. Je gardais précieusement le calendrier, me promettant de le donner à Lounis dès que je le recroiserais et… Tient, en parlant de ça, où était-il passé celui-là ? Tout seul dans un vaisseau spatial, il devait soit être en crise de panique, soit étalé sur le sol avec de la bave aux lèvres ! Oh mon dieu, un cadavre à chercher dans cet endroit ! Qui était le coupable ? Où était l’arme du crime ? Et pourquoi Bambi était-il la victime de ce crime outrageux ? Je le refusais !
Refermant vivement le catalogue, je m’apprêtai à me relever lorsque je vis un chat tendu à bout de bras me dire une phrase des plus étrange : « Eyh, quand est-ce qu'on mange ? J'ai des envies de tigre ! Grrr ! » J’ouvrai de grands yeux surpris, regardant le matou émettre un miaulement d’innocence avant d’agiter la queue. Approchant mon visage de lui, il me donna un – gentil – coup de patte sur le nez et je sursautai. Derrière lui : « Lounis ! » m’exclamai-je, éveillant les chats précédemment installés contre moi qui se levèrent en grondant pour aller se retrouver un endroit plus tranquille. Les coussins humains, ce n’était plus ce que c’était. Désolé petits félins, mais il y avait plus intéressant à faire que de rester installé là… ou presque. En tout cas, quelqu’un avait trouvé quelque chose de bien plus instructif et ludique : qui avait confié la clef d’un dressing à Loulou ?! Je le toisai des pieds à la tête, lui et son costume recouvert de papillons multicolores, avant de me mettre à sourire puis à rire. « t'es en train de repeupler le monde avec des espèces disparues ?! » Il n’y avait bien que lui pour porter ce genre de vêtements, et à qui ça allait bien malgré son mètre quatre-vingts-dix. Extravagant. Détonnant. Pour le coup, je me sentais presque ridicule dans mon cosplay – habitué à des tee-shirts, des chemises à carreaux ou des gros pulls avec un jean – en face de lui. Je me renfrognais un peu même si je ne pouvais pas décemment gâcher l’enthousiasme de mon ami.
« Et c'est bientôt l'heure des médicaments! Si tu ne veux pas qu'on mange du tigre avarié, il ne faut pas oublier de les prendre. Et j'ai des gâteaux pour aller avec. » Là, je grimaçai sérieusement en me laissant retomber sur les fesses à côté de lui, lui jetant un regard empreint de supplications et de larmes prêtes à couler sur demande. J’étais devenu assez doué pour les caprices, mais Lounis était parfois intraitable. Encore plus depuis mon accident en pleine rue qui m’avait valu un séjour en réanimation et une sortie de l’hôpital à peine quelques jours auparavant… Ce n’est pas tous les jours qu’on se prend une balle dans le ventre et qu’on en sort vivant. J’avais de la chance soi-disant – forcément, j’étais le tigre le plus chanceux du monde, il ne fallait pas l’oublier – mais pas celle de m’extirper du joug douloureux des médicaments. Et surtout de la piqûre d’anticoagulants tous les soirs. Quelle torture ce truc ! Le corps humain ne pouvait-il pas agir plus simplement ? Sérieux, en tigre on avait pas besoin de ça : quand on nous tirait dessus on mourrait, point à la ligne. Cependant, devant la promesse d’un gâteau à venir avec, je saisi mon stylo injectable et ne mit pas longtemps à m’injecter le produit dans la cuisse avant de le rendre à Bambi pour qu’il le range bien loin de nous. « Un dieu viking n’a pas besoin de faire savoir qu’il est malade ! » Fis-je remarquer. « Mais il peut être gourmand sans problèmes ! » Rattrapai-je rapidement en saisissant le gâteau qu’il me tendait pour croquer avidement dedans. Ah c’est sûr, ça passait mieux que le persil ça. « Merci Lounis ! » Je me penchai vers lui pour… voler un baiser sur ses grandes lèvres mutines, avant de me redresser comme si de rien était et de me mettre debout, bien campé sur mes jambes.
Attendez, quoi ? J’ai fais quoi ?! Je réalisai mon geste et esquivai soudainement quelques pas sur le côté pour passer dans le couloir. Non mais… Non mais il ne remarquerait pas, je lui faisais toujours des bisous à cette grande gigue. Oui. Puis j’en faisais à December aussi alors bon… Ouais. Il faudrait que j’en fasse aux deux autres filles tout à l’heure. Puis à Fury. Puis au Cap’tain aussi pour équilibrer. Tient d’ailleurs, où était-il celui-là ? « On ferait mieux de retourner au panneau de commande, sait-on jamais qu’on soit arrivé ! » Abandonnant alors les chats, non sans un dernier câlin, je pliai le magazine Têtu sous mon bras et attendis dans le couloir que Lounis ne daigne me rattraper. Des grandes jambes mais pas très rapide ! trottinant ensuite – ou plutôt dansant dans de petits bonds – pour retourner dans la salle principale. Et retrouver deux des jeunes femmes de la compagnie. « Oh, le peignoir rose, j’adore ! Tu l’as chopé où ? Je veux le même ! » Couinai-je en m’approchant de Black Widow, la jardinière de persil. « Enfin, tu crois qu’ils l’ont dans une autre couleur ? Non parce que le rose ça va à Loulou là, mais pas à moi. Ca me boudine. Tu aurais genre de l’orange ? Ou du bleu ? C’est bien le bleu, c’est sympa le bleu. Ca va à tout le monde. Du coup, du bleu, c’est bien. Tu as ? » Questionnai-je, ignorant royalement le fait qu’elle était actuellement complètement nue sous le tissu. Les filles et leur capacité à vivre nue… Pas étonnant qu’elles se retrouvent après dans des posters ! Heureusement que je l’avais rendu, celui-là. Faudrait pas que Lounis croit que je m’intéressais aux… Non mais stop, encore ! Chut. Concentre toi sur la fille. Oui voilà, la fille. Le peignoir. La fille. Le peignoir. « Tu connaissais Lounis, que tu l’appelles Bambulk ? » Demandai-je spontanément, histoire de faire la conversation. « Parce que Loulou ne connait pas beaucoup de monde donc ça m’étonnait un peu tu vois. Non pas qu’il ne puisse pas te connaître – il connait pleins de gens bizarres – mais comme il est aussi bavard qu’une disquette rayée j’ai jamais entendu parler de toi. Tu m’excuses ? C’est quoi ton nom ? Et pourquoi t’avais du persil ? Tu le cultive ? » Opy, la ferme.
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'CAUSE I DON'T CARE WHEN I'M WITH YOU
You know I love you, did I ever tell you? ☽ I'm at a party I don't wanna be at and I don't ever wear a suit and tie. Wonderin' if I could sneak out the back. Nobody's even lookin' me in my eyes. Then you take my hand. Finish my drink, say, "Shall we dance?" Hell, yeah. You know I love you, did I ever tell you? You make it better like that...