« Pour réaliser une chose extraordinaire, commencez par la rêver.
Ensuite, réveillez-vous calmement et allez jusqu'au bout de votre rêve
sans jamais vous laisser décourager. » (Walt Disney)

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 Adventures are the best way to learn ₪ DIANE

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Ellie Sandman
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Ellie Sandman

| Avatar : Felicity Jones & Raffey Cassidy

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« La seule amitié qui vaille
est celle qui naît sans raison. »


| Conte : Intrigue Divine
Adventures are the best way to learn ₪ DIANE - Page 2 346425benreveuse

| Cadavres : 664



Adventures are the best way to learn ₪ DIANE - Page 2 _



________________________________________ 2016-02-24, 23:01

Nous passons comme des ombres sur un fond de nuages que le soleil perce à peine et rarement, et nous crions sans cesse après ce soleil qui n’en peut mais... c’est à nous de déblayer nos nuages.

George Sand

Au comble de l'anxiété, je vis Diane éclater de rire. Se moquait-elle de mon cadeau ? Il y avait de quoi. Offrir un collier appartenant à une défunte inconnue était tout bonnement risible. Le rouge commença à me monter aux joues. Puis, je m'aperçus que son rire n'avait aucune intonation moqueuse, bien au contraire. Il venait du fond du coeur. Je lançai un drôle de regard à la déesse, me demandant ce qui lui arrivait. J'étais toujours un peu déstabilisée quand on faisait preuve d'une démonstration de joie inopinée.

Lorsqu'elle annonça que j'étais sa nièce favorite, je devins rouge pour de bon. C'était bien trop d'honneur. Je me dandinai sur moi-même, mal à l'aise. Elle insista en disant que personne ne lui avait fait de cadeau aussi adorable. Je sentis le petit coffret en bois trembler dans mes mains. Je le refermai dans un claquement sec alors que Diane venait de se saisir de son médaillon. J'avais gardé le mien que j'avais mis dans la poche centrale de mon sweat-shirt. Je le mettrai plus tard. Je n'étais pas très bijou, mais je me jurais de faire un effort. Après tout, cela avait l'air important pour Diane. De plus, j'en avais eu l'initiative donc je me devais d'honorer mes promesses.

Une fois refermé, j'allais poser le coffret dans le trou dans lequel je l'avais trouvé. Creusant un peu, puis le recouvrant d'un petit tas de terre. Me relevant, je retournai auprès de Diane et expliquai :

"Ceci est notre secret. Je n'aimerais pas que quelqu'un d'autre se serve dans ce coffret. Il doit reposer en paix, à présent."

En vérité, je me sentais toujours extrêmement coupable de m'être servie impunément. Si j'avais été superstitieuse, j'aurais craint que le fantôme de la défunte vienne nous hanter. Cependant, je savais pertinemment que les esprits étaient nettement plus subtils et torturés par des démons beaucoup plus ténébreux. Il suffisait de songer à la pauvre Eleanor... Je me laissai aller à un soupir, avant de me tourner vers Diane avec des ronds en l'entendant me dire qu'elle avait également un cadeau pour moi. Perplexe, je battis des cils, ma bouche formant un "o". J'arborais très rarement ce genre d'expression. Elle avait fait très fort. Elle m'avait surprise. Exploit auquel Anatole essayait de parvenir sans aucun succès.

Elle me donna un écrin que je pris délicatement. J'ignorais ce qu'il contenait mais j'en prenais autant soin que s'il s'agissait de la vie de Lily. Je le fixai un long moment, incapable de respirer ni même de parler. Finalement, Diane m'annonça qu'il s'agissait du double de la clé de la bibliothèque d'Olympe. Cela ne calma pas mes palpitations cardiaques, bien au contraire.

Je m'armai de courage pour soulever le couvercle de l'écrin, découvrant effectivement une clé argentée des plus élégantes, accompagnée d'un mot écrit de la patte de Socrate. Cela ne pouvait être que lui car il était précisé :

Vous pouvez venir quand bon vous semble, demoiselle chère à mon coeur.

De plus, c'était signé par une patte de chat. Ce petit mot me ramena violemment sur terre. Et le rose monta de nouveau à mes joues. Misère...

Je levai les yeux furtivement vers Diane avant de fixer la clé, incapable de prononcer le moindre mot. C'était... c'était... bien plus que je ne pouvais espérer. Prise d'un vertige, je passai une main sur mon front. Puis, réalisant que j'étais bien impolie, je déclarai dans un souffle :

"Merci. Vraiment... merci. C'est le premier cadeau que je reçois."

J'aurais souhaité me montrer un peu moins émotive mais cela m'atteignait en plein coeur. Heureusement, je n'avais pas de larmes aux yeux. Je pleurais très rarement. La dernière fois que cela m'était arrivé, c'était pour les noces d'Elliot et Lily. Parce que j'avais été incroyablement heureuse pour eux et extrêmement malheureuse.

J'esquissai un sourire profondément reconnaissant à Diane et glissai l'écrin soigneusement dans ma poche. Désormais, mon ventre paraissait énorme étant donné tout ce que mon sweat-shirt contenait. Je commençai à marcher à côté d'elle alors qu'elle évoquait un caveau familial. Elle m'y conduisit. J'étais encore trop émue par mon récent cadeau. Je flottais presque sur un petit nuage. Quelle étrange sensation... Peut-être aurais-je dû montrer ma joie en l'embrassant ? En la serrant dans mes bras ? Non, c'était trop de proximité. J'aurais eu peur de la gêner.

Nous nous arrêtâmes devant le cadeau en question. Il portait une plaque usée sur laquelle étaient inscrits cinq prénoms anciens :


Silena Cassiopée Eulalie Calypso Ariane


Je notais que la dernière ressemblait beaucoup au prénom que Aphrodite utilisait. En tous les cas, il devait s'agir de personnes extrêmement importantes aux yeux de Diane pour qu'elle ait souhaité les enterrer à cet endroit.

Enhardie par les récents évènements, je levai la main et la glissai dans la sienne, effleurant à peine sa paume. Je voulais simplement lui montrer que je la soutenais dans sa peine tandis que j'observais le caveau. Après quelques minutes, je brisai le silence par ces quelques mots :

"Les morts ne nous quittent jamais vraiment. Ils continuent de vivre dans nos coeurs."

La mort est plus difficile pour les vivants. Ceux qui restent souffrent alors que les mortels ont le droit au repos éternel. Nous n'avons pas de chance. Ce sont nous les êtres maudits.



crackle bones
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Diane Moon
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Diane Moon

| Avatar : Claire Holt + Mia Talerico pour Le Berceau de la vie

Adventures are the best way to learn ₪ DIANE - Page 2 Dmia

“I love you to the moon and back”


| Conte : Hercule
| Dans le monde des contes, je suis : : Artémis la déesse de la chasse et de la lune herself (même si je viens du monde réel)

| Cadavres : 9254



Adventures are the best way to learn ₪ DIANE - Page 2 _



________________________________________ 2016-02-28, 17:33

Adventures are the best way to learn
Que serait la vie sans un peu d'aventure ?


Arrivés, devant le caveau, je jetais un coup d'oeil aux noms gravés, sur la plaque. Sans doute, la remplacerais-je quand elle deviendrait trop usé. Pourtant, je tenais à ce qu'elle reste tel quel. Même si le souvenir, de « l’enterrement » me donnait bien souvent, un frisson désagréable le long de l'échine. Sans, doute parce que je disais adieu à une partie de ma vie. Je n'avais pas seulement, enterré mes filles, j'avais enterré celle que j'étais avec. Le souvenir du canon de l'arme sur ma tempe, et du coup de feu qui avait suivit, n'avait strictement rien d'agréable. Par la suite, je ne me souviens de rien, si ce n'est la régénération. J'avais choisis de prendre une autre apparence. Pour un nouveau départ. Je revins subitement, à la réalité, sentant la main d'Ellie dans la mienne. Quelques minutes s'écoulèrent, avant que je ne la presse doucement, comme si j'avais peur de lui faire mal. Il, était rare que j'accepte un contact physique aussi rapidement. Sauf peut-être, lorsqu'il s'agissait, des membres de ma famille. Je lui adressait un sourire reconnaissant, suite à ses paroles avant de prendre à mon tour la parole :

- De tout temps, nous avons eu la capacité de crée des créatures. Pour tromper l'ennuie, la solitude, en guise de présent. Moi j'ai toujours voulu être mère. Mais, c'était impossible, je ne voulais pas m'attacher à qui que ce soit. Un mortel encore moins. Je, n'aurais pas pu supporter de le voir disparaître, alors que je serais resté. Alors, j'ai fait le choix de rester vierge. Comme ça, je ne m'attacherais pas. Et au fond, je crois que ça arrangeait pas mal Apollon. Il, était sur, que je ne le remplacerais pas comme ça. Mais, cette envie s'est fait de plus en plus pressante dirons nous. Et c'est comme ça qu'elles sont arrivés. Mes créatures, mes filles, mes chasseresses. Je les aient malheureusement, perdu lors de la guerre. J'ai mit du temps à vraiment cicatriser. Je ne les oublierais jamais, elles seront toujours, dans mon cœur. Mais, je sais que le temps est venu de les laisser « partir » en quelque sorte.

Pour autant, je n'étais pas triste. Je me sentais, étrangement, apaisée. Je, ne tournerais jamais complètement, la page. C'est comme pour Hippolyte. J'y tenais bien trop. Mes remords s'estompaient petit à petit, laissant place à une attitude plus réfléchit. Oui, je ne les oublieraient jamais, parce qu'on ne se remet jamais complètement de la perte d'un enfant. Mais j'avais tenue la promesse faite à Silena. Je n'étais plus seule. Il y avait du positif dans toute cette histoire, et c'était ce qui comptait.

Je remit, une mèche de cheveux en place, tandis-que je me tournais vers Ellie en souriant :

- Je suis contente que mon cadeau t'ai plu. Comme ça, tu pourras avoir accès à la bibliothèque, même quand Socrate n'est pas là. Je marquais une pause, lui coulant un regard malicieux avant de reprendre à vrai dire, surtout quand Socrate n'est pas là.

Si j'en croyais les dires de ma sœur, il semblait éprouver un peu trop d'affection pour Ellie. Et, je n'étais pas sur, qu'elle se sente très flatté à l'idée qu'il soit amoureux d'elle. Je, ne minimisais pas dans les affaires de cœur des autres. Je me contentais, d'être la tante, qui écoute et donne un conseil, quand on a un soucis et qui offre des cadeaux. En gros, je restais proche d'eux, sans être envahissante. J'estimais, que ça ne me regardais aucunement. Et, du peu que j'avais compris, Ellie avait suffisamment de « soucis » avec Anatole. Bien, que je le reconnaisse, je l'avais mal jugé. Au final, c'était un garçon extrêmement gentil. C'était juste que sur le moment, ça m'avait rappelé les fish twins, et m'avait quelque peu hérissé. Quoi qu'il en soit, les histoires de cœur étant loin d'être mon fort -il n'y avait qu'à voir l'allure à laquelle ma relation avec Pitch avançait- je préférais, rester parfaitement neutre là dedans. Me disant, que s'ils avaient besoin il y avait toujours Aphrodite. Quoi que...Je n'étais pas tout à fait certaine qu'aller lui demander conseil soit une excellente idée.

Le soleil n'allait pas tarder à décliner, nous étions resté plus longtemps, que je ne l'avais imaginé. Mais, c'était une bonne chose si aucune de nous, n'avait vu le temps passé. C'était que j'avais réussis, l'objectif que je m'étais fixé. Néanmoins, les paroles de tout à l'heure, concernant l'adaptation du roman le plus connu d'Anne Rice me revint en mémoire.

- Il commence à se faire tard,
dis-je le mieux c'est de rentrer.Si tu aime tellement, cet endroit, rien n'empêche que je t'y emmène à nouveau, il y a beaucoup de choses à faire. Et puis, faut que je retape un peu la maison. D'ailleurs, on va y faire un saut rapide, si ça ne te dérange pas, j'ai quelque chose à prendre là-bas avant de retourner à Storybrooke.

Vérifiant qu'il n'y avait personne aux alentours, et jetant un dernier regard à la plaque promettant, de revenir rapidement, m'occuper de la dernière demeure de mes chasseresses, je nous téléportais, toutes les deux dans la maison du vieux carré français. Nous atterrîmes, en bas de l'escalier menant à l'étage là où se trouvait les pièces à vivre. Je jetais un bref regard aux tableaux accrochés, le long des murs de ce dernier. Je verrais avec Apollon, s'il n'y en avait pas qu'il souhaitais que je ramène à Storybrooke. Bien, que notre maison, s'apparente plus au Louvres qu'à une vrai maison, vu tout ce qui était entreposé au grenier. De toute façon, c'était courant avec lui. Apollon était le genre à s’étaler, c'était pourquoi je prévoyais toujours beaucoup de place, dans les endroits que nous habitions. Mon regard s'attarda quelques instants, sur l'un deux. C'était Apollon, qui l'avait peint, il représentait une femme blonde, fin de trentaine début de quarantaine environ, vêtu, à la mode début du vingtième siècle. Je le savais, parce que cette femme c'était moi. C'était mon apparence, plus âgée. Celle, que j'avais laissé derrière moi il y a environ vingt quatre ans.

Je détournais, le regard tandis-que nous débouchâmes sur le grand salon. Tout, était resté exactement, comme je l'avais laissé la dernière fois. Le mobilier recouvert de drap, afin d'être protégé des effets du temps et de la poussière. Le clavecin d'Apollon, remplacé aujourd'hui par son piano qui trônait à présent dans sa chambre à Storybrooke, occupait toujours l'espace entre l'horloge et le bar à alcool. Une pointe de nostalgie me prit en songeant aux bons moments que nous avions passé dans cette maison. Si, je la conservais, c'était parce que je savais qu'un jour, Storybrooke n'existerait plus. Et c'était vraiment notre « chez nous » avec mon frère. La seule des nombreuses demeure que nous avions eu, où nous étions réellement établit. Au point d'y revenir s'y établir pendant plusieurs décennies voir un siècle quasiment complet.

- Je vais dans ma chambre, normalement ce que je cherche s'y trouve. Si jamais tu as envie d'explorer un peu ne te gêne pas. Et si ça t'intéresse la bibliothèque se trouve dans le couloir sur ta droite, deuxième porte. Si l'envie te prends d'aller y faire un tour...Tu trouveras peut-être un ou plusieurs livres intéressant, et si c'est le cas, je serais ravis de te les prêter.


Je lui adressais un nouveau sourire, avant de me diriger vers ma chambre. Rien n'avait changé non plus, de ce côté là. Le grand lit était également couvert d'un drap, la fenêtre était fermée, et la moustiquaire rangée. Tout était comme je l'avais laissé, quand j'avais quitté la Louisiane pour la Californie.

Je me dirigeais directement, vers une grande armoire, dont je sortis la clé de mon sac afin de l'ouvrir. Je mit quelques minutes, à fouiller, avant d'en ressortir une grande caisse, remplit de plusieurs câbles que je soulevais afin de dénicher le dvd caché en dessous. Satisfaite, je retournais, dans le grand salon, le brandissant fièrement devant moi :

- Pour terminer cette journée voici ce que je te propose. Tu as dit que tu n'avais jamais vu l'adaption d'Entretien avec un vampire de peur d'être déçus. Et si on la regardait ensemble. Je promet, qu'elle est très fidèle au livre. Et si tu trouve que ce n'est pas le cas, tu auras le droit de m'en vouloir jusqu'à la fin de ma vie.

Je terminais, ma phrase plaçant ma main sur mon cœur, dans une attitude théâtrale digne d'Apollon, le tout en adressant un clin d’œil malicieux à Ellie.




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