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 Le plus beau métier du monde - Pv Anna

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Anastasia Romanov
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Le plus beau métier du monde - Pv Anna _



________________________________________ 2017-06-18, 21:08 « Men are such babies »

Confortablement installée dans sa poussette, Abigaëlle n'en oubliait pas pour autant d'observer curieusement le monde qui l'entourait. Ses grands yeux bleus, ceux si caractéristiques de la dynastie Romanov qu'elle avait hérité de sa mère, étaient perpétuellement à l'affût de distractions. La petite fille aimait voir passer les animaux vers qui elle tendait toujours ses petites mains potelées. Elle aimait observer les gens et les curieux objets dans les vitrines qui défilaient lors de ses excursions en ville. Ce jour-là, ce fut la vitrine du chocolatier qui attira particulièrement son attention. La fillette d'un an et demi tendit ses petits bras dans sa direction, battant des pieds sous l'effet de l'excitation et l'indiqua à sa mère à grand renfort de babillements plus ou moins articulés.
Anastasia n'eut même pas besoin de tourner la tête pour savoir ce que son bébé avait vu. La chocolaterie, évidemment. Abigaëlle avait sans nul doute hérité de la gourmandise de sa maman qui avait toujours particulièrement apprécié le chocolat.
La jeune femme rousse stoppa la poussette devant la vitrine, l'observant d'un air songeur. Elle se rappelait très bien s'y être précipitée deux ans plus tôt, dévorée par une furieuse envie de chocolat, l'une de ces fringales de femme enceinte contre lesquelles il ne valait mieux pas lutter. C'était peut-être de là que venait le goût prononcé d'Abigaëlle pour les chocolats de cette chocolaterie en particulier. Ou peut-être n'était-ce qu'un hasard. Anastasia n'en savait rien et préférait croire la version qui l'arrangeait ou lui plaisait le plus.
La jeune maman détacha finalement son regard de la vitrine pour se pencher au-dessus de la poussette et le porter amoureusement sur sa fille qui levait de grands yeux interrogateurs vers elle.
Entrer ou ne pas entrer, telle était la question que la mère et la fille semblaient se poser.
- Tu veux du chocolat ? demanda-t-elle, mutine, avant d'embrasser le front chaud de son petit trésor.
La réaction de la fillette valut mille discours, sinon plus.
- Ca tombe bien, approuva Anya. Maman aussi a envie de chocolat. Même si les cuisses de maman disent le contraire. Maman n'a pas envie de les écouter.
Et sans plus attendre, Anastasia poussa la porte de la boutique.
Elle gara la poussette dans l'entrée avant de s'accroupir pour prendre Abigaëlle dans ses bras.
- Tu deviens presque trop grande pour maman, commenta-t-elle, provoquant de nouveaux rires enfantins.
Anya n'en réussit pas moins à s'approcher du premier présentoir, un air gourmand sur les lèvres, prenant soin de s'en tenir suffisamment proche pour offrir une vue imprenable à Abigaëlle mais suffisamment éloignée pour éviter traces de doigts sur la vitrine et autres potentielles catastrophes.
- Alors mademoiselle ? Que prenons nous aujourd'hui ?
Abigaëlle agita sa petite main en direction de pralinés.
- Tu crois qu'ils sont bons ?
- Socolaaaat ! commenta gaiment la fillette.
- Oui mon trésor, approuva la maman en humant les cheveux roux d'Abigaëlle. On dirait que tu as fait ton choix. Y a plus qu'à trouver quelqu'un...
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________________________________________ 2017-07-04, 23:00





Le plus beau métier du monde

Pitiééééée dit moi que t'as des tuyaux à me donner


Attendre un bébé, n’était en rien quelque chose de facile. Il y avait trente-cinq mille recommandations, de machins à éviter parce que pas bon pour le développement du bébé, de choses interdites pour les mêmes raisons. Que je me demandais comment, notre société faisait-elle pour ne pas former des parents poule accroc aux anxiolytiques. De plus, en plus on était une génération de flipper. Soit c’était ça. Soit eh bien c’était moi qui me faisais des idées. Même si en toute franchise je doutais que ça ne vienne que de moi.

Déjà, il y avait les disputes avec Aaron. On s’était disputé quand je lui avais annoncé. Il croyait que je venais lui annoncer que je le quittais pour Emmet. Rien qu’à cette pensée je fût subitement prise d’une folle envie de rouler mes yeux de manière fortement exaspérée. Puis, on s’était disputé au sujet de l’accouchement. Je le répétais, et je ne changerais pas d’idée. Je.ne.voulais.pas que qui que ce soit vienne avec moi dans cette fichu salle pendant que je mettrais ce bébé au monde. Je veux dire, ça allait pas se faire en cinq minutes top chrono. Ce machin, ça allait prendre des heures. Des heures. Il était donc normal, que je refuse qu’il y ai qui que ce soit. Une fois que le bébé serait là, qu’il serait lavé, et qu’on me l’aurait donné. Pas de soucis, il pouvait y avoir un festival de visite. Je serais sans doute trop crevé pour y prêter attention de toute façon. Et je pourrais justement prétexter cette fatigue si j’avais besoin de les mettre à la porte.

La dernière dispute, était à propos de l’habitat. On ne vivait pas vraiment l’un avec l’autre. Lui était en colocation avec Hope. Et moi, en colocation avec mon meilleur ami. J’avais envisagé la possibilité de déménager et que l’on s’installe ensemble avec Aaron. Mais, en même temps j’hésitais. Jack, avait pas vraiment bien pris la nouvelle de ma grossesse. Est-ce que ça n’allait pas envenimer les choses si je déménageais ?

D’après le cliché, une future mère est toujours stressée pendant la grossesse. Pour ma part, je m’en sortais admirablement. Mes hormones ne m’avaient pas trop joué de tours. Ou tout du moins, disons que j’avais réussis à rester relativement normal avec. Et, alors que j’étais généralement du genre à psychoter. Je prenais la chose avec philosophie en quelque sorte.

Aaron, c’était tout autre chose.

De nous, deux celui qui angoissait certainement le plus, c’était lui. Et par moment, j’admettais, que je me demandais si l’on arriverait vraiment à traverser tout cet ouragan que semblait être notre vie en ce moment.

Je ne savais pas vers qui me tourner pour discuter de tout ça. Je ne connaissais personne dans mon entourage ayant déjà eu des enfants. Et, je me voyais mal aller voir Melody pour discuter de tout ça. Je veux dire, je la considérais comme ma meilleure amie. Mais, Aaron était son meilleur ami. Je ne souhaitais pas la mettre dans une situation inconfortable. Je, ne pouvais pas non plus aller voir Hope pour les mêmes raisons. Quant à Tara, je ne voulais pas l’embêter avec mes soucis, elle devait être suffisamment occupé comme ça. Et Aster, c’était hors de question. Lui il serait carrément mal à l’aise.

Je me retins de pousser un soupir à fendre l’âme me concentrant sur la préparation des chocolats. Faisant en sorte de bien tout mettre dans les moules, avec précaution. Aujourd’hui je me concentrais sur la création de tablette aux cœurs fondants. J’avais fait ma patte seule. C’était une tâche que j’avais l’habitude de réaliser depuis un certain temps déjà. A chaque fois j’y mettais tout mon temps, et tout mon cœur.

La clochette de la porte annonçant l’arrivée de clients tinta. Aster et Nudge n’étaient pas là, il l’avait accompagné sur une livraison. Ne restait plus que moi, pour tenir la boutique. Démoulant précautionneusement mes tablettes. Je m’occupais avec soin de les placer dans leur emballage, avant de les mettre avec le même soin dans le carton me servant à les transporter dans la boutique :

- Bonjour ! M’exclamais-je joyeusement dès que j’eus franchit les portes séparant l’arrière-boutique de la partie commerce. Je m’occupe juste de ça, et je suis à vous.

Tranquillement, je posais mon petit carton à terre, et rangeais les tablettes une par une sur le présentoir avant de hocher la tête de manière satisfaite :

- Voilà c’est bon ! Le choix est déjà fait ou bien un coup de pouce ne serait pas de refus ?


D’un geste du menton, j’indiquais la petite fille dans la poussette. C’était une habitude de voir des mères avec leurs enfants ici. Mais, je n’avais encore jamais rencontré quelqu’un dans ma tranche d’âge. Non, pas que je me sois imaginé être la seule jeune maman de la ville. Mais disons qu’entre le savoir et le voir il y avait une petite différence.




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________________________________________ 2017-07-05, 00:09 « Men are such babies »

Les renforts ne se firent pas attendre bien longtemps et arrivèrent en la personne d'une jeune femme rousse avec laquelle Anastasia avait déjà eu le loisir d'échanger quelques politesses d'usage et propos creux que l'on sert en société pour faire la conversation. La jeune femme était plus souriante et de fait plus avenante que le propriétaire, quoiqu'Anastasia n'ait franchement rien contre lui et son air bourru mais aussi, semblait-il, un peu plus maladroite, d'après le peu d'observations qu'Anya avait pu faire. La rouquine était là depuis plus longtemps que leur dernière recrue que la jeune femme russe n'avait que rarement aperçu ces derniers temps et qui présentait encore un autre type de profil social. Les professionnels de la question auraient probablement trouvé la boutique intéressant et se seraient empressés d'en faire un écosystème d'étude des sciences humaines. Anya, elle, se contentait de ces petites remarques mentales, peut-être guidée par les nouvelles attributions de Dimitri au sein de la police de Storybrooke, et ce, même s'il en parlait tout autant que des anciennes, point final. Elle était curieuse et posait souvent son regard bleu perçant sur ce qui apparaissait comme des détails pour des yeux non aguerris.
Anastasia avait le temps. Il était inutile de se presser pour elle qui appréciait l'atmosphère chaleureuse de la boutique. Elle rendit néanmoins son bonjour jovial à la troisième rousse de la pièce, reportant son attention sur les cartons qu'elle vidait peu à peu pendant qu'Abigaëlle observait toujours les chocolats.
Finalement, elle se tourna vers Anastasia qui remarqua alors la forme caractéristique de son ventre suffisamment arrondi pour laisser deviner une grossesse mais encore suffisamment petit pour annoncer que la jeune femme n'en était probablement qu'à la moitié du chemin, derrière les nausées matinales et avant le cachalot terrestre.
Anya en oublia presque la question posée et, d'un geste du menton en direction du ventre et du trésor qu'il abritait, elle commenta avec un air entendu :
- Des félicitations s'imposent, j'imagine.
Elle aurait pu, comme c'était parfois - trop souvent à son goût - s'enquérir du terme, voire du sexe ou encore du choix du prénom. Elle aurait également pu demander à palper le ventre de celle qui était une quasi inconnue. Mais Anastasia n'avait jamais apprécié que les autres s'octroient pareilles prérogatives et ne se les octroyait en conséquences pas. N'en déplaisent à certains, elle considérait que les grossesses étaient avant tout du domaine privé. Des félicitations, c'était très bien, se satisfit -elle mentalement, contente de ne pas avoir ajouté le commentaire féministe qui lui brûlait les lèvres, à savoir qu'il était bon de voir une femme enceinte qui n'était pas en sucre et continuait de mener une vie résolument normale.
Et comme si elle n'avait jamais rien dit à propos de ce ventre que personne, et surtout pas elle, ne pouvait ignorer, Anastasia tourna son regard vers Abigaëlle avant de répondre en souriant :
- Je crois que mademoiselle s'est décidée pour ceux-là.
D'un geste, elle indiqua l'une des sortes, des pralinés, dans la vitrine.
- Je crois aussi que maman est totalement en accord avec ce choix, poursuivit-elle. Je crois qu'elle tient ça de moi. Le gène de la vénération du chocolat. Un très bon gène, au demeurant.
Anastasia adressa alors un sourire complice à la jeune femme en face d'elle.
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________________________________________ 2017-08-01, 19:10





Le plus beau métier du monde

Pitiééééée dit moi que t'as des tuyaux à me donner


Je n'avais rien contre les gens. Ça, c'était plutôt Aster. Mais, par moment, je ne pouvais m'empêcher de les trouver comment dire...Un peu trop intrusif dans la vie des autres. Bon, nombre de clients m'avaient rendu nerveuse avec leurs questions "a combien de mois en êtes-vous ?", "Vous connaissez déjà le sexe ?", "Une idée de prénom ?". Je me contentais de les éluder, du mieux que je pouvais mais par moment, je ressentais un peu le besoin de m'isoler. Dans ces cas là, Aster me laissait m'occuper de former Nudge ou de la fabrication de chocolat dans l'atelier. Laissant au choix lui ou bien notre nouvelle employée à l'acceuil.

Aussi, la cliente d'aujourd'hui était en quelque sorte rafraichissante. Si, je m'étais imperceptiblement tendu lorsque son regard s'était posé sur mon ventre, j'avais bien vite été soulagée, voyant qu'elle ne poserait aucune question? Et je lui en étais même vraiment reconnaissante. Le sujet, ne s'éternisa de toute façon pas, étant donné que le choix des chocolats avait manifestement déjà été fait :

- Elle a très bon goût dis-je en riant, les pralinés, font partis de mes chocolats favoris. J'espère que j'arriverais moi aussi à transmettre le gène au mien. En tout cas, je vais tout faire pour !

Si le bébé n'aimait pas le chocolat, je crois que ce serait définitivement la fin de mon monde. J'avais jamais compris, les gens qui n'aimaient pas le chocolat. Particulièrement ceux qui se cachaient derrière l'argument du "c'est trop sucré". le pire argument qui existe, du bon chocolat n'est jamais trop sucré. S'il l'est alors c'est que ça en est du mauvais.

J'emballais tranquillement, les achats de la jeune femme, avant d'enfiler une paire de gant, et d'ouvrir la vitre de la vitrine et d'en ressortir un assortiment de ballotin :

- Tenez ! C'est une nouvelle recette, alors on se sert de nos clients comme cobaye pour voir si on doit continuer à vendre ou bien si c'est bon à jeter aux orties plaisantais-je

Et même si je le taisais, c'était aussi un moyen de la remercier. C'était rare les gens comme elle. Et puis, je rencontrais pas souvent des amis de tignasse. Les derniers en date, c'était les deux jumeaux à Tokyo. Hope, ne comptait pas vraiment étant donné qu'on s'était connus avant son ravalement de façade :

- Dites...Osais-je finalement est-ce que... Ça vous gène si je vous pose quelques questions, à propos de ça ? dis-je subitement pas hyper à l'aise en mettant une main sur mon ventre. C'est que... Vous voyez je n'ai pas grand monde à qui demander des conseils dans mes connaissances. Je suis la première à être dans cette situation.

Je préférais poser la question, plutôt que de me jeter dans le vif du sujet et la mettre mal à l'aise. Elle avait l'air sympa, alors j'avais pas envie de la faire fuir en courant. Sans compter qu'Aster m'en voudrait pour les 30 prochaines années au moins, si je faisais fuir une régulière. Autant ne pas commettre de faute professionnel non plus.

- Si je vous embête surtout dites le moi !
repris-je précipitamment. Parce que c'est pas mon intention, je veux gêner personne, enfin je veux dire. Vous m'avez pas mitraillé de question, alors je m'étais dit que je pouvais toujours tenter ma chance et essayer d'avoir juste un ou deux renseignement

Je déglutis péniblement. Voilà, que j'avais encore dût paumé quelqu'un en route avec mes explications, et sans doute que mes joues devaient avoir prit la même teinte que mes cheveux. J'avais genre méga honte, et je voulais disparaitre à jamais dans un trou de souris. Là, c'est clair, elle allait me prendre pour une cinglée tout droit échappé de l'asile de la ville et partir pour ne plus jamais remettre les pieds dans la boutique. Fébrilement, j’attrapais, les chocolats emballés dans une petite boite, et précautionneusement, les mit dans le sac en papier que je tendis à la jeune femme en face de moi :

- Tenez, bonne journée et désolée repris-je rapidement, la gorge sèche

C'était comme si j'avais épuisé tout mon débit de parole. Je m'appliquais à la boucler, et ne pas m'enfoncer encore un peu plus.




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________________________________________ 2017-08-02, 00:56 « Men are such babies »

Anastasia adressa un sourire complice à la rouquine. Quelques temps plus tôt, il ne lui serait tout simplement pas venu à l'idée de parler de sa grossesse, de transmission et de tout le tralala qui entourait la reproduction humaine. De manière générale, elle avait toujours estimé que ces choses ne regardaient que Dimitri et elle. Enceinte, elle n'avait jamais autorisé personne à poser ses mains sur elle et avait bien fait comprendre, parfois méchamment, qu'elle ne souhaitait pas aborder le sujet. Pourtant, elle était plus fière de son bébé que de n'importe quoi d'autre dans sa vie.
Abigaëlle était ce qu'elle avait de plus précieux et probablement l'être qu'elle aimait le plus au monde. Mais sa petite fille et son ventre n'avaient jamais été des animaux de foire qu'on observait curieusement et indécemment. Anya supposait que c'était ce que l'autre rouquine voulait aussi. Ou plutôt : elle espérait que plus de femmes pensaient comme elle. On aurait au XXIe siècle, après tout ! Il était peut-être temps de ne plus prendre les femmes pour un incubateur sur pattes qui ne rêvaient que de donner la vie.
En l'occurrence, la nouvelle était tombée dans la vie d'Anastasia sans crier gare. La grossesse n'avait pas été la période de sa vie la plus épanouissante et elle n'était pas certaine de vouloir recommencer. La jeune maman ne voulait plus avoir à choisir entre les deux êtres qu'elle aimait le plus au monde. Elle voulait les deux. Elle avait peu à peu réussi à reconstruire sa famille, sa petite famille, bien loin des images d'Epinal et s'en satisfaisait. Elle était contre l'ingérence dans la vie des autres femmes et contre les clichés misogynes sur le beau sexe.
- On croise les doigts, répondit-elle avec un signe évocateur pendant que la future maman préparait les achats.
Anastasia et Abigaëlle ne perdaient pas une miette de ses gestes précis et assurés et furent toutes les deux positivement surprise quand la chocolatière leur tendit ds chocolats supplémentaires. La surprise, cependant, fit bientôt place à un sourire gourmand.
- D'ordinaire je refuse toujours d'être un cobaye mais je pense que cette fois va faire exception à la règle, commenta la jeune femme en prenant les chocolats.
Anya en porta un à sa bouche et donna l'autre à Abigaëlle en lui rappelant doucement de faire doucement. Une simple question d'habitude. Quand elle eut dégluti, elle reprit :
- Si jamais les retours sont globalement mauvais, jetez les dans ma bouche plutôt que dans les orties. Simple suggestion, ajouta la rouquine en dégainant son portefeuilles pour régler ce qu'elle était venue acheter.
Mais apparemment, l'heure n'était pas encore aux au revoir.
La chocolatière joviale avait subrepticement laissé place à une jeune femme moins sûre d'elle, cette facette qu'on osait en principe pas montrer en société. Le ton de sa voix avait changé, témoignant de son incertitude. Un sourcil arqué, Anya l'observait de ses grands yeux bleus, attendant la suite. Une petite voix lui laissait deviner le chemin qu'allait prendre la conversation mais elle ne voulait rien brusquer - pour une fois.
Et quelques instants plus tard, ce qu'elle attendait se produisit. La main sur le ventre avait été totalement inutile et Anastasia lui souriait avec bienveillance. Elle n'aurait jamais cru devenir la référence d'une autre femme en la matière et pensait plutôt que sa gin de grossesse et son accouchement tourmentés avaient laissé un souvenir plus présent dans l'esprit des gens. Au demeurant, elle n'était pas mécontente que ce ne soit pas le cas. Ou plus le cas. Abigaëlle était bien plus que "le bébé du presque tueur de Clarisse White".
Apparemment, la jeune femme était bien loin de ces considérations. A mesure qu'elle parlait et s'embourbait dans son malaise, elle devait sans doute essayer de réguler sa fréquence cardiaque afin de ne pas décéder sur place. Les yeux d'Anastasia s'agrandissaient de minute en minute sous l'effet de la stupeur.
Finalement, elle se retrouvait avec les chocolats entre les mains et un "bonne journée" lancé sans même avoir encaissé la commande. S'il était bon de voir que toutes les femmes enceintes se posaient mille et une question, il était également surprenant d'en être témoin de cette façon.
Anya posa calmement les chocolats sur le comptoir. Elle s'assura ensuite qu'Abigaëlle ne manquait de rien dans sa poussette puis balaya la pièce du regard. Ses iris bleues se posèrent finalement sur un tabouret qui semblait suffisamment solide pour une femme enceinte. Elle attrapa alors le bras de Maman Paniquée et l'y entraina en reprenant :
- Déjà vous allez vous asseoir et vous allez respirer un grand coup. Pas qu'on vienne ensuite m'accuser d'avoir tué une future maman par le simple fait de ma présence. Bien. On progresse, commenta la rouquine quand sa jumelle capillaire eut obtempéré.
Elle jeta un dernier coup d'œil dans la boutique, avisant la porte qui menait à l'arrière du magasin. Elle savait bien sûr que les clients n'y étaient en principe pas autorisés mais elle voyait dans son entreprise un cas de force majeur.
- Je vous laisse jeter un œil sur mon bébé, moi je vais vous chercher de l'eau. Et si on vous demande ce que je fous là-bas, on aura qu'à dire que vous avez fait un petit malaise ou eu des nausées ou ce genre e trucs chiants de femmes enceintes.
Le patron était un homme, au demeurant. Il ne voudrait sans doute pas entrer dans les détails des joies de la grossesse s'il apprenait pour cette intrusion.
Anastasia ne lui laissa de toute façon pas le temps de répondre et fila par la porte qu'elle avait aperçu. D'ordinaire, elle ne confiait pas son bébé aux inconnus mais elle estimait qu'une femme enceinte et aussi gênée de poser des questions ne pouvait pas représenter une menace. De toute façon, elle serait absente une minute au maximum.
Anastasia se hâta, balayant avec méthode l'arrière-boutique du regard. Elle avait trouvé l'évier, il ne manquait que le verre. La rouquine ouvrit un placard au hasard, puis un autre et trouva finalement ce qu'elle cherchait. Elle se dépêcha de remplir le contenant et retourna auprès de sa Maman Paniquée.
- Voilà, déclara Anya en lui tendant le verre. Vous buvez un grand coup et ensuite on discute. Sauf si vous voulez que je vous dire que la grossesse c'est trop cool, c'est tout rose et ça sent la fraise. Parce que si c'est ce que vous voulez entendre, vous avez clairement pas frappé à la bonne porte. Même si pour rien au monde je ne voudrais qu'Abigaëlle ne soit pas là, ajouta Anya d'une voix plus douce en regardant sa petite fille. Etre maman, c'est du boulot. Et de la douleur.
Anastasia laissa passer un instant plus ajouta :
- Je dis pas ça pour vous faire peur, hein. C'est juste que j'ai pas envie de mentir. Vous pouvez demander ce que vous voulez, y a pas de questions absurdes. Et d'avance, oui, les hommes ne sont pas parés pour gérer un truc pareil.
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________________________________________ 2017-08-27, 13:35





Le plus beau métier du monde

Pitiééééée dit moi que t'as des tuyaux à me donner

J’avais ENCORE paniquée pour rien, c’est pas que ça m’arrivait souvent mais si, ça m’arrivait souvent. Plus que je ne le souhaiterais en tout cas, ce qui était véritablement désagréable à la longue. En particulier, depuis que j’étais enceinte, l’on ne cessait de me rabâcher que je devais éviter le stress et patati et patata. Alors, ouais les médecins et le personnel pro était super top mais bon sang j’étais pas en sucre non plus. J’avais failli une fois, demander si j’avais encore le droit de respirer. Mais, je m’en étais abstenue. Bien, que ça me brulait les lèvres, j’avais miraculeusement réussit à me contenir. Aussi, hochais-je simplement la tête aux dires, de la cliente, après avoir exécuté son ordre. Néanmoins, j’éviterais peut-être de mentionner que ça avait à voir avec ma grossesse, si jamais Aster et Nudge revenaient, non parce que le connaissant, il allait encore prendre sa grosse voix bourru pour me demander pourquoi je l’avais pas appelé dans ce cas-là. Et moi, bah j’allais rentrer ma tête dans mes épaules comme une gamine prise en faute. Depuis quelques temps, il me faisait l’effet d’être une gamine devant son père. Et, je ne savais pas tout à fait, si c’était une situation confortable pour moi ou pas. Au moins, il y avait-il du progrès dans nos relations. Je n’étais plus l’apprentie terrorisée du début. C’était déjà ça de prit.

- Franchement, c’est pas ce que j’attends répondis-je à mon homologue capillaire. J’ai appris que j’étais enceinte dans un camion de pompier après avoir fait un malaise, le tout à Tokyo dans le contexte d’une émission à la con, émission orchestré par le père de mon copain qui pensait que me droguer avec des raisins bigleux et me faire passer dans ce genre d’émission me ferait « plaisir »

Je vidais rageusement le verre d’une traite. Je sais, je rabâchais un peu trop cette histoire, mais j’arrivais pas à digérer la pilule. Sans doute que quand le bébé serait là, les choses se tasseraient. En attendant, je ne voulais plus ni voir, ni entendre parler du père d’Aaron.

- Désolée dis-je d’un air contrit, j’voulais pas m’emporter comme ça c’est juste que les débuts ontpas été facile. Il y a eu pas mal de disputes, alors, franchement je suis très bien placé pour savoir que la grossesse c’est tout sauf de la rigolade. Et oui, j’ai bien vu ça que les hommes étaient pas paré pour ce genre de trucs.

On n’avait pas reparlé de l’accouchement, avec Aaron. Mais, je restais campé sur mes positions. J’avais pas envie, que quelqu’un soit dans la salle d’accouchement avec moi. Ils pouvaient rester, et attendre dans le couloir. Mais, je voulais faire le travail seule, sans spectateur. Chacun son truc, et moi c’était ça. Et puisqu’on parlait d’hommes, on pouvait aussi faire entrer Jack dans le lot. Même, si mon meilleur ami était quand même un tout petit peu plus dégourdit. Il était pas le gardien de la joie pour des prunes en même temps

- En réalité, c’est juste que je ne connais personne qui ai été dans la même situation que moi. J’ai mon amie Tara, qui bosse dans le domaine mais c’est pas tout à fait la même chose que de discuter avec quelqu’un qui est déjà passé par là.

Mes seules repaires étaient ce que le corps médical, et les magazines que je lisais me disaient. Sauf que lorsqu’ils donnaient comme conseil de discuter avec sa mère de son expérience de grossesse ça m’aidait pas des masses, puisque la mienne était morte en mer. Et puis, je connaissais pas suffisamment la mère d’Aaron pour lui demander de l’aide. Sans compter qu’elle était pas à Storybrooke de une. Et qu’apparemment c’était un sujet sensible de deux.

J’ai pas envie que tous mes proches m’abrutissent de conseils, et de leur point de vue sur comment ça devrait être, ce qui risque plus de me perdre qu’autre chose. C’est pour ça, que j’ai demandé de l’aide, et que j’ai paniqué un peu après j’avoue ajoutais-je avec un petit rire nerveux

Paumé les gens en route, et paniquer pour rien c’était tout moi. On me referait pas, je suppose :

- Disons que je m’imaginais pas devenir maman à vingt-six ans
avouais-je en fait je m’imaginais pas devenir maman tout cour avouais-je avec un petit rire nerveux. Je suis une vrai maladroite, j’ai pas forcément un très bon caractère et je suis peut-être un peu trop optimiste. Ça m’a déjà joué des tours par le passé. Mais, je veux pas vous embêter hein, pas que je pense que je vous embête, enfin peut-être si un petit peu. Vous êtes pas là pour m’écouter déblatérer sur ma vie. Et, je veux pas non plus en faire trois couches, j’veux dire on se connait à peine vous avez sûrement pas envie de ça.

Mais c’est pas vrai, il y avait pas quelqu’un pour me dire de me la fermer une bonne fois pour toute sérieusement ?

- Okay vous savez, je crois que je vais arrêter de vouloir aller plus vite que la musique, parce que là franchement on ne va pas s’en sortir. Alors, on va commencer par le commencement : Anna D’Arendelle enchantée

Voilà, ça irait nettement mieux après, enfin on va dire que je croisais les doigts très, très forts.




Anastasia Romanov
« Men are such babies »

Anastasia Romanov

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Le plus beau métier du monde - Pv Anna _



________________________________________ 2017-08-28, 23:52 « Men are such babies »

L'histoire de la future maman était pour le moins rocambolesque. On aurait dit qu'elle avait été créée à partir d'un cadavre exquis de ces auteurs du XXe siècle tant c'était invraisemblable. Anastasia resta d'ailleurs quelques instants silencieuse, le temps pour son cerveau de processer tous ces éléments. Le camion de pompiers. Tokyo. L'émission de télé-réalité. Le beau-père. Et l'annonce de la grossesse par dessus le marché, évidemment. Sa découverte avait certes été plus classique - un simple test de grossesse effectué dans les toilettes de sa maison après un retard de règles - mais la jeune femme n'allait certainement pas s'en plaindre.
- Eh bah dis donc, siffla-t-elle, encore incrédule. Ca a dû faire beaucoup d'infos d'un coup, poursuivit-elle avec une moue contrite et compatissante tandis que l'autre jeune femme poursuivait.
Elle avait visiblement envie - si ce n'est besoin - de vider son sac et Anastasia n'avait manifestement pas plus urgent à faire. En fait, elle aurait certainement aimé avoir une femme de son âge à qui se confier en connaissance de cause à l'époque de sa grossesse. Cela l'aurait sans doute rassurée, elle aurait eu l'impression de ne pas tout faire de travers et aurait cessé de douter à la moindre respiration de travers.
Mais Anastasia n'avait pas eu cette chance. Alors, elle ne connaissait pas encore Tara qui, faute d'être maman, s'y connaissait en bébé et ne s'était pas encore autant rapprochée d'Anita qui, quoique encore jeune, avait tout de même quelques années de plus. Elle avait eu Lizzie, une oreille fidèle et un conseil précieux mais qui n'avait ni son âge ni son expérience au compteur. C'était sans doute pour cela qu'Anya restait, pour donner la chance qu'elle n'avait pas eue à une autre femme qui, en dehors de ses accès de panique incontrôlés, avait l'air sympathique.
Elle était stressée, certes, mais quelle femme enceinte ne l'était pas ?
Anastasia s'était prise à penser qu'au moins le papa n'était pas réticent à la venue au monde du bébé quand, indirectement, la jeune femme aborda le sujet, évoquant des disputes. Anya arqua alors un sourcil, intéressée mais désireuse de ne pas faire irruption dans une vie de couple qui méritait qu'on respecte son intimité.
- Je suis désolée si monsieur et vous n'êtes pas sur la même longueur d'ondes, commenta sobrement Anastasia quoique la curiosité lui brûlait les lèvres.
Elle s'était longtemps demandée si elle n'avait pas, d'une façon ou d'une autre, causé le rejet de Dimitri, s'il ne s'était pas senti piégé par cet autre corps qu'il ne pouvait pas contrôler et qui allait produire le fruit de leur amour - et de leurs différents. En fin de compte, elle avait toujours eu l'impression d'être l'exception à la règle du bonheur, celle pour qui le rêve s'était insidieusement transformé en cauchemar.
Mais si cette femme aussi se disputait avec son compagnon - quelle que soit la raison, d'ailleurs - alors ce n'était pas forcément de sa faute, à elle, mais juste une étape banale et typiquement masculine. Les hommes et les femmes étaient, en fin de compte, peut-être programmés pour ne pas s'entendre sur la question, même si c'était une curieuse façon de préserver l'espèce.
Un nom, un nom qu'elle connaissait très bien, tira Anastasia de cette réflexion silencieuse.
- Tara ? releva-t-elle spontanément. Ca c'est marrant. On se connait très bien elle et moi. C'était... disons qu'elle s'est occupée de moi quand Abigaëlle est née, acheva Anastasia après quelques instants de réflexion sur la façon dont elle devait présenter les choses. Ensuite on est devenues amies. Elle est très compétente et Abigaëlle l'adore. Vous devriez la garder. Pour après. Je veux dire, en amie et en puéricultrice.
Anya sourit, se rassurant quand elle comprit qu'Anna avait compris ce qu'elle avait maladroitement essayé de dire. Anastasia se savait peu douée en rhétorique. Elle était trop brute de décoffrage pour ça. Et elle venait d'en faire la démonstration.
Quelqu'un de plus posé aurait présenté les choses d'une meilleure façon moins équivoque. Mais Anastasia n'était pas ce genre de personne et aimait à croire que cela faisait son charme.
Les confidences allant bon train, Anastasia finit également pas s'installer sur un tabouret un peu poussiéreux, ramenant la poussette d'Abigaëlle près d'elle. La jeune femme souriait devant le manque de rhétorique et la franchise de celle en face d'elle, réalisant qu'elles se ressemblaient sur pas mal de points tandis qu'elles différaient sur bien d'autres, comme par exemple ce manque de confiance presque maladif qui la faisait bredouiller mais devait en attendrir certains.
Mais au bout d'un moment, les deux femmes finirent par commencer par le début : les présentations. Elles auraient dû commencer par là, comme on faisait normalement si on prenait la peine de se soucier des conventions - ce qui n'était pas le cas d'Anya. Etait-ce celui d'Anna d'Arendelle ? Elle avait un nom de princesse, on pouvait donc supposer qu'elle avait été élevée pour que cela le soit, même si elle ne donnait pas l'impression d'en avoir envie.
- Anastasia Romanov. Mais Anya fera l'affaire. Princesse moi aussi, précisa la rouquine, quoique cela soit sans doute superflu. Voilà, maintenant on se connait donc on peut continuer de parler utérus et procréation. J'étais venue pour des chocolats, je les ai. Je peux très bien les commencer en écoutant, assura la jeune femme en ouvrant le paquet.
Elle sortit un chocolat, le mit en bouche et tendit le paquet en direction d'Anna. Les confidences, c'était mieux avec de la nourriture, elle en était persuadée.
- Doooooooooooonc. Que disait-on ? Ah oui, être maman. Abigaëlle est un accident, commenta Anya tout de go. Et délicieux, adorable, incroyable et merveilleux accident mais un accident quand même. J'ai mal pris ma pilule et je vous laisse deviner le reste. J'avais 22 ans. Mais... j'ai toujours voulu une famille, poursuivit Anya d'une voix presque rêveuse et nostalgique. Mes parents sont morts. J'ai passé des années à m'accrocher à un rêve, celui de retrouver ma famille... Et quand j'ai su que j'étais enceinte, j'ai su que j'aimerais ce bébé pour l'éternité et encore après. J'ai compris qu'il fallait que j'aille de l'avant et que je laisse le passé où il est. C'est pas grave d'être maladroit ou d'avoir sale caractère. Moi aussi j'ai du caractère. Je ne dis pas que la maternité change votre personnalité du tout au tout mais... on est jamais maladroit avec son bébé au point de le faire tomber par terre. C'est instinctif. Et peu importe les sujets de disputes avec monsieur, quand il verra le bébé pour la première, il oubliera tout ça et vous aussi. C'est ça qui vous angoisse ? Pardon de demander mais vous avez l'air stressé par tout alors autant essayé d'éliminer le problème tant qu'on y est. Je prétends pas être psy mais j'ai une preuve vivante et plusieurs témoins pouvant affirmer que je connais mon rayon.
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