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 Carol of the Bells ♦ Diane, Eloïse, Phoebus

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Carol of the Bells ♦ Diane, Eloïse, Phoebus _



________________________________________ 2017-12-15, 09:16

Tu avais attendu ce moment depuis fort longtemps. Et tu avais surtout envie de passer un moment avec les membres de ta familles. Et quoi de mieux que Noël pour rassembler ceux que tu aimes le plus au monde ? Diane, qui t'a recueillie depuis ton arrivée avec Apollon, et Athéna, que tu as pardonnée et que tu souhaites voir de plus en plus souvent. Oui, tu te dit que tu en as fait du chemin depuis ta création, et tu es heureuse qu'Hermès t'ait permis de vivre cette vie avec eux. D'autant plus que Diane semble encore marquée par des événements récents. Mais tu ne la laissera pas seule, car tu veux prendre soin d'elle comme elle prend soin de toi. Habillée avec une robe blanche, tu achèves les finitions de la table sur laquelle ta famille et toi allez manger. Tu as choisis quelques musiques de Noël en musique de fond. "Carol of the bells" est en train de jouer et tu t'enivre du son du violon. Tu as insisté auprès de Diane pour faire à manger toi-même et ç'a l'air plutôt réussi. Tu as trouvé un livre de cuisine dans le manoir, ne sachant pas qui l'avait acheté à la base. Puis tu as suivis soigneusement les recettes, demandant conseil à des collègues de travail au cas où. Aussi, tu as suivis les traditions humaines en suivant du mieux que tu pouvais le menu de Thanksgiving.

La table est dressée de manière à rappeler la période de l'année. Tu l'a décorée avec une nappe verte et des sets de table rouges, tandis qu'était disposé des cadeaux sur chaque assiette -une attention de ta part. Un paquet de couleur dorée comme le soleil pour Apollon, l'autre couleur argent comme la lune pour Diane, et enfin, tu t'es décidée pour une couleur bleu royale pour Athéna. Tu espères ainsi que chacun pourra reconnaître aisément son élément. Au milieu de la table trône un pot remplies de fleurs que tu a achetée ce matin même pour l'occasion, formant un bouquet de couleurs s'accordant bien avec la table.

Te reposant un instant, tu repenses à tout ces efforts et tu es heureuse d'avoir pu vivre cette année, malgré les habituelles missions mouvementées des dieux. Athéna devrait arriver d'ici quelques minutes, aussi, tu appelles Apollon avec douceur : "Apo ! J'ai terminé de préparer la table ! Athéna sera bientôt là." Toutefois, tu ne réserves pas le même appel à Diane. Il est important pour toi de la voir en personne, avec douceur car tu t'inquiète depuis sa dernière mission. Tu souhaites prendre soin d'elle et pour cela, tu pense ne pouvoir le faire qu'en lui parlant directement et en l'accompagnant. Lentement, tu montes les escaliers puis t'approche de la porte de sa chambre. Tu toques, et dit avec douceur : "Diane. Le repas est prêt. Athéna ne vas pas tarder." Tu attends une réponse, attendant une occasion d'aider Diane.


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Carol of the Bells ♦ Diane, Eloïse, Phoebus Dmia

“I love you to the moon and back”


| Conte : Hercule
| Dans le monde des contes, je suis : : Artémis la déesse de la chasse et de la lune herself (même si je viens du monde réel)

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Carol of the Bells ♦ Diane, Eloïse, Phoebus _



________________________________________ 2018-01-03, 17:21



"Carol Of The Bells"

Wonderful christmas time


Il y avait certaines choses, que je ne pouvais pas refuser. La veille j’avais voulu rester seule, n’étant pas d’humeur festive. J’avais rapidement déposé mes propres cadeaux à côté de ceux d’Apo, sous le sapin de la maison. Puis, je m’étais téléporté jusque devant chez Lily et Elliot afin de remettre le sac contenant ceux des personnes sensées s’y rassembler ce soir. J’avais également demandé à Aphrodite, si elle pouvait transmettre celui d’Anatole à Jules qu’il le lui donne. Même si au départ, j’avais voulu ne rien lui acheter, étant donné ce qu’il s’était passé et ce que nous avions découvert, en finalité, il s’était avéré que je m’étais quand même décidée à lui offrir quelque chose. Après quoi, je m’étais téléportée en direction de New York, où je m’étais installée dans un bar à écouter des groupes tentant de percer. Certains étaient bons. J’avais retenu leurs noms, pour en glisser un mot à Apollon. Néanmoins, cela m’avait également ramenée au début de mon installation à Storybrooke. L’époque de la colocation, et où nous amusions à brailler du Blue Brother dans la voiture avec Louise me semblait bien lointaine.

Afin de chasser cet accès de mélancolie, j’étais rapidement parti finir ma soirée sur Olympe. Là, j’avais déposé les cadeaux pour toutes les personnes qui peuplaient la citée sous le grand sapin de la salle du trône et puis, j’avais filée direction la bibliothèque pour voir Iota et lui offrir le sien. J’étais rentrée au petit matin, et en avait profité pour faire le petit déjeuner. Nous n’avions pas besoin de manger, autant Apollon que moi-même. L’un des nombreux « atouts » de notre condition divine. Nous ne ressentions pas la faim. Néanmoins, cela n’empêchait pas de temps en temps juste pour le plaisir d’avaler quelque chose.

Nous avions donc, mangé, et je l’avais écouté se plaindre du fait qu’Eulalie –l’Amazone crée par Anatole- ne lui avait rien offert. Il avait tenue cinq minutes, à dire que ce n’était pas grave, elle était nouvelle. Avant de profiter de ma présence pour en rajouter trois couches et se faire plaindre. Personnellement, je m’étais empressée de lui fourrer son cadeau dans les mains, afin qu’il cesse une bonne fois pour toute de me casser les oreilles.

Peggy, voulait fêter noël en famille, et je n’avais bien sûr pas pu lui dire non. De plus, Athéna serait également présente, et je pense que ça lui ferait du bien, de ne pas être seule pour cette fête. Personne, ne devrait l’être de toute façon. Noël était une fête, familiale. Et elle faisait partis de ma famille. De plus, ce serait l’occasion de se revoir. Notre colocation me manquait, je devais bien l’admettre.

A peine arrivée, ma nièce avait insisté pour cuisiner, j’avais accédé à sa demande sans broncher, glissant au passage à Apollon, de rester là et « d’en prendre de la graine ». Il était foncièrement nul en cuisine, ainsi qu’avec tout ce qui concernait la technologie d’ailleurs. Depuis quelques temps, il semblait avoir renoncé à l’utiliser, si bien que je ne retrouvais plus de fourchette dans le grille-pain, ou bien le lave-vaisselle ne faisait plus de dégâts des eaux et je n’avais plus à faire apparaitre un nouvel appareil pour remplacer celui abimé par mon frère. Restait la télévision, mais hormis appuyer sur tous les boutons de la télécommande, il ne faisait rien de mal avec. C’était sans doute la seule chose que je n’avais pas dût remplacer en quatre ans de vie commune avec mon jumeau.

Pendant, que Peggy s’occupait de la cuisine, j’étais partie dans ma chambre me préparer. Je n’en avais pas pour longtemps –seule Aphrodite, pouvait passer autant de temps à choisir une tenue- mais c’était également un moment seule dont j’avais besoin. Je m’étais promis de faire un effort, même si je n’étais toujours pas réellement d’humeur festive, et puis j’avais également les paquets destiné à Peggy et Athéna à aller chercher. Aussi, ce bref moment de solitude était-il le bienvenue.

Tranquillement, je sortis, un haut noir accompagné d’une jupe rouge que je posais précautionneusement sur mon lit, avant de m’agenouiller pour ouvrir la grande malle à côté du bureau et en ressortis deux cadeaux emballés avec soin. Mon regard s’égara néanmoins sur mon bureau où trônait le cadeau d’Apollon. Immédiatement ma gorge se serra, et je chassais rapidement, les quelques larmes qui perlèrent aux coins de mes yeux. Pas maintenant, pas aujourd’hui. Prenant une grande inspiration j’installais les deux paquets à côté de ma tenue, et me retournait pour attraper doucement le cadeau. Il s’agissait d’un portrait de Phobos. Apo’, avait même eu la délicatesse de lui trouver un cadre. Doucement, j’effleurais le verre du bout des doigts, comme pour chercher à recréer les contours du visage de mon fils. Soupirant, je finis par reposer le portrait à plat sur le meuble. Je n’avais nul besoin de cela aujourd’hui. Il me fallait avancer, et quoi de mieux qu’un peu de temps avec sa famille ? Etre sociable, et sourire ne me tueraient pas.

Sur ces bonnes résolutions, je m’empressais de disparaître derrière le paravent séparant ma chambre de l’entrée du grand dressing que j’y avais installé –sous les insistances d’Apollon- afin de me changer. Ceci fait, j’attrapais rapidement, deux paires de boucles d’oreilles ainsi que deux paires de chaussures, et me plantait devant mon miroir à pied qui siégeait à côté de l’entrée de la salle de bain. Chaque chambre en plus d’être ridiculement énorme, était dotée de sa propre salle de bain. De quoi faire en sorte que chacun ai son intimité.

Entendant toquer, à la porte de ma chambre, je me retournais vivement entendant la voix de ma nièce :

- Entre Peggy, lui dis-je j’ai presque finit

J’attendis quelques secondes, avant de voir ma nièce passer le pallier séparant le couloir de mon espace de vie et lui montrait la raison de mon léger retard :

- D’après toi, est-ce que je mets les boucles d’oreilles longues ou bien les plus petites, qui certes seront dissimulés sous mes cheveux mais qui auront le mérite d’être plus discrète. D’ordinaire, j’admets que je me moque un peu de tout ceci mais tu connais Apollon dis-je en roulant des yeux pour la forme.

Si, je ne faisais pas un effort pour accorder ma tenue de la tête aux pieds, j’allais en avoir pour trois semaines de conseils de mode. Et si je pouvais volontairement m’éviter ce calvaire, Mnémosyne en serait louée pour l’éternité.

- Tu lui as bien dit de ne toucher à rien ? Ajoutais-je soucieuse

Si elle était là, c’était que lui s’occupait des derniers préparatifs, et si en matière de décoration je n’avais pas grand-chose à dire, mieux valait ne pas le laisser s’approcher du repas à moins de cent mètres si on voulait le retrouver intacte. Néanmoins, peut-être était-il également en train de se préparer. Après tout, si on devait faire un concours de celui qui met le plus de temps à réaliser cet exercice je suis sur que nous n'arrivions pas à les départager ni lui ni Aphrodite.


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Are you comming to the tree ?
☾ ☾ ☾ Quand je suis parmi vous, arbres de ces grands bois, dans tout ce qui m’entoure et me cache à la fois, dans votre solitude où je rentre en moi-même. Je sens quelqu’un de grand qui m’écoute et qui m’aime.
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When you love someone but it goes to waste
what could it be worse ?


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Carol of the Bells ♦ Diane, Eloïse, Phoebus _



________________________________________ 2018-02-04, 00:02


carol of the bells
family is all you need.

Il ne s'était pas approché de la cuisine, observant la jeune femme faire le repas toute la journée sans oser venir trop près. Il avait conscience de sa capacité à détruire un four par le simple pouvoir de son regard. C'était un don qu'il aurait préféré ne pas avoir mais la technologie ayant évolué également en cuisine, il était incapable de se servir des plaques qui servaient à chauffer les casseroles ou encore de tenir un batteur correctement. Il considérait être victime d'une malédiction, dans un sens, ça ne pouvait décidément pas être de naissance. Il se débrouillait très bien à l'époque où l'électronique ne régnait pas en maître, pourquoi ne serait-ce plus le cas à présent ? Sans doute que son rapport à la lumière jouait sur l'électricité. Aucune autre explication ne lui était apparue. Ou alors, il n'était pas doué. C'était déjà plus envisageable. Dans tous les cas, Peggy avait fait tellement d'efforts pour cette soirée qu'il aurait culpabilisé pendant au moins trois cent ans si jamais il en gâchait le moindre détail.

Même la musique était du choix de Pégase, c'est dire à quel point il l'appréciait. Elle lui rappelait Hermès à chaque fois qu'il la regardait. Elle avait ce visage angélique qui faisait qu'il ne pouvait rien lui refuser, c'était comme une petite sœur qu'il se sentait obligé de choyer. Si il avait passé la soirée de la veille, il avait réservé celles-ci pour ses sœurs et cette adorable créature. C'était une autre occasion de faire et de recevoir des cadeaux, il ne risquait pas de la manquer (même si certaines personnes oubliaient qu'en cette journée spéciale il fallait offrir des présents, il ne citerait bien entendu personne mais la rousse se reconnaitrait et penserait à lui la prochaine fois). Il avait gardé les présents d'Athéna et d'Artémis en réserve (ceux qui importaient vraiment), ainsi que celui de Peggy. Il n'était pas doué pour ce genre de choses. Il faisait de son mieux, mais ça s'avérait parfois peu concluants. Cette fois, il ne pensait pas se tromper. Il l'espérait, du moins.

Il s'était éclipsé pour se préparer, à l'image de sa jumelle. Il n'y avait pas a débattre très longtemps sur sa tenue, le costume était de mise comme pour toutes les grandes occasions – il éviterait d'ailleurs d'aborder ce sujet de « grandes occasions », ce n'était vraiment, VRAIMENT, pas le moment d'en parler. Il le ferait plus tard. Bien plus tard. C'était mieux ainsi.

Si son accoutrement était des plus basiques, il n'en était que plus merveilleux parce que porté par le plus beau des dieux. C'était la réflexion qu'il se faisait face au miroir après avoir remit ses cheveux – aussi sublimes que le reste – en place. Il avait descendu chacun des trois paquets, tous d'une forme assez reconnaissables. Des tableaux. Sa spécialité. Il savait qu'il ne pouvait pas avoir raté au moins. Malgré tout ses efforts pour ne pas chercher à entendre ce qu'elles se disaient à l'étage, en attendant l'arrivée de la dernière invitée, il ne put s'empêcher de percevoir la légère remarque de sa chère sœur.

« Je t'entends, Arté ! » avait-il finit par prononcer assez fort pour qu'elle l'entende, sur un ton légèrement vexé tout en étant amusé.

Elle ne lui faisait donc pas confiance pour ne rien toucher de lui-même ? Oui, il avait envie d'aller piquer dans les plats. Parce que même sans ressentir la faim, il en restait curieux. Si il arrivait à se retenir, c'était parce qu'il n'avait qu'une parole et qu'il s'était promit à lui-même de ne rien toucher avant que tout le monde ne soit là.

Et ça tombait bien, parce qu'Eloise venait de faire son entrée.

« Je pensais à toi ! Pour manger ! » fut la première chose qu'il lui dit, grimaçant en se rendant compte que ça ne voulait absolument rien dire sorti de sa tête. « Je veux dire, on t'attendait. »

Il secoua la tête, se trouvant de plus en plus ridicule, avant de se rapprocher d'Athéna et de la prendre dans ses bras de manière plus maladroite et enjouée que ce qu'il n'avait anticipé. Il ne savait jamais vraiment comment ses marques d'affection allaient être prises, encore plus quand il s'agissait d'Athé, mais il n'en tenait plus rigueur. Si elle n'en était pas contente, ce n'était pas grave, il ferait avec. C'était sa sœur, il n'avait pas envie de se brimer.

« J'espère que tu m'as amené un énorme cadeau ! »

Il avait juste eu celui de Diane, pour l'instant – parce qu'elle savait à quel point l'impatience le rendait insupportable. Invivable, même. Il tentait de se contenir mais c'était chose délicate.

« On peut passer à table ? » cria-t-il vers l'étage.

On disait quoi ? Invivable ? C'était ça, oui, réellement.
black pumpkin

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This was the place I grew up now it's ashes to ashes. Memories fillin' my cup, it comes in flashes, but when it passes and I see your eyes I know there's nothin' I'll ever find better. I think I'd rather die alone, together.

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