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Ensuite, réveillez-vous calmement et allez jusqu'au bout de votre rêve
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 Depuis quand on fête Noël à Bruges ? [Fe]

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Elsa White
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Depuis quand on fête Noël à Bruges ? [Fe] - Page 3 _



________________________________________ 2018-02-11, 22:25

Faîtes des Bonhommes de Neige, qu'ils disaient


Cette soirée prenait une tournure de plus en plus surréaliste. Voilà que maintenant, Anna se permettait de me sermonner comme si je n'étais qu'une enfant mal élevée. Moi. Alors que je ne méritais aucunement de telles remontrances de la part de ma si jeune sœur. François et Tess s'étaient extrêmement mal comportés. Mais mon innocente personne n'avait rien à se reprocher. Ma compagnie avait été des plus exquises depuis mon arrivée. Les seules ombres au tableau était la famille d'Aaron, qui ne semblaient guère saisir l'importance de cette soirée. J'étais responsable, mâture et bien élevée. Anna aurait du me confier aveuglément la bouteille de vin, au lieu de la vider pour tous nous punir. Moi au moins, je savais me tenir, contrairement à d'autres.

- Tu as bien raison de te montrer aussi ferme. Certaines personnes ici présentent devraient avoir honte de leur comportement...

Rejoignant ma soeur, je posais une main sur ma hanche et adressais un regard hautain aux deux êtres qui souhaitaient gâcher ce premier réveillon en famille. Elle aurait du leur tirer les oreilles, pour accentuer ses propos et leur faire comprendre qu'elle ne plaisantait pas.

Vous pouvez aller vous amuser dehors. Mais ne lâchez pas vos armes, je veux que vous surveilliez cette maison et que vous terrassiez le premier intrus qui tentera de s'en approcher.

L'armée de bonhommes de neige hocha la tête dans un seul mouvement, tandis que je m'étais penchée vers eux, l'air sévère. Anna voulait que cette soirée se termine dans la joie, la bonne humeur et la tranquillité. Alors je m'assurerais que rien ne vienne troubler une nouvelle fois la fête. La porte claqua derrière les dizaines de petits êtres qui s'en étaient allés patrouiller, et je me dirigeais d'une démarche élégante (ou plutôt pas vraiment droite) vers la salle à manger.

- Et si nous passions à table ? Cela fait des années et des années que je n'ai pas diné comme il se doit. Je m'attends à une explosion de saveurs, en espérant que vous ne vous êtes pas trop fatigués et que vous avez fait appel au professionnalisme d'un véritable cuisiner.

Ma soeur et son fiancé ne pouvaient tout de même pas s'être salis les mains en battant des oeufs et en vidant eux-même un poulet. C'était un travail de paysan. De rustre. De domestiques. Pas d'une princesse et de son désormais prince. Avais-je l'air de quelqu'un qui laverait elle-même ses couverts ? Je ne connaissais même pas la technique pour astiquer une fourchette.

- Allez donc vous asseoir aux côtés de votre fils et ex-épouse. Je ne veux pas d'un satire à mes côtés.

Je m'étais arrêtée près de François, avec une moue dégoûtée et un air de profond mépris dans le regard. Il avait de la chance qu'Anna soit intervenue avant que je n'ai pu le changer tout entier en glace, alors qu'il se permettait de poser ses lèvres immondes sur ma joue pure. Une envie soudaine de vomir m'avait tordu le ventre, mon être tout entier ne supportant pas le contact de son être.

- Cela vous va bien, j'ai ouïe dire que le satire était l'un de vos attribues divins.

La curiosité m'avait poussé à me renseigner sur les divinités grecques qui peuplaient cette ville. J'étais bien plus habituée au Valhalla et à Odin qu'aux minotaures et à Zeus. Et les descriptions de Dionysos n'étaient pas des plus fameuses.

- Bien que je ne comprenne pas quelle est votre utilité en tant que divinité. Vous faîtes pousser le raisin et vous enivrer de braves gens. À votre place, la honte me pousserait à rendre ma couronne de laurier.

Il devait être trop stupide pour faire preuve de fierté et se remettre en question. À moins que la consommation excessive de vin avait brûlé ce qui lui servait, de base, de cerveau. Heureusement que je n'étais pas comme lui et que je savais tenir l'alcool.


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Depuis quand on fête Noël à Bruges ? [Fe] - Page 3 _



________________________________________ 2018-02-15, 12:03





« Noël en Belgique ? »
« Qui a décidé de le fêter ici ? »


    J'avais légèrement soupiré en entendant Elsa prendre le partit d'Anna, comme si tout ceci ne lui était pas destiné. Car elle avait aussi mal agis que mes parents. Mais bien sûr, la Reine ne voulait pas avoir le mauvais rôle. Je ne la voyais pas aussi de mauvaise foi que ça, les précédentes fois où on s'était parlé. Comme quoi notre avis sur les gens pouvait aisément changer avec le temps.

    « C'est pas la peine ! » m'exclamais-je en voulant arrêter les bonhommes de neige, à qui Elsa avait demandé d'aller surveiller l'extérieur au péril de leur vie.

    On ne risquait rien ici. La véritable menace était à l'intérieur de ce chalet ! D'ailleurs en parlant de ça, tandis qu'on prenait tous place autour de la table, Elsa avait remis le couvert. Voilà qu'elle demandait à mon père si il avait une réelle utilité en tant que divin. J'avais tourné la tête vers Anna et je lui avais adressé un petit sourire compatissant. Heureusement, François avait ignoré la jeune femme, se contentant de se servir. Il avait fait cela tout le long de la soirée, si bien qu'au final, ça c'était plutôt bien passé. En fait, ce qu'il fallait, c'était tout simplement qu'ils ne s'adressent pas la parole. La prochaine fois, on les inviterait à tour de rôle.

    Comme la soirée s'était plutôt bien passé et qu'on avait bien mangé, chacun avait dormi ici, à Bruges, avec nous. Avec Anna on avait rejoins notre chambre, tandis que Matthew dormait dans la chambre juste à côté. Le baby phone toujours avec, on pouvait aisément surveiller le petit. Quant à ma mère, elle avait trouvé une chambre à l'étage qui lui convenait. Mon père avait opté pour une autre, et Elsa en avait profité pour choisir la plus grande - évidemment ! Tout s'était bien passé dans le meilleur des mondes. Le soleil se levait tout doucement et je me réveillais juste à côté d'Anna. J'en avais profité pour déposer un doux baiser sur son épaule, avant de me lever. Elle dormait encore, ce qui me laissait le loisir de lui préparer un bon petit déjeuner.

    Après avoir quitté la chambre, je m'étais dirigé vers la cuisine. Sur la table se trouvait deux bouteilles de vin vides et trois bouchons à côté. Mon père avait du passer la soirée à boire après qu'on en eu fini avec le repas. C'était évident qu'il devait évacuer le fait d'avoir du se taire pendant pratiquement tout le repas, afin de ne pas se laisser déranger par Elsa. Je me demandais si ils avaient tous passés une bonne nuit. Juste à côté du frigo, appuyée contre l'évier, se tenait ma mère avec une tasse en main. Elle fixait le sol.

    « Salut ! » lui dis-je, tandis qu'elle ne réagissait pas. « Euh... ça va ? » ajoutais-je.

    Elle leva la tête dans ma direction, l'esprit ailleurs, avant de m'adresser un petit sourire.

    « Tu es la première debout ? »

    Elle hocha la tête, en faisant mine que tout allait bien. Qu'est ce qui s'était passé cette nuit ? Elle semblait cacher quelque chose, mais je ne voyais pas quoi. Est ce que Elsa et mon père s'étaient une nouvelle fois disputé ? Heureusement que les chambres étaient insonorisés.

    « Il y a du café si tu veux, Aaron. » m'informa ma mère.

    Je n'étais pas trop fan du café. Ce qu'il m'aurait fallu là, c'était de quoi préparer un bon petit déjeuner pour deux. Mais vue que ma mère était déjà debout, on finirait sans doute tous à déjeuner dans la cuisine. C'était pas plus mal d'être tous ensemble pour le matin de noël. Mais d'un autre côté, j'aurai bien voulu être seul avec Anna et Matthew. Le baby phone avait indiqué que Matthew dormait encore. Je m'étais levé que deux fois cette nuit. La première pour le changer, la seconde pour le bercer. Anna y était allé une fois pour le nourrir. Ca allait, c'était une bonne nuit, le petit était plutôt calme. Il n'était que neuf heure du mat et toute la maison était endormie en dehors de nous et de...

    Quelqu'un venait d'entrer dans la cuisine et d'ouvrir le frigo. Cette dernière nous avait à peine adresser un regard, tandis que j'avais tenté au mieux de regarder sa tête. Elle n'était pas nue, fort heureusement. Du moins qu'à moitié. Car elle portait un haut, mais pas un bas. Cela dit, la chemise qu'elle portait lui servait en quelque sorte de short en plus de couvrir son haut. Ca voulait dire qu'elle était plutôt grande. Etrangement, je ne connaissais qu'une personne ici qui portait des vêtements de cette taille. Soupirant, j'avais tourné la tête vers ma mère, qui une fois encore avait fait comme si de rien était en buvant son café. Ok... elle savait un truc que j'ignorais.

    « Est ce que... ça va ? »
    demandais-je à Elsa, tandis que mon père nous avait rejoins.

    Il portait son pantalon, avait son look plus jeune et ses cheveux blonds, et il... était torse nu.

    « Ca ne serait pas ta chemise par hasard ? » lui demandais-je en indiquant Elsa du petit doigt.

    François se contenta de prendre une bouteille, voir qu'elle était vide, avant de tester l'autre qui l'était aussi. Pourquoi personne me répondait ? Qu'est ce qui c'était passé cette nuit pendant qu'on dormait ? Et surtout, pourquoi ils avaient jugés indispensable de se promener ainsi dans la maison ? Ils n'avaient donc pas d'habits de rechange ? Me dirigeant vers la fenêtre, je vis quelque chose d'encore plus surprenant. Est ce que c'était moi ou il y avait un lit fait de neige et de diverses couleurs, comme celle de ces sois disant bonhomme de neige ? C'était eux ? Ils étaient devenu un lit ? Enfin...

    « Tu ne veux pas savoir. Je t'assure, Aaron, tu ne veux pas savoir. » me murmura ma mère.

    Je me contentais d'hocher la tête, avant de regarder autour de moi si il n'y avait pas une bouteille d'un alcool fort, mais vraiment très fort !
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HERE WE GO AGAIN

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Depuis quand on fête Noël à Bruges ? [Fe] - Page 3 _



________________________________________ 2018-02-18, 15:08





We Wish You a Merry Christmas

And when we're together i have all i wished

J’avais simplement échangé un regard désespéré au sourire compatissant que m’avait fait Aaron. Pourquoi fallait-il qu’Elsa en rajoute une couche ? J’veux dire, le père d’Aaron semblait s’être calmé alors elle pouvait bien le faire aussi non ? Apparemment pas. La mauvaise foi légendaire de ma sœur avait encore frappé. Heureusement, le restant du diner s’était déroulé sans encombre. Comme quoi, du moment que personne ne se parlait, les choses allaient de suite bien mieux. Au final, le restant de la soirée s’était passé sans encombre. On avait mangé, ouvert les cadeaux et on était tous partis dormir. Heureusement pour Aaron tout comme moi, Matthew commençait doucement mais surement à faire ses nuits. Ce qui fait que l’on pouvait dormir, sans avoir besoin de se réveiller chacun a tour de rôle tout le temps. Il ne s’était réveillé que deux fois, cette nuit, on pouvait donc la qualifier de parfaitement tranquille. C’était pas tous les jours que ça arrivait, alors autant en profiter.

J’avais fini par émerger, quelques minutes après qu’Aaron soit partis, en partie grâce au baby phone, m’informant que notre bébé s’était réveillé lui aussi. Il allait falloir que je le change, et que je lui mette un autre body aussi. Alors encore a moitié embrumé, je me dirigeais comme je pouvais vers ma valise, afin d’en extirper de quoi l’habiller, et me dirigeait vers sa chambre, en faisant gaffe à ne pas me prendre les pieds dans quelque chose. Il y a des jours comme ça, où j’étais clairement pas du matin. Et aujourd’hui c’était un de ceux là. J’arrivais finalement un peu plus réveiller qu’avant jusqu’à la chambre de Matthew, avant de l’embarquer avec moi direction la salle de bain. Une fois mon fils bien propre et bien habillé, c’est cette fois-ci la direction de la cuisine que je pris. Sauf que clairement, je m’étais pas attendue au spectacle qui se déroulait devant moi :

- Heuuuu dis-je simplement

Ouais « heuuu » j’crois que ça résumait clairement mon état d’esprit. A savoir que mon cerveau affichait « fatal error system » clairement j’étais en mode bug il y avait pas grand-chose d’autres à rajouter. Mes neurones voulaient pas se connecter et franchement, je pense que c’était pour le mieux. Il y a des fois où valait mieux pas chercher à tout comprendre justement. Et justement, c’était l’une de ces fameuses fois là :

- J’veux rien savoir, annonçais-je finalement

Je suis sur que j’allais devoir me javéliser les yeux maintenant. Franchement, ils auraient pu éviter de faire ça ici. En fait, demander à Elsa de rester au final, c’était juste pas l’idée du siècle. J’aurais dû me douter que ça allait forcément dégénérer. En plus, avec la mère d’Aaron présente quoi. D’ailleurs, je crois que j’avais jamais demandé à Aaron justement -et peut-être que lui aussi étaient pas tout a fait au courant- si au final, ses parents étaient de nouveau ensemble ou pas en fait. En tout cas, l’atmosphère était pensante, et gênante aussi. Alors, histoire de pas avoir à la subir, je déposais tant bien que mal Matthew sur sa chaise de bébé. Il arrêtait pas de gigoter ce matin, il était plein d’énergie. J’espérais simplement qu’il le soit un peu moins, une fois qu’il aurait eu son biberon.

D’ailleurs, je m’employais à ignorer et Elsa et le père d’Aaron, en m’occupant justement, de préparer le dit biberon. Je savais pas comment, réagir à cette situation, alors je préférais faire comme si je voyais rien. L’ambiance pesante au petit déj, je m’en serais volontiers passé. Malheureusement, les problèmes semblaient nous tomber dessus au moment où on aimerait justement s’en passer.

Avec un soupire, je terminais ma préparation et l’apportait à Matthew qui agitait ses bras dans ma direction.

]« Anna » m’interpella subitement Tess

Je faillit faire un bond de trois mètres de haut, ça se voyait que j’étais un peu tendue ? Nerveusement, je jetais un coup d’œil à Aaron, comme si je cherchais un allié et finit par répondre d’une petite voix hésitante :

- Oui ?

« Il y a du chocolat si tu le souhaite, il me semble que c’est généralement ce que tu prends au petit déjeuner »


Je hochais vigoureusement, la tête plusieurs fois, ce qui devait me faire passer pour une parfaite abrutie mais en même temps, je marchais carrément sur des œufs. J’aurais voulu partir très loin. Et d’ailleurs, c’était ce que j’avais dans l’idée de faire. Le mieux était peut-être encore de les laisser régler leurs problèmes entre eux, et de pas nous en mêler. On n’était pas là pour jouer les médiateurs après tout avec Aaron. Non ? Sans rien ajouter, j’attrapais un mug dans lequel je versais le chocolat préparé par Tess, et embarquait une viennoiserie au passage, avant de m’installer silencieusement à table :

- Aaron et moi, on va faire un tour juste après, quelqu’un veut venir ?

J’adressais justement un regard à ce dernier qui devait probablement ressembler à « pitié, aide-moi, me laisse pas toute seule dans cette galère, je sais pas quoi faire au secours ! ». Le fait est, que j’allais très probablement regretter, cette proposition. C’était même sur en fait. Dans trois minutes, j’aurais littéralement envie de me taper la tête contre un mur. Quelle galère je vous jure. Plus jamais, je ne proposerais de noël ni même de quoi que ce soit en famille. Subitement, je me levais et attrapait le bras d’Aaron, j’avais peut-être une idée, c’était pas dit que ce soit celle du siècle, mais j’étais pas capable de faire mieux dans l’état actuel des choses. Aussi après avoir lancé un « on reviens » à la cantonade je l’entrainais dans le couloir à l’abris des oreilles indiscrètes :

- Ça peut plus durer, lui dis-je en chuchotant faut faire quelque chose. Je suis sur qu’ils sont capable d’encore pire. Il faudrait qu’on réussisse à trouver et planquer ou détruire toutes les bouteilles d’alcool que l’on pourra trouver

Parce que tant qu’il y avait de l’alcool, les choses ne pouvaient qu’aller de pire en pire.






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________________________________________ 2018-02-18, 22:35

Faîtes l'Amour, qu'ils disaient


Que c'était-il passé cette nuit ? Eh bien... Des choses. Des choses terribles. Des choses qui n'auraient jamais dû arriver. Des choses que je préférerai oublier. Des choses dont je ne pouvais pas parler.

Bien heureusement, nul ne semblait avoir envie d'en savoir plus sur les événements dont la finalité était une chemise d'homme trop grande m'habillant et un lit de glace encore bien en place dans le jardin enneigé. Étonnant qu'il soit encore debout, d'ailleurs...

J'avais, de toute façon, bien trop mal à la tête pour répondre à un quelconque regard abasourdi et curieux. L'organe qui me servait généralement de cervelle semblait être un raisin compressé jusqu'à ce que tout le jus en soit extrait. Un mal de cœur accompagnait ce syndrome déjà fort désagréable à vivre. Malgré ma soif, je vidais dans l'évier le verre de lait froid que je venais tout juste de me servir. Même cette odeur était trop forte pour mon estomac souffrant de la consommation excessive de vin. Rien que de penser au breuvage carmin, il me devenait difficile de déglutir.

Quand François apparu, je l'ignorais superbement. Il n'était pas là. Je ne le voyais pas. Sa présence était plus fantomatique et imperceptible que n'importe quel spectre hantant pour l'éternité des lieux sans jamais être vu. À mon grand soulagement, lui fit de même. Aucun regard ou mot ne fut échangé. Nous pouvions donc continuer comme si il ne s'était absolument rien passé. Car, après tout, qui pouvait vraiment savoir ce qui était arrivé tandis que tout le monde, ou presque, dormait ?

- Où souhaitez-vous que nous allions ?

Aaron et Anna se retournèrent en même temps vers moi, dans un sursaut parfaitement synchronisé. Je les avais rejoint dans le couloir, là où ils s'étaient éclipsés pour avoir ce qui devait être une discussion privée. Leur besoin d'intimité m'était compréhensible. Mais je ne pouvais rester seule avec François. Et encore moins avec Tess. Que pouvait-elle bien penser, après ce qu'elle avait vu ? Notre relation peu amicale était désormais enrobée d'une épaisse couche de gêne qui ne pourrait que être difficilement brisé. Rien que la regarder de nouveau dans les yeux me paraissait être un obstacle à franchir surhumain.

- Un peu d'air frais me ferait le plus grand bien. Je vous accompagne donc, si cela ne vous pose pas de problème. Pourrais-je pousser le landau de Matthew ?

Mais me laisserait-on le faire ? Le malaise planait dans l'air, encore plus lourd que la migraine qui me rongeait la tête. Je voyais bien que ma sœur et mon beau-frère avaient des difficultés à ne pas fixer mes longues jambes pâles dévoilées par la chemise. Cela était bien la première fois que mes genoux et mes chevilles étaient exposés ainsi à la vue de tous.

À cette constatation, j'agitais la main et fis apparaître, sous le vêtement trop large, un long manteau bleu décoré de flocons d'argent incrusté au tissus. Mes pieds se chaussèrent de bottes hautes toutes aussi grises et des gants enveloppèrent mes mains. Bien que le froid ne soit pas une gêne pour moi, je me sentais tout un coup bien mieux, couverte des pieds à la tête.

La chemise ne m'était donc plus d'utilité. Je la retirais et retournais dans la cuisine pour la tendre, sans un regard, à François. Mes yeux se perdirent tout de même sur les abdos saillants de son torse devenu jeune. Aussitôt, je fis dériver mon regard vers un point sur le mur qui me paraissait tout à coup bien plus intéressant. À cause de mon esprit encore embrumé, il était difficile de me remettre à le détester comme il se devait.

- Tu peux la reprendre. Elle ne me sera plus d'utilité aucune. Plus jamais.

J'insistais bien sur le "jamais". Une fois, c'était déjà trop. Je ne comptais pas me laisser de nouveau avoir par son corps, son vin et ses glaces au chocolat. On ne m'y reprendrait pas.

- Bien. Allons donc nous promener ! Anna, veux-tu que j'habille Matthew ?

J'agitais mes doigts devant le visage de mon neveu, qui tapa avec joie sur le bord de sa chaise-haute. Comme pour moi, je pouvais lui créer une petite combinaison résistant à n'importe quelle température extrême et hivernale. Je l'aurai bien fait sans prévenir ma sœur, mais j'avais assez fait de bêtise comme ça. Pas la peine d'exagérer et d'abuser de nouveau de la patience de ma très chère sœur. Je ne voulais pas me retrouver à boire, encore une fois, pour oublier le fiasco qu'était cette première réunion familiale.



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