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 Isn't that enough ? Ft. Malakaï

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Aisha d'Andros
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Aisha d'Andros

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If I could fly across this night
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Isn't that enough ? Ft. Malakaï _



________________________________________ 2018-12-15, 22:30

Isn't that enough ?
One more time, and I'll be done.

Agenouillée sur mon lit, j'attendais, d'un regard fixe sur l'écran de mon réveil, que les chiffres se décident à changer. Il était 6h59 et cela faisait déjà une heure que j'observais les minutes passer... Jusqu'à ce moment. Dès que le 7 se dessina à la place du 6, je me ruai sur le bouton principal de l'objet électronique pour éteindre l'alarme. Ça y est, c'était officiel. J'avais passé une nuit blanche.

"Quand il faut y aller..."

Mon corps bascula mollement hors de mon lit jusqu'à ma penderie sans réveiller mon colocataire. Après être rentrée de la soirée d'Halloween, je n'avais pas réussi à fermer l'œil de toute la nuit. Ce n'était pas la première fois depuis la levée de la malédiction mais les raisons avaient été totalement opposées. Combien de fois avais-je souhaité retourner dans mon monde ? Combien de fois avais-je souhaité retrouver Nabu et les Winx ? Mon passé me manquait mais j'avais toujours laissé une chance à Storybrooke de faire ses preuves à sa manière. Je retrouvais parfois des personnes étranges à qui je laissais malgré tout une chance, tout comme des gens qui sont devenus mes amis un peu plus tard. Seulement, depuis quelques temps, d'autres choses bien plus sombres se passent ici. Des choses horribles dont personne ne semble se soucier parce que... C'est Storybrooke. J'avais passé la nuit à me poser des tonnes de questions quant à ce que je ferais ici dans les mois et les années à venir et ce qu'il se passerait si jamais je décidais subitement de ne plus être ici. Quelle option serait la meilleure ? Une boule à la gorge du au dégoût d'hier m'avait empêché de penser positivement et aujourd'hui, c'était le regard cerné et le teint pâle que je me rendais au boulot, à la salle de sport.

La patron avait récemment changé... Et se trouvait être souvent absent. L'appeler pour ne pas venir m'aurait permis de rester au lit et récupérer mes heures de sommeil dont je manquais terriblement, mais je savais que j'avais surtout besoin de me changer les idées. Danser était l'un de mes passe-temps préférés depuis toute petite tout simplement car c'était durant ces instants que j'oubliais tout ce qui se trouvait autour de moi. Je ne pensais qu'à mes pas, qu'à mes gestes, qu'à la musique... Et plus rien d'autre n'avait d'importance. Le temps s'écoulait plus ou moins vite selon le rythme mais moi, je semblais passer à travers. Les doux souvenirs que j'en gardais m'accompagnaient jusqu'à ma salle où je m'enfermais. Après être passée au vestiaire pour me changer, je tirais les rideaux des fenêtres, allumais les enceintes et le lecteur audio puis fis débuter ma première playlist. Je l'avais sous tous les supports : téléphone, CD, clé USB, MP3... Et jamais je ne m'en lassais. Celle-ci me suivait pour les échauffement car elle était lente et rythmée à certains moments. J'adorais les instruments qui y étaient joués tel que le piano, le violon, le violoncelle ou encore la guitare. J'y passai toute l'heure.

Il devait être dans les alentours de midi, alors que j'avais profité de mes deux premiers cours pour relativiser sur les événements passés, c'est sur la scène, serviette en main, que je m'allongeai et récupérais mon souffle, le regard clos. Je songeai à me changer pour me rendre au restaurant le plus proche mais j'avais peur que le temps me manque. Rester ici et continuer de danser n'était peut-être pas plus mal. Avais-je réellement envie de sortir, après tout ? Scrutant le dehors par une ouverture de rideau, je voyais le ciel gris couvrir la ville, me laissant dubitative face à mes projets.

"Bien... Reprenons." Lançais-je à moi-même en me redressant.

J'appuyais une nouvelle fois sur le bouton de marche/arrêt et la musique vive - qui n'avait rien à voir à celle de tout à l'heure - recommença à zéro. J'enchaînais les pas de mon dernier cours comme si j'avais à les réviser... Alors que c'était moi qui les avait inventé. Je retrouvais ma place dans l'éternelle boucle que formaient la danse et la musique.

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Wow !! Attend, t'as vraiment emmené un ventilateur portatif avec toi pour donner l'impression que t'as les cheveux aux vents ? C'est dingue ! Et après, c'est moi que tu traites de taré ? Faut revoir tes définitions ma vieille ! Sinon, tu veux une frite ? Elles sont hyper bonne, j'te jure ! Une vraie tuerie.


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________________________________________ 2019-04-02, 18:50



Ah tiens Wiwi, ma nouvelle meilleur copine
Alors ça va ? Dit voir, ça te dirait de pactiser avec le diable ?
Feat. Un type pas net et une pauvre fille bloquée avec lui

.



Installé contre le capot d’une voiture, Kai, silencieux, profitait du spectacle qui s’offrait à lui.

Quelques instants plus tôt, celui-ci s’était discrètement glissé près de la voiture qui retenait prisonnier son nouvel outil, pour le libérer de ses entraves. Profitant de ce court instant de proximité entre eux, pour s’imprégner de l’odeur que dégageait son scalpel. Kai récupéra du bout des lèvres quelques échantillons du liquide pourpre dont son outil était recouvert, pour profiter de l’arôme que les divers mélange de sang avait à lui offrir, avant de s’éclipser aussi discrètement qu’il était venu. Laissant son dernier outil vivant, reprendre l’œuvre qu’il avait entreprit.

Malheureusement comme il l’avait compris depuis bien longtemps, les habitants de ce monde, était incapable de comprendre l’art. Son art. Dans toute sa complexité. Leurs esprit étaient si étriqué, si formaté, qu’ils ne voyaient pas la beauté dans la mort. Pourtant, Kai la voyait lui. La beauté dans le mouvement tandis que la mort frappait son œuvre d’art. Le sang qui s’échappait lentement de la blessure de sa victime et qui, sous la lumière, lui donnait l’impression de se baigner dans une rivière de rubis. La lame qui taillait dans la chair, matière moins malléable que l’argile, mais plus douce encore que le marbre lorsqu’il donnait vie à son art.

Etait il donc tous aveugle au point d’ignorer la véritable beauté ? Celle qui prenait vie dans le chaos, la mort ? Sans un mot, le maudit prit finalement la direction de son appartement. Au souvenir des visions d’art qu’il avait eu durant la soirée, celui-ci esquissa un rictus satisfait tandis qu’il marchait lentement dans la rue. En effet, la soirée ne s’était pas passée exactement comme il l’avait prévu. Son invitée d’honneur lui avait fait faux bon avant qu’il ne l’aborde et à sa grande déception, le potentiel chaotique de la fête s’était dissipé aussi vite que son intérêt pour les télés réalité de ce monde. Mais Kai ne prenait pas cela pour un échec complet. Bien au contraire.

Car après tout, même s’il n’avait pas eu l’occasion d’obtenir ce qu’il voulait et bien qu’il n’ait pas pu mettre en pratique son don pour le meurtre et la création, le maudit avait tout de même trouvé cette soirée intéressante. Oui, l’on aurait pu dire, qu’il s’y était même amusé. Après tout, ce n’était pas tous les jours, que le jeune homme était victime de harcèlement. C’était même, une première. Et il avait trouvé cette expérience fort amusante. Si amusante, qu’il était décidé à continuer l’expérience. Mais aurait-il la patience d’attendre pour reprendre ce petit jeu, là ou il l’avait laissé un peu plus tôt ?

Il le faudrait bien. Pensée qui lui rappela à quel point les choses avaient changés. Lui qui n’était pourtant pas connu pour être impatient, commençait à comprendre ce que pouvait ressentir tous ces pseudos psychopathes dans les films. L’impatience, l’excitation… Sa malédiction n’avait au final pas que des mauvais côtés. Cependant, Kai ne voulait pas gâcher ce moment. Il voulait profiter de chaque instant qu’il lui était offert, avant d’en absorber les dernières goûtes par pur gourmandise.

Ce qui poussa le jeune homme à s’occuper l’esprit, comme il s’avait si bien le faire. Récupérant une toile vierge et son matériel de peinture, Kai installa le tout, avant de se mettre à l’aise et de peindre. Utilisant sa mémoire comme modèle pour son oeuvre, Kai passa le restant de la nuit à travailler. Si bien, qu’il ne dormi pas et qu’au petit matin, la fatigue commençait déjà a se faire sentir. Cependant, Kai n’était pas le genre à gâcher sa matinée à dormir, alors qu’il avait d’autres choses bien plus intéressantes à faire. Ainsi, le maudit bu de ce liquide infecte que les habitants de ce monde prenait au petit déjeuné pour tenir, puis il parti prendre une douche froide pour bien se réveiller avant de s’habiller et de partir faire un tour dehors.

Equipé de son appareil photo, Kai observait comme à son habitude, l’environnement dans lequel il se trouvait à la recherche de nouvelle inspiration. Cependant, ayant passé en revu la plupart des endroits de la ville, le maudit avait rarement l’occasion de découvrir un lieu qu’il ne connaissait pas déjà. Toutefois, sa recherche ne dura qu’un temps. Puisque très vite, son attention se reporta sur une silhouette connue tendis qu’un sourire naquit sur ses lèvres. Suivant du regard la jeune femme, Kai caressa sa lèvre inférieure à l’aide de son pouce, avant de lui emboîter le pas, laissant tout de même, une bonne distance entre eux pour ne pas éveiller ses soupçons. Heureusement pour lui, la jeune inconnue était bien moins difficile à suivre que le sosie de sa jumelle. Ce qui lui facilita grandement la tâche. Ainsi, Wiwi travaillait dans un salle de sport ? Pourquoi pas. Kai prit une nouvelle fois le temps d’attendre, cachant sa présence à la jeune femme, jusqu’à ce qu’il se décide enfin à faire son entrée.

En toute discrétion.

Le maudit s’installa en silence contre le mur, près de la porte, le regard rivé sur la jeune femme. Allait-elle le remarquer ? Sans aucun doute, son regard finirait obligatoirement par tomber sur lui. Pourtant…

- Hey ! Mais regardez qui est là, Commença le maudit en tapant dans ses mains, Wiwi la moralisatrice d’hier ! J’arrive pas à y croire, c’est vraiment toi ? Merde, t’as une sale tête, il t’es arrivé quoi ? T’as passé une nuit blanche ? Wow, ça t’as flingué c’est dingue ! Putain, si on m’avait dit que je te trouverais ici, je l’aurais jamais cru, ça fait super plaisir de te voir. Alors, je t’ai manqué ?

Termina le maudit avec un grand sourire amusé aux lèvres.
Est-ce qu’il avait attendu que ce soit le cas ? Pas vraiment. Mais c’était Kai après tout. EIl savait se montrer patient lorsqu'il le fallait, c'était le principal...

Oui ça m'a prit 3 plombe, mais je crois que je tiens le bon bout la non ? Isn't that enough ? Ft. Malakaï 1574146564 Bonne lecture, j'espère que ça te plaira. :sadique:

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________________________________________ 2019-05-05, 19:13

Isn't that enough ?
One more time, and I'll be done.

Deux cours s'étaient enchaînés à une vitesse telle que je songeais encore à un simple échauffement. C'était le problème avec la danse et moi, je ne voyais jamais le temps passer. Lorsque le second groupe partit se changer et que la salle se vida une nouvelle fois, me laissant seule dans un silence de plomb, je m'asseyais sur le devant de la scène et soupirais. Sans la musique, tout devenait plus lourd à supporter et je me rendais compte à quel point j'avais mal dormi cette nuit et comment je le ressentais maintenant. Ce n'était pas tous les jours qu'on était confronté à un tel carnage lors d'une fête qui commençait avec pourtant beaucoup d'allure. Lorsque je rentrai chez moi et tentai d'oublier, c'était avec la faiblesse de la fatigue que les pires images se répétaient en boucle dans ma tête. Elles s'entremêlèrent avec celles d'Halloween de Magix où j'avais également fait de sombres cauchemars et ainsi, n'en dormis pas.

Je soupirais une nouvelle fois et jetai un œil à la fenêtre. C'était terminé, toute cette histoire. Je n'avais plus à m'en soucier, les forces de Storybrooke s'étaient chargées de l'affaire... N'est-ce pas ? Difficile de m'en assurer lorsque je savais à quelle point cette ville était corrompue depuis sa naissance. On ne parle ni de gentil, ni de méchant mais d'habitants totalement fous qui n'ont aucune notion de la justice. Je l'avais bien vu... Je me l'étais bien dit. Pourquoi suis-je encore ici, parfois je me le demande. Avais-je été seulement la seule surprise, hier soir ? Quelle était la raison stupide qui avait servie à justifier les actes des psychopathes de la soirée déjà ? Ils l'avaient expliqué bêtement aux policiers et aux pompiers qui sont venus les chercher... Je n'ai même pas envie de m'en souvenir. Moins j'y penserais, mieux ce sera.

Activant à nouveau la musique, je m'enfermais dans la danse avec la certitude de pouvoir oublier tout ce qui m'entourait jusqu'à ce que dans un détour où j'avais dû faiblir, mon regard croisa une silhouette qui avait traversé mon petit monde sans qu'on ne le lui ait autorisé. Je reposais les deux pieds à terre, scrutant l'inconnu applaudissant pour se faire remarquer. Il ne me fallut que quelques secondes suivies de sa voix cassante qui passait au-dessus de ma musique pour reconnaître le tordu d'hier qui avait - potentiellement - tué quelqu'un pour se changer. Même s'il ne l'avait pas tué, j'avais reconnu les vêtements qu'il lui avait pris. Ça restait donc un malade mental et le fait qu'il m'ait suivi jusqu'ici en était pour moi la preuve.

Cet idiot me prenait de haut tandis que je lui tournais le dos pour aller couper le lecteur audio. C'est dans un silence beaucoup plus reposant qu'il reprit avec enthousiasme en demandant s'il m'avait manqué. Les personnes hautaines de son genre avaient le don de m'énerver assez vite et rien qu'à en voir son sourire moqueur, je savais que ça n'allait pas tarder.

"Non. Lançais-je sèchement de l'estrade en croisant les bras. Qu'est-ce que tu fais ici ? Tu me suis, c'est ça ?

Il avait suffi que je me dise qu'il était possible d'oublier pour qu'un fantôme refasse surface et m'incite du contraire. Halloween n'était peut-être pas complètement terminé, après tout, et j'avais le droit au clou du spectacle. Dans les films d'horreur, le psychopathe doit soit mourir, soit finir en prison pour que la jeune femme puisse reprendre une vie "normal". Est-ce que Storybrooke fait exception à la règle ?

"Je pensais que la police aurait su faire une distinction entre une simple victime et un malade comme toi... Mais il semble que tu sois encore là. Soufflais-je avec une once d'ironie. Je peux encore les appeler si tu ne pars d'ici sur-le-champ."

La salle de sport avait beau être publique, je pouvais encore me plaindre d'harcèlement ou simplement le renvoyer de l'établissement pour gêne. J'avais encore ces droits à Storybrooke, haut-les-cœurs.

Isn't that enough ? Ft. Malakaï 1574146564 Et on monte dans le train de Wiwi !

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________________________________________ 2019-05-29, 18:23



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Il aurait été si facile de perdre le contrôle, si facile de se laisser dominer par l’excitation du moment.

Pourtant, il en fallait bien plus au maudit pour perdre le contrôle. Et ceux malgré l’excitation qu’il ressentait, alors que le regard de la jeune femme se posait sur lui. Kai avec un sourire taquin adressa d’ailleurs, un petit signe de la main accompagné d’un clin d’œil complice à sa nouvelle meilleure amie/ future victime non consentante auquel elle ne répondit pas. A la place, celle-ci préféra lui rétorquer que non, il ne lui avait pas manqué. Ce à quoi le maudit répondit alors.

- Hé ! C’est pas gentil de dire ça Wiwi ! On était inséparable tous les deux hier soir, tu me brises le cœur là ! Répliqua le maudit feignant d’être vexé avant de reprendre quelques secondes plus tard en pleine réflexion, enfin pour ça, il faudrait déjà que j’ai un cœur. Pourtant j’ai déjà essayé tu vois ? Mais même quand j’en ai un dans les mains, bizarrement, y a rien qui se passe. Je dois pas être fait pour ça. Termina celui-ci avec un petit rire amusé.

Non, le maudit ne l’était pas. Pourtant, sa corruption naturel ne semblait pas être capable de le repousser le poison nommé « humanité » qui le harcelait sans cesse, dans le but de le transformer en l’un des nombreux chieurs empathique qui peuplait ce monde. En effet, l’ombre déchu avait été incapable de se débarrasser des restants de sa vie storybrookienne qui avait fait de lui un être pathétique, pitoyable et aussi irritant que l’un de ses moralisateurs flambé qu’il avait l’habitude de griller dans son monde durant 28 ans. 28 longues années que le maudit aurait préféré oublier mais qui, au lieu de ça, continuait encore et encore à venir le hanter.
Chose qui avait tendance à rendre le jeune homme… légèrement irritable. Au point de lui donner des envies de meurtres. Et avec ça, la motivation nécessaire pour reprendre ses bonnes vieilles habitudes. Comme la chasse par exemple…

- Te suivre ? Non, je crois pas... Reprit le jeune homme en pleine réflexion. J’étais parti faire un tour dehors. Tu vois, j’adore prendre des trucs en photos. Des gens surtout et des lieux. Pas toujours vivant certes… mais ce n’est qu’un détail. Bref ! Je me baladais dans le coin à la recherche d’inspiration et là, qui est-ce que je vois ? Ma copine Wiwi bien sur ! Du coup, vu qu’on était super pote hier et que tu m’en dois toujours une - en plus d’un paquet de chewin gum merci de ne pas l’oublier -, j’ai eu envie de passer te faire un petit coucou… et me voilà.
Alors tu vois ? Je ne t’ais pas suivie, j’ai juste prit la même direction que toi. Rassurée ?


Alors qu’il terminait sa phrase, Kai se décolla du mur et effectua quelques pas en direction de la jeune femme tendis que celle-ci reprenait la parole, remarquant qu’elle s’attendait à ce que les policier de ce monde, soit capable de faire la différence entre l’un des simple débile empathique qu’ils avaient pour devoir de protéger et un véritable sociopathe comme lui. Kai en revanche, n’était pas surpris. Les êtres de ce monde – et la majorité des emmerdeurs héroïque coincés ici d’ailleurs – étaient des incompétents qui, le plus souvent, ne cherchaient pas plus loin que le bout de leur nez. Chose que la plupart des gens avaient visiblement tendance à oublier.

- Et oui, que veux tu. Les flics sont débiles et moi, je suis beaucoup trop canon pour finir en prison.

Il s’arrêta à quelques pas de la jeune femme. Sa proximité avec elle fit naître un sourire charmeur sur les lèvres du jeune homme qui après quelques secondes de silence, reprit à son attention.

- D’ailleurs, faut que je te dise. Dans mon monde, y avais un truc que j’adorais.. Les gardiens de l’ordre. Moralisateurs, bien pensant… Pas vraiment la réplique exacte des flics d’ici, mais tu vois, j’adorais m’occuper d’eux. Alors dit moi.. t’es vraiment sûre de vouloir appeler la police ? Parce qu’à moins qu’ils envoient la rouquine canon, je peux t’assurer qu’il n’y aura aucun survivant. Je sais c’est dur. Mais qu’est-ce qui ne l’es pas… Termina l'ombre déchu avec sourire aux lèvres.

Mais il monte dans le train de Wiwi, il monte. Isn't that enough ? Ft. Malakaï 1634017881 Isn't that enough ? Ft. Malakaï 3109594688 Et plutôt deux fois qu'une. :sadique: Isn't that enough ? Ft. Malakaï 2750729395

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________________________________________ 2019-07-08, 19:41

Isn't that enough ?
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Pourquoi fallait-il que je recroise la seule personne dérangée de la fête d'hier qui avait réussi à passer entre les mailles du filet de la police ? Avaient-ils fait seulement attention au cadavre nu qui jonchait le sol, inconscient par la faute du jeune homme ? Pour une simple question de vêtements tâchés, il avait pris le soin de s'emparer du costume de quelqu'un d'autre et cela qu'importe les moyens employés. Pendant un instant, je mettais presque rejetée la faute dessus puisque le verre renversé était le mien. J'étais indirectement la coupable. On appelait couramment ce cas l'effet papillon. J'espérais simplement que ce battement d'aile s'en arrêterait au garçon que je jaugeais de haut en bas du haut de mon estrade.

"Tu es complètement malade, ma parole... Pensais-je à voix haute. Va parler de tes histoires sordides à un psychiatre et arrête de m'appeler "Wiwi" - Qu'importe la raison de ce surnom, nous ne sommes pas amis. Mon prénom est Aisha."

J'avais hésité à le lui partager mais de toute manière, il l'aurait très bien retrouvé sur la porte de la salle - si ce n'était déjà fait - avec l'emploi du temps des autres employés. De plus, j'avais toujours trouvé cette identité maudite comme la façade de notre véritable visage et tout un sombre passé qui se cache derrière. J'aimais me dire que quand je donnais ce nom, je ne donnais approximativement rien de bien spécial.
Pour moi, il était certain que cet homme m'avait suivi jusqu'ici, sinon cela aurait été une bien trop belle coïncidence et ainsi, le signe que la semaine n'était pas prête d'être terminée pour moi. Lorsqu'il réfléchissait à l'idée avec un sobre "je ne crois pas", je fronçai les sourcils et plissai les yeux. Pourquoi semblait-il si incertain de ses propres actes ? Ce n'était pas difficile de savoir quand on faisait ou non quelque chose... Quel étrange individu. Je priais intérieurement pour que quelqu'un d'autre le coupe dans ses monologues en passant la porte. Jusqu'à ce que cette heure arrive, je me devais de répondre à au discours de sa vie.

"Si je récapitule bien, lançais-je en croisant les bras, tu m'as vu à l'extérieur du bâtiment et tu m'as suivi jusqu'à l'intérieur, c'est ça ? Pour moi, ça s'appelle suivre quelqu'un donc non, je ne suis pas plus rassurée que ça. Je ne sais pas ce que tu attends de moi mais tu peux déjà abandonner tout espoir, je ne te dois rien si ce n'est un costume - peut-être. Mais dans ces cas-là, tu dois celui du gars que t'as volé et... peut-être tué..."

Un vif frisson me parcourût l'échine à la vision de ce corps inerte. Je me sentais soudainement oppressée entre ces quatre murs et regrettais de ne pas être sortie avant, quand j'en avais encore l'occasion. L'idée se serait bien représentée si l'homme qui apportait les problèmes ne prenait pas l'initiative de me suivre sur l'estrade. Par de mauvais réflexes, je reculais de quelques pas avec méfiance. Une main portée devant moi, un regard noir suivait chacun de ses mouvements. Sa posture et ses parole me rappelaient bien trop les sorciers que j'avais eu à affronter par le passé ; arrogants, sarcastique, sûrs d'eux-mêmes et bien souvent imprévisibles. Lorsqu'il s'arrêta je fis de même mais gardai une main levée face à moi au cas où il venait à tenter quelque chose.

"Les gardiens de l'ordre... Je venais à sourire à mon tour. Mais ça n'avait rien de hautain, au contraire. Je connais ce genre de personnes. D'ailleurs, j'en fais partie, si je puis dire. Ça se la joue moins ami-ami, d'un coup ? Tu vas "t'occuper de moi", alors ? Je ne vais pas critiquer les compétences de la justice à Storybrooke, cette ville est un cas spécial à elle-même, un endroit parfait pour dévoiler une nature qu'à l'extérieur, personne n'accepterait. Ça ne signifie pas pour autant que tout est permis... Et si la police ne se charge pas de toi, c'est moi qui t'enfermerait dans les sous-sols de la prison de Storybrooke. Tu attendras le jour où ils te retrouveront..."

Une main toujours levée devant lui, je prouvais le sérieux de la menace en activant des billes d'énergies magiques Morphix flottant face à ma paume dans plusieurs directions ovales. Le concentré brillait d'une lueur rosée. Je repris :

"Je te conseille maintenant de partir avant que je ne tienne parole car oui, je tiendrais parole. Et ne me sous-estime pas. Hier, disons que tu as eu de la chance... Mais ce ne sera pas toujours le cas. Fais comme les autres habitants de cette ville et prend un nouveau départ plutôt que de revenir à tes anciennes et mauvaises habitudes du passé. Parce que c'est cela, n'est-ce pas... ? Tu n'agis pas comme un banal citoyen amnésique. Tu redeviens simplement ce que tu étais autrefois en pensant qu'ici ou ailleurs c'est la même chose. Mais les règles ne sont pas celles de ton monde, je peux te le garantir."

La vérité n'était pas valable qu'à sa seule personne. Les règles étaient très différentes ici et moi aussi, parfois, j'aimerais me dire que je pourrais rester la Layla de Magix sans prêter attention au reste mais ce ne fonctionne pas ainsi. Rien ne sera comme avant... Et cette vérité me fit baisser un regard défroncé.

"Va-t-en."

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Wow !! Attend, t'as vraiment emmené un ventilateur portatif avec toi pour donner l'impression que t'as les cheveux aux vents ? C'est dingue ! Et après, c'est moi que tu traites de taré ? Faut revoir tes définitions ma vieille ! Sinon, tu veux une frite ? Elles sont hyper bonne, j'te jure ! Une vraie tuerie.


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________________________________________ 2019-09-07, 09:52



Ah tiens Wiwi, ma nouvelle meilleur copine
Alors ça va ? Dit voir, ça te dirait de pactiser avec le diable ?
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Depuis que la route du maudit avait croisé celle de la jeune femme ce matin là, celui-ci ne l’avait pas quitté des yeux. D’ailleurs Kai l’observait toujours – son regard plongé dans le sien –, un énième sourire taquin accroché aux lèvres lorsque celle-ci reprit la parole, en commençant par lui dire qu’il était complètement malade.

Comme pour s’amuser de la situation, le maudit fit dans un premier temps semblant d’être choqué par les propos de la jeune femme, avant de finalement esquisser un très large sourire à son attention révélant à la jeune femme qu’en réalité, ses paroles ne l’avait en aucun cas touché, bien au contraire. Kai avait prit le début de sa phrase comme un compliment. Non, il n’était pas malade. Tout du moins le « désagrément » dont il était actuellement victime, ne pouvait pas être considéré comme tel. Bien que son intention première était néanmoins de l’éradiquer comme on le faisait avec certains virus.. Familles, espèces, peuples ou civilisations. Toutefois, l’ombre déchu appréciait la réelle signification de cette phrase. Celle qui disait, qu’elle avait reconnu en lui quelqu’un de dangereux, de malsain, de dérangé même, bien que pour ce dernier, l’on ne pouvait pas réellement dire que c’était le cas.
Car dans les fait, Kai était quelqu’un de tout à fait normal. De saint d’esprit. Il savait exactement qui il était (bien qu’il lui arrivait parfois de se haïr pour ça à cause de sa propre malédiction), ce qu’il voulait et comment l’obtenir. La seule chose qui le différenciait des autres, était qu’il n’avait pas peur de se salir les mains. L’on pouvait même dire, qu’il adorait ça. Il ne suivait pas de règle particulière et voyait la plupart des habitants de Storybrooke comme des idiots, des moutons aveugle et docile qui suivait les règles sans broncher. Avoir une conscience permettait de déceler les limites disait-on, de savoir à quel moment les choses allaient trop loin et de s’arrêter. Lui n’était pas d’accord. Il voyait d’avantage cela comme une prison de l’esprit. Toujours à réfléchir à ce que l’on pouvait dire ou faire, veiller à ne pas dépasser les limites, ne pas faire de mal aux autres, ne rien faire d’illégal ou de trop.. Définitif. L’existence même de la plupart des êtres vivants pouvait se résoudre à un seul mot : frustration. Car chacun devait apprendre à ce contenter uniquement de ce qu’il avait, ou de ce qu’on lui avait donné.
Alors que le maudit, lui, était libre. Libre de faire tout ce qu’il voulait quand il le voulait, sans jamais avoir à se demander si ses actions étaient mauvaises ou quelles seraient les conséquences de ses choix sur les autres.
Combien de personne à Storybrooke pouvait se targuer de pouvoir faire ça ? D’avoir déjà ressenti cette liberté totale au moins 1 fois ?

Après ça, l’ombre déchu ne reprit pas la parole. Du moins, pas tout de suite. Toujours amusé par la situation, celui-ci avait déjà oublié le plus gros des propos de la jeune femme. Il n’avait gardé que ce qu’il considérait comme « intéressant ». Ce qui n’était pas le cas de ses « requêtes » ou de son prénom. Et lorsqu’il avait reprit la parole un peu plus tard, c’était uniquement pour lui expliquer, qu’il ne l’avait pas suivie comme elle le prétendait ouvertement mais qu’il avait simplement suivie la même direction qu’elle.
D’ailleurs, Wiwi ne semblait pas capable de comprendre la subtilité de ses propos. Après tous, ce n’était qu’une question de point de vu. Aussi, lorsque celle-ci reprit une nouvelle fois la parole pour appuyer ses dire et confirmer qu’a ses yeux il l’a suivait, Kai baissa quelques secondes le regard sans pour autant la quitter des yeux, avant de relever la tête et de se mordillé la lèvre inférieur amusé. Il la trouvait même craquante tandis qu'elle s’évertuait à lui dire, qu’il n’obtiendrait rien d’elle et qu’il ferait mieux d’abandonner tout espoir. Qu’elle était adorable à croire que ces paroles pourraient avoir aux yeux du maudit un quelconque intérêt..

Puis la conversation commença à devenir captivante. Le sang maudit n’était pas surpris d’apprendre que sa camarade Wiwi était comme les pathétiques flambés qu’il avait traqués dans son monde. Il fit même l’effort de faire semblant de prendre la situation au sérieux jusqu’à ce qu’elle fasse apparaître des billes d’énergie d’un rose assez pâle. Cette fois, incapable de garder son sérieux plus longtemps (tout comme la joueuse qui à faillit recracher son petit déj en écrivant la réponse), le maudit éclata de rire sans retenu. Il eu d’ailleurs du mal à reprendre son sérieux tant il était amusé par ce qu’il voyait et lorsqu’il y parvenait, cela ne durait pas assez longtemps pour qu’il puisse comprendre un traître mot de ce que Wiwi lui disait. Il continua d’ailleurs à rire bien après qu’elle ait terminé de parler et après quelques instant, il réussi à articuler entre deux éclats de rire :

- Désolé, j’ai pas écouté ce que tu disais. Non mais sérieux.. Wiwi ! S’exclama le maudit avant de repartir dans un fou rire incontrôlable.

L’ombre déchu ne s’attendait décidément pas à ça. Et même si les capacités de la jeune femme était bien plus dangereuse qu’elle n’en avait l’air, Kai était tout bonnement incapable de la prendre au sérieux. Encore moins maintenant qu’il avait vu ça. Il était même submergé par tout un tas de blague qu’il commença à partager avec la jeune femme jusqu’à ce qu’enfin, il arrive par on ne sait qu’elle miracle à retrouver un semblant de serieux. Suite à quoi, toujours en proie au reste du fou rire qu’il venait d’avoir, le maudit glissa une main dans son dos pour récupérer son poignard. Il ne se souciait pas que quelqu’un puisse le voir ni même, que la jeune femme puisse prendre ce geste comme une menace et décide de l’attaquer. Il le prit fermement dans sa main, le plaçant devant lui avant de demander à la jeune femme.

- Tu sais ce que c’est ça ? Il n’attendait pas de réponse particulière, il savait qu’elle savait. Cependant, elle ne savait pas ce qu’il pouvait faire avec. Bien sur, il pouvait poignarder, trancher, lacérer, tout ce qu’il y avait de plus classique. Mais il y avait des choses bien plus drôles à faire selon lui avec ce poignard. Et le maudit avait très envie de montrer l’une de ses « choses » à sa nouvelle amie, même si une part de lui, préférait attendre encore un peu pour ça.

- Bien sur que tu sais sérieux, qui ne le sais pas ?! Reprit le maudit assuré sans se départir de son sourire peut après avoir posé la question. On peut faire tout un tas de truc cool avec comme poignarder, trancher, éviscérer… Bref en s’en fou un peu tu vois ? Parce que même si c’est super cool, c’est beaucoup trop… commun. Non, non, il y a des trucs bien plus drôle à faire avec et je peux t’assurer, que même toi petite futée tu n’as pas idée de ce que je peux faire avec ça et…

Une petite goûte de sang.

Non en effet, le maudit n’avait pas terminé sa phrase. A la place, celui-ci s’était arrêté juste au bon moment, gardant pour lui le détail le plus croustillant de sa petite révélation. A savoir qu’avec lui, le sang pouvait devenir bien plus intéressant encore qu’avec n’importe qui d’autre.

- Non tu sais quoi ? Je vais garder ça pour moi, ça sera bien plus drôle lorsque tu découvriras les choses par toi-même. L’ombre déchu rangea le poignard à sa place avant de reprendre. Sinon, on t’as déjà dis que t’étais vraiment craquante quand t'essayais de menacer quelqu’un ?


Ah... Kai... Isn't that enough ? Ft. Malakaï 4070235387 Non mais Aisha le vaut bien. Isn't that enough ? Ft. Malakaï 3392629739 Isn't that enough ? Ft. Malakaï 563794906

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If I could fly across this night
Faster than the speed of light
I would spread this wings of mine
Through the years and far away

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________________________________________ 2019-09-29, 15:52

Isn't that enough ?
One more time, and I'll be done.

Un contre-temps ne cessais-je de me répéter. Ce garçon était un simple contre-temps. S'il y avait bien quelque chose qui ne devait pas me poursuivre pour le moment, c'était bien un psychopathe dans son genre. Halloween était passé et avec lui tous mes espoirs d'y retrouver mes amies ou de renouer avec un autre passé qu'on m'a trop vite retiré. Depuis la soirée, je me sentais terne, livide et nonchalante. La danse était un moyen de me recharger en énergie et cela à ma manière tout comme Musa pouvait se recharger en musique et Stella en mode. Chacun de nous avait son moyen de décompresser mais à vrai dire, je n'avais pas réellement envie de savoir quel était celui de l'inconnu qui grimpait sur la scène jusqu'à moi. Cet idiot écoutait à peine quand je lui parlais, ce n'était pas le premier sourire sadique que je voyais au coin des lèvres d'une personne et ce n'était donc pas la première fois que je parlais dans le vide. C'est comme ça avec les gens mauvais de son type... Ils ne pensent qu'à eux et à leur petit jeu. J'aurais voulu le ramener sur Terre mais il ne prit pas mes menaces au sérieux. J'aurais souhaité le gifler avant de lui faire traverser le mur. Laissant mon bras basculer le long de ma hanche, je serrais fort le poing.

"Tu te fiches de moi..." Grinçais-je des dents alors que je me retenais de l'étouffer avec le lecteur audio. Je préférais sacrifier ma musique plutôt que l'entendre rire jusqu'aux larmes.

Il se payait ouvertement ma tête et cela devant moi tandis que je marquais un silence de plomb non consenti. Mordant ma lèvre de colère jusqu'à l'épuisement de ma patience - parce que c'est qu'il essayait de reprendre son sérieux mais n'y arrivait pas, en plus - je créais entre mes mains une boule d'énergie qui devait prendre en ampleur et en puissance. Celle-ci, elle lui était réservée. Ainsi saura-t-il ce que c'est que de se moquer d'une fée. Quelle ordure, il avait vraiment de la chance que je restais sur mon lieu de travail.

"On va voir si tu continues de rire après ça..." Dis-je à part.

J'étais parée à lancer l'attaque histoire de l'assommer une bonne fois pour toute. Peut-être se serait-il pris les meubles et aurait-il abîmé le mur, en supposant qu'il soit solide, en tout cas, cela l'aurait certainement calmé. Mais avant même que je ne pus faire le geste qui aurait lancé la boule sur la quille, si on puis dire, l'individu tordu sortit un couteau de je-ne-savais-où et l'exposa devant moi. Je fixai l'arme blanche de deux grands yeux avant de les redresser vers ceux du garçon. Qu'est-ce qu'il faisait avec ça ici ? Il comptait m'agresser, me tuer peut-être ? Et c'était moi qui faisait rire avec mes billes ? Elles, au moins, pouvaient déclencher des explosions. Son couteau n'avait aucune chance face à mon Morphix mais ça je supposais qu'il ne le savait pas. J'aurais pu rire, moi aussi, si je n'étais déjà pas déjà rouge de haine. Seulement, je me contentais de le regarder énumérer avec une joie que je ne partageais pas les diverses capacités que son arme lui procurait. Du moins, ce qu'il prenait pour une arme. Ce qui m'interpella le plus dans les paroles de ce malade, ce n'était pas qu'il avait un couteau sur lui qu'il brandissait ouvertement devant moi, ni même le fait qu'il me menaçait avec. Ce qui m'avait interpellé c'était qu'il prévoyait le jour où il s'en servirait contre moi, pour moi et cela le plus normalement possible, comme si j'avais pu ne serait-ce qu'à un moment donné mon consentement à ses projets sordides. La simple idée me dégoûtait amèrement. Dire que j'étais craquante était comme la goutte qui débordait du vase. J'aurais souhaité clore la discussion et rembarrer ses menaces puériles en lui administrant la mienne. Seulement voilà, nous étions dans un espace public, qui plus est mon lieu de travail. Je ne pouvais pas me permettre de me laisser aller à mes impulsions même si au fond, je n'avais plus grand chose à perdre. Fermant les yeux, les dents serrés, je canalisais mon énergie pour le sensé et non plus le démesuré. Il ne fallait pas agir sous la colère, toute fée savait que c'était mauvais.

"Tu n'es pas meilleur que moi pour ce qui est de proférer des menaces..." Soufflais-je en redressant un regard noir dans sa direction.

Ma boule d'énergie se divisa en trois. Je regrettais d'en gaspiller pour si peu mais au moins, peut-être, l'individu sur lequel je ne pouvais toujours pas poser un nom comprendrait qu'il ne fallait pas prendre mes paroles à la légère et que je n'étais certainement pas son prochain jouet. Je refusais, par ailleurs, que quelqu'un le devienne un jour. Ma magie Morphix une fois divisée trouva sa place sur le jeune homme, l'une lui entoura le cou sous la forme d'un large collier, les deux autres serrèrent leur étreinte sur ses poignets comme de larges bracelets. J'acquiesçais d'un geste de main vers la gauche et sous la tutelle du Morphix, le garçon partait s'écraser dos contre le mur opposé. C'était par le cou et les poignets qu'il était lié et collé contre celui-ci. Puisque je n'avais cassé aucun matériel propre à l'établissement, que personne n'était blessé et surtout, qu'il n'y avait aucun témoin, je me permettais de descendre de l'estrade sereinement pour m'approcher du prisonnier de mon Morphix et me poser à quelques mètres d'une distance de sécurité en croisant les bras.

"Ça fait moins le malin quand on a plus son petit couteau et ses bras pour faire de grands gestes et dire n'importe quoi ? J'esquissais un vague sourire qui s'estompa la seconde d'après. Tu t'en es pris à la mauvaise personne. Si tu me cherches, tu me trouves... Et finalement entre une arme blanche et des pouvoirs magiques, il vaudrait peut-être mieux que tu ne me trouves pas."


Il me restait encore 4h de travail et puisque cet idiot que je n'avais pas demandé dans ma vie est arrivé sans prévenir, je n'ai même pas pu manger. Je ne comptais pourtant pas lui laisser un Pass VIP dans l'enceinte de la salle de sport, ni à moins de 50 mètres de moi.

"Je te relâche que si tu pars et ne reviens pas ensuite. Je ne veux pas non plus avoir à te recroiser ne serait-ce qu'à un coin de rue ou devant chez moi. Je te préviens, je ne rigole pas... Et si je te vois jouer le même petit jeu avec quelqu'un d'autre, tu finis en taule et pas par la police : c'est moi qui me charge de te coller contre les barreaux et je serais la seule à pouvoir t'en libérer également. Prends-moi au sérieux ou non, ça m'est égal, je saurais te prouver que mes paroles sont égales à mes actes."


Il y avait trop de gens comme lui dans cette ville mais étrangement, ils étaient encore en liberté.


Il commence tout juste son petit jeu qu'Ash n'a déjà plus envie de jouer Isn't that enough ? Ft. Malakaï 453450723
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Wow !! Attend, t'as vraiment emmené un ventilateur portatif avec toi pour donner l'impression que t'as les cheveux aux vents ? C'est dingue ! Et après, c'est moi que tu traites de taré ? Faut revoir tes définitions ma vieille ! Sinon, tu veux une frite ? Elles sont hyper bonne, j'te jure ! Une vraie tuerie.


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________________________________________ 2019-11-20, 22:13



Ah tiens Wiwi, ma nouvelle meilleur copine
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Wiwi le sous-estimait.

Ce n’était pas la première fois que le maudit n’était pas prit au sérieux. Il y avait d’abord eu certains membres de son espèce, puis de sa famille, et plus précisément son demi-frère Azaël qui avait passé le plus clair de son existence, à traiter Kai comme un moins que rien, une erreur de la nature. Erreur de la nature qui, sans grande difficulté, c’était d’ailleurs débarrassé du parasite en question dont la simple existence, avait commencé à devenir une véritable gêne à ses yeux.

Toutefois, même si ce genre de comportement déplaisant aurait pu donner envie au maudit de faire démonstration de ses propres talents, histoire de démontrer à la jeune femme qu’il était loin d’être démuni face à son pouvoir de morphing rose bonbon, celui-ci avait choisi de ne rien faire. Les sourcils froncés, l’air mécontent, Kai observait Wiwi qui semblait particulièrement fière de sa performance. Intérieurement, l’ombre déchu fût presque irrité de constater, que sa nouvelle camarade le confondait avec l’un de ces risibles clowns psychopathe. A croire, qu’il n’avait rien de particulier, de différent, qu’il était comme les autres, sans talent, sans ambition, incapable de surprendre voir même, d’avoir le dessus sur ses victimes. Cependant, Kai savait que ce n’était qu’une question de temps avant qu’elle ne réalise qu’il était différent. Et puis, n’étais-ce pas le but du jeu ? De SON jeu ? Lui laisser croire qu’il n’était qu’un vulgaire serial killer pour lui donner une impression de contrôle total sur la situation, avant de tout lui reprendre dans un véritable bain de sang ?

Qu’on se le dise, à aucun moment le maudit n’avait perdu le contrôle de la situation, bien au contraire. Et même si les réactions de la jeune femme n’étaient pas sous son contrôle, et qu’il ne disposait d’aucun moyen lui permettant d’entrevoir le futur, ni même de deviner chacune des réactions de Wiwi à l’avance. Il avait assez joué à ce jeu, pour savoir à peu près quelles seraient les différentes réactions de ces victimes à l’avance. Kai avait grandit dans un monde empreinte de chaos et de ténèbres. L’on pouvait même dire, qu’il en était un fervent défenseur si l’on prenait en compte le fait, qu’il avait traqué, torturé et tué un nombre incalculable de saint flambé de la lumière juste parce qu’il en avait envie. Ainsi que pour le plaisir du jeu. Et accessoirement, à cause du défi que leur immunité à la magie des ombres et à la douleur représentait.

Ainsi donc, le maudit laissa la jeune femme s’exprimer. Donnant le change pour lui laisser croire qu’il était coincé et qu’elle le dominait totalement, Kai ne la quitta pas des yeux, l’air furieux. Jusqu’à ce qu’elle lui lance un ultimatum. L’ombre déchu resta silencieux durant un long moment, sans se départir de son expression de mécontentement. Puis, un rictus naquit au coin de ses lèvres et sans chercher à se défaire de son emprise, il reprit à l’attention de la jeune femme :

- Wow ! On m’avait jamais dit que les super zéro pouvait être aussi dark, c’est dingue !

S’exclama t-il feignant d’être surpris face aux menaces de la jeune femme avant de reprendre sur le même ton.

- Depuis quand les gentils sont devenu aussi méchant hein ? C’est super horrible de dire à un mec que tu veux l’enfermer dans une cellule et le laisser pourrir là, vilaine fille !

A peine le maudit avait t-il fini sa phrase, que le bruit d’une porte qui claque c’était fait entendre. Sans quitter des yeux sa camarade de jeu qui cherchait probablement du regard une quelconque présence où menace dans la pièce, Kai reprit avec le sourire :

- Tu sais quoi ? Je vais te dire un petit secret. Ça fait un moment qu’on est plus seul ici, tu veux pas allez voir ce qui se passe là-bas ? Il parait qu’il y a des psychopathes à chaque coin de rue dans cette ville..

Les nombreux cries et autres supplications des personnes présentes dans la salle de sport, finirent par obliger Wiwi à relâcher l’emprise qu’elle avait sur le maudit. Se massant la gorge lentement sans la quitter des yeux, Kai attendit que la jeune femme se décide à partir aider les derniers pleurnichards vivant avant de disparaître à son tour, aussi furtivement qu’il était venu.

Le maudit avait parfaitement conscience de ce qu’il venait de débuter. A aucun moment elle ne s’était doutée de son petit jeu et encore maintenant, elle n’avait aucun moyen de savoir ce qui s’était réellement passé là-bas. Ce qu’il y avait de bien avec sa magie, c’était qu’il n’avait pas toujours besoin de lever le petit doigt pour agir. Le reflet qu’il avait crée à partir de l’un des miroirs de la salle de danse, avait fait exactement tout ce qu’il fallait.

Et c’est avec un rictus satisfait, que le maudit reprit la route jusqu’à son appartement. Où il exécuta son reflet d’un coup de poignard dans la gorge avant de le vider de son sang. Maintenant, elle savait qu'il était dangereux, différent et spécial. Mais elle ignorait encore comment, et à quel point. Son reflet n’avait laissé aucune trace, aucun indice pouvant révéler la véritable nature de l’un des pouvoirs de Kai. Ce qui n’était pas pour lui déplaire..

Après tout, le maudit avait tout le temps de lui montré ce dont il était réellement capable..


Je ne suis pas totalement satisfaite, mais bon.. Isn't that enough ? Ft. Malakaï 1139808870 J'espère que ça te conviendra comme réponse de fin de rp. Isn't that enough ? Ft. Malakaï 1574146564 Sinon tu me mp, comme d'hab quoi, parce qu'on a pas ouvert de sujet de discussion. Isn't that enough ? Ft. Malakaï 3392629739 Isn't that enough ? Ft. Malakaï 563794906

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