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Ensuite, réveillez-vous calmement et allez jusqu'au bout de votre rêve
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 Did I miss you ? You miss me too ♛ Anya

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Victoire Adler
« T'es qu'une putain d'armoire, Commode ! »

Victoire Adler

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Did I miss you ? You miss me too ♛ Anya Dujd
Edition Août-Septembre 2020

| Conte : Intrigue divine
| Dans le monde des contes, je suis : : Hera, déesse du mariage, des femmes et des enfants

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________________________________________ 2018-07-09, 22:44 « T'es qu'une putain d'armoire, Commode ! »


Did I miss you ? You miss me too
Comment revenait-on après une telle absence ? La déesse n’en avait aucune espèce d’idée, elle qui n’avait jamais manqué à personne… Elle était pourtant morte une première fois, mais son retour n’avait rien généré d’autre que la surprise de découvrir qu’on pouvait échapper à la mort, même lorsqu’elle était donnée par un cavalier. Pourtant, même si elle n’était pas réellement morte cette seconde fois, c’était bien cette résurrection qui lui posait le plus de problème. Pendant sa nouvelle année de vie, elle avait fait des rencontres, elle avait tenté de s’ouvrir au monde, bien que tentant toujours de se protéger de la douleur qu’autrui pouvait lui infliger, elle qui avait déjà tant souffert. Elle parmi ses rencontres, il y avait Anastasia, une jeune russe, maman de surcroît, qui lui avait plus par son courage et son sens de la répartie, dont elle avait apprécié le courage de prendre ses problèmes à bras le corps, malgré un petit ami catatonique, qui avait-elle appris, était devenu son mari depuis peu. Aaaah le mariage. Anastasia ne cessait de se balader dans son domaine, entre celui de femme, de mère et à présent d’épouse, son aura n’en était que plus puissante et réfléchissante sur elle.

C’était à cette occasion que la déesse avait décidé de renouer avec son amie rouquine. Une raison en quelque sorte de montrer qu’elle n’était pas morte tout en évitant tout le mélodrame que cette situation pouvait engendrer. Elle qui n’avait jamais véritablement compté pour quelqu’un hormis son mari qui la voyait comme un bien précieux et utilisable, elle avait désormais peur de faire face à une effusion d’affection dont elle ne saurait que faire par manque flagrant d’habitude. Vêtue d’un pantalon cigarette noir, d’escarpin de la même couleur d’un chemisier léger blanc, transparent, qui laissait volontairement apparaître un soutien-gorge noir finement travaillé. Oui, si Hera avait toujours préféré les longues robes qui montraient sa condition de reine et de femme, Victoire s’essayait de nouveaux styles, plus rock’n’roll, plus moderne, moins attachés aux conventions et à un statut marital qui semblait une nouvelle fois tomber dans le veuvage.

Après une grande inspiration, elle avait sonné à la porte d’entrée et avait attendu qu’on lui ouvre, en faisait apparaître un énorme panier dans ses mains, emballé dans du papier transparent et avec plusieurs fioritures de décoration que la personne lui ayant fait le paquet avait estimé de bon goût de faire lorsqu’elle lui avait expliqué que le cadeau était un trousseau de mariage. Après quelques secondes, la porte s’ouvrit enfin mais l’impératrice ne put rien voir d’autre que l’énorme paquet avant que Victoire ne déplace légèrement sa tête vers la droite pour observer enfin la rouquine sous le choc. La brune ne trouva alors rien de mieux à dire que :

- Surprise ! Je t’ai manqué ?


Elle réagit cependant que ce n’était sans doute pas la meilleure des choses à dire. La dernière fois qu’elles s’étaient vu, elles avaient fait une virée en Russie et avaient bu plus que de mesure, sans doute plus pour l’humaine tout en parlant de leurs vies. La déesse lui avait promettre de s’épanouir au-delà de son mari, de sa fille, de s’accomplir aussi autant que femme et un début de quelque chose s’était installé entre elles, sans doute scellé par cette demande de se tutoyer. Anastasia était sans doute sa première véritable amie humaine à défaut d’être peut-être la première véritable amie tout court. Et elle manquait de lui faire faire une crise cardiaque. Avec une moue légèrement mécontente de son discours, elle avait fait disparaître d’un geste le cadeau pour porter secours à la jeune femme. Il n’était pas non plus question qu’elle lui claque entre les deux.

- Pardon pardon, c’était complètement stupide comme entrée en matière… Je ferai mieux la prochaine fois, c’est promis. Ma pauvre, on dirait que tu as vu un fantôme… ce ne serait pas le première fois pourtant… Je ne voudrai pas être impolie en m’invitant chez toi mais… je pense que tu as besoin de t’asseoir.

Le visage un peu inquiet et sans attendre une quelconque réponse, elle passa la porte en tenant toujours Anya avec douceur avant de l’asseoir sur son canapé et de faire apparaître un verre d’eau fraîche qu’elle lui tendit d’un geste :

- Tiens… bois donc, cela te fera le plus grand bien.

Avec un sourire, elle attendit que la rousse ai repris ses esprits pour dire quoi que ce soit d’autre ou même s’asseoir.
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Anastasia Romanov
« Men are such babies »

Anastasia Romanov

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________________________________________ 2018-07-10, 00:47 « Men are such babies »

Est-ce qu'un mortel pouvait réellement manquer à une déesse ? C'était plutôt ça la question, du moins, du point de vue d'Anastasia. Quand Dimitri lui avait annoncé la mort d'Héra, ça avait été dur. Un véritable choc. Elle s'était presque sentie trahie, sinon abandonnée, sans réellement comprendre pourquoi. Alors elle s'était demandée si elle n'était pas stupide, en fin de compte, de s'être inexplicablement attachée à une déesse qui avait vu tellement de choses, tellement de mortels auparavant qu'elle ne s'y attachait peut-être même pas. En fait, Anastasia s'était aperçue qu'elle ne savait pas, justement, si c'était le cas. Ce qu'elle savait alors, c'était qu'Héra disparue lui manquait plus qu'elle ne l'aurait imaginé alors qu'au fond, elles ne se connaissaient pas réellement.
Ces derniers mois, pourtant, les paroles de la déesse de la fertilité avaient souvent résonné - et raisonné ? - dans son esprit. Lors de leur dernière rencontre, Victoire, car c'est ainsi qu'elle voulait qu'elle l'appelle, lui avait bien montré qu'elle n'était pas qu'une maman et que la femme derrière le rôle avait tout autant voix au chapitre. Anastasia aimait à croire que c'était l'influence d'Héra qui avait mené ses pas dans la Magic League puis vers le poste de police où elle se rendait cinq jours par semaine depuis maintenant sept mois.
Elle pensait à Héra parfois, sinon souvent. Mais elle ne pensait pas la revoir sur le pas de sa porte, et encore moins avec pareil présent. Dimitri avait bien insisté là-dessus : la déesse était morte, de même que le dieu de la guerre, Arès. Alors... pourquoi ? comment ?
En apercevant Victoire, Anastasia ne put qu'ouvrir la bouche avant de la refermer. A y bien y penser, elle avait été moins surprise de rencontrer la version fantomatique de ses parents qu'elle ne l'était présentement.
- Je...
Anya referma la bouche, constatant qu'elle ne savait pas comment poursuivre la phrase, sans doute parce qu'elle n'était pas au clair avec son ressenti sur... cette situation, ce phénomène, ou miracle, elle n'était pas certaine de ce à quoi elle avait affaire et ça l'agaçait prodigieusement. La jeune femme était partagée entre étonnement, joie, surprise et sans doute une autre demi douzaine de sentiments dont le soulagement de constater qu'elle avait eu raison d'avoir foi en Héra... et le regret de ne pas s'être davantage entêtée dans cette foi.
- Oui... Oui, je crois. Mais... Pardon mais on m'a dit que tu étais morte.
Anastasia en avait pourtant rêvé, de ce moment où ses convictions seraient plus fortes que tout ce qu'on pouvait lui dire. Et maintenant qu'elle était devant le fait accompli, elle ne savait absolument pas comment le gérer. Jamais la rouquine n'avait imaginé la violence que pareille révélation pouvait être dans la vraie vie.
Alors Anastasia était, en fin de compte, bien contente que Victoire prenne les choses en mains. Visiblement, elle gérait bien mieux la situation. Avec l'esprit encore embrumé, elle se laissa guider dans son propre salon, captant à peine le regard interloqué de Hoover fut bien contente de s'asseoir. L'instant d'après, la rouquine vidait le verre d'eau que Victoire lui avait tendu - elle n'avait pas remarqué qu'il était en fait apparu - et le reposait dans un bruit mat sur la table basse.
- Merci.
Anya releva la tête pour croiser le regard de Victoire et lui sourire. A la réflexion, la joie de la revoir l'emportait sur tout le reste, même si la situation était toujours aussi confuse - de son point de vue, du moins.
- Je t'en prie, fais comme chez toi, l'invita brusquement la jeune femme en réalisant qu'elle était toujours une aussi mauvaise maîtresse de maison.
La rouquine marqua une pause, parce que c'était poli, le temps que Victoire prenne ses aises. Puis quand ce fut socialement acceptable, elle posa la question qui lui brûlait les lèvres et qui mettrait un peu d'ordre dans tout ce chaos :
- Donc... Tu n'es pas morte, visiblement, remarqua factuellement la princesse. Alors... qu'est-ce qui s'est passé ? Parce là j'y comprends plus rien. D'un côté on me dit que les dieux ne peuvent pas mourir mais ensuite Dimitri m'apprend qu'en fait si et que tu es morte et je dis que c'est pas possible mais il insiste alors je le crois mais visiblement c'était pas vrai et... Si c'est toujours aussi compliqué d'être divin alors je suis bien contente d'être mortelle. Et... que tu sois en vie, ajouta Anya plus sobrement parce qu'il était important de le dire même si elle se sentait toujours vulnérable d'exposer ainsi ses sentiments. Oui, tu m'as manquée. Plus que tu ne le crois.
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Victoire Adler
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________________________________________ 2018-08-15, 23:02 « T'es qu'une putain d'armoire, Commode ! »


Did I miss you ? You miss me too
La réponse de la jeune femme en était tellement confuse qu'un nouveau sourire ne pu s'empêcher de s'esquisser sur le visage de la déesse, plus mutin cependant, certains diraient même moqueur mais avec toute la tendresse dont elle était capable également. Voir quelqu'un perde à ce point les pédales pour elle était quelque chose d’inattendu, de nouveau et, parce qu'il fallait bien l'avouer, fortement plaisant. Elle s'était pourtant contenté d'esquiver la dernière révélation en baissant la tête, gênée, tout en s'humidifiant les lèvres du bout de la langue et en frappant sur ses genoux, comme pour redonner un peu de peps à cette conversation qui risquait de tomber dans un mélodrame qu'elle n'était pas prête à affronter. Les sentiments humains lui étaient si étrangers, elle avait tant appris à avoir peur des sentiments positifs que les gens pouvaient avoir envers elle que cette preuve d'amour la mettait mal à l'aise, ne sachant véritablement comment réagir.

Elle avait pourtant l'habitude de côtoyer l'amour, l'amour d'un homme et d'une femme au sein du mariage, l'amour d'une mère pour son enfant, tout cela était le but même de sa fonction. Mais elle n'était alors que l'intermédiaire bien heureux de ce sentiment, pas le destinataire... Se raclant la gorge, elle se fit apparaître un verre de vin pour se redonner contenance. Elle s'était assise auprès de la jeune femme quand elle le lui avait proposé avant de réfléchir à ses questions.

- Je n'étais pas morte... pas cette fois en tous les cas. Mais tout le monde l'a cru, y compris Athéna qui l'a presque vu de ses propres yeux alors... je ne peux pas t'en vouloir ni en vouloir à Dimitri de l'avoir cru.

Elle prit une gorgée du liquide avant de préciser :

- Je dois t'avouer que nos possibilités de mourir sont encore quelques peu... confuses pour nous. On nous a dit que seule une arme divine était capable de venir à bout d'un dieu ou du moins que c'était presque tout mais ce n'est pas tout à fait vrai. Il y a d'abord mon... "neveu", si je peux l'appeler ainsi bien que je ne tienne pas spécialement être considérée comme la soeur de son père et encore moins de sa mère... Ce "neveu" donc - elle avait appuyé le mot de guillemet avec ses doigts, tandis qu'elle tenait toujours son verre en cristal - a eu la faculté de tuer mon mari... enfin mon autre mari - j'y reviendrai plus tard - de son éclair... qui est une âme divine. Il est aussi venu à bout de Dolos, NOTRE Dolos - j'y reviendrai aussi après - sans utilisé cette arme... et voilà que Dyonisos à présent à été tué par le marteau d'Haphaïstos et pourtant... il est toujours parmi nous... sous une forme plus fantomatique cependant...

Cela faisait beaucoup d'informations d'un coup, elle en avait bien conscience. Elle ignorait aussi si la conversation était suffisamment digne d'intérêt de la russe. Après tout, cela ne la concernait pour iansi dire pas du tout et les gens avaient tendance, d'expérience, à ne s'inquiéter que de ce qui pouvait les toucher de près ou de loin. Inspirant une grande bouffée d'air, elle précisa :

- Disons que pour faire simple, je suis morte une première fois, tuée par un cavalier de l'Apocalypse. Je n'ai pas vraiment de compréhension quant à la raison de mon retour mais elle doit être liée à Hadès de près ou de loin...

Elle eu un certaine grimace de dégoût. l'idée qu'elle puisse être redevable à cet être abject lui semblait être au-dessus de ses forces et elle préférait estimer qu'elle avait déjà payer sa dette en restant sagement enfermées dans ses Enfers pendant plusieurs mois sans avoir brisé son "petit secret".

- Mais cette fois-ci... ce n'était qu'une illusion. Un des dieux, répondant au nom de Dolos, a la faculté de créer des illusions. C'est comme cela qu'il est parvenu à faire croire à Athéna qu'Arès et moi étions tombés sous les coups de mon mari... Une fois qu'elle fut évanoui, ce dernier en a profiter pour nous enlever et nous emmener dans... disons un monde parallèle. Il existe une réalité alternative ou nous avons une autre vie... mon mari à remplacé le Zeus de là-bas en le faisant tuer par mon "neveu" à sa place... en revanche, notre Dolos étant déjà mort, il s'est servi de celui de l'autre côté pour mettre à bien son plan. C'est donc là-bas que j'ai vécu pendant plus d'un an... avant que certains d'ici comprennent la situation, aidés de Dolos et décide de m'en libérer.


Elle eut un nouveau sourire en coin et haussa les épaules avant de boire une nouvelle gorgée. Elle avait annoncé cela avec la volonté d'être claire mais tout en montrant que tout ceci était peu digne d'intérêt. Elle en avait vu d'autres et ce petit enlèvement était de loin la chose la plus trépidante qu'elle avait vécu hormis ses premières découvertes du monde réelle. Elle n'avait donc pas l'envie d'en faire tout un plat. Cela aurait amené à d'autres questions, des questions dont elles n'avaient - pour la majorité - aucune réponse et desquels elle ne voulait pas se soucier pour le moment. Elle avait déjà bien nombre de "frères" et "soeurs" sympathisants du mélodramatique pour se triturer les méninges pour qu'elle en face de même. Après tout, elle avait appris à suivre les pas de Zeus pendant bien des années et à se comporter en Reine, elle savait qu'il ne servait à rien de se poser trop de questions... les réponses ne venaient que si on décidait de se poser les bonnes au bon moment.

- Eeeenfin bon. Ce n'est pas pour parler de moi que je suis venue te voir mais... pour te parler de toi. J'ai cru comprendre que tu étais désormais mariée. J'ai pu le ressentir également et je t'en félicite. J'aurai aimé être là pour l'occasion, cela a du être merveilleux. J'espère que Dimitri se montrera digne de vous deux, mais si tu as accepter de lui donner ta main, je pense que c'est déjà le cas.

D'un geste, elle fit alors réapparaître le trousseau qui lui était destiné pour le poser avec douceur sur ses genoux.

- C'est pour toi... Je... je veux te préciser que j'y ai passé du temps. Ce n'est pas très poli dit comme cela mais... disons que les dieux ont l'habitude de claquer des doigts pour obtenir ce qu'ils veulent... ce n'est pas ce que j'ai fait. Je me suis véritablement déplacée pour... pour faire tout ce bazar.

Elle l'avait montrer en faisant tournoyer son indexe au-dessus du cadeau. Il avait fallu qu'elle termine sur une note sarcastique, redoutant tout en le voulant, de lui montrer qu'elle avait fait cela avec le coeur et l'envie de le faire bien. A travers le papier transparent, elle pouvait déjà appercevoir une icône double que la famille de la mariée avait l'habitude d'offrir aux mariés en Russie. Anastasia n'ayant plus de famille et étant elle-même la protectrice de leur mariage, elle trouvait cela approprié de le faire à leur place. Mais au lieu de la vision biblique qui apparaissait généralement, on pouvait apercevoir un paon magnifique et des grenades sur le fond de la peinture dorée habituelle.

Un bouquet de lys en nombre impair trônait aussi dans le panier et dont les tiges étaient incroyablement longues, encore une tradition russe, mêlée à ses propres attributs. Bien qu'il était de son devoir de connaître tous les us et coutumes de mariages, c'était bien la première fois qu'elle avait eût à les offrir avec autant de véracité et il avait fallu que ce soit la Russie... un des pays ayant le plus de traditions dans ce domaine. Enveloppé dans une broderie, un petit pain les attendaient ainsi qu'un pot de sel. Le reste contentait une broche pour Anya, une montre pour Dimitri, quelques grenades et deux bouteilles de vin rouge, extrêmement rares accompagnées d'une bouteille de Vodka tout aussi prestigieuse.
Avec un sourire sympathique et gêné, Hera laissait son amie découvrit son présent.
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Anastasia Romanov
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________________________________________ 2018-08-16, 00:27 « Men are such babies »

Les explications de Victoire avaient quelque chose d'apaisant et confortaient Anya sur bien des points. Pour commencer, Dimitri n'avait pas menti - les faits, si. Il semblait, du moins. La jeune femme avait le sentiment que cette histoire dépassait son entendement de pauvre mortelle et préféra ne pas en demander davantage mais se contenter de ce que la déesse jugerait utile de mentionner. Elle opina cependant en silence pour signifier qu'elle avait compris.
Héra n'avait d'ailleurs pas eu besoin de plus ample invitation pour poursuivre.
Anastasia mettait tout le sérieux et la concentration dont elle était capable pour suivre cette drôle d'histoire, en effet bien différente de ce à quoi elle était habituée. Il y avait beaucoup de noms, presque plus, lui sembla-t-elle, que lorsque Dimitri et Vlad avaient entrepris de lui apprendre son propre arbre généalogique. Il faut dire qu'elle n'était alors pas très passionnée par le sujet. Cette fois, c'était différent. Elle sentait ce besoin irrépressible de comprendre. Et elle commençait, peu à peu.
Quant à son orgueil de mortelle, il était un peu (beaucoup) flatté de constater que la déesse la trouvait suffisamment digne (d'intérêt ou de confiance) pour lui confier une partie de ses "problèmes divins". Anya n'osait espérer pouvoir ou ne serait ce que savoir l'aider mais si l'occasion se présentait un jour, elle n'hésiterait pas. Héra, après tout, avait plongé jadis tête baissée dans les problèmes les plus douloureux de la princesse russe. Qui ne lui devait peut-être rien mais qui l'estimait suffisamment pour avoir envie de... faire quelque chose.
- Hadès. Je situe ce dieu. Il est maire maintenant. Mais tu n'as pas l'air de l'apprécier alors cette nouvelle ne te fera pas plaisir, commenta Anastasia, contente de pouvoir rebondir un peu sur toute cette histoire.
L'histoire réellement intéressante, celle de Victoire, reprit juste après. Au fur et à mesure qu'elle parlait, Anya parvenait à avoir une image de plus en plus claire de la situation... et de son manque de connaissances de tout ce qui avait trait au divin. Ce Dolos l'effrayait, même si elle ne comptait pas le dire. Et la nonchalante de Victoire avait quelque chose de désarmant, aussi. C'est sans doute un truc de déesse, songea-t-elle avec conviction. Elle changea de sujet d'une façon toute aussi déconcertante, d'ailleurs.
- En fait, on a juste failli se marier. Encore, précisa Anastasia. Sa pauvre maman a fait un malaise et... elle ne s'en est pas sortie. On doit être maudits. Si en tant que déesse du mariage tu peux y remédier...
Anastasia roula des yeux. Sa nonchalance avait quelque chose de faux et elle se sentait stupide. Etait-ce vraiment si important de concrétiser un mariage par une union sacrée ? Anya avait l'impression de devenir un cliché, ce genre de filles qu'elle détestait cordialement. Mais le pire, c'était que Ksenyia, sa nounou, lui manquait. Peut-être qu'en fait, elle portait la poisse aux membres de sa famille.
La jeune femme préféra ne pas y penser. Pas maintenant. Elle posa plutôt ses yeux sur le trousseau que lui avait apporté Héra.
- Il est parfait, murmura-t-elle, émue. Merci.
Anya sourit en apercevant le paon et les grenades d'Héra. C'était l'un des cadeaux qui l'avaient le plus touchée depuis longtemps et lui donnait l'impression que la déesse la connaissait plus profondément qu'elle ne se connaitrait jamais. Le pain, la vodka... tout était là et Anastasia se demandait en voyant les offrandes si elle connaissait bien les traditions maritales de son propre pays !
- Tu es très douée dans tes attributions, y a pas de doute, c'est bien toi, ajouta-t-elle avec un sourire malicieux.
Même si elle connaissait à présent l'existence de ce fameux Dolos, Anastasia n'aurait pas pu avoir de doutes. Cela faisait plus d'un an mais Victoire était telle que dans son souvenir. Elle aurait pu l'embrasser pour la remercier, en avait vaguement envie, mais n'était toujours pas à l'aise avec ce type de démonstrations - d'autant plus auprès d'une déesse !
Alors Anya changea elle aussi de sujet.
- Tu vas faire quoi maintenant que tu es de retour dans ce monde ? J'imagine que votre version de Game of Thrones n'est pas terminée mais... en dehors de l'intrigue divine ou peu importe comment vous appelez ça entre vous ?

HJ : y a eu une mécompréhension quelque part vis à vis du mariage mais comme Opy a lâché Dimitri avant de rp dedans bah j'ai laissé tomber, j'allais pas me marier à moi-même en écrivant les deux rôles. Perso ça me gêne pas que le rp se passe comme ça. ^^
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________________________________________ 2019-01-05, 17:58 « T'es qu'une putain d'armoire, Commode ! »


Did I miss you ? You miss me too
Victoire avait découvert avec peine qu’Anastasia n’était toujours pas mariée. Non pas qu’elle appréciait son mari au point d’espérer au plus profond de son être que cela puisse un jour arriver, mais elle savait à quel point la rouquine l’aimait et à quel point cet union sacré comptait pour elle. Et ce qui comptait pour l’humaine, comptait pour elle aussi. Elle était ce qui se rapprochait pour elle le plus d’une amie, cette personne dont elle avait cruellement manqué pendant toutes ces années et qu’elle ne pensait pourtant pas un jour voir apparaître chez des êtres considérés comme « inférieurs » par son cher mari. Elle soupçonnait que la malédiction de Raspoutine l’avait peut-être suivie jusqu’ici, l’empêchant d’être définitivement heureuse. Mais c’était mal connaître Hera. Personne ne se mettait sur son chemin, encore moins quand il s’agissait de l’empêcher de rendre ses amis heureux ou de faire son boulot de déesse. Elle s'était donc promis de faire en sorte que la jeune femme finisse par réaliser un jour ce rêve, si tant est qu'il soit toujours réel pour elle.

L'après-midi avait passé et Victoire avait fini par rentrer chez elle après avoir répondu aux questions d'Anastasia et lui avoir avouer que son petit frère ou, tout du moins, le double de son petit frère venu d'un monde parallèle avait fini par rentrer avec elle ici, à Storybrooke, sain et sauf. Puis les jours avaient passés et les mois et Hera goûtait de nouveau le bonheur d'une vie paisible, aussi calme et délicieuse qu'elle ne l'avait jusqu'alors jamais été, désormais plus hantée ni par le fantôme de son mari, ni par celui d'Hermès. Il restait bien Dolos, évidemment, mais il était pour le moment hors de question d'y penser, le temps était à la fête surtout en cette nouvelle période de...

- Bonne annéeeeee !!

Elle venait de sauter dans les bras de la rouquine avant de l'embrasser comme la coutume le voulait. Elle avait ensuite chatouillé Abigaëlle, fraîchement retrouvée et avait pris le pauvre papa qui n'était plus tant en perdition qu'avant dans les bras. Après ce court moment de douces retrouvailles, elle avait fini par taper dans ses mains avant de dire d'un ton plus autoritaire qu'elle ne le voulait :

- Bon ! Fais tes bagages, on s'en va !

Devant le regard surpris de son amie, elle avait tourné son regard vers Dimitri et l'avait gratifié d'un clin d'oeil. Il savait définitivement garder les secrets, ce qui était un bon point pour lui. Tout en lui montrant la chapka qu'elle avait sur la tête, elle lui expliqua alors :

- Il y a deux ans, toi et moi nous avons fait un voyage que j'ai malheureusement du écourter pour des raisons divines et dérisoires. Cette année 2018 s'est soldée par un mariage malheureusement avorté pour des raisons tragiques et j'ai donc décidé que 2019 serait votre année... et la notre aussi mais ça c'est autre chose.

Elle avait murmuré le reste de la phrase dans sa barbe à une vitesse qui le laissait que peu de place à la compréhension.

- De ce fait... on va repartir sur tes origines, si on peut dire ça comme ça, on va aller te trouver une robe de marier là où tu aurais du l'acheter à savoir... dans ton pays, la Russie ! Mais comme je ne peux pas te ramener dans le monde des contes et bien... nous allons faire ça dans ce monde...

Elle hésita un instant avant de faire apparaître un livre d'histoire qu'elle avait fini récemment.

- Tu savais que dans ce monde tu étais morte à 17 ans ? Tout le monde t'as cru en vie pendant de nombreuses années à cause de certaines personnes mal intentionnées mais ils ont fini par retrouver ton corps ainsi que ceux de ta famille en 2008... c'est assez vertigineux quand on y pense...

Elle avait dit cela d'un ton songeur, plutôt intéressé et excité, loin du ton simple et respectueux pour les morts dont elle parlait qu'elle aurait du user. Comme si l'information vitale lui passait au-dessus de la tête, ce qui n'était pas entièrement faux. Son Anastasia était devant elle bien vivante... les humains mouraient jours après jours, c'était le cycle de la vie et ils étaient aussi cruels que les Titans et les dieux alors pourquoi paraître choqué face au meurtre de personnes dont elle ne connaissait rien ? Il y en avait eu des centaines avant eux etil y en aurait encore des millions.

- Il reste peut de choses de ces Romanov-ci, hormis le palais d'Hiver que nous avons visité et les différents de palais de St-Petersbourg mais je te propose de voir l'après Russie Impériale, à Moscou, où il reste entre autre... quelques petites choses...

Elle lui lança un clin d'oeil avant de lui faire apparaître des vêtements suffisamment chaud, chics et confortable pour un voyage à Moscou en plein mois de Janvier et après avoir assuré à son amant et à sa fille qu'elles reviendraient dans quelques jours, elle la téléporta en plein coeur du Kremlin, à l'arrière d'un des musées qui refermait les derniers objets encore visitable de la famille Romanov. Victoire la poussa sans ménagement vers l'entrée bondée tout en précisant rapidement :

- Dépêche-toi à rejoindre la masse, j'aurai pas envie de me faire arrêter dans ce pays. Non pas que je ne puisse pas me défaire de ce mauvais pas au besoin mais je préfère éviter si tu veux bien et se placer dans un endroit désert et interdit n'est pas la meilleure façon de bien se faire voir.

Ce n'était pas sa faute bien entendu, mais il était hors de question d'apparaître au milieu d'une foule, il avait donc bien fallu prendre des risques. Arrivée à l'entrée, elle fit apparaître deux billets avec un sourire, se demandant si elle ressentait au fond d'elle la même étrangeté à l'idée de voir ce qui avait été le double de sa vie, tout comme elle même ressentait cela à chaque fois qu'elle posait les yeux sur Hermes.
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________________________________________ 2019-01-05, 22:35 « Men are such babies »

On pourrait croire qu'après des millions d'années vécues, Victoire n'aurait pas trouvé spécialement d'intérêt à marquer ce genre de célébration. Mais si quelqu'un croyait cela, ce quelqu'un se trompait manifestement. Ca l'étonnait encore parfois, sans doute parce que les livres et tout un tas d'autres trucs dépeigné les divinités comme étant au-dessus et inatteignables, mais Victoire était une femme comme une autre. Avant, la rouquine aurait pu s'étonner que la déesse lui saute dans les bras pour la nouvelle année. Mais ça, c'était avant.
Depuis son retour, Anastasia l'avait revue fréquemment et elle continuait de la considérer comme une amie, certes pas (encore) aussi proche qu'Anita ne pouvait l'être, mais une amie quand même. Elle avait même eu le loisir d'expérimenter, quelques semaines seulement plus tôt, la communication télépathique avec cette amie - dans une situation certes angoissante, mais tout de même, ça restait bon de savoir que les prière, des fois, pouvaient être entendues (celle de Camille pour qu'on ressuscite Héra, par exemple, l'a été).
- Bonne année à toi aussi ! lui souhaita Anastasia avait autant d'entrain que leur invitée.
Anya s'en tint à ces vœux simples et ne s'attendait, en fait, pas à ce que la déesse s'éternise. Elle ne s'attendait pas non plus à faire ses valises aussi tôt dans l'année, ce que Victoire put largement deviner à son expression surprise. La rouquine l'observa avant de couler un regard faussement outré en comprenant que Dimitri était dans la confidence.
C'est alors qu'elle fit attention à la chapka, couvre chef typiquement de chez elle, qui coiffait la tête de Victoire... et qui aurait pu la mettre sur la voie, en fait, si elle s'était donnée pour mission de profiler quiconque lui adressait la parole. C'était sans doute une bonne chose qu'elle laisse le boulot au boulot et c'en était une toute aussi bonne qu'elle prenne un peu de temps rien que pour elle.
Anastasia était du genre à se méfier des surprises en général mais cette situation était particulière : elle n'avait pas oublié cette aventure qui avait tourné court et n'aurait jamais osé espérer avoir une seconde occasion. De surcroît, elle était touchée par les intentions de Victoire et, quoique mise devant le fait accompli, elle sentait poindre en elle une certaine excitation. Oui, elle avait hâte de les faire, ces bagages.
La vie ne lui avait pas toujours souri, comme elle n'avait pas toujours souri à Victoire ou Dimitri, mais ce début d'année avait quelque chose prometteur. La Russie de ce monde, c'était peut-être mieux que le monde des contes dont Anastasia était originaire et qui, aux dernières nouvelles, ne s'était toujours pas remis de la chute des Romanov. Ce n'était pas vraiment son pays, mais cette Russie le lui rappelait à bien des égards.
Elle avait même eu son double qui, comme Victoire le rappela, avait connu un sort bien plus funeste. Les yeux bleu acier d'Anastasia restèrent rivés un instant sur le livre qu'elle avait fait apparaître, instant pendant lequel la princesse se demanda si elle avait envie de lire les détails de cette version d'elle ou pas.
- Oui... oui, je l'avais lu rapidement quelque part, répondit-elle finalement avec lenteur. Mais j'ai évité de creuser les détails sordides plus que nécessaire, ça m'a paru trop... bizarre.
Songeuse à son tour, Anya n'avait pas tiqué au ton de Victoire, qui poursuivit son récit, mentionnant le Palais d'Hiver, qui existait aussi dans le monde des contes. Anastasia se demandait où Victoire voulait en venir et eu bientôt la réponse : elle partait pour Moscou. Cette ville-ci, Anya ne la connaissait pas mais nota que Victoire avait l'air renseigné. Et maintenant qu'elle avait piqué la curiosité de la rouquine, cette dernière avait plus envie encore qu'avant d'y aller.
Visiblement, Victoire perçut cet enthousiasme puisqu'elle la para de vêtements adéquats. Quelques instants plus tard, le décor familier de la maison faisait place à la rumeur agitée d'un musée moscovite. Anya n'était pas totalement habituée à la téléportation, mais jugea qu'elle avait bien géré celle-ci. La seconde suivante, elle se hâtait de rejoindre la queue pour pénétrer dans le musée avec les billets matérialisés par la déesse.
- Il faudrait que je voyage plus souvent avec toi, c'est très pratique, nota discrètement Anya en coulant un regard en direction des billets. Tu as l'air bien renseigné sur les différentes versions de moi, poursuivit la jeune femme quand elles commencèrent à déambuler dans le musée. Je ne sais jamais quoi penser de ce que je découvrir de l'Histoire récente de ce pays, avoua-t-elle ensuite. C'est excitant de découvrir une autre version de soi, de comparer ce qu'on a eu de similaire ou pas et... d'un autre côté... peut-être que mon orgueil en prend un peu un coup en constatant que je suis moins unique que je ne le pensais. C'est un peu effrayant aussi, de savoir que les choses auraient pu se passer vraiment très, très différemment si...
La fin de la phrase se perdit dans le néant. Victoire n'avait pas besoin de mots précis pour saisir l'idée et ça tombait bien car Anya ne les trouvait pas.
- Tu crois que d'autres gens de chez nous ont des doubles dans ce monde-ci ? Ou tu penses que je devrais pas y penser ? C'est vrai que c'est peut-être affreusement humain comme préoccupation, commenta Anya plus pour elle-même que Victoire.
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Victoire Adler
« T'es qu'une putain d'armoire, Commode ! »

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Edition Août-Septembre 2020

| Conte : Intrigue divine
| Dans le monde des contes, je suis : : Hera, déesse du mariage, des femmes et des enfants

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________________________________________ 2019-03-17, 00:27 « T'es qu'une putain d'armoire, Commode ! »


Did I miss you ? You miss me too
Elle avait rejoins ses mains au niveau de son bas ventre, observant les vitrines avec légèreté, bien qu'avec un intérêt certain pour ce qu'elle voyait. Elle avait tant... voir tout cela de ses propres yeux lui semblait irréel et magique, comme un présent cher et inestimable qu'elle s'empressait de savourer avant qu'on ne le lui prenne de force. C'était une vieille habitude dont elle n'arrivait pas se défaire, même en sachant qu'il était mort. Elle avait toujours cette foutue impression de ne pas avoir le droit au bonheur, qu'il ne lui était donné que pour mieux lui être retiré par la suite... Et pourtant, rien ne laissait présager en cet instant que ce soit véritablement le cas. Elle était juste en Russie, avec une humaine qui lui était chère, en pleine découverte d'un véritable trésor national.

- Je ne suis pas spécialement renseignée sur les différentes versions de toi. Disons plutôt que je suis bien renseignée sur l'Histoire de cette Terre... J'ai eu bien des années d'ennuis à combler à Olympe et la lecture a toujours été un bienfait pour moi.

Elle lui lança un clin d'oeil avant d'observer l'une des robes impériale en penchant la tête et en se tournant de trois quart, se demandant si ce genre de robe pouvait convenir à sa silhouette. La rouge était plutôt jolie, bien que l'immense traîne accrochée à ses épaules risquait de la ralentir considérablement.

- Tu es unique, voyons. Unique dans ton monde, unique dans ton individualité, unique pour tes amis et tes proches. Ce n'est pas parce qu'une sombre inconnu te ressemblait plus que vaguement et qu'elle partageait un pan d'une histoire parallèle assez similaire à la tienne qu'il faut te dévaloriser très chère. Regarde moi, j'ai découvert il y a peu qu'il existait une autre Hera déjà morte dans un univers secondaire... est-ce que ça m'a désarçonné ? Bien sûr que non, elle était morte et j'étais vivante, ça ne changeait absolument rien à ma vie.

Elle observa son reflet en remettant une mèche brune derrière son oreille et recommença à déambuler dans le musée. Elle prit quelques secondes pour réfléchir à la nouvelle question de la rouquine qui semblait être plus profonde, peut-être même plus douloureuse. Avec douceur, dans un presque chuchotement, elle finit par lâcher :

- Ils sont mort Anya... Même ceux ayant possiblement survécus, cela s'est passé il y a plus de 100 ans ici... toutes les personnes que tu aurais pu connaître sont mortes de vieillesse dans le meilleure des cas... Quant aux gens de Storybrooke... je n'en ai aucune idée, tout est possible... tous ceux ayant un ancrage historique pourraient possiblement avoir une trace ici aussi... Mais je n'ai pas encore rencontré de personnage similaire à ton cas à Storybrooke... je m'intéresse difficilement aux gens, je dois dire...

Elle se stoppa alors au milieu du musée, observant en silence la personne qui venait de la bousculer passer devant elle comme si de rien n'était avant de pointer une vitrine du pouce :

- Bon, qu'en penses-tu ? Une robe comme celle de maman le jour de son mariage ou un truc un peu plus... moderne et moins impérial dirons-nous ? Pendant que tu réfléchis, je voudrais te montrer autre chose... mais il va falloir se la jouer... un peu plus rebelle dirons-nous. Tu es prête ?

Elle lui avait indiqué la sortie d'un signe de tête et se déplaçait à présent à l'air libre. Le plus dur était encore de trouver de nouveau un endroit à l'abris, loin de tous ces gardes siffleurs qui tenaient le fort comme pendant un jour de siège. Elle entra alors dans une ruelle, entre deux églises aux dômes dorées et lui attrapa la main. Lorsqu'Anya ouvrit de nouveau les yeux elles, étaient dans un endroit tout autre, richement ouvragé et parfaitement silencieux. Victoire commença à avancer d'un pas souple et silencieux, s'approchant du fond de la salle où étaient exposés trois trônes. Tout en chuchotant, elle précisa :

- C'est ici qu'ils les gardent... dans le Grand Palais, le trône de tes parents. Ca fait tout de même partie de ton héritage, je me dis que tu aurais voulu les voir dans la mesure où ton Palais dans ton St Petersbourg était déjà bien pillé. Petite info de dernière minute... le Grand Palais est aussi appelé Palais du Sénat... traduction, nous n'avons aucun droit être là alors... faisons cela silencieusement. Je t'avais que ça serait rebelle.

Elle lui lança un nouveau clin d'oeil avec un sourire amusé. Que quelqu'un vienne les déranger, elle oserait lui dire à qui il avait affaire... ou peut-être pas.
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Anastasia Romanov
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Anastasia Romanov

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________________________________________ 2019-03-17, 18:33 « Men are such babies »

L'ennui était quelque chose qu'Anastasia aussi avait bien connu, à une époque, aujourd'hui révolue. Les orphelinats russes n'étaient pas particulièrement propices à l'épanouissement des enfants qu'ils accueillaient, particulièrement quand on avait pour superviseur la terrible camarade Tuberkulov dont la seule ambition était d'avoir "une place dans la société". Elle ne doutait cependant pas que Victoire avait eu accès à plus de livres et dû combler un temps plus long que le sien qui avait également été parsemé d'amitiés, éphémères pour la plupart. Ce n'était assurément pas un concours mais Anya, au final, ne pouvait pas tellement se plaindre.
- On dirait que la lecture peut combler toutes sortes de manques, se contenta d'approuver la rouquine, encore un peu absorbée par ces vieux souvenirs qui remontaient.
Tout comme Victoire, elle focalisa son attention sur les robes en face d'elles, semblables à celles qu'elle avait connues le peu de temps durant lequel elle avait véritablement été une Grande Duchesse.
Anya n'était pas certaine que ce soit tellement son style mais s'imaginait parfaitement Victoire dans de telles parures. Elle avait un meilleur port de tête qu'elle et quelque chose de sans doute plus royal. Mais s'il y avait une chose dont elle était absolument certaine, c'était que Victoire savait lui parler. Elle ne put s'empêcher de sourire, reconnaissante. "Tu es unique, voyons". Comme si cela avait été une sornette que d'oser imaginer l'inverse ! La suite sembla d'ailleurs abonder dans le sens de l'humaine, à savoir que c'était typique de cette espèce que d'avoir pareilles préoccupations. A sa décharge, Victoire avait littéralement des siècles de réflexion d'avance sur elle.
- Peu de choses semblent pouvoir te désarçonner, fit remarquer Anastasia avec un clin d'œil espiègle.
C'était sans doute faux, mais Victoire donnait véritablement cette impression, parfois presque intimidante. La jeune femme la suivait en déambulant lentement dans le musée, tâchant d'enregistrer toutes les informations afin que ses souvenirs, plus tard, soient aussi limpides que possibles. En fin de compte, elle quittait rarement Storybrooke et encore moins pour visiter d'autres coins de leur nouvelle Terre.
- Tu as raison, cela dit, poursuivit la rouquine.
Il était rare que l'orgueilleuse Anastasia Romanov admette ce genre de choses aussi facilement. Mais parfois, elle devait s'incliner devant les faits. Devait-elle aussi se sentir importante parce que Victoire, la déesse Héra, s'intéressait à elle alors qu'elle ne le faisait pas d'ordinaire ? Anya s'interrogea, l'espace d'un instant, avant que Victoire ne s'arrête brutalement et que ce soudain changement ne libère son esprit de toutes ces considérations. Victoire avait une idée derrière la tête. Anya pouvait le sentir et la suite ne fit que le confirmer.
Elle observa la robe en essayant de se projeter avant de sourire à l'évocation du terme "rebelle". Ce n'était pas parce que soi-disant c'était le titre d'une autre princesse rousse (sans rancune Merida) que ça ne pouvait pas intéresser la Grande Duchesse qui n'aimait pas le protocole.
- On a dit que c'était une virée pour s'amuser, non ? Alors allons-y, rebellons nous !
Naturellement, elle lui emboîta le pas et se laissa guider, ou plutôt téléporter... directement dans une salle des trônes. Victoire ne plaisantait pas en disant qu'il fallait être un peu rebelles pour sa nouvelle aventure !
- Oh je me doute bien qu'on a pas le droit d'y être, chuchota Anastasia. Sinon on aurait jamais été seules ici... Merci pour la visite privée, à propos. C'est marrant, j'avais le souvenir que ces trônes étaient plus grands... Ou bien c'est parce que j'étais plus petite à l'époque.
Le musée public était pris d'assaut. Ca faisait du bien, un peu de calme et d'espace au point d'entendre ses propres pas quand Anastasia s'approcha des trônes pour les observer de plus près. Puisqu'il n'y avait pas de cordon de sécurité étant donné que la salle n'était pas censée être ouverte au public, Anastasia passa une main rêveuse sur l'un des accoudoirs puis se tourna vers Victoire :
- Tu sais que je me suis jamais assise sur aucun trône ? Même quand nous sommes retournés dans "mon" palais pour chercher Abigaëlle ça ne m'a pas traversé l'esprit... Je n'étais pas destinée à régner et je crois que je préférais jouer à autre chose. Mais... Je crois qu'au vu des circonstances maintenant j'aurais droit d'y prétendre. Non ? Au musée en tout cas y avait l'attirail de princesse qui va avec le rôle.
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Victoire Adler
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________________________________________ 2019-07-09, 23:52 « T'es qu'une putain d'armoire, Commode ! »


Did I miss you ? You miss me too
Victoire laissa Anya toucher l'accoudoir de l'un des trônes non sans un sourire plutôt discret et ému pour sa protégée. Elle avait veillée, de son côté, à rester assez loin, en retrait, pour lui laisser de l'espace. Elle semblait se remémorer des pans de sa vie, bien que celle-ci ne soi que celle d'un double, copie fantômatique dont la vie s'était brusquement arrêté à l'aide de quelques balles bolchéviques. Elle avait en face d'elle une rousse qui se demandait sans aucun doute si elle aurait pu un jour atteindre le fauteuil et elle se souvenait de son propre sort, de son propre mariage, jour aussi funeste qu'honorant auquel elle n'avait pas failli.

Zeus avait voulu que la cérémonie soit grandiose. Elle se souvenait encore de sa robe blanche, de son attirail dont il avait fallu se parer, pas tellement loin des représentations qu'on lui en donnait et de cette immense couronne beaucoup trop lourde et se rapprochant curieusement tant de ces couronnes de tsarines. Ce pays avait mine de rien beaucoup de point communs avec elle malgré le fait que la religion polythéiste tels que les grecs la dépeignaient n'ai pas vraiment pris racine dans cet endroit éloigné. Ils vénéraient pourtant les paons au retour du printemps, les tenues que les reines avaient pu portaient étaient curieusement similaires aux siennes et cela la poussait sans aucun doute dans les bras de ses propres souvenirs. Elle se souvenait de ce jour où il avait fallu se préparer seule ou presque, loin de ses "soeurs". Elle se souvenait encore s'être demandé durant toute la cérémonie pourquoi ce rôle était le sien et pas celui d'une plus gracieuse et d'une plus belle comme Aphrodite. Elle s'était demandé ce qui avait animé le choix de son désormais époux tandis qu'il plongeait ses yeux d'acier dans les siens. Elle se demandait comment elle pourrait être digne de la charge, elle qui n'avait l'impression de venir de nulle part.

C'était comme tous ces foutus habitants de Storybrooke, elle avait l'impression d'avoir toujours été là sans se remémorer le passé. Avait-elle eu des parents ? Une enfance ? En cet instant, elle n'avait rien, elle n'avait sans doute plus rien ou jamais rien eu, hormis celui qui était désormais sien, créateur et créature, celui qui tenait sa main fermement dans la sienne, ne lui laissant aucun échapatoire possible. Il avait alors fallu sourire et elle s'était assise sur le même type de trône que...

- Tu sais que je me suis jamais assise sur aucun trône ? Même quand nous sommes retournés dans "mon" palais pour chercher Abigaëlle ça ne m'a pas traversé l'esprit... Je n'étais pas destinée à régner et je crois que je préférais jouer à autre chose. Mais... Je crois qu'au vu des circonstances maintenant j'aurais droit d'y prétendre. Non ? Au musée en tout cas y avait l'attirail de princesse qui va avec le rôle.

Victoire déglutit alors, se contentant de sourire d'un air moqueur tout en s'approchant de la jeune fille :

- Quoi tu veux véritablement réinstaller l'impérialisme tsariste ici et maintenant ? Je ne suis pas certaine que le président te laissera faire sans le moindre soucis, sous prétexte que tu es la sois-disante héritière du dernier tsar de toutes les Russies, venu d'un monde parallèle et n'ayant pris aucune ride... ou presque pas.

Elle concéda la dernière partie d'un hochement de tête sur le côté et d'un relevement de sourcil droit. Elle éclata d'un petit rire avant de reprendre son sérieux.

- Si en revanche, tu désirais simplement t'asseoir sur ce trône pour savoir quelle impression ça pouvait te donner... ne te prive pas.

Elle avait tendu les mains en avant vers les fauteuils avant de ramener ses mains l'une contre l'autre au niveau de son bassin, toujours le sourire aux lèvres.

- Après tout, ce sera peut-être ta seule occasion d'essayer et si tu veux mon avis, je suis prête à parier bien des choses que tu ne seras franchement pas la première à essayer.

Elle lui lança un clin d'oeil et observa alors la rousse se positionner sur le trône tout en étouffant un nouvel éclat de rire, beaucoup plus joyeux que moqueur. C'était un parfait anachronisme qu'elle avait à présent sous les yeux et une façon incroyable de reconstruire l'histoire.

- Alors ? Quel effet ça fait ? Ca te plaît ? N'y prends pas trop goût, je te rappelle que Storybrooke est démocratique.

Mais brusquement, son visage changea d'expression pour devenir beaucoup plus sérieux, voir légèrement paniqué. Des bruits de pas se rapprochaient dangereusement. Des pas dans des bottes de cuir et elle avait suffisamment appris les protocoles de chaque pays et de chaque siècle pour savoir exactement ce que ça signifiait.

- Descends de là ! Dépêche-toi !!

Elle lui avait fait plusieurs moulinets du bras pour la pousser à accélérer la cadence mais lorsque la rouquin la rejoignit, il était déjà trop tard, l'homme était entré dans la pièce avec plusieurs caméras et micros bleus, dont un "1" trônait fièrement en blanc pour préciser que la première chaîne du pays était là. L'homme qui menait la danse avait déjà plonger ses yeux gris dans ceux de Victoire qui garda tout son calme.

- Excusez-moi mesdames mais que faites-vous là ? Un instant s'il vous plaît.

D'un geste de la main, il stoppa les journalistes auxquels il était apparemment en train de donner certaines directives de réalisation, accompagné de son attaché de presse. Aussi vive que l'éclair, Victoire tourna la tête vers Anya pour lui faire comprendre qu'elle gérait la crise avant de la regarder de haut en bas rapidement pour lui faire comprendre qu'elle avait changer de tenue avant l'irruption. Elles portaient désormais toutes les deux un pantalon noir à la coupe droite, des chaussures noires parfaitement cirées et une chemise blanche. Leurs cheveux étaient attachés dans un chignon impeccable.

- Vladimir Vladimirovitch, je suis entièrement responsable de la situation, veuillez m'excuser. Voici Anastasia Alexandrovna, elle est nouvelle et s'occupera notamment des services aux dîner. Je suis Tatiana Dimitrieva et je suis l'une des gouvernantes. Je me chargeai de faire la visite à la nouvelle recrue. Nous pouvons revenir plus tard si...

Le président se contenta de lui serrer la main d'un geste aussi sec que simple avant d'en faire de même avec Anya, le sourire aux lèvres. Il hocha la tête dans un signe de salut et repris la parole avant que Victoire n'ai le temps d'ajouter un seul mot de plus en russe :

- Et d'où vient Anastasia Alexandrovna ? C'est sa première fois au Kremlin ?
- Tout à fait, elle est originaire d'Ekaterinbourg où elle a fait ses ordres.
- Cela vous plairait de visiter le reste du palais ?
- Vladimir Vladimirovitch, c'est un honneur mais nous ne voudrions pas vous déranger...
- Ne vous en faîtes pas pour cela, je n'ai que rarement l'occasion de remercier l'excellent travail que vous faîtes.

Il avait posé sa main sur son épaule et Victoire avait du user de tout son self contrôle pour ne pas avoir de mouvement de recul. Personne hormis son mari n'avait jamais posé la main ainsi sur son corps et l'idée qu'il puisse la transpercer aussi sereinement avec des yeux aussi aguisés que ceux de Zeus ne l'aidait pas spécialement à se sentir sereine. Pourtant, elle se contenta d'hocher la tête avec un sourire tandis que le président se détourner désormais d'elle pour expliquer aux journalistes pourquoi il devait leur fausser compagnie. Hera en profita pour préciser à son amie le plus bas possible, en chuchotant et toujours en russe craignant que l'américain ne l'alerte :

- T'en fais pas, respire, on va s'en sortir. Il ne va pas pouvoir vérifier mes dires avant un petit moment et si besoin je ferai apparaître les deux trois tâches d'encres qui nous disculperont. Dieu merci le russe est ta langue maternelle... Contente-toi de rester droite comme un "i", les mains le long du corps et d'écouter ce qu'il te dit le plus sereinement possible. Ne parle pas trop. Dès qu'il nous permets de retourner au charbon, on se tire d'ici. Il est en train de faire sa pub avec nous, c'est pour ça qu'il nous propose ça, ça ne devrait pas être...
- Nous y allons ?
- Bien sûr.

Elle hocha la tête d'un air assez rigide, digne de la gouvernante qu'elle devait être et passa devant les journaliste avec un sourire et un bonjour poli, suivi par Anastasia. Ils étaient désormais lancés dans les dédales de couloir du Palais du Sénat et Victoire priait simplement pour qu'Anastasia ai un vague souvenir d'à quoi ressemblait les femmes de chambres de son temps et qu'elle avait suffisamment de connaissance sur la géographie et l'histoire de ce pays pour répondre aux questions de l'homme d'acier.
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Anastasia Romanov
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________________________________________ 2019-07-10, 00:31 « Men are such babies »

Victoire était restée en retrait ce qui était très délicat de sa part. Anastasia se retint cependant de lui jeter un regard ou deux, histoire de ne pas avoir l'air d'une petite fille plus que nécessaire. Si elle l'avait fait, peut-être aurait-elle pu voir à quel point la déesse aussi était plongée dans ses pensées, comme si la salle du trône était là mais sans y être.
Pour Anastasia, c'était bien sûr "son" palais qu'elle avait à l'esprit, ce qui aurait pu et aurait dû être, et elle n'aurait pas pu deviner ce que Victoire avait précisément en tête, même si elle s'était retournée et l'avait observée. Profiler des dieux était sans doute plus complexe que profiler des humains. Avec les premiers, tout était décuplé, presque parfois à la limite de ce que les esprits mortels pouvaient concevoir.
Alexei aurait-il été un souverain juste ? Il était mort si jeune qu'Anastasia peinait à l'imaginer pleinement homme. Quant à ses aînées, certaines auraient été de vraies pimbêches, dignes des ragots de la cour, mais Anya avait l'impression que cette vie l'aurait lassée. Ou bien était-ce parce que l'enseignement de l'étiquette donné par Vlad et Dimitri avait été particulièrement ennuyeux ? Quand elle était enfant, elle ne voyait que les perpétuelles fêtes, sans se rendre compte du poids des responsabilités qui vous tombaient dessus lorsque vous vous asseyez sur ce trône.
- Je pensais juste à m'asseoir mais maintenant que tu en parles, un putsch me parait une bonne idée aussi, merci du tuyau. Quand je serai impératrice, tu seras ma main, ajouta Anastasia, faussement solennelle avant de prendre place sur le trône tout en se demandant à quel degré de ridicule elle pouvait bien être.
- Qui d'autre à essayer ce trône avant moi, selon toi ? reprit-elle une fois habituée au confort pas si extraordinaire de son assise. Que je sache après qui je pose ici mon impérial séant. Hmm... en tout cas c'est pas trop mal. Très bonne vue d'ensemble sur la pièce pour rien te cacher je me suis assise sur des trucs plus confortables.
Peut-être qu'au début du siècle dernier on avait pas la même idée du confort. Cette interrogation ne dura pourtant que quelques instants : au ton paniqué de Victoire, Anastasia n'avait pas mis bien longtemps à comprendre qu'elles avaient des ennuis et à bondir comme si le trône était chauffé à blanc. Pas assez rapidement cependant pour avoir le temps de disparaitre avant l'arrivée des journalistes.
Evidemment, pesta intérieurement la rouquine. Y avait toujours la presse quand on avait des ennuis. Il lui fallut beaucoup de contenance pour ne pas rouler des yeux et se contenter de croiser ceux de Victoire, comprendre qu'elle avait un plan, coulé un regard vers ses nouveaux vêtements et tâcher de se tenir droite comme le font sans doute les gens dans ce genre de situation. Tout en faisant cela, elle ne put que noter l'aisance de Victoire. On aurait dit qu'elle avait fait ça toute sa vie. Elle, en comparaison, avait l'impression de devoir fournir plus d'efforts mais se consola avec sa poignée de main qui avait toujours été trop forte.
Moins de deux minutes plus tard, elles étaient en route avec le président et le plan de Victoire, qui était très bon. Anastasia n'aurait pas su en formuler un aussi rapidement et suivit ses instructions au pied de la lettre (ce qui n'arrivait pas souvent), se concentrant même pour ne pas regarder les journalistes du tout en dépit de sa curiosité.
- On repassera pour le putsch, glissa-t-elle à un moment où il lui semblait improbable d'être entendue.
Puis elle se concentra à nouveau sur les explications de la visite guidée - propagande en se rappelant pourquoi dans les musées elle visitait toujours sans guide. Mais au vu des circonstances, elle faisait tout son possible pour tout écouter, à la virgule près.
- Et où étiez-vous à Ekaterinbourg exactement ? reprit-il entre deux commentaires sur l'endroit et la Mère Patrie.
- Au Regency, monsieur le président, répondit Anya presque sans hésitation.
- Il me semble que ce n'est guère loin du site sur lequel une cathédrale devrait être construite une fois que cette polémique aura cessé. Votre avis à ce sujet ?
- Votre idée de demander aux résidents ce qu'ils en pensent de la construction ou non de Ste Catherine me parait le meilleur conseil qui soit.
- Très bien. De ce côté mesdames, c'est par ici que la visite continue, annonça le président en bifurquant sur la droite.
A cet instant Anya coula un regard à Victoire, ravie d'être suffisamment patriote pour lire en diagonal les articles de presse qui parlaient de la Russie quand elle en trouvait sur le Google.

HJ : je connais rien de rien en dehors des Romanov donc j'ai pris le premier truc incluant notre ami Vlad et Ekaterinbourg sur Google, déso si c'est pas ouf Did I miss you ? You miss me too ♛ Anya 453450723
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