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 La science de l'emploi ✧ STANFORD

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Tohru Honda
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________________________________________ 2020-03-12, 12:11



La science de l'emploie
L'emploi qu'un homme finit par obtenir est rarement celui pour lequel il se croyait préparé et dans lequel il pensait pouvoir être utile.

La journée avait plutôt bien commencé pour Tohru. En effet, en fouillant dans des cartons afin de faire un peu de place et de peut-être donner quelques objets à des collectes elle était tombé sur une paire de ruban. Mais pas n’importe quelle paire de ruban. Non, c’était celle offerte par Yuki en remerciement pour ses chocolats de la st valentin lors de leur première année de lycée. Se jurant, d’y faire plus attention à l’avenir et de les conserver précieusement elle s’empressa immédiatement de les nouer dans ses cheveux, trop heureuse d’avoir retrouvé un souvenir de sa vie d’avant.

Ses cours du jour, se passaient dans les locaux de l’université de la ville. Elle n’en avait de ce fait, pas beaucoup et n’avait pas à travailler pour l’un de ses petits boulot ce soir. Anna -qu’elle avait eu du mal à ne plus appeler « Mademoiselle Anna »- avait insisté pour qu’elle se repose et s’occupe tranquillement de préparer son examen trimestriel. Devant un jury composé des artisans de la bouche se trouvant en ville, ils allaient devoir cuisiner sur un thème et des ingrédients imposé. Il lui faudrait donc, pas mal de pratique. L’ennuie c’est qu’il fallait qu’elle se trouve un nouveau petit boulot. Le loyer avait augmenté en début d’année, et ce qu’elle gagnait actuellement ne lui suffisait plus pour tout payer. Pourtant, ce n’était pas bien grand chez elle, c’était presque plus un studio qu’un véritable appartement, mais la proximité avec l’université et l’école de cuisine faisait que le quartier n’était pas vraiment réputé pour ses loyers très abordable. Peut-être aurait-elle dût se rendre dans une des résidences universitaires, mais elle n’était pas sûr d’avoir autant de liberté et d’autonomie qu’en vivant par ses « propres moyens ».

Finissant de se préparer, elle passa la lanière de son sac sur son épaule, et attrapa ses clés posé sur la table basse lui servant pour a peu près tout que ce soit réviser ses cours ou bien pour manger, ou encore faire ses comptes et où présentement trônait la photo de sa mère :

- J’y vais maman ! A ce soir !

Elle claqua la porte prenant soin de la fermer, et descendit les marches de l’escalier tout en chantonnant joyeusement un air qu’elle aimait. Une fois arrivé dans la cour de l’université, elle en profita pour faire un détour du côté du grand panneau d’affichage. On pouvait y trouver tout un tas de choses allant de la prochaine fête étudiante aux diverses « manifestations » organisé par les clubs, en passant par ce qui l’intéressait le plus à savoir : les offres d’emploi pour étudiant. Il fallait qu’elle trouve vite, et s’il n’y avait rien sur le tableau, elle n’aurait qu’a faire une recherche en ligne en espérant trouver quelque chose. Si ce n’était pas demain, ce serait après demain. Tohru était une éternelle optimiste qui ne perdait jamais espoir, pour elle le verre était toujours à moitié plein au lieu d’être à moitié vide. Et d’ailleurs cet optimisme sembla payer alors, qu’elle tombait justement sur ce qui ressemblait fortement à une annonce :

Recherche étudiant(e) motivé(e) pour assistance de recherches scientifiques sur le terrain. À valoriser : détermination, possibilité de déplacement rapide (disponibilité) et en bonne santé. Privilégié si vacciné. Me contacter au 213-509-6995 et demander la chambre 18 bâtiment B

Elle la décrocha et la relut plusieurs fois, avant de la plier et de la ranger soigneusement dans son sac. C’était décidé, elle allait postuler. Mais pas maintenant, ses cours allaient commencer d’une minute à l’autre et il ne fallait surtout pas qu’elle soit en retard. Heureusement, elle possédait comme tout le monde un téléphone portable. Certes, le sien pourrait être comparé à une antiquité, étant donné qu’il avait déjà six ans. Et si pour elle, ce n’était pas grand-chose, pour la plupart des gens, ce n’était pas forcément le cas. Pourtant, elle ne se voyait pas le remplacer. Un téléphone portable ça coûte cher, en particulier si elle devait changer son forfait. Elle n’écoutait qu’un peu de musique avec, et le reste du temps il lui servait surtout pour avoir le contact avec ses employeurs. Un petit forfait lui convenait parfaitement, elle n’avait pas besoin de 35 mille giga pour surfer sur internet. En fait, elle ne se servait même pas d’internet. Elle préférait largement, utiliser son ordinateur à la maison ou bien en cours, qu’elle trouvait plus pratique.

Mais avec cette annonce, c’était pour Tohru définitivement le signe que la journée ne pouvait que bien continuer. Souriante, elle replaça une mèche de cheveu brune déplacé par le vent et se dirigea vers les bâtiments où ses cours auraient lieux. Aujourd’hui, elle finissait tôt alors peut-être qu’entre deux révision de théorie elle aurait le temps de téléphoner pour l’annonce. La pratique devrait de toute façon attendre, si chez-elle, elle pouvait bien entendue le faire, elle n’avait pas vraiment de personne à qui faire partager tout ça le jour même et donner des reste à Anna ne lui semblait pas correcte. Heureusement, les Mercredi elle travaillait dans un café, et on la laissait généralement tester sa pratique là-bas. Le patron avait même proposé d’inclure des plats qu’elle avait préparé dans le menu. Elle s’était sentie gênée mais n’avait pas osé refuser, après tout c’était tellement gentil de sa part de faire ça, alors qu’il n’en avait aucunement l’obligation.

L’air concentré, Tohru venait de mettre le point final à ses notes de la journée pour son cours d’histoire. Elle éteignit et ferma son pc portable, qu’elle rangea dans son sac, alors que leur professeur faisait le point sur leurs prochains examens. Elle savait que bientôt, elle aurait ses matières générales en plus de celles techniques à réviser. La fin de l’année scolaire, approchait rapidement vu la vitesse à laquelle le temps passait. Intérieurement, elle était déjà en train d’organiser un planning pour jongler entre révisions et petits boulots. Autrefois, Yuki l’aurais sûrement aidé pour réviser néanmoins, elle n’avait pas encore retrouvé son ami, alors elle devrait se débrouiller seul. Cela ne lui faisait pas peur, après tout Tohru avait toujours été une débrouillarde.

Une fois sortie de l’amphithéâtre, et du bâtiment en lui-même elle décida de s’installer sur un banc et ressortie la feuille qu’elle avait prit ce matin en arrivant. D’une main elle composa les chiffres du numéro, et porta le téléphone à son oreille :

- Bonjour, serait-il possible d’avoir la chambre 18 du bâtiment E ? C’est pour l’annonce déposé à l’Université.

Ces mots, elle les prononça dès que la tonalité indiquant qu’un interlocuteur avait décroché retentit. Après tout, ce genre d’annonce elle y avait répondu des centaines de fois, à force c’était devenu comme un automatisme.
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________________________________________ 2020-03-26, 22:32





La science de l'emploi
Ft. Tohru


Ce matin, alors que j'avais baigné dans le travail toute la nuit à trier mes notes par sujet puis par ordre alphabétique en pile des recherches les plus récentes aux plus anciennes, je me rendais compte que quelque chose que j'avais déjà compris auparavant mais que je niais toujours : je ne pouvais plus me débrouiller seul. J'avais besoin de soutien pour effectuer des plus bêtes besognes à des tâches plus compliquées qui demandaient rigueur et patience. Dipper me l'avait conseillé il n'y a pas longtemps, proposant de donner un coup de main quand il le pouvait malgré ses études qui lui prenaient beaucoup de son temps libre. Il en était de même pour Danny et je ne comptais certainement pas demander à Stanley qui ne saurait pas tenir 10 minutes à empiler des notes précieuses ! Il en ferait sûrement s'envoler la moitié après avoir ouvert la fenêtre car "il faisait trop chaud".

En résumé, je n'avais à mes côtés que peu de possibilités. Il ne me restait donc qu'une seule option pour trouver une personne capable de me suivre dans mes expéditions et m'aider à l'organisation de mes recherches tout en restant motivé et engagé : il fallait que j'embauche. Un apprenti, peut-être ? Non, c'est moi qui n'en aurait alors pas le temps. Je me focalisais sur tant de choses à la fois depuis Storybrooke et avec l'aide que j'apportais à l'Université ainsi qu'à Danny ou encore Dipper de temps à autres, je ne pouvais me permettre de former un futur chercheur. Il fallait donc être sobre dans la demande... Le nécessaire simplement m'était utile.

Sur un bout de papier, je commençais à écrire au stylo plume...

Recherche étudiant(e) motivé(e) pour assistance de recherches scientifiques sur le terrain. À valoriser : détermination, possibilité de déplacement rapide (disponibilité), bonne condition physique, patient, vigoureux, vif d'esprit, scientifique, grand, habile, travailleur de nuit et en bonne santé. Privilégié si vacciné.


Il fallait peut-être que je revois mes critères à la baisse, m'étais-je dit en barrant la plupart des caractéristiques recherchés. Après tout, je pouvais bien m'adapter à la personne, je n'étais pas non plus si handicapé. Mon esprit restait très actif et mes conditions physiques - dues à la potion que Stanley m'avait fait boire - aussi bonnes qu'à ma quarantaine. Je n'avais finalement besoin que d'un peu d'assistance technique et cela au plus vite. Détailler ma demande ne ferait qu'amener le doute ou la lassitude aux élèves. Néanmoins, être trop court pourrait ne motiver que les moins travailleurs, ceux qui ne pensent qu'à l'argent...
Et c'est ainsi que je passai une demi-heure à me corriger avant de simplement reprendre mon texte initial, ajoutant : Me contacter au 213-509-6995 et demander la chambre 18 bâtiment B. Ainsi pourrais-je alors tester les limites et la motivation de ceux qui se proposent.

Réécrivant au propre le tout, je me rendis à l'Université en fin de matinée et accrochai la note sur le panneau d'affichage principal. Puis je rentrai à l'hôtel et patientait sagement les premiers appels.

Toujours affairé au travail durant une bonne partie de ma journée, cherchant déjà ce que je pourrais proposer à celui ou celle qui passerait la porte de l'hôtel pour demander à me voir, je finis par entendre la sonnerie du téléphone de l'hôtel se déclencher. D'un geste vif, je fis rouler la chaise roulante jusqu'au mobilier et décrochai immédiatement.

"Allo ?"

L'interlocuteur était une jeune fille qui se présentait concernant l'annonce que j'avais faite.

"Oui, tout à fait ! Seriez-vous disponible pour me rejoindre à l'hôtel dans l'heure qui suit ?"

Elle accepta, ce qui cocha le premier point de disponibilité. Rien qu'à la voix, j'entendais une motivation déterminante ainsi qu'un calme et beaucoup de courtoisie. J'espérais seulement ne pas l'effrayer par mon quotidien qui n'avait rien à voir avec celui d'une étudiante.

"Je noterais simplement votre nom de famille ainsi que votre prénom que vous présenterez à l'accueil pour me signaler votre présence."


Tohru Honda, écrivais-je sur un papier. Sur quelques derniers mots, je raccrochais et repris le travail. Mais... Ne devais-je pas songé aux tâches qu'allaient devoir effectuer la jeune fille pour son premier jour d'essai ? Ce n'était pas comme si le travail manquait ici mais je devais surtout lui donner celui qui pourrait évaluer ses capacités. Tournant sur ma chaise, je méditais le temps que l'accueil m'appelle à nouveau, patientant bien quinze minutes avant de moi-même m'y diriger. Je n'avais pas plus à faire en haut qu'en bas pour le coup et puis, je voulais savoir ce qui cette nouvelle employée pouvait être - je souhaitais le deviner. Étrange, peut-être ? Nous n'étions pas des Pines pour rien.

Plusieurs jeunes femmes étaient passées mais pas assez jeunes pour être étudiantes - ou peut-être trop vieille pour que je les imagine avec la voix de Tohru. En haut des escaliers menant au premier étage, je patientais que Wendy énonce le nom de la jeune femme. Finalement, je la vis passer la porte. Il était obligatoire que ça soit elle et non une autre, son regard quelque peu perdu concordait avec sa voix sage et polie. Et alors qu'elle se présenta à l'accueil et que Wendy composait mon numéro de chambre, je descendis les escaliers pour arriver à leur niveau et tendit une main à la jeune fille.

"Ah, vous voilà ! Tohru Honda c'est ça ? Je suis Stanford Pines, le chercheur qui déposé l'annonce. C'est un plaisir de savoir qu'il y a déjà des motivés. Suivez-moi, nous avons beaucoup de travail qui nous attend."

Je la conduisis jusqu'au bâtiment dans lequel mon bureau se trouvait. Était-ce véritablement un lieu dans lequel convier une étudiante pour un emploi ? Je ne m'étais pas réellement posé la question sur le moment.

"Pour commencer, il faudrait que nous apportions toutes ces piles de notes jusque dans mon laboratoire. Je pourrais alors vous expliquer en quoi consiste l'assistance dont j'ai besoin. N'hésitez pas pour les questions, j'y répondrais avec plaisir."

Heureusement que j'avais un véhicule, je ne savais pas comment nous allions pouvoir transporter autant de paperasses jusqu'au laboratoire autrement.




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________________________________________ 2020-04-14, 17:47



La science de l'emploie
L'emploi qu'un homme finit par obtenir est rarement celui pour lequel il se croyait préparé et dans lequel il pensait pouvoir être utile.

Le temps d’une conversation téléphonique, et voilà qu’on lui proposait déjà de passer. Évidemment, Tohru sauta sur l’occasion pour accepter, c’était inattendue, presque inespéré d’ailleurs. Dans tous ses autres entretiens on lui avait rarement proposé de passer le jour même. A la place, les gens prenaient rendez-vous, lui donnaient un créneau et elle s’arrangeait toujours, pour s’organiser afin de ne surtout pas le rater. En fait, il n’y avait qu’avec Anna où les choses s’étaient faites tout de suite. Ce n’était pas très étonnant au fond, la rousse était quelqu’un de très spontané. Et là, où Tohru s’était attendue a devoir donner une tonne de références, il s’était avéré que pas du tout, la jeune mère n’avait fait que lui poser des questions, allant droit au but, et l’avait engagé après son « interrogatoire. » Depuis, Tohru était la babysitter du petit Matthew.

Mais tous ses autres emplois, avaient été minutieusement programmé. Pour autant, cela ne la dérangeait pas de passer, elle avait suffisamment de temps devant-elle, et l’oisiveté n’avait jamais vraiment fait partie de son caractère. Thoru était travailleuse, elle en avait eu l’habitude quasiment toute sa vie. Au début, elle ne voulait même pas entrer au lycée, préférant trouver un emploi afin d’aider sa mère. Mais, c’était suite aux révélations de cette dernière concernant ses regrets de ne pas avoir connu cette vie, qu’elle avait décidé de pousser ses études jusqu’au diplôme. Elle pourrait parfaitement travailler après, rien ne l’en empêchait. Malheureusement, sa mère avait été victime d’un accident de la route peut après son entrée au lycée. Pour autant, elle avait tout de même souhaité aller au bout, pour sa mère. Jamais, elle n’aurait envisagé faire quelque chose d’autres que travailler après, l’école de cuisine n’avait jamais vraiment fait partie du chemin qu’elle s’était tracé, mais c’était son professeur principale qui l’y avait encouragé.

Avec le recule, elle songeait que jamais elle ne pourrait suffisamment le remercier. Elle aimait ce qu’elle faisait, ça ne faisait aucun doute. Toute seule, jamais elle ne se serait dirigé vers cette voie là. Certes, elle devait cumuler les petits boulots pour payer ses frais de scolarité et son loyer. Mais au fond, ça ne changeait pas grand-chose vis à vis de la situation dans laquelle elle avait été avant d’être transporté à Storybrooke. Suivre une scolarité qu’elle devait payer de sa poche, et travailler à côté Tohru connaissait parfaitement. La seule différence était peut-être le loyer en plus mais au fond ça ne le dérangeait pas, c’était juste un peu différent de ce qu’elle s’était toujours imaginé mais pas en mal au contraire. C’est donc souriante, qu’elle se précipita vers l’arrêt de bus devant l’université. Elle gratifia le conducteur d’un joyeux « bonjour », tout en payant son ticket et alla s’asseoir devant, afin d’être sûr d’avoir les yeux rivés sur le panneau électronique affichant les arrêts. Ce n’était pas la première fois qu’elle prenait le bus, mais elle était toujours nerveuse à l’idée de rater son arrêt. Elle savait que son sens de l’orientation n’était pas vraiment le meilleur qui soit. C’était d’ailleurs la raison principale pour laquelle elle faisait toujours attention de bien regarder les arrêts pour ne surtout pas rater le sien.

Très concentré durant tout le trajet, elle finit par se lever et de ne pas oublier d’appuyer sur le bouton permettant au chauffeur de savoir qu’il devait s’arrêter. Après l’avoir remercié, elle sortie de l’engin toujours guillerette et manqua de se rater sur la dernière marche, heureusement Tohru réussit tant bien que mal à se réceptionner. Pas découragée pour un sou, elle se dirigea tranquillement vers l’hôtel animée de toute sa détermination. Ce n’était pas nouveau, a chaque fois qu’elle devait postuler pour un nouveau travail elle se sentait deux fois plus motivée qu’a l’ordinaire. Tohru voyait chaque annonce à laquelle elle répondait comme une opportunité à saisir.

Entrée, dans le bâtiment elle eu a peine le temps de se présenter à l’acceuil, que déjà les choses sérieusement semblaient commencer. Après avoir serré la main, de celui qu’elle avait eu au téléphone -elle reconnaissait sa voix- Tohru, s’inclina :

- C’est bien moi, enchantée


De toutes les habitudes qu’elle avait pu avoir, celle d’incliner son buste quand elle se présentait ou bien s’excusait, était probablement celle qui n’était jamais partis. Impossible de s’en défaire, ce serait presque comme perdre une part d’elle même, ou du moins c’était son impression. Et comme elle n’avait encore retrouvé personne, c’était difficile de se faire une véritable opinion. Kyô ou Yuki auraient sans doute été plus en mesure d’en avoir une sur le sujet. Docilement, elle suivit donc son -elle l’espérait- futur employeur, qui lui expliqua la première tâche à faire. Cet amas de paperasse aurait pu sans doute faire peur à n’importe qui, mais il en fallait plus pour impressionner Tohru après tout, elle était bien venue à bout de « L’océan d’immondice » chez monsieur Shigure.

- Ça alors, ça doit-être très intéressant ce que vous faites, pour avoir autant de notes !

Et s’il y avait bien une chose que Tohru aimait faire par dessus tout, c’était justement s’intéresser aux autres. Elle avait passé des nuits entières à potasser des livres sur les arts martiaux ou bien sur la manière d’entretenir un potager afin de pouvoir partager et échanger avec Yuki et Kyô.

- Est-ce que vous voulez que je le prenne dans un ordre précis ? Demanda-t-elle. Ça ne me dérange pas de les classer dès maintenant si vous en avez besoin, et que vous le voulez. Sauf bien sûr si vous avez votre propre système de classement, je ne voudrais pas m’imposer.

C’était probablement ce qu’elle redoutait le plus, de s’imposer que ce soit d’une manière ou d’une autre d’ailleurs. Elle pouvait prendre des initiatives ça ne la dérangeait pas, mais s’imposer c’était sa hantise. C’était d’ailleurs pour cette raison, qu’elle avait dans un premier temps refusé d’emménager chez les Soma. Au bout du compte, les garçons lui avaient un peu forcé la main, mais c’était un mal pour un bien. C’était le premier endroit, depuis le décès de sa mère qu’elle avait un jour appelé son « chez elle ».

- Aussi...J’ai plusieurs autres petits boulots, est-ce que c’est dérangeant ? Je promet de m’investir deux fois plus s’il le faut, c’est promis !


A nouveau, elle avait reprit son air déterminée. Ça ne la dérangeait pas de devoir s’investir plus dans ce travail que dans les autres, c’était le genre de chose qu’elle avait à revendre de toute façon. Peu importe le travail, elle y mettait toute son énergie, et si là elle devait en donner encore plus ce n’était pas un problème du tout.
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________________________________________ 2020-04-30, 23:27





La science de l'emploi
Ft. Tohru


Ma première réaction avait été quelque chose comme : Quelle jeune fille bien éduquée !
Tohru Honda était de tout point comme je l'avais imaginé à l'entente de sa voix : de petite taille, discrète mais aimable malgré tout. Il ne me fallut que quelques minutes pour comprendre également qu'elle était investie et curieuse du travail qu'on lui confiait. Je ne pouvais être plus satisfait que de savoir quelqu'un intéressé par mes recherches même si je comprenais que l'on perde vite le fil. Les chiffres faisaient toujours fuir ceux qui ne les comprenaient pas alors que, bien au contraire, le simple fait de ne pas savoir m'intriguait d'autant plus à comprendre ! Il fallait percer le mystère qui se cachait derrière cet encodage élaboré... Et aujourd'hui, j'étais arrivé au point où je créé mes propres mystères et invitaient les plus jeunes à tenter de les résoudre. On ne pouvait que gagner au change du partage de savoir.

Malheureusement, ce n'était pas la meilleure partie du travail que j'allais confier à Tohru Honda et j'espérais qu'elle ne m'en tiendrait pas rigueur et accepte les tâches, aussi... manuelles soient-elles. Je restais vague quant au contenu des piles de notes qui devaient être emmenés pour éviter d'entrer dans un développement incompréhensibles pour l'étudiante... Au dépend de son parcours, je supposais ?

"En effet, ce que vous voyez représente beaucoup de nuits de recherches et de calculs. Je les aurais bien écrit dans des carnets mais le manque de place et l'imposition d'un ordre de lecture me frustrait. Avec les feuilles volantes, au moins, je peux les retirer, en rajouter et les changer de place comme bon me semble. C'est plus... pratique. Je vous passe les détails de leur contenu. J'agitais la main vers les piles, illustrant souhaiter qu'elle ne s'en préoccupe pas pour ne pas l'ennuyer. Par ailleurs - et si ce n'est pas trop indiscret de ma part - quelles études faites-vous, Tohru ? Oh attendez, laissez-moi deviner !"

J'avais perdu mes facultés de psychologie avec Ema mais ça ne signifiait pas que je ne pouvais pas les récupérer. J'aimais deviner le profil de mes interlocuteurs, chercher à les comprendre comme je ne l'avais jamais fait avant. En tant que Stanford Pines, j'étais un scientifique qui expliquait le "comment ?" mais comme Ford Hirsch, le maudit, j'avais fait mes preuves en psychologie à bien des reprises - cherchant alors le "pourquoi ?" si réputé de l'Homme.

"Mmmh... Je réfléchis, observant tout d'abord la tenue sobre de la jeune fille, puis la coiffure de ses longs cheveux bruns. Peut-être les langues, c'est un moyen de s'ouvrir aux autres, de contrecarrer la barrière des nationalités - Ou bien l'histoire de l'art, vous semblez curieuse de ce qui vous entoure et - Oh non, je sais ! La littérature. Ma main remonta jusqu'à mon menton que je frottais toujours lorsque je réfléchissais longuement. C'est jouer sur la facilité mais je vais rester sur cette hypothèse. Puis je me revins à l'étudiante. Ai-je juste ?"

De toutes ces piles, quatre d'entre elle devaient aller au laboratoire, ce qui n'était pas plus mal lorsque nous étions deux et que j'habitais au premier étage. J'espérais simplement que rien ne tomberait dans les escaliers... Non, réflexion faite, nous prendrions sûrement l'ascenseur - c'était plus prudent. Pourquoi prendre des risques inutiles alors que j'avais passé du temps à les trier.

"Ne vous inquiétez pas ! Répondis-je d'un sourire. Les quatre première piles sont déjà triées et prêtes à être emmenés. Vous avez raison, j'ai bien mon système de classement. Les piles correspondent chacune à une recherche organisées du plus récent - au plus près de la porte - jusqu'au plus ancien - vers la fenêtre. De là, je trie les notes par sous-catégorie de sujets eux-mêmes triés par section - définitions, calculs, brouillons, archives... Numérotais-je sur mes doigts - pour être alors réorganisées par ordre alphabétique. Autrement dit, il est peut-être préférable que ça soit moi qui me charge du tri."

Je riais de bon cœur à cette dernière phrase - sans aucune offense. C'était surtout lui épargner une grande peine et beaucoup de travail. Je n'en demandais pas tant à l'employé que je recherchais et à dire vrai, même un grand scientifique ne pourrait certainement pas accomplir correctement cette tâche. Chaque chercheur a sa propre organisation, après tout. Un processus personnel qui nous permettait d'avancer plus vite sans nous perdre. Ou du moins, quitte à nous perdre, c'était toujours dans un ordre qu'on comprenait. Mon bazar personnel, disait mon frère et rare étaient les fois où je pouvais prendre une de ses critiques déguisées comme un compliment.

M'approchant des deux premières piles, je relisais vivement le petit post-it jaune que j'avais collé sur la première page puis en pointai un du doigt.

"Je vous laisse prendre celui-ci qui sera certainement moins lourd pour vous. Pour ma part, je prendrais le second et nous allons nous diriger jusqu'à l'ascenseur pour éviter toute maladresse. Qui sait qui peut nous tomber dessus. Vivant dans cet hôtel, je vous donne un conseil : N'attendez jamais que quelqu'un se décale pour vous. Vous serez vite déçu."

Pas que les hôtes bousculaient forcément - quoiqu'en fait, si - mais la plupart venaient à faire la discussion dans les pires moments. Ne pas se décaler, c'était comme... lorsqu'on s'approchait d'un Personnage Non Jouable dans le jeu de Dipper ! La discussion est impossible à éviter. Ou peut-être était-ce que j'appuyais sur le mauvais bouton ? Il y en avait tant. Tohru poursuivait sur ses autres emplois qu'elle avait en parallèle et qui pouvait poser problème selon mon planning. Je souris.

"Votre motivation me réjouit, Tohru ! Ne vous en faites pas, nous verrons cela en tant voulu. Ce que je vous propose, c'est qu'à la fin de cet essai vous puissiez me donner les jours et les heures où vous ne seriez pas disponible pour venir. Pour ma part... Songeais-je avant d'hausser les épaules. À vrai dire, je n'ai pas vraiment d'horaires fixes à vous proposer. Cela se fait en fonction des besoins mais vous comprendrez très vite le processus lorsque je vous aurez fait visiter le laboratoire !"

Après avoir ouvert la porte pour laisser passer Tohru, j'attrapai ma pile et la guidai jusqu'à l'ascenseur du bâtiment pour que nous descendions jusqu'au rez-de-chaussée. La première tournée se passa à priori sans encombres et les piles firent déposer à l'arrière de la voiture. Nous remontions alors par les escaliers lorsque Wendy s'interposa de l'accueil.

"Mr. Pines. Commença-t-elle avec hésitation. Je vous ai vu descendre avec vos piles de feuilles... Si je puis permettre, vous pensez pas qu'il serait plus simple d'utiliser une ficelle pour les sceller et éviter qu'elles ne se renversent ? Ou vous pourriez aussi utiliser votre lampe magique qui rétrécit n'importe quelle chose qu'elle vise ! Elle sourit avant d'haussant les épaules. Enfin, moi je dis ça... C'est juste pour vous aider."

J'y avais bien pensé mais... Rien n'avait été fait. Je redoutais que l'énergie de la lampe renverse le tas de feuilles et m'étais contraint à ne pas l'utiliser pour une tâche plutôt simple. Quand aux ficelles... Je n'avais pas véritablement d'excuses. Perplexe, je fixai un instant la tête rousse de Wendy qui s'occupait de clients au même moment, avant de simplement répondre d'un regard plissé :

"Et bien... Pourquoi pas. Je te remercie pour la suggestion, Wendy.

- Avec plaisir." Répliqua-t-elle, ravie, d'un signe de main.

Je poursuivais ma marche dans les escaliers, les mains plongées dans les poches de mon manteau avant de me tourner vers Tohru.

"Ce n'est peut-être pas plus mal que d'utiliser des ficelles pour les deux dernières piles. Nous aurons au moins la certitude qu'elles ne se renverseront pas durant la trajet. J'aurais du y penser plus tôt. C'était ridicule d'oublier une chose pareille. Espérons déjà que j'ai de la ficelle."




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________________________________________ 2020-05-10, 23:56



La science de l'emploie
L'emploi qu'un homme finit par obtenir est rarement celui pour lequel il se croyait préparé et dans lequel il pensait pouvoir être utile.

Tohru, n’avait pas pu empêcher ses joues de virer au cramoisie, lorsque monsieur Pines commença à essayer de deviner quelles étaient ses études. Cela n’avait rien a voir avec une crainte de ne pas répondre à ses attentes, ni même parce qu’elle estimait qu’il s’agissait de « grandes » études que quelqu’un pour elle ne pourrait jamais faire. Honnêtement, elle avait toujours été une bonne élève même sans Yuki pour l’aider à réviser il lui arrivait rarement d’avoir de mauvaises notes. Mais si elle avait cette réaction, c’était simplement que Tohru avait toujours eu des aspirations plutôt modeste. Elle ne s’imaginait pas en grand cheffe d’un restaurant gastronomique contrairement à certains de ses camarades par exemple, non si elle pouvait simplement ouvrir une petite boutique pour proposer des plats typique de là où elle venait elle en serait très heureuse. Alors de l’imaginer étudier les langues, l’histoire de l’art ou bien la littérature c’était étrangement des domaines dans lesquels elle voyait plus eh bien Yuki pour le citer encore une fois.

- En fait, je suis en école de cuisine. Mais j’ai aussi des cours à l’université expliqua-t-elle.

Quant a sa curiosité, c’était plutôt exacte. Tohru était quelqu’un de curieux, mais elle était surtout curieuse des autres. C’était d’ailleurs peut-être pour cela qu’elle semblait un peu en « décalage » avec les personnes de son âge. Quand elle rencontrait quelqu’un, elle aimait beaucoup en apprendre plus sur cette personne, ce qu’elle aimait, ses rêves, ses passions...En fait elle était extrêmement tourné vers autruit plutôt que vers elle. Ce n’était pas nécessairement une qualité, contrairement à ce que la majorité pourrait penser. Et elle-même ne se rendait pas vraiment compte qu’il s’agissait plus d’un défaut. Même lorsque Kyô la traitait d’idiote parce qu’elle dépensait son argent pour leur faire des chocolats à l’occasion de la St Valentin, ou bien qu’elle estimait que ce n’était pas très gentil d’éviter Haru même lorsqu’il passait en mode « Black ». Tohru n’avait jamais vu le « mal » là-dedans. Pour elle, c’était après tout normal d’offrir des choses à ses proches ou bien de s’inquiéter pour eux.

Elle prit en revanche avec beaucoup de sérieux les recommandations qui lui furent faites : ne pas attendre que quelqu’un se décale dans l’hôtel, le faire soit même. C’est vrai que ce serait bête de se retrouver dans une bousculade, surtout pour elle qui était déjà assez maladroite. Pour les horaires de travail, ce serait facile à fournir, il n’y avait que le baby-sitting qui n’était pas vraiment planifié de manière fixe mais ça ne posait pas de problème, elle savait qu’Anna était quelqu’un de très arrangeant et puis, elle connaissait sa situation alors ça aidait un peu.

- Je peux vous donner mes horaires aujourd’hui ou...Plus tard si vous le voulez. J’ai aussi mon emploie du temps dans mon sac.

Elle l’avait mémorisé depuis le temps. Mais, elle avait apprit que c’était mieux de fournir le bout de papier à ses employeurs, c’était plus sérieux et même du temps où elle vivait chez les Soma et où elle n’avait qu’un seule petit boulot à mi-temps elle avait fait en sorte de l’avoir sur elle. Après, comme l’entreprise appartenait au père de Momiji, ce dernier avait en quelque sorte mit un point d’honneur à toujours être avec elle quand elle travaillait, ou bien s’occuper de prévenir si d’une manière ou d’une autre elle ne pouvait pas venir. Cela n’était arrivé qu’une seule fois, et parce qu’elle était vraiment tombé malade. Et encore, il avait fallut l’intervention de ceux avec qui elle vivait pour qu’elle consente à rester au lit.

En revanche, ravis de pouvoir aider dès qu’il fût mention de ficelle, elle commença à chercher dans son sac pour en trouver et ainsi, pouvoir attacher les feuilles entre elles. Heureusement, monsieur Ayame lui avait apprit deux/trois choses sur comment raccommoder les vêtements. Si Tohru, ne serait jamais aussi douée que lui lorsqu'il s'agissait de la couture, cela l'empêchait tout de même de dépenser trop d'argent pour acheter des vêtements quand elle pouvait se permettre d'en remettre qui lui allaient encore.

Elle s'empressa immédiatement, dès qu'ils furent de retour au point de départ de sortir son nécessaire à couture pour pouvoir utiliser le fil et les ciseaux, afin de nouer les paquets restant entre eux. Laissant Monsieur Pines en prendre un premier, elle s'occupa de celui restant, alors qu'ils reproduisaient le même chemin de tout a l'heure. Devant l'entrée, voyant ce qu'il semblait être un client devant-elle, Tohru appliqua le conseil donné un peu plus tôt et se décala d'elle même. Malheureusement, l'homme qui devait faire et deux fois sa corpulence et deux fois sa taille, ne la remarqua pas et ce qui devait arriver, arriva : Déséquilibrée par le choc, la jeune femme se cassa tout bonnement la figure et pire encore, le noeud qu'elle avait pourtant bien vérifié céda légèrement, et un courant d'air fit s'envoler plusieurs feuilles sur le dessus

- Ah ! Non !
S’exclama-t-elle

Prise de panique, Tohru ne réfléchit pas vraiment, elle s’élança à la poursuite des feuilles volantes comme si sa vie en dépendait. Et quelque part c’était le cas, elle avait vraiment besoin de se travaille. Alors, certes elle n’avait pas provoqué le courant d’air, et elle s'était décalée d'elle même comme on le lui avait conseillé. En fait elle n’avait rien demandé si ce n’est de continuer à faire ce qu’on lui demandait. Mais ces notes étaient terriblement importante pour son potentiel futur employeur, peut-être même au moins autant important que pouvait l’être la photo de sa mère pour elle. Et elle savait, que s’il arrivait quoi que ce soit à cette photo elle en serait malade. Alors, elle ne pouvait pas en son âme et conscience se contenter d’être une simple spectatrice.

Essayant tant bien que mal de sécuriser les notes qui lui restait, elle courut jusqu'à la voiture afin de poser, celles qu'elle avait les mains et manquant à plusieurs reprises de se casser la figure, essaya tant bien que mal d’attraper des feuilles au vol. Elles seraient sûrement totalement dans le désordre, mais qu’importe ! Le plus important pour l’heure, c’était de les récupérer.

Les poumons en feu, elle refusa néanmoins d’arrêter sa course, et profita du fait qu'elles semblaient perdre de plus en plus d'altitude, afin de ramasser les bouts de papiers éparpillés un peu partout parterre de manière empressé et d’une seule main, afin de pouvoir coincer celles déjà attrapés sous son bras. Elle ne prit même pas le temps de correctement reprendre son souffle, trop occupé à essayer de ramasser ce désastre. Mais comme un malheur ne semblait jamais arriver seule, l’une des feuilles qu’elle essayait de reprendre sembla opposer une résistance, relevant la tête elle aperçut une chèvre. Comment était-elle arrivé jusqu’ici, c’était un mystère même si au fond, A Storybrooke mieux valait ne pas trop se poser de question. La seule chose qu’elle voyait c’était que l’animal semblait vouloir grignoter les notes de monsieur Pines :

- Non, s’il te plaît rend-la moi. L’implora-t-elle

Évidemment, l’animal n’en fit qu’a sa tête. Aussi Tohru essaya-t-elle de reprendre le papier des mâchoires de l’herbivore mais sans grand succès. Elle insista encore un peu et la chèvre finit par céder...Non sans un bruit de déchirure annonçant qu’elle avait emporté un bout de la feuille avec elle, laissant la jeune femme se débrouiller avec ce qu’il restait. A bout de souffle, les jambes tremblotantes elle se mit debout et sans vraiment regarder si monsieur Pines était devant elle ou non s’inclina :

- Je suis vraiment, vraiment désolée.

Et elle l’était sincèrement, s’en voulant même de ne pas avoir réussit à récupérer le bout de papier intacte. Ça ne faisait que commencer, et pour Tohru c’était déjà un sacré plein d’émotion. Très certainement, que si elle avait jeté un coup d'oeil à la feuille elle aurait pu remarquer que l'animal avait prit un bout où il n'y avait rien écrit dessus, mais elle était trop terrifiée à l'idée d'avoir tout raté pour oser le faire.
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________________________________________ 2020-06-09, 12:29

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La science de l'emploi

Ft. Tohru


Je n'aurais pas deviné que Tohru Honda était passionnée de cuisine ce qui signifiait que j'avais encore de gros progrès à faire. Comment diable des Storybrookiens que j'avais pu croisé sur mon chemin avait réussi à définir mon lieu d'habitation, mon métier et mes expériences passées par une simple salutation de ma part ? Un véritable mystère que j'espérais résoudre un jour. Pour le moment, pourtant, j'avouai ma défaite la tête haute et me concentrai sur le travail qui nous attendait à Tohru et à moi. Il y avait de quoi faire mais si on s'en chargeait maintenant, nous aurions fini avant le couché du soleil et je pourrais alors décider si la jeune étudiante était capable et disponible de tenir cette allure pour d'autres horaires sur un plus long terme. Rien n'était plus agréable pour un employeur que de pouvoir découvrir et apprendre à connaître son employé(e) en personne et pendant le travail. Les étudiants de nos jours avaient trop tendance à user des emails et d'internet pour arriver facilement à une embauche (ndlr : moi) mais le chemin le plus facile n'était pas forcément le meilleur ni même celui qui était le mieux reçu. Ce n'était pas par mail que je pouvais remarquer le regard pétillant de détermination de Tohru lorsque nous commencions le transport. 


Tout se passait bien en ce début d'heure. Tohru était une jeune fille adorable et très serviable alors qu'elle se motivait à faire les paquets ficelés par elle-même. J'étais sur le point de lui conseiller un nœud tenace qui n'avait aucune chance de se défaire de soi-même mais qui, par une bonne technique, pouvait être rapidement dénoué. Seulement, Tohru semblait tant savoir ce qu'elle faisait que je m'étais contenté de la laissais faire. Il ne m'a fallu que quelques minutes pour comprendre mon erreur ainsi que sa maladresse. Peut-être aurais-je du le comprendre en la voyant également. Elle dégageait une certaine attention, protection et un sens du secours mais son comportement hésitant pouvait faire écho à des actions... hésitantes. C'est ce que j'avais pensé au début lorsque, derrière moi, elle tomba à la renverse. Je vis quelques une de mes notes partir à la dérive mais mon intérêt premier se portait évidemment sur Tohru. Soit avait-elle été trop rêveuse sur un moment et n'avait-elle pas vu le client qui passait devant elle, soit elle s'était poussée mais définitivement pas assez pour éviter le jeune homme. Il était possible que ça soit la seconde option... 

"Tohru ! Vous allez bien ?"



Elle semblait puisque, de gestes vifs, elle s'était redressée pour aller attraper ce qui était tombé - en toute panique. Certes, certaines feuilles avaient volé alors que je souhaitais absolument garder un ordre précis à mes recherches mais heureusement, la ficelle du paquet s'était détachée de sorte à ne pas faire s'envoler toute la pile. Mon organisation n'avait donc pas été trop brusquée...


"Tohru ! Attendez -"


Elle s'emportait plus vite que le vent qui portait les feuilles jusqu'à l'entrée du hall. La pauvre enfant avait quelques spectateurs pour l'observer à la tâche alors que, moi-même chargé, je me contentai de la rassurer que ce n'était pas grave. J'accompagnais ses gestes en posant ma pile dans la voiture puis elle se rendit chercher ce qui manquait, combattant la chèvre du Mystery Shack - la fameuse - pour récupérer le dernier morceau. Dernier morceau qu'elle ne me tendit qu'à moitié dans une inclinaison démesurée d'excuses.


"Tohru, je -... Je ne sus exactement comment réagir aux premiers abords. Décidément, cette étudiante semblait être autant maladroite que courtoise et pleine de bonne volonté. Ça s'annonçait compliqué. Ne vous en faites pas, souriais-je néanmoins, la priant de se redresser pour la réconforter. Ce n'est pas grave ! Vous avez fait de votre mieux pour récupérer le tout et c'est une qualité hautement appréciable ! Celle de ne jamais abandonner."


Il fallait bien l'avouer, elle n'avait pas perdu de temps pour rattraper sa faute et j'en eus presque peur qu'elle vienne bousculer quelqu'un d'autre ou qu'elle s'attire d'autres soucis. Ça semblait s'être globalement bien passé néanmoins. Pour le moment. Enfin ! Ce n'était pas l'heure d'émettre un jugement sur la moindre petite erreur trop vite arrivée. Moi aussi, à son âge, j'étais quelque peu maladroit et gauche. Il suffit, par la suite, de prendre un rythme et l'action devient automatique, cernée et maîtrisée. 


"Rendons-nous au laboratoire, maintenant. J'ai beaucoup à vous montrer et ce sera, si jamais vous venez à poursuivre ce post, sûrement votre lieu de travail. L'invitant à monter en voiture, je poursuivais sur le trajet. Vous verrez, c'est un endroit très discret au bord de la frontière de Storybrooke ! Il est accessible grâce à un mot de passe et une clé de passage. Le système de sécurité est hautement sécurisé, impossible de venir pénétrer dans le laboratoire sans les composants nécessaires !" 


Sans prévenir, je m'étais éloigné du chemin que nous empruntions pour directement m'engager à travers les arbres et les feuillages et ainsi, m'approcher au plus près du laboratoire. Bête initiative de ma part, je n'avais pas prévenu Tohru. 

"Oh oui, pardon ! C'est pour nous faciliter la tâche lorsque nous sortirons les piles de notes. Mes excuses pour les secousses !"



J'étais un très bon conducteur même si je ne semblais plus me souvenir très bien du code de la route. J'avais pris les commandes de bien des engins durant mes années d'exil dans d'autres dimensions ! La voiture n'était, pour moi, qu'une auto tamponneuse pour un enfant. J'étais habitué aux quelques inclinaisons causées par les imperfections du sol. Tohru l'était-elle tout autant ? Heureusement, nous arrivions.

"C'est ici ! Je vous laisse ouvrir le coffre tandis que je me charge d'accéder à la porte principale."



Le laboratoire était camouflé par sa couleur, tout d'abord, mais aussi par sa structure métallique en forme géométrique. De loin, nous pouvions facilement croire à un toilette portatif abandonné. Mais la vérité était que cette petite cabine nous conduisait directement dans un grand souterrain, là où le plus intéressant se passait. Il me suffisait simplement de désactiver le verrou avec un dispositif caché dans le tronc d'un arbre. Cela me rappelle le bon vieux temps...


"Après vous !"





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________________________________________ 2020-08-02, 12:49



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Monsieur Pines ne semblait a priori pas contrarié par ce qu’il venait de se passer. Et même si elle ne s’était pas complètement remise de ses émotions, cela encouragea Tohru à redoubler d’effort. Elle se savait maladroite et un peu tête en l’air. Kyô le lui faisait souvent remarquer, et quand ce n’était pas lui, Saki et Arisa s’en chargeaient. Même si ses deux meilleures amies, s’y prenaient d’une manière différente de celle du rouquin qui n’était pas vraiment réputé pour sa patience. Mais l’une de ses qualités était de ne jamais se décourager. Quoi qu’il advienne, elle faisait toujours preuve d’adversité. D’ailleurs, elle n’avait jamais abandonné l’idée de lever la malédiction du zodiaque. La possibilité de connaître un scientifique comme monsieur Pines aurait pu être un véritable atout dans sa quête...Si elle avait pu en parler. Mais, elle avait donné sa parole et Tohru ne revenait jamais sur ses promesses.

Mais peut-être pourrait-elle essayer de se renseigner sans nécessairement parler de la malédiction dont était victime ses amis précisément. S’il y avait, ne serait-ce qu’une micro chance qu’elle puisse être aidé sur le sujet, il ne fallait pas la laisser passer. Au sein de la famille Soma, personne n’avait su lui dire exactement en quoi elle consistait, tout ce qu’elle avait pu remarquer par elle même c’était que personne ne pourrait être véritablement heureux tant qu’elle serait en place. Cette perspective lui brisait le coeur, eux qui avaient déjà tellement souffert méritaient tellement mieux. Yuki n’aurait pas à revenir vers les Soma, Kyô ne serait pas enfermé et peut-être que Momiji aurait enfin une chance d’être heureux avec sa famille.

Elle sortie néanmoins de ses pensées après une première secousse, puis deux. Étonnée, elle regarda à la fenêtre afin de comprendre ce qu’il se passait, avant que le conducteur ne lui donne une explication :

- Non, non tout va bien. D’ailleurs je sens a peine les secousses dit-elle en agita ses mains devant elle.

Bon, en fait elle les sentait un peu plus que « a peine » mais pour Tohru, pas question de se plaindre. C’était déjà gentil d’avoir accepté de la prendre en voiture, alors qu’ils auraient pu faire le chemin à pied par exemple, se mettre à râler ou bien se plaindre était totalement exclu. De plus, elle ne conduisait pas elle même, alors faire un quelconque commentaire sur la manière de faire de Monsieur Pines était bien loin de lui venir à l’esprit. De toute façon, elle ne savait pas critiquer sans compter qu’elle n’avait pas vraiment de « modèle » comparatif. Elle était monté en voiture avec monsieur Hatori lorsqu’ils avaient dût se rendre à la maison du Lac, et monsieur Shigure lorsqu’ils s’étaient rendu à la plage, c’était tout. Même sa mère empruntait généralement les transports en commun. Et puis, elle ne devait pas se laisser distraire. Elle aurait tout le temps de réfléchir plus tard au sujet de la malédiction du zodiaque. Pour l’instant, bien écouter et ne surtout pas se laisser distraire lorsqu’on lui donnait des instructions c’était la priorité. Ça et essayer de s’y retrouver en mémorisant le chemin. Elle savait bien qu’elle n’avait pas un excellent sens de l’orientation et si jamais on lui demandait de revenir ici par ses propres moyens, il faudrait qu’elle fasse bien attention à ne pas se perdre.

Elle hocha vivement la tête, lorsqu’il lui fût indiqué de s’occuper d’ouvrir le coffre. C’était l’occasion de se rattraper pour tout à l’heure. Pas de personne pour la bousculer, pas de chèvre à l’horizon cette fois-ci les choses devraient se passer plus tranquillement ou du moins elle l’espérait. Après tout, Tohru savait aussi que de nature elle était une personne maladroite. Cela suscitait des réactions partagés dans son entourage. Arisa en riait par exemple, Kyô la traitait souvent d’idiote mais elle savait que ce n’était pas pour l’insulter. Même si elle préférait que personne ne s’inquiète pour elle, le rouquin ne pouvait quelque part pas s’en empêcher et c’était sa manière de le lui faire comprendre. Après tout, il n’était pas quelqu’un de méchant, juste de timide et de très maladroit avec ses émotions.

Mais Tohru devait bien admettre que même si monsieur Pines restait assez flou sur ce qu’était exactement ce laboratoire et les tâches qu’elle allait devoir exécuter -même si de ce côté là, elle ne s’inquiétait pas vraiment, n’importe quelle tâche lui conviendrait. Elle ne pouvait s’empêcher d’être excité à l’idée de travailler dans un tel endroit. Non pas qu’elle n’aimait pas ses autres petits boulots bien au contraire, le café où elle était serveuse -et parfois cuisinière- dégageait une ambiance chaleureuse et tout le personnel était très gentil avec elle, le patron la laissait même pratiquer pour ses examens de cuisine en lui donnant l’accès aux fourneaux dès qu’elle le souhaitait. Quant au baby-sitting, même si elle avait du mal à ne pas appeler Anna « mademoiselle Anna », cette dernière était quelqu’un d’extrêmement gentil et s’inquiétait souvent de son bien être -même si Tohru se mettait toujours dans tous ses états lorsque c’était le cas. De plus, Matthew le petit garçon qu’elle gardait était adorable. Simplement, aider un scientifique de quelque manière que ce soit, c’était quelque chose de tout nouveau pour elle, même si on lui demandait simplement de faire le café, aux yeux de Tohru ce serait déjà beaucoup.

- Quelle genre de recherches faites vous ? Demanda-t-elle, dès que son futur -du moins l’espérait-elle- employeur revint. Enfin, si c’est possible d’en parler bien sur ajouta-t-elle tout en commençant à s’agiter. Je comprendrais si c’est quelque chose de secret,et d’impossible à partager avec moi.

Elle n’était pas très calé sur le sujet, mais elle savait que parfois certaine choses étaient secrète et il était impossible de le partager avec d’autres personne. Particulièrement une inconnue comme elle. Alors, elle avait posé la question en tout curiosité, mais si aucune réponse ne pouvait lui être apporter, elle le comprendrait. En attendant, elle faisait ce qu’on lui demandait avec un mélange d’anticipation et de fascination.

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________________________________________ 2020-08-22, 03:43





La science de l'emploi
Ft. Tohru


J'espérais ne pas avoir trop d'entretien à faire passer et que Tohru saurait vite prendre la main sur les tâches qui lui seront confiées - quoique bien variées. Il n'est pas dans mon intérêt que d'inviter tout Storybrooke à mon laboratoire, ça pourrait détruire toute la transparence de la bâtisse par le bouche à oreilles et donner des idées aux plus casses-cou. Je sais qu'à mon âge, si l'on m'avait parlé d'un laboratoire secret, je me serais directement rendu en forêt pour le découvrir et percer ses mystères. Une aventure de plus ! Et l'aventure, ça connaissait cette ville. Il fallait être prudent. Pouvais-je me méfier d'un autre moi-même ou en ferais-je mon allié ? Peut-être qu'attirer l'attention serait un moyen pour moi de trier les casse-cou et les plus réticents à la tâche ? Passant un coup d'œil derrière mon épaule, j'observais Tohru ouvrir le coffre et réalisait avec ceci qu'elle ne devait, de vive analyse, pas être de ceux qui répandraient des informations confidentielles. Jusqu'où pouvait-elle aller pour garder un secret ? Après tout, elle semblait tout aussi maladroite que respectueuse. Non, ne jugeons pas si vite. Rien dit encore dit ou fait, le plus dur reste à venir. 

"Ne vous en faites pas, répondis-je à Tohru lorsque celle-ci me demandait justement plus de renseignements sur mes recherches. Je vous expliquerais tout à l'intérieur, vous allez vite comprendre à mon avis. Je pointai du doigt le coffre. Prenez une pile et déposez le tout à l'entrée. Je vous suis avec la seconde et dès que tout sera déchargé, nous pourrons prendre l'ascenseur."

Je m'exécutai instantanément, suivie de l'étudiante. À quatre bras, le coffre se vidait plus vite, c'était déjà du temps de gagner. Toutes mes notes allaient enfin reprendre leurs véritables places dans un véritable lieu de travail avec un environnement professionnel et sain. Un endroit où personne ne frapperait toutes les minutes pour me demander plus "important" que mon travail. Rien n'est plus important que le travail ! Sauf le travail, je ne refusais donc jamais d'aider Dipper ou Danny à réviser leurs cours. 

Enfin bref, mes notes demeuraient les traces de mes recherches. Elles se devaient d'être conservées dans une pièce adéquate. C'était aussi l'occasion de présenter à Tohru les locaux et surtout, d'expliquer ce qui pourrait être ses futures tâches, en espérant ne pas trop la perdre pour un premier jour. J'allais pour la guider jusqu'à l'intérieur. De là, j'appuyai sur l'un des boutons d'un panneau de contrôle plaqué en métal contre le mur et le portes se fermèrent. L'ampoule qui était suspendue au-dessus de notre tête éclairait en un jais blanchâtre nos visages comme une douche de lumière, ombrant mes rides et cernant les contours des yeux de Tohru. J'appuyai sur une autre touche et l'ascenseur en tube dégorgea quelques bruits que seul devais-je en comprendre le sens. 


"Ne faites pas attention à l'humidité." 

J'étais en décalage avec le système qui s'activa à deux secondes près de ma réflexion. En effet, des tuyaux incrustés à chaque côté du tube dans lequel nous étions enfermés dégageaient un liquide vaporeux qui s'accrochait à nos vêtements. Inodore, on pouvait simplement croire à de l'eau, mais cette substance savait nous désinfecter tout en détectant à la couleur si nous étions malades ou si un problème pouvant détériorer l'environnement des locaux émanait de notre personne. R.À.S. 

La porte par laquelle nous étions passés s'ouvrit alors et nous invita à entrer dans une grande salle dotée d'écran de contrôle donnant sur l'extérieur et d'autres fichiers que j'avais laissé ouvert après ma dernière visite. On retrouvait des tubes réfrigérants de différents tailles ainsi que d'autres tuyaux qui traversaient en verticale la pièce pour atteindre le sol et de là, un autre étage en dessous. Toutes les salles étaient reliées, tout avait son ordre et son utilité. J'étais fier, il fallait le dire, du travail que j'avais pu mettre dans ce laboratoire. Il datait de la malédiction, j'avais du faire quelques modifications, jeter quelques drogues, mais il était comme neuf et en état d'assister à mon QI et aux inventions qui en résultaient ! 


"Voici donc le premier étage du sous-sol ! Je fonctionne à -1 jusqu'à -3 à peu près - Dis-je d'une main agitée pour signifier une approximation, j'omettais volontairement un ou deux étages -. Chacun a été créé dans un but bien précis pour un secteur de recherches vaste ! Je revenais alors sur sa précédente question, plongeant deux mains dans mes poches et affichant un sourire respectueux, comme si je venais enfin à me présenter tel que je suis réellement. Mon travail consiste à rechercher, découvrir et enquêter sur des phénomènes inexpliqués, qualifiés de trop étranges voire fictifs, par la société. Je me penche vers les questions les plus refoulées. Celles qu'on oublie ou bien que nous écartons d'un geste de main pour rétorquer une réponse similaire à C'est comme ça. J'avais imité l'action avant d'en revenir à Tohru. Je suis persuadé que vous voyez ce que je veux dire. Il ne vous est jamais arrivé de vous demander pourquoi des choses hasardeuses se produisent à l'enchaînement comme une malédiction ? Pourquoi des événements qui ne devraient rien avoir en commun se retrouvent à obtenir de mêmes résultats ? Je cherche à comprendre le comment mais aussi le pourquoi, Tohru. J'ai parcouru des centaines, peut-être ai-je atteint le millier, je ne sais plus, de dimensions toutes si différentes les unes que les autres que j'en suis venu à la conclusion que... Mon esprit divaguait. Le regard vacant, j'haussais les épaules. Il n'y avait pas de conclusion. Tout est lié et délié, tout prend un sens une seconde puis se perd la suivante. J'explore ce qui ne peut pas être explorer et je découvre ce qui cache encore bien plus. C'est une quête interminable mais qui comble mes journées." 

Un bip sonore et lumineux vint me couper - et peut-être était-ce mieux ainsi. Mon regard se tourna, intrigué, vers l'un des écrans qui m'affichait alors le plan d'un robot. Le Labtron ! Ou bien... Le Shacktron 2.0, au dépend des versions préférées de la famille. J'avais reconstruit le robot que les enfants et les habitants de Storybrooke avaient pris tant de mal à bâtir pour venir me sauver lors de la Bizzarrapocalypse de Bill. En beaucoup plus sophistiqué - et sécurisé - il restait le même. Néanmoins... Je préférais ne pas me prêter à la course dès maintenant. Les précautions étaient de mesures à Storybrooke.

"Ce n'est rien, rassurais-je alors la jeune fille. Un simple plan robotique monté par un vieil ami. Il y a encore quelques modifications à entrevoir. Je vous en prie, faites le tour ! Rien n'est... - je vérifiais - Oui, rien n'est potentiellement capable de vous tuer dans cette pièce. Vous n'avez rien à craindre." 




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"'Lamitié est un fil fin et indestructible qui traverse la vie et tous ses changements."



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________________________________________ 2020-10-27, 17:49



La science de l'emploie
L'emploi qu'un homme finit par obtenir est rarement celui pour lequel il se croyait préparé et dans lequel il pensait pouvoir être utile.

Elle n’avait rien dit, suivant Monsieur Pines alors qu’il la guidait Tohru tentait de s’imprégner de l’ambiance du lieu dans lequel elle serait -peut-être- amené à travailler si elle décrochait cet emploi. Et quand bien même ce n’était pas le cas, elle aurait au moins eu le privilège de pénétrer dans un endroit pareil. Lorsqu’il se lança dans les explications concernant ses recherches et son travail, elle hocha plusieurs fois la tête, comprenant de quoi exactement il voulait parler. Les histoires de malédiction, elle connaissait bien après tout. Particulièrement, celles qui remontaient à tellement loin que personne ne savait exactement de quand datait l’origine, ni même comment réussir à les lever. Oui, peut-être pouvait-elle « apprendre » au contacte de Monsieur Pines. Bien sur, elle n’était pas naïve, du moins pas tant que ça elle savait parfaitement que peu importe les tâches qu’on lui confirait ce ne serait pas de l’assister dans ses recherches. Elle n’avait pas les qualifications pour, et puis elle était aussi une parfaite étrangère. Mais, peut-être qu’en l’observant faire elle réussirait à apprendre deux ou trois choses qui pourraient l’aider dans sa quête. Quand bien même, les douze trouvaient des personnes qui les acceptaient tels qu’ils étaient, cette malédiction les empêchaient non seulement de vivre mais les enchaînaient également les uns aux autres sans qu’ils ne le veuillent et les rendaient malheureux.

- Je...Je comprends. Affirma-t-elle timidement.

Elle ne pouvait pas vraiment en dire plus. Elle avait juré de garder le secret, et Tohru était bien décidé à l’emporter dans sa tombe si on le lui demandait. Jamais, elle ne se permettrait de trahir la confiance que monsieur Hatori avait placé en elle, en ne décidant pas de lui-même de lui effacer la mémoire. Elle avait trop de respect pour lui, et trop de respects pour les douze d’une manière générale. C’était également pour cela qu’elle voulait tant les aider. Et elle se demandait si quelque part, ce n’était pas le « destin » qui avait placé Monsieur Pines sur sa route. Ce n’était peut-être qu’une coïncidence, mais d’avoir une personne avec un but qui se rapprochait plus ou moins du sien, l’occasion était trop belle pour que Tohru ne s’en réjouisse pas intérieurement.

Elle redoublerait d’effort, peu importe quelles seraient les tâches qu’elle aurait à accomplir elle mettrait tout en œuvre pour le faire du mieux qu’elle le pouvait. Elle n’avait jamais eu peur de s’investir, ni même des tâches dites « ingrates. » Tohru ne faisait jamais la fine bouche, surtout lorsque cela concernant le travail, et elle s’investissait souvent deux fois plus que ses collègues. Même du temps où elle s’occupait de faire le ménage à mi-temps dans l’entreprise du père de Momiji, elle avait toujours redoublé d’efforts estimant que c’était pour la cause puisque cela lui permettait justement d’être indépendante comme elle le souhaitait tant.

- Je promet de faire du mieux que je peux, si jamais vous m’engagez, je ne me plaindrais jamais peu importe ce que c’est. J’effectuerais tout, même les tâches que les autres ne veulent pas, même si c’est simplement nettoyer ça ne me dérange pas de toute façon j’adore les tâches ménagères ! Et même si vous ne m’engagez pas, ce n’est pas grave je ne dirais rien à personne. Ma mère m’a toujours dit que c’était mal de parler des gens dans leur dos. J’emporterais même ce secret dans ma tombe quand je serais veille, et que je mourrais si vous me le demandez !


Elle lança un regard déterminé à Monsieur Pines. Espérant lui prouver, que jamais elle ne trahirait sa confiance et jamais elle ne trahirait un secret. Tohru estimait que c’était mal de divulguer une chose qu’on nous avait demandé de garder pour soit. Et puis de toute façon, a qui le dirait-elle ? Ses amis n’étaient pas vraiment portés sur les ragots, et elle n’était pas non plus du genre à en colporter. Elle savait qu’elle était tête en l’air, et maladroite -c’était d’ailleurs pour cela qu’elle faisait bien attention là où elle marchait de peur de renverser une chose précieuse pour les recherches du scientifique face à elle. Mais jamais elle n’oserait trahir la confiance de quelqu’un, elle s’en voudrait éternellement si jamais c’était le cas. Elle ne pourrait pas lui parler de la malédiction du zodiaque, par directement il n’était pas Maître Kazuma, Monsieur Kureno ou Isuzu, mais peut-être serait-elle amener à y faire allusion d’une manière indirecte. C’était une chance inespéré, autant pour l’un que pour l’autre. Et Tohru ne reculerait jamais devant rien pour aider les Soma, depuis qu’elle avait mit un pied dans leur univers, sa seule envie était qu’ils soient heureux. Elle avait rencontré tous les membres de cette famille concernés par la malédiction, elle avait ce que ce lien faisait et a quel point ils étaient malheureux. Si seulement, elle pouvait faire en sorte de les délivrer de ce tourment, elle en serait infiniment heureuse.

- Je ne veux surtout pas me montrer irrespectueuse, se reprit Tohru maladroitement. C’est vous qui décidez et je n’oserais jamais, aller contre votre décision. Mais je suis débrouillarde et j’apprends vite. Affirma-t-elle.

Ce qui n’était pas faux. Depuis toujours sa hantise avait été d’être un poids pour les autres, cela lui avait apprit à se débrouiller toute seule, et faire preuve d’indépendance. A Storybrooke aussi, elle faisait en sorte de compter le moins possible sur les autres et le plus possible sur ses propres ressources. Elle enchaînait les petits boulots afin de se payer non seulement son propre appartement, mais également ses frais scolaires et de quoi vivre que ce soit en terme de vêtements ou de nourriture. Quand elle travaillait, elle s’adaptait facilement et restait d’une manière générale quelqu’un de très polyvalent. Évidemment, la décision demeurait celle de Monsieur Pines et jamais elle ne le contredirait mais elle espérait avoir au moins réussi à plaider sa cause comme elle le pouvait et s’être montré un minimum convaincante. Si a la fin, cela ne se passait pas comme elle l’aurait voulut, elle saurait que ainsi elle n’aurait aucun regret puisqu’elle aurait vraiment tout donné.

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I see those tears in your eyes, And I feel so helpless inside. Oh love, there's no need to hide, Just let me love you when your heart is tired. If your ghost pulls you up high, And it feels like you've lost who you are. My love, there's no need to hide, Just let me love you when your heart is tired
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________________________________________ 2020-11-06, 02:10





La science de l'emploi
Ft. Tohru


 Il semble que j'aimais toujours autant faire visiter les locaux à mes invités. Était-ce parce que j'en accueillais peu et que laisser mon invention prendre racine dans la nature ternissait toute la reconnaissance que j'aurais souhaité en avoir ? Sûrement. Mon ancien laboratoire n'était pas aussi sophistiqué ni même très... agréable à regarder, c'est pourquoi je n'espérais jamais personne devant ma porte - bien au contraire, je m'en méfiais. La solitude m'avait pris en otage et attaché à une certaine paranoïa d'être possédé par un démon, je n'avais pas pris conscience à quel point avoir quelqu'un à qui parler, avoir une présence auprès de soi, pouvait être importante. Qu'importe ses qualités et ses compétences dans le domaine scientifique. Être accompagné ne serait-ce que d'une voix et d'une opinion apportait beaucoup. Peut-être dis-je cela aujourd'hui parce que j'enviais par le passé les duos mythiques qui faisaient leur renommé. Nicolas Tesla était seul, lui. Mais était-il heureux ? 

Nous étions déjà au cœur du laboratoire, avec le panneau de contrôle et ses accessoires ! Tohru semblait admirative mais ce qui me faisait le plus peur était qu'elle se rétracte en ne se pensant plus qualifiée pour une tâche qui à vrai dire... Moi-même je ne savais pas en quoi elle consistait réellement. Lorsque j'eus proposé le job, je m'étais donné un champ d'adaptation assez large à l'employé, pour me laisser être surpris. Peut-être n'aurais-je pas dû ? Il était trop tôt pour en décider. Tout ce que je pouvais faire, pour le moment, était d'accueillir la jeune fille du mieux que possible et attester de sa réaction et de ses motivations.
Comment vous dire que les deux m'ont fort surpris. 

Tohru Honda connaissait ses lacunes mais n'en demeura pas perdante pour autant. Elle me gratifia ses qualités, sa détermination et surtout sa fidélité, promettant d'être loyale, discrète, souple, polyvalente et de confiance. Mon étonnement se marquait sur les yeux tout d'abord ronds que je lui adressais. La jeune fille s'excusa presque, par la suite, d'avoir été si bavarde et peut-être irrespectueuse, avant de relancer le fondement de ses propos : elle était prête. 
De quelques clignements d'yeux silencieux, je finis par sourire en m'approchant d'un pas. 

"Je ne m'attendais pas à cela. Malgré la maladresse de tout à l'heure, malgré l'environnement dans lequel je vous invite, malgré le bâtiment de recherches expérimentales et tout ce que je vous ai introduit de mon travail, en ayant conscience de compétences scientifiques que vous n'avez pas acquise, il brille dans votre regard une détermination dont la source m'est inconnue mais qui, j'en suis sûr, doit être un moteur fidèle à votre vie. J'acquiesçais. Tohru, je n'en demande pas plus que ce que vous me proposez. Bien au contraire, d'ailleurs, je pense pouvoir dire ne pas en avoir espéré autant pour un premier jour. Je souhaitais laisser une part de mystère, de surprise... Mais les appréhensions n'ont pas besoin d'une raison pour jaillir de votre esprit." 

Avais-je déjà eu de mauvaises expériences en terme d'apprentis ? Peut-être... Mais à dire vrai, tous m'eurent été utile à leur manière. Il n'y a pas Homme sur Terre qui ne méritait pas attention. Mes paroles deviennent peut-être trop philosophiques pour le scientifique que je suis ? Même après avoir perdu mes connaissances psychologiques, voilà que je retombais dans des travers de sciences molles - comme l'appelle-t-on avec familiarité. Je n'étais plus aussi persuadé qu'à ma jeunesse que les deux domaines ne puissent s'accorder entre elles. Elles semblaient surtout complémentaires à un croisement de parallèles. Impossible, mais vraie. 

"Bien, je vous propose de poursuivre la visite pour que nous voyons ensemble les tâches qui seraient à effectuer ! Je ne vous ferais pas faire le ménage, ne vous en faites pas ! Peut-être de l'organisation, chose qui n'est pas dans mes qualités premières... Esquissant un rire, je plongeais deux mains dans mes poches d'un signe de tête. Suivez-moi, Tohru, je va-" 

Puis une autre alarme vint me couper à nouveau, portant mon regard sur l'écran de contrôle. Une légère ampoule rouge jaillissait de la table de commandes, à l'endroit même où elle s'était illuminée un instant plus tôt. Cette fois-ci, pourtant, les bips sonores ne s'arrêtèrent pas et je dus me concentrer totalement sur le problème qui demeurait plus important que prévu. Activant l'onglet qui clignotait sur l'écran, je lisais les quelques codes sources que l'on m'affichait, et me surpris de la description que l'on m'en indiquait.

"Il semble y avoir un problème dans le codage du professeur... Expliquais-je à ma future employée. Une programmation a été faite mais cela doit être une erreur..."

Le programme avait été monté par Fiddleford, je savais que m'y plonger serait un véritable puzzle pour moi mais à en voir le décompte qui s'affichait face à nous, je n'avais pas véritablement de choix. Dans 20 secondes, les commandes de la boîte de contrôle - dite la tête du robot - allait s'activer pour laisser libre-arbitre à son pilote et prendre la marche - allez savoir où -. Le seul problème était... Qu'il n'y avait pas de pilote là-haut. Personne ne pouvait donc conduire le robot une fois décrochée. Justement, à l'instant où je réfléchissais à cette probabilité, le sol se mit à trembler, comme se détachant de ses racines. Je me devais, pour ma part, de ne pas faire paniquer Tohru. 

"Très bien, je -... Hésitais-je un instant. Tohru. Écoutez-moi. Est-ce que vous avez déjà pris les commandes d'un robot ? C'est très similaire à un jouet mais... En plus grand. Et avec plus de boutons. J'enchaînais plus rapidement. J'ai besoin que vous vous rendiez par les escaliers qui se trouvent au fond de la pièce, à votre gauche, jusqu'au premier second étage. Là-bas, vous trouverez la porte d'une sorte de grande boîte close et isolée : c'est la tour de contrôle et les commandes du Shacktron ! Dès que la vitre s'ouvrira - et elle s'ouvrira - sur la forêt, agrippez le levier et tirez aussi fort que vous le pouvez poru stabiliser le robot ! Attendez ensuite mes instructions mais il faut que nous stabilisons le laboratoire au plus vite, sinon il s'effondrera avec nous à l'intérieur." 

Et selon le poids porté, nous pourrions manquer de sorties... Il ne restait plus que la possibilité de l'éjection par voie assise des étage supérieurs. Je supposais ne jamais avoir besoin de cette sécurité...
Dans une situation plus reposée, j'aurais bien évidemment demandé à la jeune fille si elle se sentait capable d'y arriver et ne lui aurais pas permis une telle manœuvre lors de sa première venue. Malheureusement, tout d'abord, le temps pressait (les secondes passaient à grande vitesse, à moins que l'urgence me donna cette impression) et je ne pouvais me permettre de proposer confirmation. Ensuite, et cela je n'eus non plus le temps pour le lui expliquer, il m'était impossible de gérer le levier du panneau de contrôle du robot tout en assurant la transmission et réparation du codage ici. Dans l'action, peut-être, saurais-je voir où se trouve le problème. À espérer. 




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