« Pour réaliser une chose extraordinaire, commencez par la rêver.
Ensuite, réveillez-vous calmement et allez jusqu'au bout de votre rêve
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 Partons à l'aventure ! } feat Sloan Fyresciell

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Athénaïs du Chestershire
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Athénaïs du Chestershire

| Avatar : Natalie Dormer

| Conte : Alice au pays des merveilles
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Partons à l'aventure ! } feat Sloan Fyresciell _



________________________________________ 2020-10-22, 13:28

Partons à l'aventure !
Sloan & Athénaïs

Athénaïs poussa un grand soupir tout en tournant les pages d’un livre aussi grand que le soupir qu’elle venait de pousser. Elle allait finir par croire que ce qu’elle avait entendu n’était véritablement qu’une rumeur. Après tout, à Storybrook, ce n’était pas ça qui manquait… les rumeurs. Elles étaient légions et Jefferson lui avait toujours dit de bien vérifier ses sources. C’était ce qu’elle faisait mais elle ne trouvait aucune trace dans les livres d’histoire les plus anciens, que ce soit dans la bibliothèque municipale ou dans celle du chapelier, d’un artefact magique pouvant matérialiser par la seule pensée tout ce qui était imaginable. Elle aurait du se douter que ce n’était qu’un fantasme d’un illuminé comme il y en avait des dizaines. Pourtant, une part d’elle même y croyait dur comme fer. Pourquoi cela ne pouvait il pas exister ? À Wonderland, Hackery possédait bien une montre pouvant modifier le cours du temps, ce qui paraissait aussi tout à fait iréalisable. D’ailleurs Kowalski ne l’a croyait toujours pas et lui avait dit que tant qu’il ne verrait pas la preuve de cette montre, il resterait campé sur ses positions. Elle avait arrêté d’essayer de le convaincre, ayant surtout vu qu’il était paniqué à l’idée que cela était possible alors même qu’il travaillait dessus dans ses recherches de physique quantique. Au fond, elle s’en fichait, elle connaissait parfaitement le danger de cette montre et elle était bien contente qu’elle soit introuvable. Jeff disait qu’elle était resté à Wonderland, et elle penchait aussi pour cet argument. Alors pourquoi un cube pouvant matérialiser tous ses désirs ne pourrait il pas exister ? Elle avait donc décidé, après avoir entendu deux spectateurs discuter de ça dans la queue pour acheter des billets pour voir le show, de se renseigner. D’abord elle avait commencé par de simples questions à des gens dont la magie n’était pas étrangère. Si le voyage dans le temps était une possibilité scientifique, elle avait bien compris que là, ce n’était pas la science qui pouvait créer ce genre de miracles. Or toutes les réponses étaient négatives. Si les gens d’aujourd’hui n’avaient pas d’informations, alors peut être que ceux d’avant en aurait. Elle s’était alors plongée dans une étude de recueils magiques, mais encore là c’était chou blanc. Elle avait bien eu quelque chose par rapport à la réalisation des voeux, mais cela concernait plutôt les génies ou certains sorciers, ce qui voulait dire que le pouvoir était déjà présent et n’émanait pas d’un simple cube.

Décidant de faire une pause pour se refaire un thé, elle checka son portable. Elle eut un air surpris en voyant un message de la part de Gabrielle. Elle connaissait bien la jeune femme, ou du moins, elle connaissait bien les patisseries qu’elle proposait. Forcément, elles s’étaient parlées plusieurs fois et Athénaïs avait découvert que l’autre blonde adorait le cirque. Elle l’avait invité un soir à voir l’une des représentations et de fil en aiguilles elles avaient fini par sympathiser. Néanmoins, ce n’était pas non plus l’amour fou. L’ancien chat trouvait la mage bien trop hypocrite et la mage trouvait l’ancien chat bien trop dur à suivre. Elles étaient amies mais il ne fallait pas non plus trop pousser, surtout depuis que Gabrielle avait appris que c’était elle, qui avait transformé River. Regardant son message, son sourire s’agrandit. Si elle avait un peu de mal avec Gabrielle, elle appréciait cependant beaucoup son partenaire de vie. Elle connaissait Sloan depuis longtemps, surtout pour lui avoir acheté de nombreuses oeuvres d’art pour meubler son appartement grâce à l’argent de la tournée mondiale du Cirque de la Lune. Justement, Gabrielle lui disait qu’elle avait parlé à Sloan de ses interrogations sur cet artefact et que bizarrement il était très intéressé pour en discuter avec elle. Rapidement, elle envoya un message au concerné, lui proposant une rencontre autour d’une tea party. La réponse ne tarda pas et Athénaïs reprit un peu du poil de la bête. Éteignant la bibliothèque, elle se téléporta dans son appartement pour se changer, et surtout, emballer le présent qu’elle allait offrir à Sloan. Elle ne venait jamais les mains vides chez lui, et si on aurait pu croire que c’était par générosité, ce n’était pas totalement vrai. Elle voulait conserver son lien d’amitié. Il était un dragon, et elle les connaissait. Ils appréciaient les présents. Se tapotant la joue, elle sourit en ayant trouvé. Cela faisait longtemps qu’elle ne lui avait pas offert de peinture, et elle avait fini un très beau paysage montagneux. Le dessin et la peinture étaient des passes temps qu’elle appréciait tout particulièrement. Elle avait perfectionné son coup de crayon et parfois, il lui arrivait même d’en vendre. C’était comme ça qu’elle avait pu tenir avant que le cirque ne l’embauche, il y a fort longtemps. Enfin de ce que ses faux souvenirs lui disaient. Emballant la toile avec du papier bulle pour ne pas l’abîmer, elle vaqua à ses occupations concernant le cirque toute l’après midi avant d’aller se préparer pour aller à son rendez vous avec Sloan.

N’abordant pas un look trop excentrique, sachant parfaitement s’adapter à son interlocuteur, elle se téléporta devant l’immense manoir. Elle aurait pu en être jalouse, mais elle pouvait aller quand bon lui semblait dans celui de Jefferson, alors elle préférait comme à son habitude contempler l’architecture. Un domestique, surpris de trouver une jeune femme aux yeux bien trop bleus pour être naturel devant la porte, se rua pour aller prévenir l’un des maîtres de maison sans penser que la dudite jeune femme avait déja envoyé un message pour le prévenir. Sloan arriva, toujours aussi classieux et Athénaïs ne put s’empêcher de s’amuser à lui faire une petite révérence. Elle avait toujours été comme ça, même du temps où Iracebeth aurait pu l’attraper pour lui arracher la tête. Elle n’avait peur de personnes. Elle était le trublion qui pointait du doigt les problèmes. Elle était la reine des chats de Wonderland. Peuple indépendant et je m’en foutiste.

“En guise de remerciements. Je l’ai fini il y a quelques semaines et je me demandais où elle allait partir. Au final c’est chez toi. Elle te rendra peut être nostalgique qui sait.”

Elle eut un petit rire tout en donnant l’oeuvre d’art à Sloan, avant de le suivre dans un petit salon. Même si elle était grande gueule, Athénaïs connaissait la bienséance et la politesse. Elle attendit qu’il l’invite à s'asseoir pour le faire, tandis qu’un serviteur apporta un plateau avec des tasses et une boite rempli de thé qui l’a ravi.

“J’espère que tu as suivi mes conseils en changeant de boutique de thé et que tu es allé chez Jeff. Outre le fait que ce soit mon ami, il fait véritablement les meilleurs thés de Storybrook voir du monde. Après tout … c’est un peu dans notre sang.”

Oh oui. Il n’y avait pas de meilleur thé que celui de Jefferson. Même si elle pouvait boire n’importe quel thé tant qu’elle était accro, il fallait dire que le chapelier savait se fournir.

“Tout comme la drogue je te l’accorde. La théine n’en est qu’une parmi tant d’autres au final.”

Elle rigola pour elle même tout en secouant la tête. Wonderland était le monde du thé mais aussi des drogués. Personne ne leur arrivait à la cheville car tout simplement ils étaient en quelques sortes immunisés. Elle avait beau avaler des cachets de meth’ comme des bonbons, cela ne lui faisait rien. Au contraire, elle se sentait mieux, comme si son corps réclamait cette drogue pour continuer. Certes, comme tous drogués, mais la différence résidait au fait qu’elle savait parfaitement ce qu’elle faisait. Consciente, rien ne changeait dans son caractère.

“C’est très gentil de la part de Gabrielle de t’avoir parlé de mes recherches. C’est bien qu’elle ne m’en veuille plus par à l’épisode avec River …”

Gabrielle était venue au cirque, lui donner une méga claque pour avoir osé mettre River en danger. Or Athénaïs ne s’était pas démontée et lui avait renvoyé dans la face qu’elle n’était pas la meilleure personne qui pouvait parler en ce qui concernait de mettre les gens en danger. Elle aussi avait culpabilisé pendant des mois en apprenant que la lacrima qu’elle avait inséré dans l’âme de River avait failli le transformer en marionnette pour mage noir surpuissant. Comment aurait elle pu deviner ? Puis surtout, River avait fait son choix tout seul. Elle l’avait guidé à l’intersection de sa vie, comme elle le faisait avec les âmes perdues, et ensuite il avait choisi d’aller dans une voie plutôt que dans une autre. Il était conscient du danger. Si ce n’avait pas été elle, il aurait été aller voir quelqu’un d’autre.

“Comme elle a du te le dire, j’ai entendu deux personnes discutant d’un artefact magique, permettant de pouvoir matérialiser les choses les plus folles de l’imagination. J’ai eu beau chercher dans les livres de magie les plus anciens, je n’ai rien trouvé, mais je suis persuadée que cela existe car Storybrook regroupe tous les univers possibles. Il est fort probable que dans l’un d’eux, cela y était. Regarde, au pays des merveilles, nous avions bien une montre capable de voyager dans le temps ou encore des miroirs pouvant faire passer d’un monde à l’autre.”

Elle prit sa tasse, mettant une dose assez importante de sucre et commença à le remuer.

“As tu trouvé quelque chose de ton côté qui pourrait nous mettre sur une piste ?”


Pando


Sloan Fyresciell
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Sloan Fyresciell

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________________________________________ 2020-11-25, 14:48


Let's play a little game
Athénaïs & Sloan


« Le talent sans génie est peu de chose. Le génie sans talent n'est rien. » - Paul Valery


Les dragons étaient beaucoup de choses. Des êtres de grandeur, des forces de la nature, des cataclysmes en action. Ils étaient des conquérants, des destructeurs et le monde les craignait, à raison. Mais ce n’était pas la chose que Sloan préférait au sujet de son espèce. Ce qu’il aimait, plus encore que de voir les pathétiques humains tombés à genoux face à eux, et implorer leurs dieux inutiles pour éviter le brasier qui dévorerait leur chair tel l’Enfer, c’était cette propension innée pour le raffinement. Il n’était nulle tanière de Dragon qui ne fut agréable aux sens. Il n’existait nul Dragon dénué de charme. Si les hommes les craignaient, ils admiraient et jalousaient leurs écailles luisantes, leur cuir résistant, mais surtout leur collection. Qui, souvent, se constituaient de trésors. Avec un soupir presque nostalgique, il songea à Erebor, cette antre dorée et soyeuse, qu’il avait choisit pour devenir son nid. Les milliers de pièces d’or faisaient pour lui le plus doux des lits, le recouvrant tout entier, malgré son immense taille. Une tanière digne de ce nom, même si elle avait été construite par ces ignares de nains.

Portant son verre de cognac ambré à ses lèvres, il observa la pièce qui l’entourait, drapée de rouge, de velours ou de métaux précieux, or, argent, cuivre, ainsi que les œuvres qui ornaient les murs. Certes, il ne s’agissait pas d’une demeure immense mais il ne possédait plus son corps de dragon. Il était piégé dans un corps, somme toute, acceptable, mais il ne se passait pas un jour sans qu’il ne regrette sa taille, et par dessus tout, ses ailes. Ses ailes… Malgré lui, il soupira, reprenant une longue gorgée du liquide brûlant, qui lui arracha un sourire. Il avait trouvé en la conduite un substitut acceptable, mais rien ne valait le plaisir de sentir le vent passer tout autour de lui, ni l’immensité du paysage défilant sous lui. Il se rappelait des bois des Elfes, touffus ou sombres, des villes des humains, qui hurlaient de terreur à son passage. Il se rappelait des tours et des forteresses, des jouets à ses yeux. Il se souvenait surtout des odeurs et des couleurs, des sons que le vent charriait jusqu’à lui, du crépitement des arbres qui se déracinaient sur son passage. Il se souvenait du soleil, qui dorait son dos alors qu’il avançait parmi les nuages, menace parmi les menaces, dieu parmi les vivants.

S’approchant du feu de cheminée qui brûlait toujours, il tendit la main vers les flammes, en appréciant la douce caresse. Athénaïs ne tarderait plus, désormais. Si elle était parfois saugrenue, il la savait ponctuelle, et n’arriverait ni en avance, ni en retard, comme à son habitude. Il songea encore à l’objet de ses convoitises, qui l’avait mener jusqu’à lui. Un artefact magique capable de donner à celui qui le possède l'objet de tous ses désirs. Cela l’avait bien sûr intrigué, pour des raisons évidentes. Qui n’aurait désiré un objet d’une telle valeur ? La rareté faisait l’intrigue, et il était de ceux qui désirait tout ce qui l’était rare de posséder, mais au-delà même de cela… Il y voyait un intérêt tout à fait personnel. Lui était-il possible de redevenir lui-même ? Lui était-il possible de redevenir le roi des cieux ? Aussitôt, il songea à Gabrielle, qui était en réalité l’auteur de cette nouvelle fascination. C’était elle qui, en première, était venue lui révéler l’existence d’un tel objet et qu’Athénaïs était à sa recherche. A deux, ils auraient tôt fait de le trouver, et le mérite en revenant à sa merveilleuse future épouse.

Mais qu’adviendrait-il d’eux si il redevenait un dragon ? Certes, il le savait, Gabrielle ne cesserait de l’aimer, tout comme lui ne le pouvait même lorsqu’elle n’était plus tout à fait elle-même. Il avait du affronter plusieurs de ses démons, et si cela avait manqué de peu de mener à une bataille rangée, cela avait finit… Dans les plus plaisants draps possible. Mais cela n’était pas pareil. Même en proie à ses démons, elle demeurait humaine. Que penserait-elle si il redevenait un dragon, d’écailles et d’ailes ? Et comment ferait-il pour vivre dans ce monde ? C’était un monde technologique, fait d’immondes avions et de buldings sans cesse plus haut. Ridicule. Malgré lui, il plissa les lèvres, comme dégoûté. Lui serait-il possible de ne reprendre que ses ailes, à l’instar de Gabrielle ? Il l’ignorait. Mais ne tarderait pas à le savoir.

Comme si elle l’avait su, son portable vibra dans son veston et un domestique vint lui annoncer qu’une jeune femme étrange se trouvait sur la propriété. Sloan lui demanda de la faire entrer, à sa grande surprise, et il fit préparer une grande tablée, agrémentée de nombreuses théières de thé, de gâteaux, de scones et autres amuses bouches à l’anglaise, comme Athénaïs les aimait tant. Il l’accueillit dans le grand hall, se fendant même d’un baisemain à l’ancienne, son visage s’illuminant sincèrement à la vue de l’oeuvre qu’elle lui offrit. Sloan était un grand amateur d’art, et il devait avouer qu’il avait un faible pour le talent d’Athénaïs. Il avait déjà vendu plusieurs de ses toiles dans sa galerie, et était l’heureux propriétaire de certaines d’entre elle. Il avait par ailleurs le projet de lui demander un portrait pour/de Gabrielle, mais les choses n’étaient pas encore certaines pour le moment...

-Ma chère Athénaïs, tu me gâtes ! s’exclama-t-il, admirant la toile aux couleurs vives et chatoyantes rappelant étrangement un immense feu de forêt. Je suis absolument ravie, comme tu le sais, ton art fait vibrer la fibre incendiaire de mon âme.

Il eu un bref geste de la main, indiquant aux domestiques de monter cette toile dans son bureau, puis il guida la jeune femme dans le petit salon, qui n’avait de petit que le nom. Il s’installa dans le fauteuil de cuir sombre, laissant à la blonde l’immensité du sofa, puis il fit signe aux domestiques de disparaître, d’un regard sombre et froid.

-Tu me connais, je préfère la perfection, et je dois bien avouer que tu avais raison. La finesse de ses mélanges ne fait aucun doute, et mes papilles te remercient. J’ai fais préparer plusieurs thés différents, je te laisse te servir à ta guise. Pour ma part, je suis déjà servi, ajouta-t-il, agitant légèrement son verre de cognac pour faire tourner le liquide d’or.

Il vit Athénaïs faire une moue, mais l’alcool était au dragon ce que la drogue était au félin.

-Gabrielle est une perle, acquiesça-t-il, après avoir prit une gorgée, un sourire aux lèvres.

Il avait eue vent des mots qu’elles s’étaient échangés. Si il n’avait pas tout compris sur le moment, n’ayant pas particulièrement d’intérêt pour le jeune River, il avait cependant prit le temps d’approfondir le sujet avec Gabrielle, puisque cela lui tenait à coeur. Mais désormais, tout semblait s’être arrangé. Il l’écouta donc introduire finalement le sujet de sa visite, un léger sourire suffisant se dessinant sur son visage. Le type de sourire qui déstabilisait ou horripilait les autres. Ce type de moue qui signifiait que votre interlocuteur savait quelque chose que vous ignoriez...Mais que vous auriez du savoir.

-Il est amusant que tu parles du Monde des Merveilles, souligna-t-il, se permettant le luxe de boire une nouvelle gorgée.

Il y eu un silence, calme. Quelques secondes.

-Car d’après mes recherches… Cet artefact s’y trouve.

Le visage d’Athénaïs sembla passer par plusieurs émotions, mais avant qu’elle ne puisse reprendre la parole, Sloan sortie de son veston une petite enveloppe dodue, qu’il tendit à la jeune femme.

-J’ai du faire preuve de beaucoup de ressources pour le localiser, car comme tu peux l’imaginer, ce n’est pas le type d’objets que l’on se vante d’avoir… Au risque de se le voir dérober. Cependant, je jouis d’un réseau d’hommes honnêtes et malhonnêtes qui savent toujours comment me satisfaire. Si tu ouvres cette enveloppe, tu trouveras à l’intérieur une sorte de… pin’s.

Il plissa le nez en le disant, comme pour souligner le ridicule de la chose.

-Crois bien que je regrette que notre salut provienne d’un amas sans goût de plastique de mauvaise qualité. Cependant, il s’agit de l’un des pins que la mairie de Storybrooke a récemment mit en trafic et qui permettent de voyager entre ce monde… Et nos mondes.

La blonde eut l’air surprise, ouvrant l’enveloppe, et Sloan se permit un dernier silence, avant de reprendre une gorgée.

-J’ai fais avancé une voiture. Nous pouvons partir quand tu le souhaites.
(c) DΛNDELION
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