Surnom(s) → Caly
Age → Très vieux

Occupation / Emploi → Emmerdeur & Chômeur

Votre personnage est-il tiré d'un conte ? : Du folklore européen
Si oui, lequel et qui est-il dedans ? : C'est un kelpie !

Caractère

Emotivité, sensibilité, intuition, réceptivité, charme et sensualité, voilà les mots qui pourraient qualifier véritablement Calypso. Bien que pouvant apparaître superficiel et léger, il cherche à trouver un sens à sa vie pour se sentir exister pleinement. Son sens était sa nature de kelpie. Avant il n’avait pas à réfléchir à tout ça, il savait ce qu’il était alors qu’aujourd’hui, tout est si compliqué. Ainsi, il préfère trouver son chemin à travers une riche vie fantasmatique, de chimères et se tourne vers des paradis artificiels. Il est vrai qu'il a un besoin intense besoin d'émotions et d'expériences nouvelles et ne se satisfait plus d'une existence routinière. La vie doit être une représentation théâtrale pour être digne d'être vécue. Il sait que rien ne serait plus comme avant alors il se cherche. De toutes les manières possibles. Souvent, quasiment tout le temps, il est déçu, à la merci de déséquilibres intérieurs. Il n’est pas ce qu’il montre. Calypso est une véritable illusion. Au premier abord, il vous paraîtra agaçant, provoquant, irritant, insupportable même, prêt à vous donner l'occasion de le tuer. Bon. D’accord. Il est tout ça. Mais il n’est pas que ça. Calypso est aussi fidèle, créatif, déterminé et il peut se révéler encore plus aimable et aimant.

Calypso adore jouer à l’imbécile. Il aime qu’on le sous-estime, qu’on ne fasse pas attention à lui, qu’on baisse sa garde en sa présence. On ne le prend pas au sérieux, le traitant comme un gamin mal poli. Il en raffole car la victoire est d’autant plus exquise quand dans les yeux de ses victimes il remarque cette étincelle de peur. On aurait du se méfier de lui. Caly possède une intelligence vive, un esprit d'à-propos souvent teinté d'humour et apprécie les joutes oratoires dans laquelle il excelle dans un unique but. Agacer. Il veut sentir la colère chez son interlocuteur. Il veut voir cette rage chez son vis-à vis. Cette rage qui brûle en lui et qu’il n’arrive pas à faire partir. Il arrive à l’atténuer en tuant. Caly pourrai être considéré comme un serial killer si ce dernier se référait aux codes moraux des humains. Mais non, en vérité, il ne fait que ce que sa nature le pousse à faire. Il est fait pour séduire, et tuer. Cela lui apporte un plaisir non négligeable, cela l'apaise pendant quelques temps le feu de sa colère. Pousser à bout les gens qui ne faudrait pas. Avec sa bouille d’enfant communiant, on lui donnerait le bon dieu sans confession mais derrière ses fossettes, ce sourire charmant et ses cheveux ondulants se cache un véritable démon. Calypso est capable de faire et de dire les pires horreurs dans un calme absolu, avec un sourire angélique. Ne vous fiez jamais à ce regard amusé, à ses belles paroles, car s’il veut quelque chose, Caly l’aura. Sans morale ni éthique, ayant clairement sa propre définition du bien et du mal, il pourra vous en faire voir de toutes les couleurs s’il estime que cela va dans le sens de sa marche, de sa réussite. Ou tout simplement parce qu’il trouvera ça drôle, ce qui est une probabilité à ne pas négliger.

Une chose que l’on sait peu sur Calypso n’est pas le fait qu’il soit mélancolique, mais plutôt qu’il ait été diagnostiqué borderline. On lui a apposé ce terme pour la première fois, lors de sa treizième année, pendant une visite médicale de l’orphelinat. Ses réactions n’étaient pas normales, son comportement non plus, et il fallait mettre des mots sur ce que l’on ne comprenait pas. Sur cette instabilité émotionnelle grandissante et ce comportement impulsif inarrêtable. Bordeline est sorti tout seul, mais ne changea rien dans sa vie. En grandissant, en comprenant ce qu’on lui avait attribué, il rigolait, il s’en fichait. On lui avait bien expliqué que les individus souffrant de ce trouble de la personnalité ressentaient les émotions plus sensiblement, plus profondément et plus longtemps que la normale. Il ne devait pas en avoir peur, il devait les appréhender profondément, faire du yoga. De plus, ces émotions ne seraient jamais totalement enfouies, totalement effacées, pouvant refaire surface à tout moment. Les individus comme lui, prennent plus longtemps à se stabiliser émotionnellement après une intense expérience émotionnelle. Et quelle intense expérience avait il vécu quatre ans plus tôt ? La mort de ses parents, son hospitalisation pendant des semaines. Le sentiment d’abandon qu’il avait grandissait de plus en plus. Il savait que son père lui disait pour rire, quand il l’énervait à la suite d’une réponse dite trop rapidement, d’un geste brusque, il ne l’abandonnerait pas sur le bord de la route, pourtant c’était ce qu’ils avaient fait. La mort les avait fauché, le laissant seul aggravant son syndrome. Avec l’âge, il était arrivé à taire ses peurs, à enfouir tout au fond de sa tête ses angoisses, mais elles ressurgissaient toujours, sous la forme de différents comportements. Quasiment toutes les actions qu’il pouvait faire, étaient inconsciemment guidées par ça, par le fait qu’il voulait faire un acte immédiat, libérant ses pulsions, ses frustrations, lui donnant l'occasion de répondre à sa souffrance émotionnelle par quelque chose de tangible. En réalité, ce syndrome est apparu à cause de la malédiction, ce qui ne fit qu’augmenter le sentiment de colère qu’il avait à la découverte de cette gigantesque supercherie. Impulsivité, relations interpersonnelles instables, répétitions de comportements à risques, suicidaires, colères intenses, aucun filtre de perception et d’inhibition, automutilation, provocation, peur de l’abandon, manque d’affectivité, cela est maintenant constitutif de sa personne, et il n’a d’autre choix que de faire avec ! Quel qu'en soit le prix.



Une Particularité ?


A été pompier pendant 1 mois X N'arrive pas à tenir un job plus de 2 mois X Fais tout le temps des blagues salaces X Et des blagues d'humour noir X Adore collectionner les bibelots en forme de sirène et de poisson X Est un peu cleptomane sur les bords X Adore les films, séries, animes, et dessins animés en tout genre X Mange une fois sur deux ses victimes mais que les parties nobles, il est raffiné X Ne sait pas économiser X N'aime pas l'alcool X Sa couleur préférée est le bleu X A toujours une bouteille d'eau avec lui X Fait souvent du skate X N'aime pas trop la chaleur X Adore porter des foulards X Aime les odeurs de poissons X Mange que de la viande (et pas de poissons)


Les Pouvoirs


Hydrokinésie: Etant un démon des eaux, Calypso peut contrôler cet élément. Dès qu'il y a de l'eau dans les parages, il peut en faire ce qu'il veut, dans la mesure de ses forces. De plus, son corps absorbe l'eau. S'il est mouillé, il peut être sec aussi rapidement. Il ne peut pas créer de l'eau par contre.
Kelpie: De part sa nature de Kelpie, Calypso court extrêmement vite, comme un cheval au galop. Il peut aussi séduire les personnes faibles d'esprit pour les attirer là où il en a envie. Bien entendu, ça ne marche pas sur les dieux. Il peut aussi changer de couleurs de cheveux dans le spectre du brun ou du blond, cela représentant son ancien pelage.
Il n'a pas retrouvé sa forme entière de Kelpie. Caly ne peut plus se changer en immense cheval. Cependant, quand il est dans l'eau, ses jambes ou ses bras peuvent prendre l'aspect d'algues sombres. Il peut aussi faire apparaître des griffes au bout de ses doigts et ses dents sont beaucoup plus pointus que la normal.
Soin: Selon la gravité de la blessure, Calypso peut se régénérer s'il se trempe dans de l'eau froide douce. Cela ne se fait pas en quelques minutes (sauf pour une petite coupure). S'il se fait entailler profondément, il devra rapidement s'y plonger dedans et y rester pendant plusieurs heures, voir plusieurs jours. Cela ne marche pas pour des blessures graves types balles ou décapitation.
Beauté

Méfiez-vous des bords de l'eau.
Une dangereuse créature rôde dans les lochs et les rivières reculés d'Écosse. Cette bête sournoise attire ses victimes innocentes au bord de l'eau dans le seul but de les noyer sans pitié.

Cet avertissement n’était pas donné au hasard. Il était répandu en Ecosse et pour cause. Les kelpies existaient vraiment et c’est l’histoire d’un d’entre eux qui va se compter là. Calypso ne s’appelait pas comme ça avant la malédiction. On le nommait tout simplement le monstre du Loch Dughaill. Le Kelpie de Dughaill et cela lui allait très bien. Il est arrivé là de nombreuses millénaires auparavant, au moment où il était grand temps pour lui de se séparer de ses parents (plutôt des géniteurs, les kelpies n’ayant pas la réputation de choyer leur progéniture). Certains Kelpies, âgés, lui avait dit que c’était bien pour ses débuts d’aller dans des lochs où il pourrait trouver des congénères. On lui avait appris tout ce qu’il fallait savoir mais c’était toujours mieux d’être entouré mais il ne voulait pas. Il voulait un espace à lui seul alors pendant de nombreux mois, il traversa les Highlands d’Ecosse pour finalement trouver un loch dénué de Kelpie. Le dughaill. Il y avait quelques créatures, des boobries, des grindylows et notre Kelpie en fut content. Il fut plutôt bien accueilli dans ce loch immense, en largeur et en profondeur. Un Kelpie ! C’était quelque chose de fascinant, et les autres créatures le savaient. Les humains viendraient en masse et ils pourraient tous s’en nourrir car notre Kelpie était tombé sur un loch où la majorité des créatures était dangereuse, ce qui l'amusait encore plus. Ainsi, au fil des siècles, il se familiarisa avec son environnement et fit ce qui était dans sa nature, séduire et tuer. Quand il sortait du loch, il était un magnifique cheval blanc, parfois noir, cela dépendait des personnes qu’il croisait. Son cri de détresse ameutait les promeneurs et il les laissait grimper sur son dos pour les plonger ensuite au plus profond de son antre et les dévorer. Mais ce n’était pas l’activité favorite du Kelpie. Oh non ! Il adorait se transformer en humain et se jouer d’eux. Il séduisait les enfants, les femmes, les hommes et il les menait d’eux même dans le loch. C’était excellent de les voir le suivre, avoir confiance en lui alors qu’il ne les connaissait pas. Bien entendu, c’était son pouvoir d'envoûtement mais c’était tout de même beaucoup plus marrant. Dès qu’ils posèrent les pieds dans l’eau, Kelpie les poussa et prit sa véritable forme, celle d’un monstre, d’un cheval marin.

Tout allait bien pendant très longtemps. La légende gonfla et comme prévu, les intrépides s’approchaient du loch pour l’apercevoir. Au fil des années, des siècles, l’on se méfiait mais la curiosité morbide des humains était toujours plus forte. Cela lui convenait parfaitement, il n’était jamais à court d’amusement ou de nourriture. Or un jour, quelque chose d’extraordinaire se produisit. Quelque chose qu’il n’aurait jamais pu penser possible. On arriva à le soumettre. Kelpie le savait, il n’y avait qu’une seule chose qui pouvait arrêter son espèce, une corde d’or tressée sous une nouvelle lune rouge. Ce n’était pas vraiment l’objet le plus en vogue mais visiblement, le nouveau châtelain du coin en avait une et il la testa sur lui. C’était vrai. Cette corde d’or le priva immédiatement de sa volonté, lui qui aimait tant la liberté. Morlich, le châtelain fut ravi d’une telle acquisition et se vanta d’avoir capturer le fameux Kelpie qui faisait régner la terreur. Ce dernier finit alors en animal de cirque, exposait tous les jours à la merci des humains. On expliquait ce qu’était un kelpie. Un démon des eaux qui fallait punir de ses crimes. Il n’eut qu’une seule personne qui le défendit. Un homme, d’une quarantaine d’années. Un scientifique, même s’il ne savait pas ce que c’était. Il disait que oui, c’était un démon mais aussi un protecteur de la nature. Un protecteur du loch. Il éteignait les incendies causés par l’homme. Il faisait en sorte de protéger la biodiversité. Il n’était pas si mauvais que ça. Forcément, on houspilla l’homme qui décida, par une nuit de pleine lune d’aller le libérer. Il fallait seulement lui ôter la bride. Ce qu’il fit et le Kelpie retrouva toute sa volonté, et une colère sourde vibrait en lui. Tous ces humains allaient payer. Il les maudit tous, eux, et toutes leurs générations. Seul le scientifique en fut épargné et il lui devint même loyal. Sauf que la malédiction arriva à ce moment-là, au moment où il galopait avec Erwan pour aller lui faire visiter son loch.

Donner un prénom de fille à un garçon peut être un signe de rébellion face aux codes de la société, au code du genre, soit une volonté de marquer cet enfant dès la naissance en lui montrant que ce n’était pas lui qu’on attendait. Pour Calypso, malheureusement, c’est la deuxième option qui a payé. Il n’était pas un enfant désiré et on lui a souvent fait savoir. Il n’a jamais compris, en y repensant dès qu’il a été en l’âge de comprendre, pourquoi sa mère n’avait pas avorté. Ça aurait été plus simple. Pour tout le monde. Or elle ne l’avait pas fait et la vie de Caly n’avait pas été simple. Maintenant qu’il était là, il fallait s’en occuper. Encore son père était un peu plus attentionné que sa mère. C’était lui qui s’en occupait quand Madame partait travailler. Elle travaillait longtemps, très longtemps. Le petit garçon qu’il était ne savait pas ce qui se passait dans le couple de ses parents. Il ne savait pas que sa mère n’aimait plus son père, qu’elle rendait responsable de son état et qu’elle allait voir ailleurs. Il ne savait pas que son père disait qu’elle était tout aussi responsable que lui mais qu’au moins il assumait et qu’il allait aussi voir ailleurs. Ainsi il grandit dans ce climat délétère. Parfois quelques coups tombaient mais il ne s’en formalisait pas ! Au contraire ! C’était une marque d’affection non ? Affection que Caly cherchait désespérément. Partout.

Calypso venait de fêter ses neufs ans quand l'incendie fit basculer sa vie. Là non plus il ne savait pas. Il ne savait pas comment les grandes flammes qui léchaient les murs, les objets et les corps étaient parties, comment elles étaient nées. Il sut simplement qu’il allait mourir mais il n’en avait pas peur. Il n’aurait jamais dû être là alors qu’est ce qu’il avait à perdre ? Or, ce n’était pas son heure car il en fut le seul survivant. Les pompiers n’arrivèrent pas à éteindre l’incendie qui s’était même propagé au voisinage mais ils arrivèrent à sortir ce petit bout qui s’était réfugié dans la salle de bain qu’il avait inondée. Même s’il n’avait pas peur de mourir, son insitnct de survie était quand même présent. Il sortit de la maison, à moitié hagard, dans les bras d’un pompier. Ils passèrent à coté des corps défigurés, calcinés de ses parents. Caly ne pleura pas. Pas de suite. À la suite de cet événement, Caly finit à l’orphelinat de Storybrook. Il resta silencieux pendant des mois, un an exactement avant que le flot de paroles ne se déversât de sa bouche. On le diagnosticqua bordeline à la vue de son comportement difficile. Caly était sorti de son silence mais pour dire des horreurs. Il devint une sorte de brute, rendant les coups qu’on lui donnait. Il était plutôt chétif et les plus grands s’amusaient de lui, mais quelle était leur surprise en découvrant qu’il ripostait. Il était même pire qu’eux. En vérité, Caly cherchait la bagarre parce qu’il cherchait la reconnaissance et l’affection. Il n’arrivait pas à en demander autrement et cela ne s’arrangea pas avec les années.

Dès qu’il fut majeur, Calypso parti de l’orphelinat. Même si au fond, il appréciait cet endroit dans lequel il avait grandit, il ne voulait plus en entendre parler. Au final, personne n'avait voulu l’adopter. Personne ne voulait de lui. Ses parents avaient raison et cela l’énervait. La colère grondait en son sein de jeune adulte. Il essaya plusieurs boulots mais n’arriva jamais à aller plus loin que quelques mois. Avec l’argent des aides sociaux il arriva quand même à prendre un petit studio dans les docks. Ce n’était rien mais il n’était pas à la rue. Pendant un moment, il dormait à même le sol avant qu’il n’ait l’idée d’aller chercher des meubles à la décharge. Manuel, il arriva à les retaper, les nettoyer et se fit un nid douillet impénétrable où il vivotait jusqu’à ce que la malédiction ne se lève et révèle la vérité.

La loi terrestre ne s’appliquait pas à eux, contrairement à ce qu’on voulait leur faire croire. Calypso était parti. Dès qu’il avait pu, dès que la barrière de la ville avait été levé, il s’était barré. La colère d’avoir été déraciné, transformé totalement en humain l’avait rendu fou. Il n’en était pas un ! Il était un kelpie ! Un démon des eaux, il n’avait rien avoir avec ces tas de chaires. C’était sa nourriture, son passe temps, son amusement. Il n’était pas eux. On lui avait volé son identité et c’était la plus mauvaise des choses à faire. Oh on l’avait fait, à l’époque, et il avait maudit toute la lignée de ce qui se faisait appeler propriétaire. Heureusement qu’Erwan l’avait libéré. Aujourd’hui il ne savait pas où il était. Il n’en resterait pas là. Alors il était parti, pensant qu’il pourrait retrouver sa vie d’avant. Il était allé en Ecosse, dans son loch d’origine. Enfin, dans le loch qui s’appelait comme le sien, parce qu’il savait que ce n’était pas vraiment le sien. Tout était différent et pourtant si semblable. Il n’arrivait même pas à reprendre totalement sa forme mais au moins, il était dans le loch. Personne ne venait l’embêter et il était bien. Pour un temps.

Caly commença à trouver le temps long. Ce n’était plus comme avant où le folklore dont il était issu berçait toutes les populations. Personne ne venait autour du loch pour essayer de le voir, à leurs risques et périls. Il avait beau essayer de faire comme avant, d'utiliser ses stratagèmes pour attirer les inconscients, il était seul. En soit, Caly avait toujours été seul mais là, ce n’était pas la même chose. Son loch était bien vide, dépourvu de toutes créatures magiques et la nourriture se faisait rare. Il s’était rendu compte qu’il devait manger, la même chose que les humains, ce qui n'arrangerait pas la colère qui l’avait, surtout qu’il appréciait ça ! Et un jour, un jour il en eut marre. Il aperçut un groupe d’adolescents et sa véritable nature ressortit. Il les attira dans l’eau, bien trop content de pouvoir le faire et il les noya. Un par un, se délectant de leurs cris, de leurs peurs, et surtout de leurs corps. Rassasié, repu même, il alla s’endormir dans son nid d’algues. Il fut réveillé par le bruit des sirènes de pompiers, de policiers. Ce n’était plus comme avant. Quand un kelpie attaquait, quand on se doutait qu’un kepie attaquait, on ne faisait rien. Parfois l’on mettait une bougie en hommage à la victime, à l’endroit des marques des sabots et on partait. Le bon vieux temps. Maintenant non. Ne croyant plus à ses légendes, on enquêtait, on investiguait, pour connaître l’auteur de ses horreurs. Calypso fut surpris, désarçonné quand il entendit les mots des hommes qui faisaient des prélèvements sur les morceaux de corps qu’ils trouvaient. Il comprit qu’il fallait fuir rapidement, d’autant plus qu’il entendit qu’ils allaient sonder le loch. Oh il pourrait tuer comme il en avait l’habitude les plongeurs mais une sorte d’instinct de survie qu’il n’avait pourtant pas très développé lui ordonna de fuir et de rentrer. Où ? À Storybrook. Le seul endroit où en vérité, il pourrait être lui-même. Qui sait ce qui pourrait lui arriver s’il finissait en prison. Caly détestait être privé de sa liberté. Il l’avait prouvé à de nombreuses reprises alors pour éviter ça, il fallait rentrer, même s’il n’avait pas vraiment de but car il savait que sa nouvelle maison était Storybrook. Ce qu’il fit, laissant dans son sillage plusieurs morts irrésolu.

CREDIT

Administration → Célébrité de votre Avatar : Dane Dehaan → Est-ce un poste vacant ? : Nop → Multicompte ? : Trop → Besoin d'un parrain ou d'une marraine ? : Nop Entre nous → Pseudo / Prénom : Chess Pas de suspense → Votre avis sur le forum : → Comment l’avez vous découvert : Il y a fort fort longtemps → Si vous deviez choisir entre héros, vilain, magique, prince(sse), ancien animal, rebelle ou divin pour votre team vous choisiriez quoi ? : Vilain → Le mot de la fin : Ecrire ici. (Un dernier commentaire ?)

Je suis pas avec le bon compte mais le coeur y est !!!! hate de voir mon BFF Je peux pas en dire autant de l'autre connard =D

Et c'est dans ces moments là que certaines bouilles d'amour de SB souhaitent fuir et partir loin
J'ai peur de ce type, maiiiis l'acteur me rappelle certains de tes autres persos, alors on va dire que c'est juste un revenant à la maison !

Rebienvenuuuue !

Jess: Ouiiiii Caly envoie des bisous à Jess et QUE à Jess

Nono: Tellement Maaaais ça arrive à Caly d'être gentil De temps en temps genre les 29 Février

Ouais il me manquait trop du coup je me suis dis que j'allais le récupérer
Oh bah après Aguistin qui avait cette tête là au début était pas un enfant de coeur

Hola
C'est un vilain alors tu restes loin de mon bébé Lulu, mais le coeur est là

Re-bienvenue, tout ça
Tu sais où me trouver pour des petits liens
(Et je te rejoins bientôt dans les DC )

Re-bienvenue

@Auré : J'ai étrangement plus peur de lui que d'Aguistin Vivement le 29 février

Lu: Roooh mais non il fera rien à Lulu Il estime que c'est un peu grâce à lui qu'il a des meubles Alors ça vaaaa

Hhéhé oui je pense que certains vont bien s'entendre avec ou pas

Ouiii craque pour un DC

Merci Ml

Nono: Ouai la version actuelle d'Aguistin est quand même beaucoup plus posée et sérieuse
Mais oui je comprends qu'il fasse peur C'est pas un kelpie pour rien :ehe:


Eeeet pour vous dire que j'ai fini la fiche

Re bienvenue tu peux pas lacher l"acteur avoue ?

Merci

NON Il me manquait trop

Mais tu sais ce que ça fait hein