« Pour réaliser une chose extraordinaire, commencez par la rêver.
Ensuite, réveillez-vous calmement et allez jusqu'au bout de votre rêve
sans jamais vous laisser décourager. » (Walt Disney)

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 Tic, Toc, Karma Clock ! (x. Anya)

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James M. Thatch
« J'ai pas trouvé où on peut demander un rang personnalisé... ! »

James M. Thatch

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| Conte : Atlαntide, l'empire perdu.
| Dans le monde des contes, je suis : : Milo.

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Tic, Toc, Karma Clock ! (x. Anya) _



________________________________________ 2021-10-31, 21:24





Tic, toc, goes the clock

« Personally, I’m a fan of ignoring the problem
until eventually it goes away. »

Le monde pouvait parfois décider de vous jouer de petits tours du destin, comme s’il essayait de vérifier que vous teniez toujours la route. Savait-on jamais, dans le doute il pourrait venir à vous éliminer ? Ou vous remettre dans le droit chemin ? Oui, mieux vallait songer à cette seconde option, c’était tout de même plus safe et plus optimiste. Non parce que lorsque les alarmes du centre commercial avaient commencé à résonner, Milo s’était vraiment demandé si on ne le mettait pas à l’épreuve…

Pour une fois qu’il se rendait dans un lieu hautement fréquenté, sur demande express d’une jeune fille blonde qui l’avait officiellement demandé à son colocataire Sebastian, il fallait que quelque chose se passe mal. Face au malaise du grand gardien à l’idée même de mettre un pied ici, James s’était porté volontaire afin de ramener un étrange mais précieux sésame : un livre. Il était d’ailleurs à sa recherche dans la troisième librairie du centre commercial lorsque, relevant la tête au travers des rayonnages, il avait aperçu des personnes s’inquiéter. Quelques regards en direction de la vitrine, quelques murmures intrigués, puis rapidement chacun avait repris ses activités comme si de rien était.

Euh… N’avaient-ils pas entendu la première sonnerie ?

James se mordit l’intérieur de la joue, hésitant. Il ne savait pas si ce genre de manœuvre était coutumier dans le coin mais dans l’armée ce genre de signal n’apportait rien de bon. Mieux valait y réagir vite, d’ailleurs, alors… Pourquoi tout un chacun semblait ne pas y prêter plus d’attention ? Était-ce un exercice récurrent ? Une simple façon de tester les alarmes du centre commercial une fois de temps en temps ? L’effet oppressant du groupe désintéressé commença insidieusement à peser sur lui et il jeta des regards autour, incertain. Quelque chose en lui le poussait à se méfier et à faire quelque chose… Comme sortir d’ici, pourquoi pas. C’était un bon début. Il se faufila donc hors des rayonnages et se dirigea vers les portes ouvertes d’un pas rapide, les franchissant tandis qu’une seconde alarme résonnait dans le haut couloir du second étage.

Les gens s’immobilisèrent pour la plupart, intrigués, d’autres continuèrent leurs discussions ou avancée sans y prêter plus d’attention. Une voix résonna alors :

« Cher usagers, face à une suspicion de bagage abandonné, nous vous prions de libérer les lieux le plus rapidement possible afin de faire intervenir une équipe de déminage. »

Des soupirs agacés résonnèrent, comme si cet événement venait casser les pieds des acheteurs en train de se promener. Certains y allèrent même de leur commentaire, levant les yeux et critiquant une telle décision. James, lui, n’était pas très à l’aise : bagage abandonné, ça pouvait signifier beaucoup de choses, y compris engin explosif dissimulé volontairement. Mais personne n’avait l’air de s’en inquiéter le moins du monde ! Tous ne pensaient qu’à leur petit confort personnel et la façon dont le destin avait bousculé leurs plans avec ce petit obstacle indélicat. L’égoïsme des temps modernes sidérait parfois le linguiste.

Alors quand des bruits semblables à une salve de coups de feu résonnèrent brutalement sous le dôme vitré du centre commercial, un vent de panique s’empara de la foule stupéfaite ! L’atmosphère changea radicalement, faisant remonter une nuée d’angoisse et de cris qui partirent dans tous les sens. Milo fit face à deux réactions : des personnes sidérées qui ne bougèrent pas, paralysées par la surprise, et des gens qui se mirent à courir dans la direction opposée aux bruits. Un brouhaha tonitruant de conseils, appels, cris et autres altercations lui envahit les oreilles, semblables aux sons des balles qui sifflaient à l’époque où il travaillait en Afghanistan. Au-dessus de sa tête. Autour de ses oreilles. Un peu partout. Un peu ailleurs. Un peu trop.

Il fut happé par la foule, avisant d’un agent de sécurité qui grimpa sur un banc et se mit à lancer des « Par là ! Passez par les escaliers nord ! » à la marée humaine. D’où sortaient tous ces gens ? Comment pouvait-on supporter d’être autant regroupés au même endroit ?! Milo sentit son envie de revenir ici diminuer à vitesse éclair. Bougeant de sa position pour s’exécuter, il emprunta les escaliers sus-cités et rejoignit plutôt rapidement le premier niveau. Malheureusement, il n’atteignit jamais le rez-de-chaussée : les lumières s‘éteignirent à l’instant même où un énorme bruit coupa tout autre son alentour. Comme si quelque chose venait de s’effondrer…

Le monde se retrouva sans-dessous-dessous sous la panique et James peina à s’extirper de la houle humaine qui s’inquiétait et s’alarmait dans tous les sens. Il se refugia près d’une vitrine, évitant de justesse de se faire piétiner, n’ayant aucune idée d’où se diriger pour trouver la sortie du centre commercial… Pourvu qu’il n’y ai pas de victimes et que ce ne soit que l’effondrement d’un pilone ou quelque chose du genre ! En tout cas, les réactions alentours étaient aussi démesurées que la logique de cette situation !

Alors qu’il réfléchissait à quoi faire, une petite main s’accrocha à la sienne et un corps se serra à ses côtés. Baissant les yeux, il découvrit une petite fille aux cheveux flamboyants qui semblait avoir courru un marathon en plus d’avoir été bousculée ; ses vêtements étaient un peu de travers et elle respirait vite. Lorsqu’elle leva les yeux vers lui, Milo vit qu’elle n’était pas hyper rassurée par ce qu’il se passait ici. Pourvu qu’elle ne le confonde pas avec quelqu’un d’autre, il ne la connaissait absolument pas !

« Euh… Tu es perdue ? »

Parvint-il à demander malgré le bruit ambiant. Elle hocha rapidement la tête.

« J’ai perdu maman. »

Ah, super… Oui, logique en un sens. Et qu’est-ce qu’il pouvait y faire ? Au milieu de tous ces gens ?

« Elle doit être à la sortie, tu ne crois pas ? »

« Peut-être. C’est où la sortie ? »

« Bonne question… »

Il n’avait pas appris le plan avant de venir et… Personne ne semblait prêt à lui répondre. Peut-être qu’ils s’y dirigeaient tout de même ? Il fallait tenter pour le savoir.

« Tu crois qu’on arriverait à en trouver une ? »

Elle sembla hésiter puis, finalement, hocha la tête.

« Vous restez avec moi jusqu’à ce qu’on voit maman ? »

Ah… Euh… Oui ? Oui, évidemment, oui ! Milo, voyons ! On n’abandonnait pas une enfant comme ça au milieu de gens en panique dans une situation non maîtrisée ! Les alarmes continuaient de résonner mais plus aucun voix ni lumière n’étaient là pour indiquer où aller. Restait à repérer les petits bonhommes verts au milieu de tout ça et de les suivre. Hum, facile à dire.

« Oui. Aller, on va essayer de trouver ta maman. »

Cela sembla la soulager, elle eut même un petit sourire malgré sa main toujours solidement serrée dans la sienne.

« Vous vous appelez comment ? Moi c’est Abigaëlle. »

« James. Je m’appelle James… »

Et il n’était pas dans la mouise pour s’en aller d’ici. Pourvu qu’on ne l’accuse pas de rapt d’enfant une fois qu’ils seraient dehors ! Bon, par où commencer déjà… Ah oui, une sortie !

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roi du silence
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Crawl behind my eyes
And kill my stale state of mind
I fade, I fade, and every time
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I stop...
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Anastasia Romanov
« Men are such babies »

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________________________________________ 2021-11-01, 00:06 « Men are such babies »

Avant que nous ne commencions cette histoire, il est important de rappeler un détail essentiel : Anastasia Romanov déteste les centres commerciaux. Trop grands, trop bruyants, trop bondés de personnes trop peu pressées pour que sa patience s'en accommode longtemps. Depuis toujours, en tout cas depuis qu'elle vit dans un monde qui dispose de centres commerciaux (on ne va pas se mentir, dans la Russie communiste qu'est devenu son monde d'origine, pareille invention capitaliste n'est pas prête de voir le jour), la jeune femme ne s'y rend que lorsqu'elle n'a pas le choix, parce que le produit ou service dont elle a besoin se trouve là-bas et pas ailleurs. Et dans ces cas, elle évite autant que faire se peut d'y aller le weekend ou avec sa fille.
Même si Abigaëlle, bientôt six ans, pense qu'elle a tout d'une grande (et elle en a probablement au moins l'assurance et le tempérament, la faute à la génétique), sa maman n'est pas tout à fait de cet avis. Même si elle ne peut nier l'effet du temps sur la croissance de son petit trésor, à ses yeux, Abigaëlle sera son bébé et, à ce titre, elle s'inquiétera toujours plus que nécessaire pour elle. C'est ça, être parent : s'inquiéter pour le restant de ses jours. Et dépenser une fortune en fournitures scolaires estampillées la Reine des Neiges.
Cela dit, ce n'était pas pour cette raison que les deux rouquines se trouvaient au centre commercial ce jour-là mais pour acheter un nouveau manteau bien chaud à la petite fille en prévision de l'hiver qui ne tarderait plus. Forcément, l'intéressée ayant déjà presque six ans, il était hors de question que maman choisisse ledit manteau toute seule et Abigaëlle était donc de la partie lorsque l'alarme retentit.
- C'est quoi maman ? demanda-t-elle, fixant sa mère de ses grands yeux bleu acier, les mêmes que ceux d'Anastasia.
La fillette hésitait à être inquiète : il était certain que la réponse de sa mère serait décisive dans la manière dont elle déciderait de prendre la nouvelle.
- C'est sans doute rien, ma poupée, mais on va se diriger vers la sortie calmement. C'est ce qu'il faut faire dans ces cas-là, expliqua Anya en se voulant rassurante.
Tous sens à l'affût de la moindre information complémentaire qui lui permettrait de mieux comprendre la situation et de réagir en conséquence, Anastasia constata surtout que, pour le moment, personne ne paniquait. Tout allait même trop bien, comme si, vaccinés par toutes les mésaventures que la ville avait connu, les habitants de Storybrooke n'étaient plus ébranlés par rien. Et puis une annonce, plus claire quant à la menace suspectée, retentit dans tous les hauts parleurs du centre commercial :
- Chers usagers, face à une suspicion de bagage abandonné, nous vous prions de libérer les lieux le plus rapidement possible afin de faire intervenir une équipe de déminage.
Probablement une mesure de sécurité déclenchée à cause d'un énième tête en l'air. Sans doute beaucoup de bruit pour rien. Mais tout de même, il était hors de question de prendre le moindre risque, alors Anastasia resserra son emprise sur la main de sa fille et l'entraina d'un pas résolu vers la sortie la plus proche. La fillette, elle, ne comprenait pas vraiment ce qui était en train de se produire.
- C'est quoi des démineurs ? demanda-t-elle innocemment.
- Ce sont les gens qui enlèvent les mines, s'entendit répliquer sa mère, machinalement, songeant trop tard que cette réponse susciterait au moins une autre question.
- Les mines de crayon ? demanda l'enfant, laissée perplexe par cette réponse.
Pourquoi ne pouvait-on pas simplement utiliser un taille crayon ? A moins que les démineurs soient les tailles crayon des adultes ?
- Pas tout à fait, ma chérie. Mais on en reparlera plus tard, tu veux bien ? l'encouragea sa mère. Pour l'instant il faut qu'on sorte pour laisser les gens faire leur travail, tu comprends ?
La fillette opina et continua de trottiner énergiquement auprès de sa maman. Cette dernière, elle, constatait que la foule n'avait pas l'air particulièrement inquiétée par l'annonce dans les hauts parleurs. En fait, c'était plutôt le contraire : la majeure partie des gens avaient l'air ennuyé qu'on vienne ainsi perturber leurs courses. C'était quand même incroyable, à croire que la sécurité était moins importante que l'achat du dernier Blu-ray de Marvel. Blasée au possible, la rouquine secoua la tête, faisant voltiger ses longs cheveux flamboyants et garda, parce que sa fille avait les oreilles baladeuses, les réflexions que ces comportements lui inspiraient.
Toutefois, l'atmosphère dans le centre commercial changea radicalement lorsque des bruits, semblables à des coups de feu (et Anya en avait entendu suffisamment depuis le début de sa carrière dans la police pour apprécier la ressemblance) retentirent dans le centre-commercial, se réverbérant contre les murs et le plafond dans un vacarme assourdissant. Instinctivement, Anya resserra davantage ses doigts autour de la main délicate de sa petite fille, sentant son pouls accéléré drastiquement. Si jusqu'à présent elle avait su contenir son appréhension, aidée, entres autres par sa carrière dans la police, la jeune femme commençait à présent à sentir la panique la gagner, pas tant pour elle-même que pour Abigaëlle. Elle devait, en outre, composer avec la sidération d'une partie des clients et la panique des autres pour tenter de leur frayer un chemin au travers de tout ce chaos et en sortir, c'était à espérer, le plus rapidement possible.
- Tiens bien ma main, Abigaëlle ! intima-t-elle, un peu sèchement sans le vouloir, à sa fille. Tout va bien se passer, ma chérie, il faut juste qu'on reste ensemble et qu'on trouve la sortie. C'est important Abigaëlle, quoi qu'il arrive, il faut sortir d'ici. Tu ne lâches pas ma main, d'accord ?
Etourdie par la vague humaine qui déferlait tout à coup dans le centre commercial, Anastasia tentait vaillamment de compartiment son esprit pour qu'il reste le plus clair et opérationnel possible. Suivre le mouvement. Tenir la main d'Abigaëlle. Avancer au gré du flot humain. Trouver la sortie la plus proche. Ne pas paniquer. S'assurer que personne ne piétine son enfant. Et recommencer. Elle pouvait le faire, elle avait déjà connu pire.
Mais c'était sans compter sur les facteurs extérieurs qu'elle ne pouvait pas contrôler. La marée humaine engloutissait tout sur son passage. On poussait, on criait, on voulait être secouru le premier, respirer l'air de l'extérieur avant tout le monde, ne plus entendre cette horrible alarme qui semblait vous transpercer jusqu'à l'âme et vous rendre sourd. C'était chacun pour soi et personne pour tous et, après un moment qui sembla durer à la fois très longtemps et seulement quelques fractions de seconde, la main d'Anastasia ne tenait plus que du vide.
Ensuite tout devint noir dans un vacarme qui, combiné aux alarmes incessantes, laissait présager le pire. Que le ciel ou, plus vraisemblablement le plafond, leur était tombé sur la tête. Pourtant, Anastasia n'avait pas mal. Elle se sentait encore vivante, intacte quoique compressée par la foule, mais indemne. Et terriblement seule.
C'est alors que l'horreur de la situation la pétrifia sur place. Elle aurait voulu hurler ou bien pleurer mais larmes et cris semblaient coincer à l'intérieur d'elle, comme si quelque chose lui avait soudain couper le souffle. Contre sa volonté, Anastasia se revit, vingt ans plus tôt, courant à bout de souffle avec sa grand-maman sur les rails d'un train déjà en marche qui semblait s'éloigner de dix mètres quand les deux femmes en faisaient cinq. Le souffle court, elle avait l'impression désagréable d'être encore là-bas, en train de courir après un espoir qui s'amenuisait à mesure que les secondes s'égrainaient. "Je m'accroche"... La fillette d'alors fournissait un effort au delà de sa portée, elle tendait la main vers sa grand-mère et finalement... Le noir total.
Comme aujourd'hui où Anastasia pouvait enfin imaginer l'horreur que Marie avait dû ressentir en la perdant ce jour-là.
On se bousculait tout autour de la jeune femme ou plutôt on la bousculait, s'agaçant de sa sidération. Après quelques instants et autant de coups supplémentaires, la jeune femme revint à elle, au moment présent et quelque chose se remit en marche dans son esprit. Hagarde, elle se remit en mouvement, se rappelant des consignes qu'elle avait données à sa fille seulement quelques minutes (qui paraissaient pourtant très loin) auparavant. Sûrement qu'Abigaëlle s'en souviendrait et irait à l'extérieur où il serait plus facile de la retrouver. Ou alors quelque adulte la repérerait et l'amènerait à la sortie sans traiter ses parents de mauvais parents en comprenant que la situation n'y avait vraiment pas mis du sien ce coup-ci. De là, elle connaissait le numéro de téléphone de maman et celui de papa - ses parents s'étant fait un devoir de le lui faire retenir au même titre que les poésies qu'on apprenait à l'école. Il suffirait qu'on l'appelle et elles se retrouveraient bien vite. Ca ne prendrait pas dix ans sans la voir grandir. Il n'y avait ni malédiction ni sort funeste pour personne cette fois.
Parce qu'il n'y avait que ces deux situations qui étaient envisageables. Il était hors de question pour l'esprit d'Anastasia d'envisager ne serait-ce qu'une seule seconde que quelque chose de pire soit arrivé. Ca ne pouvait pas arriver. Même si elles avaient été séparées au moment où ce bruit suffisant pour réveiller les morts avait retenti.
Mais Anastasia devait impérativement garder la tête froide et ne s'autoriserait de craquer que plus tard, quand elle aurait retrouvé sa fille. Car elle allait la retrouver, il le fallait, à tout prix. Alors la jeune femme chassa ces pensées de son esprit et continua d'avancer jusqu'à ce que peu à peu elle aperçoive, au sens littéral, la lumière au bout du tunnel. Ou plutôt la lumière du jour au bout de la sortie (laquelle, elle n'en savait rien) vers laquelle la marée humaine l'avait conduite.
Anya eut l'impression de recommencer à respirer près une apnée particulièrement longue lorsqu'elle émergea dans la journée fraiche d'automne et sous le ciel éblouissant au dessus de la ville. La foule commença à se disperser, lui permettant de mieux l'observer à la recherche d'une petite tête rousse d'un mètre quinze sur laquelle, cependant, ses yeux ne se posaient pas. Et toujours pas. Et encore pas. La foule, pourtant, était moins dense à présent. Il n'y avait pas non plus un million de personnes au centre commercial ce jour-là parce qu'il n'y avait pas un million d'habitants en ville. Mais où était Abigaëlle ? Loin de diminuer, la panique en Anastasia ne faisait que croître avec le temps qui passait. Où la chercher ? Par où commencer ? A qui demander ? Tournant sur elle-même avec l'impression que le monde alentours tournait encore plus vite et se cramponnant à son téléphone portable comme s'il s'agissait d'une bouée afin, dans le vacarme ambiant, de ne pas louper l'appel de qui aurait retrouvé Abby en bonne santé, Anastasia cherchait désespérément un signe ou n'importe quoi qui la mettrait sur la voix. En attendant elle criait le prénom de sa fille comme si sa vie en dépendant ce qui, d'une certaine façon, était le cas.

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________________________________________ 2021-11-19, 21:55





Tic, toc, goes the clock

« Personally, I’m a fan of ignoring the problem
until eventually it goes away. »

Malgré l’obscurité environnante, James remercia les architectes de l’endroit d’avoir judicieusement placé des verrières au-dessus de leurs têtes pour leur permettre d’y voir à peu près clair ! Malgré l’obscurité et le brouhaha presque aveuglant d’une masse humaine en mouvement, James pouvait peu à peu apercevoir où il mettait les pieds. Son entraînement militaire avait retrouvé le chemin de son corps et la moindre terminaison nerveuse qui le composait agissait en état d’alerte absolue. Ce n’était peut-être pas tout à fait une question de vie ou de mort, mais il y avait une espèce d’instinct de survie à mettre en place pour éviter de finir écrasé. Un mouvement de foule pouvait faire beaucoup de dégâts, on ne comptait plus les blessés et les morts lors de tels évènements et il préférait éviter de compter parmi ceux-là. Lui ou cette petite fille, Abigaëlle, qui lui tenait exceptionnellement compagnie.

La panique était encore palpable autour d’eux. Ils entendaient des gens pleurer et crier à la fois, se lamenter, comme s’ils étaient mal en point. Venaient-ils de l’endroit où le bruit d’effondrement avait trouvé sa source ? Ne pas savoir était difficile. Ne pas comprendre se révélait délicat. Mais il y avait une chose à faire : trouver une sortie et ne pas stagner sur place. Ils auraient de bien meilleures chances d’aller bien s’ils rejoignaient l’air libre, permettant ainsi aux secours qui allaient arriver de se focaliser sur les victimes physiques. L’ordre des priorités. L’ordre des choses comme il devrait toujours être établi. Et pas cette bouillie informe d’égoïsme qui caractérisait tant le monde moderne et son poison autocentré… Milo n’était peut-être pas sociologue, mais il était diplômé d’anthropologie et c’était une évidence désastreuse que leur civilisation creusait sa propre tombe.

En attendant, ce centre commercial ne serait pas le leur.

Ils furent soudain bousculés par un passant hagard, lequel percuta l’épaule d’Abigaëlle et ses petits doigts quittèrent ceux du professeur. Immédiatement, James se retourna pour lui saisir la manche avant qu’elle ne chute à terre ! Il la tira à lui et attendit qu’elle soit en sécurité près de son manteau pour tenter de retrouver l’individu. Celui-ci tentait à cause d’il ne savait quelle raison de remonter la foule, causait d’autre exclamations, et Milo décida de ne pas lui courir après. Déjà parce que ce serait stupide, inutile et qu’il avait un semblant d’exemple à donner à la jeune fille ; bien qu’elle soit plus jeune que les élèves qu’il côtoyait habituellement, elle n’était pas aveugle. Ni sereine.

« Ça va ? Il ne t’a pas fait mal ? »

Il crut apercevoir sa lèvre inférieure trembler légèrement, sans doute une contusion, mais Abigaëlle fit un « non » vigoureux du menton. Quelle gamine courageuse ! Elle ne pleurait pas, elle ne suppliait pas ni ne hurlait, elle se contentait de lui faire une confiance aveugle. Comment est-ce qu’elle l’avait trouvé ? Pourquoi s’était-elle agrippé à lui et pas à un autre ? Est-ce qu’il y avait réellement un sixième sens qui poussait les enfants vers certaines personnes sécuritaires plutôt que d’autres ?

Milo, pas le temps pour des questionnements du genre.

« Viens, je vais te porter, ça t’évitera de tomber. » Proposa-t-il, en se baissant légèrement pour la soulever. « Quand il y a beaucoup de monde, mieux vaut rester sur ses jambes et avancer. »

« Il se passera quoi si je tombe ? »

« Tu risques d’être écrasée. »

Charmant. T’as pas d’autres sujets de conversations, James ?!

« On m’a déjà marché sur les pieds, ça fait très mal. »

Au moins elle comprenait vite…

« Si jamais tu tombes, il faut t’accrocher au pantalon d’une personne qui passe à côté de toi. Avec son élan, ça t’aidera à te redresser. Ça forcera aussi cette personne à faire attention à toi plutôt que d’être juste toute seule parterre. »

La clef était de ne jamais rester invisible aux yeux des autres. Dans la panique on regardait rarement le sol, alors si quelque chose s’agrippait à vous, vous seriez obligé de le remarquer. Il poussa un soupir et tenant fermement Abigaëlle, laquelle passa ses bras autour de son cou pour s’agripper.

« Compris. »

James eu un sourire malgré lui.

« T’en fais pas, tu n’es pas toute seule dans notre situation. Et maintenant, une sortie… »

Il leur fallut encore plusieurs minutes pour parvenir à apercevoir le petit logo vert qui clignotait dans la semi-obscurité, puis enfin une porte lumineuse qui reflétait la lueur du jour. Une dernière bousculade qui manqua de les envoyer contre un mur et voilà qu’ils apercevaient des hommes en uniformes à la bordure de l’entrée : ces derniers interpellaient les gens pour les obliger à avancer et ainsi permettre aux suivants de sortir. Milo reconnu un grand blond assez costaud qu’il avait déjà aperçu plusieurs fois mais ne s’attarda pas, trop pressé de se dissocier de la masse mouvante dans laquelle ils étaient empêtré.

À l’extérieur, de nombreuses personnes commençaient à être prises en charge par de premières ambulances ou pompiers. Des barrières de sécurité empêchaient les curieux et autres passants de s’approcher… Décidément, pour un bagage abandonné, ça ne sentait pas la tranquillité tout ça ! Au moins étaient-ils à l’extérieur.

« Tu aperçois ta maman ? »

La fillette tendit le cou pour regarder tout autour, mais son visage signifiait clairement la réponse.

« Non… Elle avait dit qu’on devait trouver la sortie. »

Sauf qu’il existait plusieurs sorties dans ce centre commercial, sinon tout aurait été beaucoup plus simple ! Il se mordit la lèvre inférieure, réfléchissant rapidement tout en s’éloignant du maudit bâtiment – qui n’était pas prêt de le revoir à l’intérieur !

« Tu sais où elle aurait pu aller ? » pourvu qu’elle ne soit pas restée coincée dedans… « Tu connais ton adresse ? »

« Oui, c’est le… »

Elle lui énuméra une rue et un numéro, appris sans doute par cœur. Bon, il y avait peu de chances que sa maman soit rentrée à la maison comme si de rien était – on était pas dans une série sur les services sociaux – alors Milo tenta une autre idée :

« Et son numéro de téléphone, tu le sais ? »

Certains gamins avaient les numéros importants écrits sur un petit papier cousu à l’intérieur de leur veste – son grand-père faisait ça – ou d’autres les retiennent. Pourvu qu’elle fasse parti d’une de ces catégorie-là !

« Oui et celui de papa ! »

« Ok, on va appeler ta maman alors ! Attend, je dois avoir mon telephone quelque part… »

Il fouilla d’une main sa poche, tâtonnant jusqu’à mettre la main sur le vieil appareil qui lui servait… À téléphoner - quelques sms de temps en temps mais c’était parce que son colocataire ne parlait pas vraiment. James ne s’embarrassait pas de bidules hauts de gammes ou derniers cris, non, un télpéhone ça servait à passer des coups de fils. En l’occurrence pour cette fois c’était tout ce qu’il leur fallait !

« Tiens. Vas-y, dis-moi le numéro. »

Le premier qu’elle lui dicta mena sur une boîte vocale.

« On va ré-essayer. »

Le second tomba dans le vide avec un numéro pas attribué. Cela sembla grandement perturber Abigaëlle qui prit une mine inquiète. James décida de la poser au sol, s’accroupissant devant elle pour être à sa hauteur :

« Écoute, ce n’est pas grave ne t’inquiète pas. Tu connais le numéro, j’en suis sûr : respire un bon coup, ça va te revenir ! Ce n’est pas facile aujourd’hui, il y a beaucoup de bruits et de personnes, mais je suis certain que tu vas t’en souvenir. D’accord ? »

Il avait jamais été autant optimiste dites donc ! La petite fille émit un reniflement en hochant la tête d’un air désolé, avant de se plonger dans un silence de longues secondes. Milo cru qu’elle n’allait plus lui adresser la parole jusqu’à ce qu’elle semble soudain s’éveiller et lui dicte une nouvelle suite de chiffres ! Croisons les doigts que ce soit la bonne !

« Ok, on essaye ! »

Il appuya sur appeler et après seulement deux sonneries, la voix d’une femme résonna entre eux dans le haut-parleur du téléphone !

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________________________________________ 2021-11-19, 23:37 « Men are such babies »

Beaucoup d'aspects de la personnalité d'Anastasia s'étaient vus modifier par la maternité, à commencer par son tempérament flamboyant, pour ne pas dire éruptif, qu'elle avait appris à canaliser en même temps qu'elle apprenait la patience, dont Anya avait toujours manqué - surtout quand il s'agissait de Dimitri. Mais ce qu'on vous disait moins c'était que devenir parent constituait une nouvelle source d'angoisses presque perpétuelle et, en tout cas, intarissable. Personne, dans ce monde de fous et, devrais-je même dire, dans cette ville de fous en particulier, ne faisait d'enfant sans savoir qu'il ou elle allait naître dans un monde aussi imparfait que dangereux. Alors on investissait dans des barrières, littérales et métaphoriques, dans des caches prises pour empêcher les électrocutions d'un bébé un peu trop curieux, des bonnets et des écharpes pour tenir le rhume à distance et dans une quantité folle d'énergie pour préparer l'enfant et se préparer soi-même au pire. N'accepte pas les bonbons des inconnus. Ne monte pas dans la voiture de quelqu'un que tu ne connais pas même s'il dit qu'il connait ta maman et ton papa. Ne rentre pas toute seule en passant par les petites rues. Apprends le numéro de téléphone de la maison. Anastasia n'avait pas échappé à la règle. Elle aussi était devenue une maman angoissée pour le bien être de sa fille, flippée à l'idée de la perdre ou qu'il lui arrive malheur, d'autant que c'était déjà arrivé quand elle était toute petite. Mais elle n'avait pas préparé Abigaëlle à l'éventualité d'une attaque ou d'une explosion au centre-commerciale, ni à l'éventualité que dans ce genre d'événement, à cause de la panique et des mouvements de foule, on pouvait être séparé l'un de l'autre.
Alors devait-elle s'en vouloir ? Aurait-elle pu prévoir ?
En tant que membre des forces de l'ordre de la ville, Anastasia avait une idée assez précise de toutes les horreurs, humaines ou surnaturelles, qui pouvaient arriver, non seulement aux enfants mais aussi à tous les autres. Naturellement elle avait puisé dans son expérience au sein de la police pour se préparer et préparer Abigaëlle au pire - sans forcément lui dire qu'elle la préparait au pire et en espérant qu'elle n'ait jamais à se servir de toutes ces connaissances et de toutes ces consignes martelées depuis que la petite fille était en âge de comprendre.
A présent, Anya espérait seulement que son petit trésor se souviendrait d'une partie au moins de ces consignes et qu'elle aurait la présence d'esprit de les appliquer. Ou que quelqu'un de bienveillant s'occuperait d'elle en lui demandant les informations que maman et papa avaient insisté pour qu'elle apprenne. Ou que ce quelqu'un l'emmènerait au poste de police où Abigaëlle serait immédiatement reconnue.
L'idée de téléphoner au poste avait traversé l'esprit de la jeune femme mais elle s'était finalement ravisée. Et si Abigaëlle, par l'intermédiaire d'un inconnu, appelait pile à ce moment-là ? La rouquine était bien trop angoissée par cette idée pour s'être résolue à passer cet appel et continuait d'attendre un signe, un appel ou n'importe quoi tout en observant les forces déployées pour... Pour quoi exactement, en fait ? Anastasia ne savait toujours pas ce qui s'était produit dans le centre commercial et était tiraillée entre l'idée d'apporter son aide aux secours déjà déployés et le besoin physique de retrouver Abigaëlle. Et si pendant qu'elle aidait des inconnus il arrivait malheur à son bébé ? Même si Anya tâchait de ne pas (trop) y penser, elle savait, de par son métier et sa présence prolongée à Storybrooke, que dans ce genre de situation le pire aussi était possible.
Et puis, soudain, son téléphone sonna, affichant un numéro inconnu. Le cœur de la jeune femme rata un battement car, même si elle s'était préparée (ou, du moins, la part de son esprit qui était encore en mesure de positiver s'était préparée), la soudaineté de l'appel l'avait quand même faite sursauter, presque au point de lâcher le téléphone par terre. Heureusement, Anastasia l'avait rattrapé de justesse et avait pu décrocher après quelques secondes seulement qui lui avait paru interminables.
- Abigaëlle ? Ma chérie, c'est toi ? s'entendit-elle avec un mélange d'espoir mêlé d'excitation et d'inquiétude dans la voix.
- Oui ! C'est maman ! s'écria la voix si familière de sa petite fille de l'autre côté de la ligne, suffisamment loin du combiné pour qu'Anastasia comprenne qu'un adulte devait tenir son téléphone sur haut parleur entre lui et la fillette. C'est moi, maman, ajouta la petite fille en se rapprochant de téléphone pour parler.
Et puis, comme si la situation était parfaitement normale, qu'il n'y avait eu aucun incident majeur au centre commercial et que la séparation entre la mère et la fille avait été prévue, la petite fille enchaina, décidant que maintenant était le bon moment pour raconter son aventure :
- J'ai fait comme tu m'as dit et avec James on a cherché la sortie. Maintenant on est dehors mais t'es pas là alors a essayé de téléphoner mais je me suis pas tout de suite souvenu du numéro, avoua la fillette, déçue d'elle-même, en baissant la tête.
Même sans être près d'elle à cet instant, Anastasia pouvait parfaitement imaginer la scène et se prit à sourire. Maintenant qu'elle était rassurée sur l'état de son petit amour, il était bien plus facile pour la jeune femme de prendre sereinement la situation, même si elle espérait qu'on n'avait pas trop entendu son soupir de soulagement au moment où elle avait reconnu la voix de sa fille au téléphone. Et que celui qui s'occupait d'elle, James, apparemment, ne la jugeait pas trop sévèrement, elle, la mère, pour avoir perdu la main de sa fille - et tout le reste du corps, en fait.
- C'est pas grave ma poupée, la rassura Anastasia d'une voix chaude. Le plus important c'est que tu t'en sois rappelée et qu'on va bientôt se retrouver. Tu peux être très fière de toi, tu as tout bien fait comme je t'ai appris.
Un ange passa pendant lequel Abigaëlle digéra ces quelques mots en regardant tour à tour le téléphone et James de ses grands yeux bleu acier.
- D'accord maman, finit-elle par répondre, pas tout à fait certaine (orgueil déjà bien placé oblige) de mériter les compliments de sa maman mais capable quand même de les apprécier.
De son côté, maintenant qu'elle sentait sa fille rassurée (à moins que ce soit elle qui était rassurée ?), Anastasia s'adressa pour la première fois à James sans trop savoir par quel bout commencer :
- James ? l'interpella-t-elle, incertaine. Je sais pas quoi vous dire, merci, vraiment, de vous occuper de ma fille. Vous êtes sortis où ? Moi, je suis...
La rouquine s'interrompit quelques instants, juste le temps de tourner sur elle-même pour apercevoir le nom de la sortie.
- Sortie C, apparemment. Et vous ? C'est un peu le bor... Le bazar, se corrigea la jeune femme en se rappelant que sa fille écoutait sans doute toujours la conversation, ici. Je sais pas trop ce qui se passe mais la foule n'est pas très compacte, ça me parait possible de bouger pour vous retrouver.

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Un jour je m'arrêterai dans le délire... mais pas aujourd'hui.

           
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