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 Un jour j'irai à New York avec toi ➹ PITCH

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Diane Moon
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Un jour j'irai à New York avec toi ➹ PITCH _



________________________________________ 2019-05-23, 23:39


Un jour j'irai à New York avec toi
Voir si le coeur de la ville bat en moi

S’il y avait une chose que j’exécrais encore plus que tout le reste, c’était bien les clichés dit romantique. Entendons nous bien, je n’avais rien contre le romantisme, ni même les comédies romantiques. Et même si le fait d’être coincé à la maison avec Apollon, qui avait subitement été prit d’une nouvelle lubie, et voulait regarder toutes les comédies romantiques disponible dans notre vidéothèques, sur les nombreuses chaînes de la télé, et même la plateforme de VOD, Netflix commençait doucement à venir à bout de ma patience, il y avait une chose que je ne comprenais pas et qui m’exaspérait : pourquoi était-ce toujours à l’homme de faire le premier pas ? Je trouvais cette vision des choses totalement archaïque. Nous étions au vingt et unième siècle que diable ! Les femmes étaient parfaitement capable, elles aussi de ce genre de choses.

Et c’est peut-être justement, afin d’échapper à ce marathon de comédies romantiques -j’ignorais pour combien de temps encore Apollon trouverait cette idée bonne- et prouver mon point de vu, que je quittais le canapé, afin de fuir une énième rediffusion de Titanic -je l’avais revu l’été avec Aphrodite, cela me convenait parfaitement- tout en me dirigeant vers le téléphone. Nous étions en début de soirée, à cette heure-ci Pitch devrait avoir finit sa journée. Composant son numéro, j’attendis que la tonalité d’appel se finisse pour finalement entendre sa voix. M’isolant dans un endroit plus calme -et loin des oreilles indiscrètes de mon jumeau- je lui proposais, de passer la soirée de Vendredi ensemble.

Ce ne serait pas la première fois, depuis notre entrevue en Février que l’on se voyait. Je mettais souvent un point d’honneur à passer que ce soit lorsqu’il travaillait ou bien chez lui, le temps d’une après midi. Néanmoins, j’admettais qu’il manquait quelque chose. Nous avions décidé de prendre notre temps, afin de ne pas faire les mêmes erreurs qu’autre fois, c’était vrai. Mais, quelque part pour ne pas répéter les mêmes erreurs, je me devais également de faire certains efforts de mon côté. C’est pourquoi, j’avais décidé que passer la soirée de Vendredi rien que tous les deux, seraient une excellente idée. Nous avions déjà passé plusieurs fois, des soirées hors de la ville. Il y avait eu, celle où je l’avais emmené à San Francisco, celle où nous avions dansé à la Nouvelle Orléans, cette fois-ci, j’avais choisis New York comme destination.

Une fois, l’horaire confirmée je me contentais de monter dans ma chambre, laissant Apollon à son visionnage. J’avais eu plus que mon quota, et j’avais besoin d’une pause. Comme il paraît que la musique adoucie les mœurs, je fouillais à la recherche d’un vinyle et optait pour du classique afin de me détendre. Le disque, additionné à un bon livre, m’aideraient à finir la soirée.

Le restant de la semaine, s’était déroulée de manière aussi normale que possible pour une ville comme Storybrooke. Mais l’important, c’était que j’y avais survécu. Le Vendredi soir, je ne pouvais m’empêcher de me sentir légèrement nerveuse. Je n’avais aucune raison spécifique de l’être, et pourtant je me sentais bêtement comme une adolescente lors de son premier rendez-vous. Il fallait admettre que c’était la première fois, depuis très longtemps que nous allions passer une soirée, rien que tous les deux en tête à tête -je ne comptais pas du tout Magrathéa comme tel- j’espérais simplement que mon programme plairait. Je n’avais pas tout prévus de A à Z, je voulais le laisser décider également. Mais disons qu’il y avait bien une partie que j’avais prévus.

J’étais ravis qu’Apollon ne soit pas à la maison ce soir, les occasions où je portais des robes étaient extrêmement rare, et j’en aurais entendu parler pendant encore des années, si ce n’est des siècles. Mais c’était justement, parce que je portais rarement ce vêtement, qu’il s’agissait de ma tenue de la soirée. J’avais choisit de faire un effort, et l’effort passait également par la manière de s’habiller.

Ramenant mes boucles blondes en un chignon négligés, j’enfilais mes boucles d’oreilles avant de mettre les chaussures et la veste qui allait avec. Tournant sur moi même, afin de regarder mon reflet dans le miroir je finit par appliquer un fin trait d’eye liner sur chacun de mes yeux, avant d’inspirer profondément. Tout était bon, pour cette partie là.

Descendant rapidement les escaliers, je jetait un regard au salon où la famille de Golden Retriever s’était donné rendez-vous :

- Pas de bêtises pendant mon absence. Athéna, je compte sur toi pour discipliner tes chiots si besoin.


Ils n’avaient plus vraiment l’âge, ni la taille de bébés chiens. Mais, il y avait toujours une certaine « autorité » naturelle chez ma chienne envers eux, depuis que je les avaient reprit, car leurs anciens propriétaires ne pouvaient plus s’en occuper. Un aboiement ferme, fut ma réponse tandis-que j’émis un rire amusé, franchissant les quelques mètres nous séparant, afin de la gratifier d’une caresse, après quoi je me téléportait directement devant chez Pitch. J’étais en avance, constatais-je avec une légère moue en consultant l’écran lumineux de mon téléphone. J’espère que cela ne le dérangerait pas trop. Secouant la tête, je ne pu m’empêcher une fois de plus de me trouver extrêmement ridicule. Je pouvais, exprimer le fond de ma pensée à un titan, tenir tête à Phobos, frôler la mort de nombreuses fois en l’espace d’une années, mais demandez moi d’interagir avec l’homme que j’aimais et ma confiance en moi fondait comme neige au soleil.

Depuis quelques temps, bien que réticente, je caressais l’idée d’aller demander des conseils à Aphrodite. Après tout, l’amour c’était son domaine. L’ennuie c’était que j’avais non seulement ma fierté, mais qu’en plus je connaissais parfaitement le côté joueur et taquin de ma sœur. Et je craignais que cette idée ne se « retourne contre moi. » Ses méthodes étaient parfois...Extrêmes dirons nous. Je l’adorais, mais disons que j’avais une forme de timidité relationnelle qui faisait, que j’acceptais d’être poussée mais pas trop. Préférant laisser de côté ces pensées, je me contentais de sonner à la porte, ajustant mon sac sur mon épaule. Qu’importe, si j’avais un peu d’avance, inutile de me prendre la tête avec une chose aussi dérisoire.

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Un jour j'irai à New York avec toi ➹ PITCH _



________________________________________ 2019-05-31, 17:59



❝Un jour j'irais à New York avec toi❞
Pitch & Diane
Fixant l'écran de la télévision, je suivait malgré moi le film qui avait été lancée il y a de ça trente minute à présent par Stuart, alors que j'étais censé lire un livre, mais mon attention dérivait à chaque fois en direction de l'écran, suivant à moitié les aventures de Marty Mcfly qui voyageait dans le passé à bord d'une Delorean et qui faisait son possible pour que ses parents finisse ensemble. Je regardais peu la télévision, je n'avais même pas investie dans le moindre poste de télévision, mais, un soir après être rentrer du travail, j'avais trouver Stuart et son ami Bob sur le canapé du salon, en train de regarder la télévision, s'en était suivit une conversation plutôt houleuse, où j'avais demandé des explications à pourquoi on se retrouvais soudainement avec une télévision; Stuart m'avais expliquer ses diverse raison et j'avais finit par céder. Du coup, tout les soirs la télévision était allumée et Stuart mettais un film ou un épisode de série télévisée depuis un site internet nommer Netflix, d'ailleurs quand il avait compris que je ne savais pas comment tout ça fonctionnait, Stuart avait pris le temps de me montrer, juste au cas où j'aurais l'envie de regarder quelque chose m'avait-il dit; même si il y avait peu de chance pour que l'envie me prenne.

Je fut coupé dans ma réflexion par la sonnerie de mon téléphone portable, glissant le marque page à l'intérieur du livre, je le fermais et le déposais sur le fauteuil avant de quitter le salon pour me rendre dans la cuisine. J'attrapais mon portable pour jeter un oeil à l'écran et un sourire apparu sur mon visage quand je remarquais que c'était Diane qui m'appelais, sans plus attendre je fit glisser mon doigt sur l'écran pour accepter l'appel. Elle me donnait rendez-vous Vendredi pour que nous partions tous les deux à New York, ce que j'acceptais bien sur avec plaisir, j'espérais quand même que cette-fois ci Apollon ne se joindrais pas à nous, même si le séjour de trois jours dans la capitale Française s'était plus ou moins bien dérouler, je préférais largement ne passer du temps qu'avec Diane, car la dernière fois que nous avions quitter la ville, nous avions été kidnappé par des aliens pour finir sur la planète de Magrathéa, pas vraiment l'idéal pour passer du temps ensemble, surtout entourée d'autre gens.Alors l'occasion de nous rendre tous les deux à New York était trop belle pour que je refuse de m'y rendre.

Une fois l'appelle terminer, j'avais raccrocher puis m'étais rendu dans le salon pour expliquer à Stuart que j'allais m'absenter le Vendredi à partir d'une certaine heure et que je n'étais pas vraiment certain de l'heure à laquel nous allions rentrer. Tout de suite, le minion c'était proposer de rester pour veiller sur Orion plutôt que je ne dérange Sasha qui avait surement d'autre chat à fouetter en ce moment, d'après ce que j'avais entendue. J'avais aussi accepter cette proposition, lui rappelant bien qu'il était hors de question que la maison se retrouve sans dessus dessous pendant mon absence, que si il voulais inviter Kevin ou Bob il pouvait et qu'en aucun cas Orion ne devais subir les nombreuses torture et autre bêtises qu'ils pouvaient imaginer; je l'avais déjà retrouvé recouvert de paillettes et ça m'avait pris des semaines avant que je ne me débarrasse de tout ce qui avait accrocher à son pelage. Après que Stuart est accepter les règles, je m'étais rassis à ma place pour continuer de regarder Retour vers le future, même si j'avais perdu un peu le fil de l'histoire.

Nous étions à présent Vendredi soir, je descendais les escaliers pour me rendre dans le salon après avoir déposer mon sac dans l'entrée, j'avais encore du temps devant moi avant que Diane ne vienne me récupérer, alors pour faire passer le temps, je m'installais sur le siège devant mon piano, et entamais les premières notes de "La Marche Turque" de Mozart et me perdais dans la mélodie, si bien que je n'entendais pas quelques instant plus tard la sonnerie qui indiquait que quelqu'un était à la porte. Stuart se précipita en direction de la porte et l'ouvrit à la volé, faisant un grand sourire à la déesse de la lune. Bonjooour ! Bello ! Pitch joue de la musique, il à pas entendue. Je suis Stuart ! Vous êtes Diane, si ? Il espérait que ce soit le cas, il ne voulais pas faire rentrer quelqu'un d'autre par accident dans la maison, déjà quand il avait invité Nyx à l'intérieur, Pitch lui avait bien fait comprendre une fois celle-ci partie que jamais il ne devais refaire quelques chose comme ça.

"Je vais le chercher."C'était peut être plus prudent comme ça, Stuart tourna donc les talons pour se rendre dans le salon. Rapidement, des petits bruits de pas se précipitant vers la porte se firent entendre et une forme noir se précipita en direction de Diane, s'arrêtant pile devant elle, il plaça une patte sur sa jambe et leva la tête pour miauler, surement pour la saluer."Je voit que tu n'a pas perdu de temps pour venir dire bonjour."Je regardais Orion d'un air amusée, à chaque fois que Diane était présent, il fallait toujours qu'il attire son attention sur lui."Bonsoir, je ne pensais pas te voir si tôt, alors je me suis un peu perdu dans ma musique."Je lui adressais un sourir chaleureux, avant d'attraper ma veste et de récupérer mon sac.

"Aller rentre, je ne t'emmène pas avec nous."Orion s'allongea de tout son long entre nous, se roulant sur le dos, miaulent une fois de plus, je me penchais dans sa direction pour lui caresser le ventre avant de me redresser, mais au lieu de rentrer dans la maison, il posa son regard dorée en direction de Diane, miaulent une fois encore.

"Je crois que tant que tu n'aura pas céder, il ne nous laissera pas partir tranquillement."Disais-je sur un ton enjouée mélanger d'exaspération.




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Un jour j'irai à New York avec toi ➹ PITCH _



________________________________________ 2019-06-25, 22:03


Un jour j'irai à New York avec toi
Voir si le coeur de la ville bat en moi

Je n’avais pu m’empêcher de rire devant les simagrées d’Orion. D’ordinaire, j’étais plus chien que chat même si j’appréciais également ces derniers à leur juste valeur. Simplement, en tant que déesse de la chasse, j’avais un contacte un peut à part avec les chiens. Mais lorsque cela concernait Orion, j’admettais qu e toute distinction s’envolait. Le Maine Coon de Pitch, avait définitivement gagné sa place dans mon coeur, au moins autant que toute la joyeuse meute de Golden Retriever dont j’étais l’heureuse propriétaire. Amusée, je me penchais afin de le gratifier d’une caresse et en profitait pour m’attarder quelques secondes, afin de le gratter sous le menton :

- Pauvre Orion, je te prive de ton maître pour la soirée, tu as bien à une petite compensation.

Étant donné le bruit de moteur émanant du chat, je pouvais certifier sans le moindre petit doute qu’il appréciait. Cela devrait être bon maintenant aussi me reculais-je afin de saisir la main de mon compagnon, l’instant d’après nous étions dans une ruelle vide à deux pas de l’endroit où je souhaitais aller :

- Bienvenue à New York !
M’exclamais-je avec un sourire. Cette fois-ci pas d’Apollon, nous ne sommes que tous les deux.

J’appréciais mon frère, mais pas au point de l’inclure dans toutes mes sorties avec Pitch. Qui plus est, je le connaissais et il passerait immanquablement une partie de la sortie à bouder. Il acceptait ma relation avec le croque mitaine du bout des lèvres. En résumé, il n’aimait toujours pas l’idée de devoir me partager, mais si j’étais heureuse il acceptait de faire quelques efforts. Je les jugeais très minime mais venant de lui, c’était déjà beaucoup. A côté, je faisais semblant de fermer les yeux lorsqu’il me faisait des tartines de compliments, ou bien visait toujours plus grand pour nos sorties à lui et moi. Apollon restait définitivement un gamin jaloux et égoïste, il n’aimait partager ni ses affaires, ni sa sœur. Et si cela avait un côté adorable, j’estimais que cela avait surtout un côté exaspérant.

A côté de cela, je n’étais pas si pénible avec Cassandre. J’avais mit les choses aux points dès le début, lui indiquant que nos résidences communes étaient interdites d’accès lorsqu’il se trouvait en sa compagnie. Il pouvait très bien en acheter pour eux, ou bien se rendre à l’hôtel je m’en moquais du moment que cette seule règle soit respecté. De mon côté, je l’appliquais également avec Pitch. Ainsi, Apollon ne pouvait se plaindre de rien nous étions tous les deux soumit au même régime, pas de favoritisme.

Ma main toujours dans celle de Pitch, je l’entraînais vers l’un des quai de l’Hudson. Là, se trouvait une péniche amarré. Si c’était généralement à Paris, que l’on s’attendrait à voir ce genre de bateau cette péniche là était en réalité un restaurant offrant la possibilité de goûter la gastronomie française justement le temps d’une ballade sur l’Hudson. Je l’avais découvert par le plus grand des hasards alors que j’étais de sortie pour faire mes cadeaux de Noël début Novembre dernier. Avant cette histoire de Magrathéa et de pieuvre. Je n’avais d’ailleurs jamais été aussi contente d’être quelqu’un de prévoyant, sans quoi j’aurais dût avoir un chaperon pour faire mes courses. Et comme, je prévoyais toujours des choses pour les habitants de la cité, cela signifierait que le garde qu’Apollon aurait désigné pour être ma babysitter aurait vu de quoi il s’agissait.

- C’est la seule chose que j’ai prévus ce soir. Je me suis dit que ce serait agréable de profiter de la vue pendant que l’on mange puis de se laisser porter selon notre inspiration pour le reste de la soirée.


C’était bien de ne pas toujours tout prévoir, cela rajoutait un petit goût d’aventure sans que ce ne soit teinté d’une connotation désagréable comme à peut près tout ce qui se passait à Storybrooke ou bien avec ma famille. C’était une pause bienvenue dans la bizarrerie de nos vies.

Embarquant à bord du bâteau, j’échangeais quelques mots de français avec le propriétaire avant qu’il ne repasse à l’anglais nous indiquant l’unique table sur le pont de la péniche. J’avais fait une réservation pour nous deux uniquement afin de ne pas être dérangé par d’éventuels touristes ou bien d’autres oreilles indiscrètes. J’avais envie que cette soirée soit pour nous uniquement. C’était peut-être égoïste de ma part, mais j’en demandais tellement peut d’ordinaire que j’estimais bien avoir droit à ce petit moment de paix le temps d’une soirée.

- Je te préviens, je fait confiance au chef en ce qui concerne le vin je suis peut-être très douée dans tout ce qui concerne la nature mais la sommellerie fait plus partis du domaine de compétence de Dionyos que du mien plaisantais-je

Chacun son domaine après tout, c’était tout aussi bien ainsi. Ce serait trop ennuyeux si nous pouvions tout faire après tout. L’intérêt d’une personne réside en ses qualités et ses défauts. Ce qu’elle sait faire ou non, fait également parti intégrante de sa personnalité. Du moins, c’était ainsi que je voyais les choses.

- Comme on a décidé de repartir sur de bonnes bases, je me suis dit que j’avais également des efforts à faire de mon côté si voulais que les choses marchent et qu’elles marchent bien cette fois. C’est également le but de cette soirée
admis-je en ramenant timidement une boucle blonde derrière mon oreille.

Au fond, je demeurais toujours novice dans ce domaine là particulièrement. Si j’avais eu quelques amis au fil des siècles passé sur cette terre, Pitch demeurait ma seule et unique relation amoureuse. Non, pas que je souhaitais en avoir eu d’autres. Il avait été le seul à véritablement m’atteindre et le seul à avoir suffisamment de patience pour comprendre que les relations amoureuses m’effrayaient. Moi qui avait toujours eu peur de l’attachement à cause de mon immortalité, j’avais mit un point d’honneur à ne jamais trop m’investir même dans les amitiés que j’entretenais. Il y avait toujours une sorte de distance, notamment parce que je taisais ma véritable identité. Il n’y avait qu’ici que j’avais pu m’ouvrir pleinement aux gens sans crainte. Mais en ce qui concernait ma relation avec le sexe opposé, j’avais encore de nombreuses choses à apprendre et de nombreux progrès à faire. Je me devais d’apprendre à faire des concessions et s’il s’agissait d’un petit pas en avant, la soirée d’aujourd’hui me permettait de prendre un peut plus confiance en moi dans ce domaine là.

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________________________________________ 2019-07-13, 17:55



❝Un jour j'irais à New York avec toi❞
Pitch & Diane
Pas le temps de dire ouf que nous nous étions téléporter ailleurs, j'espérais que Stuart penserais à refermer la porte pour éviter qu'Orion ne s'en aille explorer la ville, je lui faisais confiance pour revenir comme à son habitude, mais je ne faisais pas confiance aux autres habitant de la ville et encore moins à leur façon de conduire, un accident était si vite arriver. Secouant la tête pour chasser ce genre de pensée je me concentrait à présent sur Diane et où nous étions, c'était la première fois que je mettais les pieds dans la "Grosse Pomme" et j'avais hâte d'en voir un peu plus.

"Ça sera tout de suite moins fatiguant."Fit-je remarquer sur le ton de la plaisanterie, ma relation avec le frère jumeau de Diane était toujours aussi compliqué, mais nous avions fait un pas ou deux en avant lors de notre cours séjour en France, je pouvais à présent dire que j'arrivais à plus ou moins tolérer sa présence; trois jours semblait être mon maximum pour le moment, même si à bien des moments, j'avais voulu aller me frapper le crâne contre le mur le plus proche; être en sa compagnie me demandais beaucoup de patience et même si j'en avais plus que comme par exemple Sasha, j'avais tout de même une limite; mais je m'étais promis de ne pas m'abaisser à son niveau, il était hors de question que je me batte contre lui, je l'avais fait qu'une fois, ça ne se reproduirait plus.

"En tout les cas, merci de m'avoir invité."Je me laissais ensuite entraîner vers notre destination, tandis que nous marchions, j'observais les alentours d'un air intéressé, découvrir de nouveau endroit me plaisait beaucoup, je n'avais auparavant connue que Storybrooke, puis la Nouvelle Orléans et l'Irlande, je pouvais à présent ajouter New York à la liste d'endroit où j'avais mis les pieds. Voyager était toujours aussi intéressant, surtout quand c'était de notre plein gré; les voyages que nous faisions à cause des divers problèmes divins ou magique était souvent fait sans que nous le voulions vraiment et nous n'avions jamais vraiment le temps d'explorer quoi que ce soit car nous avions toujours des soucis à régler ou des gens à sauver. Alors passer un peu de temps en dehors de la ville me rendait joyeux.

"Tu as eu une bonne idée."J'avais eu l'occasion de feuilleter un guide de la ville durant la semaine, histoire de voir si je pouvais trouver un endroit que je souhaiterais visiter durant ce bref passage, j'avais déjà quelques idées que j'avais noté dans un coin de ma tête et si nous n'avions pas le temps, je pourrais toujours proposer à ce que nous revenions plus tard pour continuer notre visite; tout dépendra de comment la soirée se déroulera. Montant à bord de la péniche, je laissais Diane prendre charge de la discussions, mes connaissance en Français étant très limité, me joindre à la conversation aurait été inutile. Nous étions donc seul à présent, seul dans une ville des plus belle ville des Etats Unis, tout de suite je me sentais me détendre un peu plus.

"Je pense que laisser le chef choisir est plus judicieux en effet."Commentait-je avec un rictus amusée."Mes connaissance en vin sont très limités aussi de toute façon."Savoir que le vin rouge allait de paire avec un plat de viande alors que le vin blanc allait plutôt avec un plat de poisson pouvait être utile mais je savais que même certains plat demandais un certain vin en particulier, c'était tout un art, fort intéressant certes mais je n'avais jamais pris le temps de m'y intéresser plus que ça; de toute façon je n'étais pas vraiment un très grand buveur de vin, j'en buvais de temps en temps quand l'envie m'en prenais, ce qui était quand même assez rare.

J'hochais la tête positivement suite au parole de Diane, nous avions tout les deux des efforts à faire, si nous voulions que cette relation fonctionne mieux qu'avant; nous n'étions peut être pas les plus doués en ce qui concernait les relations dite romantique, mais malgré ça j'étais certains que nous pouvions y arriver. J'avais bien sûr un peu plus d'expérience sur ce point là, ayant été mariée pendant de très nombreuse année à l'époque où j'étais encore que le leader de l'armée d'or, mais chaque relation était différente et ma défunte femme et Diane était très différente l'une de l'autre et ce n'étais pas vraiment la même époque; de plus j'étais moi même très différent, tout ce qui aurait pu me paraître simple avant, l'était moins à présent, je n'étais plus le même homme.

"Et bien, je propose que nous portions un toast à cette soirée et qu'elle puisse nous permettre de continuer d'avancer dans la bonne direction."Je lui souris avant d'indiquer la table pour que nous puissions nous asseoir, je passais devant pour tirer la chaise pour que Diane puisse s'installer, je réalisais après coup ce que je venais de faire, incertains sur comment réagirais la déesse devant un geste aussi dépasser, après tout elle savait parfaitement comment tirer une chaise et s'asseoir. Je fit une moue avant d'hausser légèrement les épaules, c'était la chose polie à faire dans un monde où les bonne manières se faisait de plus en plus rare; une fois qu'elle fut installé je pris place de l'autre côté de la table.

"Connais tu bien New York ?"Demandais-je par curiosité , en attendant que le repas ne puisse commencer."Tu à surement eu l'occasion de voyager dans de nombreux endroits avant Storybrooke."





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________________________________________ 2019-08-09, 19:56


Un jour j'irai à New York avec toi
Voir si le coeur de la ville bat en moi

Je n’avais pas bronché quand Pitch s’était occupé de ma chaise. D’accord, j’estimais que certaines choses mériteraient d’être remise au goût du jour, mais je n’en étais pas à partir en croisade contre la galanterie. Après tout, ce qui m’avait plu chez lui, c’était également ce côté légèrement old school. Aussi l’avais-je simplement remercié en lui adressant un sourire, une fois assise. Nous avions des efforts à faire, et le mieux était encore de laisser Pitch être lui-même, sans rouspéter au sujet de la galanterie. Il ne fallait pas confondre le fait d’être galant et celui de se croire supérieur aux femmes. Les comparer ou les mettre dans le même sac était tout bonnement ridicule.

- Nous y avons fait des sauts réguliers avec Apollon, nous possédons un appartement ici. Nous l’avons acheté après être partie de la Nouvelle Orléans une première fois. Évidemment, comme pratiquement toutes les villes où nous allions il fallait un léger temps de réadaptation lorsqu’on s’y réinstallait. On partait pour des années. Parfois vingt ou trente ans. La ville avait largement eu le temps de changer. C’est une redécouverte constante. D’ailleurs j’y pense, je crois que je ne t’ai jamais dit comme nous étions arrivé en Amérique en premier lieu.


La Nouvelle Orléans avait été la première ville à nous accueillir, et c’était sans doute pour cela qu’aujourd’hui encore j’éprouvais une affection toute particulière à l’attention de cette dernière. Qui plus est, lorsque nous étions arrivés, elle n’avait rien de la ville qu’elle était aujourd’hui. C’était encore une terre sauvage, presque en friche. Et l’abondance de nature autour m’avait fait l’apprécier immédiatement. Quant à l’histoire derrière, disons que j’avais faillit nous attirer pas mal d’ennuis. C’était bien la première et unique fois de notre vie, qu’Apollon s’était montré plus mature que moi. Pour autant si c’était à refaire, je ne referais pas les choses différemment. Ce serait aller contre mon caractère, et contre qui j’étais réellement.

- A cette époque là, nous étions encore en Europe, plus précisément en France. La cours de Louis XIV venait tout juste de s’installer à Versailles, on ventait tellement ce palais, qu’Apollon a voulut aller voir de plus près si d’un point de vu artistique il était aussi beau que ce qu’on en disait. C’est facile, pour des gens comme nous, de se mêler à n’importe quel niveau de la société, la royauté et l’aristocratie n’y fait pas exception. Parmi toutes les cours visités, j’admets que celle que j’appréciais le moins était celle de France. Je détestais, voir des personnes prête à user de n’importe quel stratagème pour plaire à un seule homme. De les voir pratiquement embrasser le sol qu’il avait foulé. Moi, qui avait toujours été désespérément indépendante, je trouvais cela pitoyable. Malheureusement, mon dédain pour les courbettes et mon côté « sauvage » dirons nous, attirèrent l’attention du roi. Il se trouvait qu’il appréciait les femmes qui ne lui mangeaient pas dans la main. Pour ma part, non seulement à cette époque j’étais encore fermement attaché à ma résolution de ne pas m’attacher à un homme parce que j’allais le voir vieillir, alors que je ne changerais pas et que j’allais immanquablement souffrir de son trépas. Mais je n’avais également pas une once d’attirance pour lui, je le trouvais trop arrogant, trop occupé par sa petite personne pour vraiment se préoccuper de ses sujets. En résumé, je ne l’aimais pas du tout. Et en dépit de mon apparente hostilité à son égard, il a continué d’insister, allant jusqu’à utiliser l’une de mes chasseresses pour m’atteindre. Quand il a remarqué, que cela ne marchait pas, les menaces voilées ont commencés, Calypso a dans un premier temps préféré ne rien dire, tant que cela ne mettait pas en péril notre secret, mais dès qu’elle a vu que les choses commençaient à devenir « dangereuses » dirons nous, elle m’en a immédiatement informée. J’étais furieuse, et j’ai décidé de régler les choses à ma manière. J’ai répondu à l’une de ses missive, lui informant de me retrouver dans les jardins à la nuit tombée, j’étais fermement décidé à ce qu’il ne revoit plus jamais la lumière du jour. Mais entre temps, Calypso en avait également parlé à Apollon et il se doutait bien que je voudrais la défendre, alors il s’est interposé sur le chemin. Un fiacre nous attendait à la sortie du palais, il m’a raisonné en me disant que le meilleur moyen de régler tout ça, était encore de disparaître au moins pendant deux ou trois décennies, le temps qu’il oublie tout ça, et de ne revenir que lorsqu’il ne serait plus. C’est ainsi que nous avons fait route jusqu’au port afin de éveiller les soupçons et que nous avons prit un bateau le lendemain, nous amenant vers les colonies. De là, nous avons pas mal voyagé, jusqu'à atterrir bien des années après le trépas de l'homme à l'origine de tout ceci, dans ce qui allait devenir la Nouvelle Orléans.

Évidemment, à cette époque j’étais quelqu’un de très différent de la personne que j’étais aujourd’hui. Pendant pratiquement toute ma vie, j’avais dût vivre « caché » en quelque sorte. Personne, ne savait vraiment qui j’étais, et je pense que c’était ce qui me manquait. Je ne pouvais jamais réellement me lier à qui que ce soit, du moins pas longtemps. Il arrivait toujours un moment où nous devions partir afin de ne pas éveiller les soupçons sur notre immortalité. A Storybrooke, il n’y en avait pas besoin. Déjà, parce que la majorité d’entre nous étaient connus : Hadès dirigeait un club, Dionysos possédait la chaîne de télévision locale, et Apollon en tant que gardien d’Olympe était très médiatisé. Pour ma part, je me faisais plus discrète mais les gens, ayant déjà aperçu mon frère, devinaient aisément qui j’étais. Nous étions jumeau après tout, la ressemblance parlait d’elle-même.

Si j’avais mit du temps, à m’adapter et à m’ouvrir aux gens, j’étais tout de même bien plus abordable qu’à mon arrivée. Je m’étais trouvée des amis, et si je n’abordais pas toujours ma divinité avec eux, cela finissait de toute façon par se faire savoir à un moment ou à un autre.

- J’ai toujours été plus secrète sur mon passé avant, et je me dit que pour repartir sur de bonnes bases, le mieux c’est de t’en parler un peu plus librement. Après tout, je n’ai rien de honteux à cacher. J’ai toujours été honnête sur ce que j’étais.


J’avais appris de mes erreurs, et si Pitch avait été le premier homme que j’avais aimé, je savais également qu’il serait le dernier. Il n’y avait de place que pour une seule personne et c’était lui. Apollon pourrait bien râler autant qu’il le voulait, il avait choisit Cassandre et outre le lien de parenté, je ne lui trouvais pas la personnalité, la plus lumineuse qui soit. Peut-être avais-je certains « standards » en terme de « belle-sœur » et quelqu’un dont la culture général se limitait à voici, gala ou closer n’en avait jamais fait partie. Sans parler de sa génétique, qui mélangeait Hadès, Aphrodite, Elliot et Lily. Si je les appréciais, séparément. Le mélange de toutes ces personnalités, pour le moins singulière avait un peu de mal à passer.

Mes réflexions furent néanmoins interrompus, par l’arrivé d’un serveur qui nous tendit à chacun une carte du restaurant. Le remerciant, je me mit tranquillement à le feuilleter la soirée ne faisait que commencer après tout, nous avions encore tout le temps de discuter ou de visiter avec Pitch.
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________________________________________ 2019-09-15, 22:05



❝Un jour j'irais à New York avec toi❞
Pitch & Diane
C'était toujours fascinant de voir les villes et les gens changer tandis que les années passent, j'étais beaucoup moins vieux que Diane et ses frères et sœurs, mais j'en avait vu des époques passées dans mon monde avant que je ne finisse dans un coma végétatif ou simplement au fond de ma cachette; mais contrairement à elle, je n'avais pas connue ce constant problème de devoir cacher qui j'étais réellement, je n'apparaissais que la nuit pour effrayer les enfants durant leur sommeil, je n'avais pas plus d’interaction que ça avec le monde extérieur. Pour être tout à fait honnête, je ne m'étais jamais vraiment intéresser non plus à ce qui se passait dans le monde, ce ne fut qu'à la fin de la malédiction que je ne m'étais intéressé à l'histoire de ce monde pour en savoir plus; il y avait encore beaucoup de chose qui m'échappait, mais j'en savais assez pour savoir ce qu'était Versailles et qui était Louis XIV, l'homme tout aussi prétentieux que j'avais pensée à l'époque où je m'étais intéressé à sa cours, au moins les livres d'histoires n'avais pas mentis à son sujet.

J'étais surpris d'entendre qu'Apollon avait été assez mature pour arrêter ça sœur avant qu'elle ne se créer encore plus de problème avec le roi, comme quoi ça lui arrivait quand même d'être sérieux quand la situation le demandait, car le roi Soleil n'aurait surement pas apprécier d'être menacée par la déesse; même si je comprenais parfaitement pourquoi elle avait faillis le faire, si j'avais été à sa place, j'aurais surement agit plus ou moins de la même façon et peut être que le roi serait mort bien avant son heure, au moins Diane avait eu Apollon et sa chasseresse pour l'empêcher d'aller trop loin. "C'était peut être la meilleur chose à faire, quitter la France, même si il méritait bien ce qui allait lui tomber dessus."Ce n'était pas moi qui allait lui faire la moindre leçon de morale ni qui allait la juger, pas après tout ce que j'avais fait par le passé; j'étais certains que si quelque chose dans ce genre là arrivait aujourd'hui, ce ne serait surement pas moi qui l'empêcherait d'agir.

"Il est difficile de s'exprimer sur son passé, moi même j'ai encore bien de mal à parler de ma vie avant que je ne devienne qui j'étais, alors je comprend que tu est voulu garder certaines chose pour toi jusqu'à présent."Je n'abordais presque jamais la vie que j'avais eu avant que je ne devienne le roi des cauchemars, ce n'était pas un sujet que j'aimais aborder, pas parce que j'en avait honte, mais simplement parce que ça me faisait plus de la peine qu'autre chose que d'y penser, alors je n'en disait rien, mais peut être que si nous devions nous exprimer plus librement sur notre passé et bien je devrais en faire de même, comme j'avais pu le faire avec Maara. Le problème étant que je ne savait ni comment l'aborder, ni par où commencer. Je fus sortie de ma réflexion par le serveur qui tendait le menu sous mes yeux, je le récupérais après l'avoir remercier.

"Tout semble appétissant."Commentais-je en regardant les différents plats, il y avait d'abord leur description en français plus en anglais, ce qui était fort pratique quand on ne connaissait pas la langue; je reconnaissait certains plat que j'avais goûter lors de notre bref passage dans la capitale Française et malgré mon envie de découvrir quelque chose de nouveau, le faite que de la ratatouille soit proposée me tentais encore plus."Je crois que je vais me laisser tenté par la ratatouille, juste pour voir si elle sera aussi bonne qu'à Paris."




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________________________________________ 2019-10-19, 21:27


Un jour j'irai à New York avec toi
Voir si le coeur de la ville bat en moi

Bon ou mauvais, partager son passé était bien souvent une tâche ardue. Il y avait des choses que l’on préférait garder pour soit, parce que nous n’en étions pas très fière, ou bien parce qu’il s’agissait de choses personnelles. Quoi qu’il en soit, il devait être la première personne avec qui j’abordais cette épisode de ma vie. Même aujourd’hui, avec le recul je n’éprouvais pas la moindre once de remords pour l’acte que je n’avais jamais commis. Si j’avais pu aller jusqu’au bout, je l’aurais fait, et peut-être l’histoire en aurait-elle été changé à jamais...Rien ne saurait le dire, Louis XIV était aujourd’hui considéré comme étant le plus grand roi de France et non pas à cause de sa politique. Il était exactement comme tous les rois, bien trop loin de la vie Parisienne, et du peuple en générale pour se rendre compte de ce dont ce dernier avait besoin. Néanmoins, si j’avais mit un terme à son existence ce soir-là, peut-être quelqu’un eut-il prit ce titre. Cela, personne n’en saurait jamais rien.

- Je suppose, qu’il est toujours difficile de parler de son passé, comme si le partager nous ferait subitement devenir plus vulnérable.

Je ne comptais pas pousser Pitch à la confession, c’était de mon propre chef que j’avais choisis de divulger cette partie de mon histoire et ce, dans le simple bute de livrer une part de moi encore inconnue. Nous avions, après tout d’un commun accord accepté de faire des efforts pour faire marcher notre relation. J’avais donc estimé, que le moment était propice à ce genre de chose. Pour autant, cela venait de moi, et sans arrière pensée. Si Pitch, souhaitait un jour me parler de son passé, il le ferait quand il aurait jugé le moment opportun.

J’avais également, reporté mon attention sur la carte choisissant avec soin ce que j’allais manger. Dans mon cas, il y avait une légère difficulté supplémentaire étant donné que j’étais végétarienne. Cela surprenait la plupart des gens quand je leur disait d’ailleurs. Surtout lorsqu’ils savaient que j’étais la déesse de la chasse. Alors, je leur expliquait patiemment, que les deux n’étaient pas incompatibles, puisque les mortels ne vivaient plus vraiment de chasse, mais surtout d’agriculture. Non seulement cela, mais hélas la société s’était développé de telle manière qu’il ne fallait jamais cesser de produire et ce au détriment du bien être des animaux. C’était donc ma manière à moi, qui avait toujours eu la souffrance animal très à coeur de lutter contre cette politique de consommation.

Appelant le serveur, je lui communiquais nos plats, la ratatouille pour Pitch et les St-Jacques pour moi. Il s’éclipsa peu de temps après nous laissant seuls tous les deux :

- C’est agréable de passer du temps, simplement tous les deux en dehors de Storybrooke.

Je n’étais pas très douée pour engager la conversation, du moins pas dans ce genre de contexte. Je faisais néanmoins au mieux, et me contentait de dire la première chose me passant par l’esprit. En l’occurrence, je trouvais agréable d’être simplement à deux, loin des soucis divino/titanesques ou bien des soucis parentales en ce qui concernait Phobos. Notre dernière conversation en date, tournait en boucle dans ma mémoire, et je ne pouvais m’empêcher de me montrer méfiante à son égard. Tout le monde pointait Elliot du doigt, tout le monde estimait avoir son mot à dire concernant son « avenir ». Il y avait ceux qui souhaitaient le protéger à tout prix, ceux qui souhaitaient mettre fin à son existence et au milieu de tout ceci, il y avait moi qui ne cessait de répéter que c’était de mon fils dont il fallait se méfier et non de celui d’Aphrodite qui n’avait encore rien fait.

Mettre de côté tout ceci, ne serait-ce que le temps d’une simple soirée pour la passer avec l’homme que j’aimais était agréable. Je pouvais bien, quelques fois, mettre en pause ce côté de ma vie. Apollon, ne se gênait après tout pas pour le faire, et il ne me demandait pas mon avis. Il n’y avait donc aucune raison, pour que je vienne le voir dès que je voulais voir Pitch, et ce même si monsieur ronchonnait comme un enfant de quatre ans, dès que je mentionnais le croque mitaine.

Un air de musique résonna subitement dans l’air, je n’avais pourtant rien demandé. Je supposais que cela devait être une initiative de la part du propriétaire de la péniche. Pourquoi pas après tout ? J’étais bien venu ici pour passer une soirée en tête à tête avec Pitch, et puis c’était chantais que je n’aimais pas. Danser en revanche, c’était une toute autre paire de manche. Me levant, je laissais un sourire espiègle ourler mes lèvres avant de tendre ma main en direction de mon compagnon :

- M’accorderiez vous cette danse ?


Certes, j’aurais pu attendre et voir s’il me le proposait, mais j’aimais casser les codes. Après tout, pourquoi serait-ce forcément à l’homme de faire le premier pas ? Les femmes aussi pouvait le faire. Et puis, je supposais que cela m’aidait aussi à prendre confiance en moi. A partir de maintenant, j’estimais que si je désirais une chose, je n’attendrais plus bêtement, je prendrais les choses en mains. C’était une des nombreuses résolutions que j’avais prise, lorsque j’avais pu prendre le temps de réfléchir et d’analyser mon comportement, lors de notre précédent « essais » dans cette relation. Nous devions travailler autant à deux, que de manière individuelle afin de voir ce qui n’avait pas fonctionné la dernière fois et ne surtout pas refaire les même erreurs.

- Si jamais tu te pose la question, sache que je n’y suis absolument pour rien, je le jure.

Et afin de bien le démontrer, j’accompagnais ma phrase d’un levé de main droite des plus solennelle. J’aurais pu la poser sur mon coeur, mais cela aurait donné un côté trop théâtrale et aurait bien trop accentué ma ressemblance avec Apollon. Ce genre d’attitude était bien plus dans ses habitudes que dans les miennes. Excès devait probablement être son second prénom, voir le troisième ou le quatrième, avec modeste, égo et narcisse.

- Alors, votre réponse monsieur Black ?
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________________________________________ 2019-11-10, 20:58



❝Un jour j'irais à New York avec toi❞
Pitch & Diane
Je me promettais intérieurement que je lui parlerais de mon passé très rapidement, pas forcément dans les secondes qui allait suivre, mais quand j'aurais trouver le bon moment mais aussi le courage, j'éviterais quand même de trop tarder, si nous devions être plus honnête l'un envers l'autre, je ne pouvais pas attendre encore des mois voir des années pour lui révélée certaine choses, ça ne serait pas juste de ma part, nous nous étions donner une seconde chance, ce n'était pas pour que je gâche tout une fois de plus.

Le serveur s'éloigna avec notre commande et nous étions de nouveau seul, mon regard dévia pour observer les alentours une fois de plus, j'étais vraiment heureux que l'on puisse quitter Storybrooke quand nous le souhaitions sans avoir le moindre problème, cette ville était devenue ma maison, mais parfois s'éloigner faisait du bien, c'est que j'avais réalisé lors des mois passés en Nouvelle Orléans puis en Irlande, tous les problèmes que j'avais pu croiser avait été plus que banal, il n'y avait pas eu le moindre kidnapping ou de voyage dans d'autre endroit non connus du reste du monde, pas non plus de mort ou de personnes revenant d'entre les morts, juste des factures à régler, des courses à faire et des journées de travail plutôt longue.

"Je trouve aussi, ces dernier mois on été sacrément mouvementée, alors qu'on prenne le temps de s'éloigner un peu sans que le moindre problème nous tombe dessus, c'est très agréable."Je savais qu'en revenant à Storybrooke, c'était revenir dans une ville avec beaucoup de problème, depuis Février déjà plein de chose s'était déroulé et je savais que ça allait continuer dans les mois qui allaient suivre, c'était fatiguant et parfois la tranquillité qui m'avait suivi pendant mon absence me manquais, mais j'étais bien décidé à rester cette fois-ci, pour Diane et pour Maara."On devrait faire ça un peu plus souvent, s'éloigner de la ville, pour respirer un peu.Le temps d'une soirée ou même quelque jours feraient l'affaire, histoire de faire autre chose que de tout le temps se concentrer sur les divers problèmes de la ville, j'avais besoin de faire une pause, la plupart du temps j'occupais mes journées qu'à travailler et même si j'adorais ça, il fallait que je fasse autre chose.

Les premières notes de musique qui s'élevèrent dans les airs me sortirent de mes pensées, je ne reconnaissait pas la mélodie jouée, toutefois ça rajoutait un petit quelque chose à l'ambiance de la soirée, en voyant l'expression qu'affichais Diane, je supposais qu'elle n'était pas responsable de ce moment musicale, le propriétaire avait donc pris soin de mettre un peu d'ambiance; j'étais un grand fan de musique, je collectionnais les partitions et j'avais appris à jouer du piano pour pouvoir jouer mes morceaux favoris et même composer moi même quelques chansons, j'avais d'ailleurs remplis quelque cahier depuis la levée de la malédiction, mais je n'avais encore jamais eu l'occasion de jouer un de mes morceaux à quelqu'un. En tout les cas, je ne pouvais remercié que intérieurement le propriétaire du bateau de me donner l'occasion de demander à Diane de danser, enfin, j'aurais pu le faire si elle ne venait juste pas de me devancer. Je me retenais de rire, nous avions donc eu la même idée et ça c'était jouée à quelques secondes.

"Je m'en doutais vu l'expression que tu fait quand la musique s'est fait entendre."Disais-je en souriant avant d'attraper la main de la déesse, acceptant bien sur son invitation à danser."J'accepte avec joie."Je me penchais légèrement pour lui faire la révérence, ça en faisait peut être un peu trop mais je m'en fichais un peu. L'entrainant un peu à l'écart de la table, je prenais position avant que nous nous mettions à danser lentement au rythme de la musique, je ne pouvais m’empêcher de sourire, j'étais tellement heureux d'être là avec elle, jamais je n'aurais pensée que ça puisse être possible. "Je trouve qu'on commence bien la soirée."Commentais-je pour interrompre un instant le silence qui s'était installé entre nous. "D'ailleurs, la musique me fait penser que j'aimerais passer par Radio City et bien sur Broadway, je ne sais pas si tu avais ça en tête dans ton programme de la soirée."Nous n'aurions surement pas le temps de voir beaucoup de chose, mais si il y avait bien deux endroit que j'aimerais bien voir ce soir, c'était ces deux là et peut être aussi Central Park.




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________________________________________ 2019-12-27, 23:37


Un jour j'irai à New York avec toi
Voir si le coeur de la ville bat en moi

S’éloigner plus souvent de la ville ? Maintenant que Pitch en parlait, cela faisait un certain temps que je ne l’avais plus fait. Je m’étais dit qu’au lieu de constamment chercher un divertissement ailleurs, je pouvais tout aussi bien rester et découvrir de nouvelles choses à Storybrooke. Hélas, depuis le temps j’avais il est vrai fait le tour plus d’une fois. Je ne disais pas que l’on ne pouvait pas prendre du bon temps, et profiter des activités proposés ni même qu’en comparaison de ce que le monde pouvait nous offrir elles n’avaient que très peu d’intérêt mais simplement qu’il n’y avait pas vraiment de notion de nouveauté dans tout ceci. Et puis, il était vrai que parfois, il était bon de prendre de la distance avec la notion relative de la normalité que représentait cet endroit. Enfin, je pouvais également rajouter les divers drames familiaux divins sur la liste. Il est vrai que parfois, simplement prendre le large ne pouvait pas faire de mal.

- Eh bien, je n’avais pas réellement établit de programme fixe, en fait je m’étais dit que nous n’avions qu’a aller là où le vent nous portait. Je pensais simplement te montrer rapidement là où nous avions vécut avec Apollon, et mes coins favoris existant encore. Mais en dehors de cela, j’ai songé que nous étions deux alors, nous pouvions aussi être deux à décider. Néanmoins, tu as raison sur l’idée de partir un peu plus souvent. En oubliant les vacances de Noël, parce que je sais que ce n’est pas vraiment ta tasse de thé, on pourrait peut-être essayer le carnaval de Venise en Février, ou bien peut-être que je pourrais nous amener en France. J’ai un cottage en Bretagne, et que je dit « je » cela veut dire moi seule.


Au cours de nos nombreux siècles d’existence, Apollon et moi avions toujours été ensemble et cela impliquait que la plupart des propriétés que nous possédions étaient à moitié à l’un et à l’autre. Lorsque j’avais commencé à fréquenter Pitch, j’avais choisis d’agir comme je l’avais toujours fait : avec respect. De ce fait j’avais décidé de ne pas imposer l’homme que j’aimais à mon frère, sachant parfaitement qu’il lui faudrait du temps pour l’accepter -ce qui n’était encore pas vraiment le cas aujourd’hui- s’il m’arrivait de faire faire le tour du propriétaire à mon compagnon, cela ne dépassait pas le tour du propriétaire justement. Il ne restait pas sur place avec moi, généralement je prévoyais un tout autre endroit pour nous. Lorsqu’Apollon, s’était mit avec Cassandre, je m’étais dit qu’il valait mieux fixer les limites de manière clair afin d’être sûr. Nous avions donc conclut un accord : Ni l’un ni l’autre n’imposions nos moitiés respectives chez « nous ». Afin de pouvoir respecter cet accord, mon jumeau avait commencé à s’acheter des endroits à « lui », afin de pouvoir passer du temps avec Cassandre. Si jusqu’ici, je n’avais pas encore fait de même les choses avaient tout récemment changés.

- La décoration risque de ne pas être totalement achevée, alors il faudra m’aider dans cette tâche si nous y allons
le taquinais-je

L’image mentale de Pitch dans une vieille salopette, rouleau de peinture en main afin de m’aider à finir de peindre l’intérieur était pour le moins cocasse. Mais je ne lui imposerais pas cette tâche, je m’en occuperais moi-même. En revanche, je voulais que ce ne soit pas uniquement un endroit pour moi mais un endroit pour nous, aussi était-il fort probable que je lui demande d’ajouter sa « touche personnelle » de manière à se sentir chez lui. C’était un moyen de se retrouver sans pour autant brûler les étapes comme la dernière fois.

***

Nous venions de descendre de la péniche après un début de soirée très agréable, j’avais chaleureusement remercié le propriétaire et cuisinier, puis j’avais glissé ma main dans celle dans Pitch afin de lui montrer le quartier de Chelsea de nuit. C’était également là que se situait l’immeuble dans lequel Apollon et moi avions un appartement. Comme beaucoup de ville des États Unis, New York faisait partie de celles où nous nous étions réellement installés sur le tard. A vrai dire, c’est seulement au moment de la guerre de Sécession que nous avions une fois de plus fait nos bagages pour partir de la Nouvelle Orléans et nous rapprocher cette fois-ci du Nord. Aujourd’hui, ce quartier était considéré comme étant le plus artistique de la ville. Comme quoi, en laissant Apollon choisir le lieu où nous établir cela pouvait donner d’agréables surprises.

- Ici c’est notre résidence final dans cette ville on va dire. Commentais-je en lui désignant un immeuble blanc coincé à côté d’un bleu et d’un rouge si bien que sans les couleurs et les porches différents pour les distinguer on aurait presque pu croire à un seul et même endroit. C’est l’endroit où on s’est vraiment établit et qu’on a gardé. Il n’y avait que lui et moi, contrairement à la maison de La Nouvelle Orléans. Mes chasseresses, ont voulu s’établir ailleurs.

Si nous étions la plupart du temps en groupe, il était arrivé au cours de leurs siècles d’existences que mes Chasseresses aient des envie d’ailleurs et de nous séparer. Je n’allais pas les obliger à m’accompagner partout si elles ne le souhaitaient pas, j’estimais qu’elles étaient libre d’agir comme bon leur semblait. Un peu à l’image d’Apollon et moi, généralement elles habitaient toutes ensembles.

- Je comptais te faire faire le tour du propriétaire à la base, mais tu m’as dit vouloir voir Broadway. Hors, il est impensable de faire un tour à Broadway sans aller voir au moins un spectacle. Plusieurs comédies musicales tournent ce soir, tu as donc le choix entre Le Fantôme de l’Opéra, Chicago, Moulin Rouge, Beetlejuice ou bien des choses plus Storybrookiennes dirons nous. Le Roi Lion, Aladdin et la Reine des Neiges ont beaucoup de succès il paraît.


Avec un sourire, je lui tendis la brochure que je venais de faire apparaître. J’avais décidé des deux premières destinations, alors ce n’était que justice que ce soit lui qui choisisse la suite du programme. De toute façon, peu importe ce que ce serait, il était d’une simplicité enfantine pour moi de faire apparaître des places.
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❝Un jour j'irais à New York avec toi❞
Pitch & Diane
Je contemplais en silence les deux idées proposée par Diane, les deux semblait forte intéressante, je ne me sentais pas forcément attirer plus vers l'une que l'autre, peut importe la destination choisie, je serais ravis."Ces deux options me paraisse raisonnable, j'ai toujours voulu voir le Carnaval en vrai, je n'ai vu que des photos et ça ne doit pas vraiment rendre justice à la réalité. Et je ne dirais pas non à voir un autre bout de la France en dehors de Paris; je ne suis pas difficile sur le choix de la destination; on verra dans le future en fonction de ce qui nous inspire."Nous avions de toute façon du temps devant nous, beaucoup de chose pouvait se passer avant que l'on ne se décide à quitter la ville une fois de plus, mais au moins j'étais content de savoir que je n'étais pas le seul à vouloir m'éloigner de temps en temps.

"Vraiment ? Ça devrait pouvoir se faire, maîtriser le rouleau à peinture ou la perceuse doit être enfantin."Répondais-je avec un sourire, je ne m'étais jamais trop laisser tenter par les travaux manuelle, pour la décoration de ma propre maison à Storybrooke ou à la Nouvelle Orléans, j'avais pris soins de contacter des professionnelles, bien sur sans leur laisser carte blanche, j'avais eu des idées qu'ils avaient eux même réaliser, je n'avais en aucun cas voulu laisser quelqu'un d'autre décider pour moi de quel couleurs ma salle de bain serait où si mon plafond de cuisine serait d'une tel teinte de blanc ou d'une autre, mes choix n'avait rien eu d'extravagant, mais ça avait été les miens."Je t'aiderais du mieux que je peut en tout les cas."Je ne savais pas si elle maîtrisait mieux les outils que moi, probablement, malgré tout ce temps passé dans le monde moderne, il y avait bien encore des choses que je ne connaissais pas, même si savoir manier le pinceau était franchement à la portée de tout le monde, j'avais eu l'occasion d'en manier un ou deux durant toute ces années, alors le rouleau de peinture devait être tout aussi facile.

***

"C'est très jolie."Commentais-je en observant l'immeuble qui se trouvait devant nous, ça allait bien avec le reste du quartier qui avait été très sympathique à voir après que nous ayons terminée de manger et notre petite croisière, le repas avait été d'ailleurs très bon et j'avais pris le temps d'articuler deux trois mots en Français pour remercier le chef, j'avais dû me souvenir du peu que j'avais appris avec exactitude car il ne m'avait pas regarder de travers, il m'avait simplement répondu avec des mots que je n'avais pas compris puis nous avait tous les deux saluer. Nous avions ensuite marcher pour arriver jusqu'ici, il faisait assez bon pour que nous n'ayons pas à nous presser de marcher.

"On pourra toujours revenir plus tard pour que tu montre l'intérieur."Lui proposais-je tout en récupérant le prospectus qu'elle me tendais, j'étais curieux de voir à quoi ressemblait l'intérieur. Baissant les yeux sur le morceau de papier, j'en lisais le contenue tout en réfléchissant assez rapidement pour savoir quel genre de spectacle m'intéresserais, j'étais déçus que Hamilton n'en fasse pas partie, j'en avais entendue que du bien, même si le hip hop n'étais pas forcément ma tasse de thé, j'y serais quand même aller, je considérait Lin Manuel Miranda comme un de ses génie du monde moderne, il était sacrément talentueux.

"Pour cette fois-ci, je pense qu'on va éviter les spectacles qui nous rappelle la maison. J'ai eu l'occasion de voir le film par le passé mais je doit dire que mes souvenirs sont très vague, mais je suis sur que sur scène, Chicago doit être tout aussi bien."J'avais longuement hésité avec le Fantôme de l'Opéra avant de me rappeler l'avoir vu lors d'un petit week-end à Londres que je m'étais organiser quand j'habitais encore en Irlande. "En route donc pour l'Ambassador theatre."Je ne me souciais pas spécialement de savoir comment nous allions obtenir des tickets, l'un des avantages d'être une divinité, c'était qu'ils pouvaient obtenir beaucoup de chose sans même dépenser le moindre argents, alors je savais que nous aurions aucun soucis pour y entrée.Je fut entraîné à la suite de la déesse de la chasse pour que nous puissions nous rendre dans le quartier lumineux de Broadway, tout de suite, le bruit général augmenta en volume tout comme le nombre de gens qui se trouvait autour de nous, mon regard passait d'un endroit à un autre, faisant de mon possible pour ne pas perdre Diane de vu malgré que nous nous tenions la main, il suffisait de rentrer en collision avec quelqu'un pour que l'un de nous lâche l'autre. On finit par arriver devant un grand bâtiment en brique entourée de deux autres immeuble aux allure plus moderne, sur le devant du théâtre, il y avait diverse affiche en noir et blanc des artistes entrecoupé d'autre affiche où il y avait écrit simplement Chicago en rouge.

"Je suppose que l'on doit nous aussi faire la queue avant d'entrer, les portes ne doivent pas encore être ouverte."








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