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 Memorial Day of the Walking Deads ✗ Revali & Aster

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Memorial Day of the Walking Deads ✗ Revali & Aster _



________________________________________ 2019-05-27, 07:27


Memorial Day of the Walking Deads
Revali &
Aster


Le Memorial Day est un jour de congé officiel aux États-Unis, célébré chaque année lors du dernier lundi du mois de mai. Il rend hommage aux membres des Forces armées des États-Unis morts au combat toutes guerres confondues.

Daruk pouvait parler de sujets humains pendant des heures : il a toujours été passionnés par les coutumes d'autres peuples, les elfes surtout, mais depuis qu'on était tous sur Terre, celles des humains lui fournissaient une passion encore plus profonde. En revanche, même si son grand intérêt qui avait fait de lui un expert pouvait rendre les choses intéressantes, il n'en restait pas moins que ce n'était pas trop le truc de Revali.

Ce n'était pas qu'il était... "nationaliste" envers sa patrie Piaf, mais il préférait rester dans les frontières de son peuple. Déjà sur Hyrule, il ne cherchait pas vraiment à rencontrer les hyliens, confronté de force à celle de Link (bien que penser ainsi aujourd'hui le dérangeait un peu après... les dernières années). Mais il n'y avait pas que ça, c'était surtout qu'il était de toutes façons un grand solitaire et que se mélanger aux autres ce n'était vraiment, mais vraiment pas son truc. Prof de tir à l'arc, il n'enseignait qu'à peu d'élèves, et toujours à la fois, priorité pour les jeunes Piaf qui voulaient passer un jour leurs cérémonies traditionnelles des trois Arcs. Tout ça pour dire qu'une journée commémorative, il n'en partageait pas trop l'esprit de groupe.

Désolé Daruk, lui dit-il finalement en soupirant. Je ne vous rejoindrai pas pour l'hommage annuel au centre-ville. Mais... passe un bon moment avec Urbosa.

La mairie de Michel-Ange et Dyson ne faisaient pas exception avec les précédentes mairies : il n'y avait rien d'officiel pour le Memorial Day des Etats-Unis, juste une habitude, qui venait de la malédiction, d'un hommage rapide qui avait lieu au centre-ville avec quelques intéressés qui souhaitaient le rendre. Mais si Storybrooke n'en portait un plus grand intérêt, c'est parce que la ville n'avait évidemment pas d'anciens combattants des guerres dans lesquelles le pays a participé, exception faite à ceux dont les faux souvenirs les y ont plongés. Le cimetière avait bien quelques tombes dont les stèles indiquaient le repos d'anciens combattants, dû encore une fois par le décor de la malédiction qui avait pensé à tous les détails. Mais voilà, rien de plus.

Rien de plus... Revali ne pouvait pas mieux se tromper. Cette année-là, il y avait largement quelque chose de plus à Storybrooke par rapport au reste des Etats-Unis.

Bien que ce lundi 27 mai était un jour de congé, le professeur de tir à l'arc ne l'avait pas pris, peu intéressé par un peu de repos dont il n'avait pas besoin, laissant ses quelques élèves profiter justement d'un jour de libre pour venir s'entraîner, l'occasion de donner plus de places aux novices qui n'étaient pas de son propre village.

Mais son premier élève ne s'était pas montré. Il avait eu du retard, jusqu'à ce que ce retard atteigne l'heure de la fin du cours, et du début du suivant. Mais le second élève n'était pas venu non plus. Cette fois-ci, il ne comptait pas attendre la fin du rendez-vous pour voir s'il viendrait avant le troisième cours. Revali n'étant pas très adepte du téléphone, il se trouvait bien obligé de se déplacer carrément en centre-ville.

Et ce jour-là, la ville lui donna bien raison : il aurait vraiment du ne pas venir en ce jour commémoratif. Car l'enchantement de Storybrooke qui rajoutait toujours quelque chose en plus de magique à tout et n'importe quoi avait cru bon de remercier d'honorer la mémoire des combattants... en réveillant les combattants !

Tout le monde courrait, terrifiés par les morts-vivants d'anciens militaires de toutes les époques et de tous les régiments, qui déambulaient dans les villes, assoiffés de chaire humaine comme les films les plus typiques de zombies.

Revali ne regardait pas de films. Il n'était donc pas vraiment expert pour en neutraliser.

Bon sang... marmonna-t-il entre ses dents.

Il prit son arc qui était sur son dos, et décocha deux flèches dans deux morts par très loin de lui qui s'approchaient dangereusement de lui, devenant une plus grande menace, mais ça ne fit rien à des types déjà décomposés. Tuer un mort n'était pas une idée très glorieuse : avec une simple flèche encore moins.

Il n'eut d'autres choix que de reculer, avant de se retourner pour fuir et ouvrir la première porte qui lui passait : une chocolaterie, dans laquelle plusieurs personnes s'étaient également réfugiés pour se protéger. Les yeux de Revali se posèrent sur le gérant.

Le plan, c'est vraiment de rester ici sans rien faire ? Lui dit-il sans prendre le temps de se saluer, la situation étant trop délicate pour s'attarder sur les formes de politesse...
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Memorial Day of the Walking Deads ✗ Revali & Aster _



________________________________________ 2019-06-27, 16:59


Memorial day of the walking deads

Jamais tranquille dans cette ville de barje
Le fait qu’aujourd’hui soit « sensé » être un jour de congé passait largement au-dessus de la tête d’Aster. Il avait donné sa journée à Anna par principe -et aussi un peut pour avoir la paix il devait bien l’admettre- néanmoins, il n’était pas question de fermer la chocolaterie pour autant. Ni Anna, ni même Nyx n’avaient fait de commentaires. Personne ne l’avait traîné de force pour assister à de quelconques célébrations, bref il pouvait bien faire ce qu’il voulait de sa journée et il avait la ferme intention de la passer à bosser. Ce matin, il s’était levé plus tôt que d’habitude afin de faire les productions de la journée. Il était un lève tôt de toute façon, mais cela n’empêchait que lorsqu’Anna était là, il s’octroyait 30 minutes supplémentaires avant de se rendre au travail. Ça ne le dérangeait pas spécialement de se « taper » tout le boulot tout seul aujourd’hui. Si lui, se fichait de cette journée la rouquine avait bien droit à une pause, étant donné ce qui lui était récemment arrivé.

De toute façon, même sous la malédiction il n’avait jamais fêté le Memorial Day. De nationalité Australienne, cette fête typiquement Américaine n’avait jamais trouvé écho chez lui. Non pas qu’il soit contre l’idée d’une journée pour rendre hommage aux militaires disparut. Mais, il n’avait simplement personne à « honorer » et il estimait que sans la connerie humaine, on n’aurait pas besoin de guerre, et donc de militaires. Il n’avait pas d’aversion spéciale envers ceux qui exerçaient cette fonction. C’était après tout, un métier comme un autre et défendre son pays était une vocation comme une autre. De ce point de vu, il ne jugeait pas. Simplement, il ne voyait pas l’intérêt d’une journée commémorative pour tous les soldats et ce peut-importe la guerre dans laquelle ils sont tombés.

Et puis en plus, il y avait toujours du bon à bosser un jour férié. Déjà parce que la concurrence qui était fermée ce jour là, n’attirait aucune clientèle et c’était lui qui se retrouvait à devoir servir leur chocolat aux accrocs qui ne pouvaient pas vivre sans. Une manière de plus pour lui de montrer que la plaque de concours l’indiquant comme meilleur chocolatier de la ville, n’était pas là pour faire jolie. Ce titre, il l’avait gagné à la sueur de son front il ne laisserait personne l’en dépouiller. Et puis, tout le monde ne pouvait pas être en vacances 364 jours par ans contrairement à North. Il y avait des gens qui avaient besoin de bosser, tout le monde ne se la coulait pas douce en donnant de sa personne un seul soir dans l’année.

Finissant, de se donner un coup de rasoir afin d’entailler sa barbe de trois jours qui commençait doucement à le gonfler l’ex lapin enleva les derniers résidus de mousses à raser avant de descendre rapidement, faisant un crochet par le garage afin de sauter dans sa bonne vieille camionnette. Des gens tels que Deborah Gust pour ne citer que la mégère dégoûtée l’aurait probablement qualifié de « tas de boues » néanmoins pour sa part, il s’en contre foutait royalement. On dirait pas comme ça, mais Aster avait quand même un côté sentimental caché sous trois tonnes d’attitude ronchonne, et sa camionnette faisait justement partit de ces petites choses complètement futiles auxquelles il était attaché. Pour autant pas question de l’apprendre à qui que ce soit fallait pas déconner non plus. Bon, Nyx devait bien s’en douter elle le connaissait depuis trop longtemps pour ça mais du moment que la luciole tenait sa langue il en demandait pas plus. Il y avait plus qu’a croiser les doigts non parce que niveau discrétion, Night’ n’était pas vraiment ce que l’on pourrait appeler une lumière. C’était plus le genre à tout balancer lorsqu’on essayait d’organiser une fête surprise par exemple.

Laissant le sujet Nightlight de côté, Bunny en profita pour allumer la radio et en profita pour apprécier quelques morceaux de « vieux » rock. Cette station était sa préférée, lorsqu’il partait bosser elle savait directement comment le mettre dans le bain. Descendant de sa camionnette, le moteur encore en marche, il ouvrit la porte du garage de la boutique et s’engagea à l’intérieur, garant comme à son habitude son véhicule à l’endroit réservé pour ce dernier, il coupa le moteur et en sortie prêt pour sa journée de travail.

Le seul hic dans tout ce beau programme c’est qu’on était à Storybrooke. Oh, le début de matinée s’était relativement bien passé. Non vraiment, il n’avait pas à se plaindre de ce côté là les clients avaient été exceptionnellement intelligent, et pas chiant comme ils pouvaient l’être des fois. Il avait pas passé trois heures à expliquer que non, manger une tablette de chocolat blanc ne ferait pas plus grossir que de s’en enfiler une de chocolat noir ou au lait. N’avait pas dût expliquer le processus de fabrication de A à Z parce qu’il était tombé sur un chieur tatillon, ne s’était pas fait emmerdé par un vegan en mal de boucherie à aller défoncer. Bref, tout avait été idéale enfin...Jusqu’au moment où un type terrorisé entra dans son échoppe

- J’peux vous aider ? Grommela Aster

« Des Zomzoms, des zomzoms. » Bafouilla tant bien que mal l’individu

Des zomzoms ? C’était lui qui était zonzon oui

« Des zombies ! » Hurla un autre hystérique en entrant « une armée de zombies en ville ! »

Oh bordel...Manquait plus que ça. Évidemment, on était à Storybrooke et devait encore y avoir un petit malin qui s’amusait avec la magie. Celui ou celle derrière tout ça, allait passer un sale quart d’heure la journée avait idéalement commencé et voilà qu’un crétin finit venait copieusement l’emmerder. Non clairement lorsqu’il mettrait la main sur l’individu en question -parce qu’il allait mettre la main dessus- il lui ferait amèrement regretté. Dégainant son téléphone, il composa rapidement le numéro d’Anna espérant qu’elle soit encore chez-elle

« Allô ? »

- Rouquine, j’ai besoin de toi ici et de préférence ramène ton épée ce sera pas de trop. J’ai besoin de quelqu’un pour veiller sur le magasin.

« Est-ce que par hasard ça aurait quelque chose à voir avec les zombies que je vois défilé depuis l’autre bout de la rue ? »


Un grognement lui répondit, et après avoir affirmée qu’elle arrivait tout de suite son unique employée raccrocha, le laissant gérer la situation pour le moment. S’aventurant à l’extérieur où la foule semblait en proie à la panique il se contenta de faire de grands gestes, leur indiquant l’entrée de la boutique pour s’y retrouver en sécurité. Rapidement une bonne dizaine de personnes, s’entassèrent dans cette dernière, heureusement d’ailleurs qu’elle était grande. Ce à quoi il ne s’était pas attendu en revanche, c’est l’archet qui lui demandait si c’était « ça » le plan. Aster eu bien envie de lui sortir une réponse de son cru. A savoir, que si lui ça l’amusait de jouer à Rambo dans une ville infestée de zombies grand bien lui fasse, mais que sa priorité à lui pour le moment, c’était de s’occuper des gens réfugiés dans sa boutique. Manque de bol, sa vitrine explosa laissant éparses, le contenu du présentoir. Autant dire que là il vit rouge :

- Mais bordel de merde ! Ça a prit des heures de travail pour cette simple vitrine et ça va coûter une blinde à faire réparer, c’est pas gratuit ça bande de demeurés décérébré ! 


Évidemment, l’arrivée des zombies avait provoqué une nouvelle vague de paniques, si bien qu’Aster dût rapidement prendre la situation en main et leur ordonner de se barricader dans l’arrière boutique. Définitivement, journée de merde impossible d’être tranquille à Storybrooke…


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Memorial Day of the Walking Deads ✗ Revali & Aster _



________________________________________ 2019-08-11, 12:02


Memorial Day of the Walking Deads
Revali &
Aster


L'homme-oiseau avait doucement soupiré alors que le gérant de ce qu'il avait rapidement identifié comme une chocolaterie s'était emporté avec une colère assez audible à cause des dégâts causés à ses ouvrages. Et s'inquiéter d'une vitre cassée et de chocolat tombés ne faisait pas parti sur les premiers échelons de l'échelle de priorités qu'on visualisait en cas d'attaque de zombies. Soit, Revali s’efforça d'être indulgent : si son calme et sa quiétude avaient autant été dérangées chez lui par un groupe remarquable de personnes inconnues, il aurait été désagréable sur tous les détails. Cette situation l'agaçait déjà, alors il lui était bien possible de comprendre cet Aster. Il n'avait pas retenu son soupir pour autant.

Une attaque de morts-vivants ? Ils n'en avaient jamais vécu de la sorte non, et probablement le chocolatier non plus. Certes, lorsque Ganon attaquait Hyrule, la nuit voyait des créatures de l'ombre du passé se relever à l'état squelettique, mais c'était bien différent, puisque deux coups, et pas nécessairement puissants, achevaient de les détruire de nouveau et les renvoyer dans leurs dimensions de noirceur. Ici c'était bien différent, puisque de réels cadavres de soldats de multiples guerres et époques s'étaient animés, et comme ils étaient déjà morts, ce n'était pas aussi facile. Tout ça pour dire que le fait qu'ils n'avaient pas l'air si surpris que ça, ne témoignait pas d'une quelconque habitude de ce genre d’événements. Si le reste de la Terre découvrait des zombies, l'humanité en sera surprise puis choquée, mais ce serait tout autant une découverte qu'aujourd'hui pour les quelques personnes du centre-ville de Storybrooke. Simplement, le manque de surprise venait d'une raison simple : au fil des années, tout le monde avait appris à ne plus se choquer des nouveaux événements d'une ville aussi curieuse où tout pouvait arriver. Ainsi, on ne perdait pas de temps à se surprendre de quelque chose d'inédit, pour aller directement vers l'inquiétude et la réflexion pour la survie et la victoire, donc la résolution du problème.

Au moins Revali put souffler, satisfait que le patron des lieux ne gère la foule en la guidant dans l'arrière boutique. Si le Prodige ne suivit pas, en revanche, c'était pour rester près des fenêtres pour évaluer la situation. Voilà peut être qui ne plairait pas au chocolatier chez qui il s'était trouvé par total hasard à cause de ce problème soudain, mais Revali ne prenait d'ordres que d'une maigre poignée de personnes, à savoir sa princesse ou son chef, ou encore sur le champs de bataille par Daruk ou Urbosa, les prodiges les plus âgés. Link aurait bien été dans cette liste s'il ne faisait pas figure de rival malgré l'étrange amitié non-assumée qu'il avait pour lui, et s'il prenait la peine d'en donner, des ordres, déjà. Sinon, et quelque soit le problème, Revali prenait ses propres décisions. Et ce n'était pas dans l'arrière boutique, barricadé, qu'il ferait face à cette situation. C'était à l'ancien lapin de décider s'il faisait front avec lui ou pas.

Il avait bien fait de se mettre aux fenêtres pour voir ce qu'il en était de la situation : une masse de revenants s'approchaient lentement. Vos vitres ne tiendront pas très longtemps, au vu du nombre d'entre eux qui vont s'y serrer... fit-il entre ses deux, tout en restant audible pour le chocolatier, alors qu'il s'éloignait des fenêtres.

Il compta alors les flèches qu'il avait dans son carquois. Ce n'était pas uniquement pour en faire le décompte, le carquois enchanté des Piafs étant bien plus large qu'il n'y paraissait... il voulait surtout s'assurer de tous les types de flèches qu'il avait avec lui : Hyrule était un continent des plus remarquable dans l'artisanat de l'archerie. Tous les peuples avaient ce don, que ce soit les elfes, les Piafs, les Gerudos, les Zoras ou les Gorons... même les monstres stupides de Ganon en avaient ! Et la spécialité du continent était d'en faire de toute sorte. La flèche en bois à tête de métal était tout à fait utilisée régulièrement, mais s'accompagnait d'autres types qui pouvaient servir dans de multiples occasions : la flèche électrique, la flèche glacée, la flèche enflammée... ou la flèche bombe, celle qu'il emmenait jamais lorsqu'il quittait le terrain d'entrainement, pour ne pas avoir l'air d'un terroriste qui se balade avec des bombes sur lui. Revali eut alors un sourire. Ses ressources étaient limitées (il n'avait pas non plus pris tout l'attirail qu'il aurait pris habituellement en combat, puisqu'il n'était pas venu pour un combat à la base...) mais il s'en sortirait. Si cet homme voulait bien le suivre dans cette aventure sans aucun sens.

Il se tourna alors vers lui. Vous avez un accès au toit du bâtiment ?

Oui, c'était risqué d'abandonner l'entrée alors qu'elle menaçait de céder sous l'affluence de nombreux morts-vivants si on voulait préserver un abris (et ses chocolats correctement présentés vu que ça semblait lui tenir à coeur), mais Revali avait un plan, et il ne reculait jamais devant les idées qu'il avait. Alors c'était en sautant les marches quatre à quatre qu'il s'était dirigé sur le toit, puis sur le bord pour voir toute la masse de zombies, qui, en effet, étaient serrés contre les vitres de la chocolaterie. Un peu plus et elle se casserait.

Alors Revali ne perdit pas de temps.

Tirant par trois à son arc à trois encoches, il lança des flèches électriques sur la rangée du devant uniquement, celle qui était contre la vitre. Les flèches ne les tuaient toujours pas, évidemment, mais ce n'était pas son but : morts ou pas, ces corps animés utilisaient leurs muscles, et le courant électrique que Revali leur avait jeté dans le corps venait de les paralyser. Ainsi, debout sans bouger, figés comme de la glace, ils créaient un mur qui empêchaient la façade de céder. Ce ne serait pas définitif en revanche : les effets ne dureraient que quelques secondes. Là, il gagnait juste du temps pour rendre le procédé plus long.

Il changea de flèche pour prendre celle qui répandaient de la glace sur le cible, et gela ainsi, à l'aide de trois ou quatre d'entre elles, toute la façade, et s'empressa d'y jeter ensuite des flèches de jeu pour la faire fondre aussitôt : maintenant, tout l'avant de la boutique était trempé comme lors d'un bon jour de pluie, et l'eau était la plus grande amie de la foudre. En plantant une dernière pointe électrique dans la zone humide, voilà les premiers morts vivants figés sur une période un peu plus durable.

Résultat : un mur de zombies pétrifiés empêchait maintenant d'autres zombies de pénétrer dans la chocolaterie d'Aster, et de s'approcher de quelconque chocolats ou innocents. Le Piaf abordait alors un air fier, relevant le nez dans une pose légèrement victorieuse. Comme si Link était encore là et que, comme autrefois, il lui montrait son talent. Beaux temps nostalgiques...

En revanche, précisa-t-il au chocolatier, ce n'est pas ça, se débarasser d'un problème. J'ai juste protégé une zone de danger, mais on ne va pas nous en satisfaire. Il se tourna alors vers lui un instant, avant de porter son regard plus loin, pointant du doigt quelque chose à plusieurs kilomètres d'eux. Dans mon monde, certains guerriers ne tiraient pas directement sur les monstres, mais à leur pied pour les faire tomber dans l'eau : comme ils ne savaient pas nager - pour la plupart des espèces ennemies - ils mourraient rapidement. Etes-vous prêts à sortir d'ici par l'arrière et attirer la foule de ces choses dans le lac ? Ça ne les tuera pas, mais les piégera...
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