« Pour réaliser une chose extraordinaire, commencez par la rêver.
Ensuite, réveillez-vous calmement et allez jusqu'au bout de votre rêve
sans jamais vous laisser décourager. » (Walt Disney)

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 Doll (avec Luca)

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Barlay Lightfoot
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Barlay Lightfoot

| Avatar : Jensen Ackles

Personnage abandonné

| Conte : Onward
| Dans le monde des contes, je suis : : BarlEy

| Cadavres : 94



Doll (avec Luca) _



________________________________________ 2021-04-06, 15:38

DollOn ne l’écoutait pas. Et ça avait le don de l’énervé un petit peu … BEAUCOUP. C’était stressant de savoir qu’il était en train de faire un cours, plus que passionnant, sur l’époque romaine, et qu’on ne l’écoutait pas. Rien n’était mieux que l’histoire pour Barlay …et même si l’histoire n’était pas la même dans son ancien monde, il avait les souvenirs des deux, ce qui lui permettait de faire son cours sans soucis. Mais donc … on ne l’écoutait pas. Il s’approcha, en parlant de la fin de l’empire romain pour se mettre derrière le garçon prostré sur son téléphone, en train de parler à son camarade. Hop, ni une, ni deux, Barlay prit le téléphone des mains du garçon et le monta à son visage pour lire sur l’écran. Il lu à voix haute.

- Connaissez vous l’histoire de la poupée Mary ? Bouuhou ça fait peur ! Non je ne connais pas. Fais nous donc un exposé. Allez.

Il fit lever le garçon et le laissa prendre sa place devant la classe. Il lui rendit son téléphone, et il s’assit par terre en tailleur, en montrant de la main le garçon pour qu’il se mette à parler de lui-même. Le garçon savait que c’était la manière à Barlay de le punir pour sa déconcentration … il préférait cela à ce que d’autres professeurs pouvaient faire. Il n’y avait pas de sévices corporelles ici, mais pour le garçon se prendre un coup, ou se faire sortir de classe, ça avait la même violence. Il se mit à parler.

- On … on … parle … d’une poupée en porcelaine. Elle … elle se nomme … Mary.
- On connait déjà tous l’histoire.
- C’est Mary rends moi mon cœur et mon foie non ?
- Non, tu te trompes, c’est Mary je suis derrière toi.
- Attendez Mary ce n’est pas le fantôme qu’on doit appeler devant la glace ?

Barlay tapa dans son bâton sur le sol, se qui eu le mérite de faire stoppait les questions et les remarques. Son bâton à nouveau dans les airs, Barlay fit un geste à l’homme pour qui continue son explication. Le garçon raccorda son téléphone à l’ordinateur de Barlay et vidéo projeta une photo, un peu flou, d’une poupée en porcelaine ensanglanté.

- Eurk on dirait celle que ma mère a jeter hier.

Alors que le jeune garçon avait reprit l’explication en montrant la photo, une fille avait décrété ça. Tous les regards se penchèrent sur elle, pour qu’elle en dise plus… et aussi pour que son visage se marque dans leur esprit pour la minute de silence qu’il allait peut être devoir faire. Le garçon expliqua que, justement, la poupée Mary avait été jetée à la poubelle, et qu’ensuite elle était venue réclamer vengeance. Barlay entendit les tic et tac de l’ambiance qui venait d’être cassé. Il soupira.

- Bon, tous les deux, je veux un contre rendu sur la légende de Mary pour la semaine prochaine.

La jeune femme essaya aussi de râler, comme le garçon, mais la cloche sonna et Barlay n’avait pas que ça à faire, il avait un directeur à aller emmerder.

Une semaine plus tard, un samedi, pas école, Barlay était accoudé à la caisse de sa boutique sans nom pour le moment. Il avait une montagne de chose à mettre, des livres éparpillaient partout, et surtout du bordel à ranger. Il avait eu envie d’ouvrir cela il y a un moment déjà, mais comme l’indiquer les horaires sur la porte « c’est ouvert quand il veut ». Et là c’était fermé pour cause de rangement, normalement.

Le café entre ses mains, il bu une tasse alors que le garçon de sa classe arriva en trombe, suivit de prêt par la jeune femme avec qui il avait un exposé à faire … ils avaient jusqu’à Lundi, pourquoi tant d’empressement ? Il n’avait même pas eu le temps de poser sa tasse de café que le jeune lui attrapa la main.

- S’il vous plait sauver nous ! C’est vrai tout est vrai !
- Oui tout est vrai !
- La poupée la malédiction !

Barlay observa les jeunes sans rien dire pour le moment … de quoi pouvaient-ils bien parler ? Au bout d’un moment, Barlay comprit que, depuis qu’ils avaient l’exposé à faire, pleins de choses étranges leur était arrivé… Et Hier, quelqu’un avait essayé de tuer la mère de la jeune femme. Elle était entre la vie et la mort à l’hôpital, et les policiers (coucou Judith) n’avaient pas voulu croire que peut être la poupée était en cause.

Barlay ne savait pas si c’était la vérité, mais il savait que c’était possible depuis la fin de la malédiction … il fit une moue. La jeune femme rajouta qu’elle avait reçu des appels téléphoniques en se présentant comme Mary et qu’elle était à la décharge … ça pouvait très bien être un canular de ses petits camarades … mais de là à faire du mal à sa mère ?

- Restez ici tous les deux, vous connaissez la maison, on paie pour acheter des livres, on dort, on nettoie. Et si quelqu’un demande, vous rendez un service. Vous avez votre exposé avec vous ?

Il prit les feuilles qu’il parcouru rapidement. Il observa les différentes histoires qui avaient eu lieu. Certains disaient que les poupées étaient des démons, d’autres qu’elles étaient avant des bonnes âmes, d’autres que c’était la faute à un serial killer bien organisé. Mais toutes les histoires avaient un point en commun …. La poupée avait été jeté dans une décharge… alors c’est là où il allait commencer.

Il prit le temps d’aller en voiture jusqu’à la décharge, se garant un peu plus loin de tout pour sortir et faire le reste à pied. Il ne savait pas s’il y avait un parking là bas. Il finit par arriver devant une espèce d’usine désinfecté. Il observa à l’intérieur. Il avait entendu dire que quelqu’un vivait ici et s’occuper de la décharge, et il aurait bien besoin de trouver de l’aide. Il passa un visage vers un carreau cassé pour parler fort.

- Excusez-moi ? Il y a quelqu’un ici ? J’aurais besoin d’aide pour retrouver quelque chose !

Une poupée de porcelaine dans l’énorme quantité de déchet que pouvait faire le monde en quelques années … il n’était pas sur de pouvoir la retrouver, ni même que cela soit une bonne idée, ou que cela soit la vérité …. Mais au moins il avait le mérite d’essayer ce qui n’était pas plus mal.


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Doll (avec Luca) _



________________________________________ 2021-04-26, 11:12



Doll
La journée commençait doucement. Assis sur le toit, un café à la main, Luca regardait l’horizon qui se teintait de rouge, orange, et jaune, contre les restes de bleu foncé qui traînaient encore, à l’ouest. Il aimait se lever à l’aube, se poser sur le toit, sur une chaise en plastique, et regarder le soleil se lever. Le vent frais du matin lui arracha un frisson et hérissa les poils, sur son corps nu. Il n’avait, pour tout vêtement, qu’un caleçon qu’il gardait pour dormir, sans trop savoir lui-même pourquoi il prenait cette peine. Des fois, il oubliait de l’enlever avant de se jeter dans la douche et se retrouvait à devoir l’accrocher au bout d’une antenne, sous les rayons du soleil, pour que le sous-vêtement sèche.

Aujourd’hui, en sautant du toit à la zone « appartement » du hangar, il pensa à le retirer et le balancer dans un coin, avant de se faufiler sous une douche brûlante. Luca aimait se réveiller avec la chaleur de la vapeur qui lui prenait la gorge et lui remettait les idées en place pour mieux affronter la journée. Il n’avait beau ne plus avoir de panneaux photovoltaïques sur le torse – ce qui aurait été bizarre – il adorait toujours autant se gorger de soleil et de chaleur, pour être d’aplomb pour le reste de la journée. Il ne cherchait pas vraiment à comprendre, lui, et se laissait seulement porter par les flots sans s’inquiéter du reste.

Après avoir salué, d’un geste ou de quelques mots, les différents animaux qui traînaient dans le hangar et profitaient de chaleur et d’un abri pour la nuit, Luca bondit au milieu du bâtiment, sans prendre l’escalier, et courut entre les étagères pleines d’un bordel sans nom. Un bordel presque organisé, qui se désorganisait dans son rangement, ce qui lui permettait de savoir, à peu près, où était ce dont il avait besoin. Un ordre désordonné qui n’avait de sens que pour l’ancien robot, mais qui ça pouvait déranger ? Il était seul, dans sa décharge, depuis longtemps.

Luca ouvrit les grandes portes coulissantes au moment où les premiers rayons descendaient jusqu’au sol et courut, ensuite, faire de même avec le portail de la décharge. L’accès aux deux zones restait libre tout au long de la journée, tant que Luca était présent sur les lieux. Dès qu’il s’absentait, il fermait les portes du hangar pour ne laisser que l’accès aux déchets d’ouvert. Il préférait être dans le coin, si quelqu’un venait fureter chez lui, mais ça ne le dérangeait pas que quelques curieux viennent chercher des trésors, dans les piles de détritus qui trônaient dehors.

Le sourire aux lèvres, une chansonnette au creux de la gorge, il marmonnait tout bas les paroles, tout en se demandant, face à tout ce travail, de quelle façon organiser sa journée. Ce n’était pas de tout repos de devoir ranger tout ça, trier, essayer de mettre les bons déchets ensembles, mais il aimait prendre le temps d’y réfléchir et, au passage, fouiller un peu, lui aussi, dans tout ce qu’on lui amenait. Les trésors ne manquaient pas, dans les affaires des Storybrookiens, et Luca se servait à loisir, conscient que si c’était jeté chez lui, alors personne n’en voulait.

Pour aujourd’hui, le gérant de la décharge dut prendre sa matinée pour accueillir de nouveaux arrivages. Courant de l’après-midi, il commença à trier les grosses parties avec ses différentes machines. Après deux heures passées en cabine, il ne tenait plus en place, Luca, et bondit à terre pour continuer de tirer avec les mains, directement. Il en profita pour regarder, très attentivement, un étrange cylindre métallique, gravé d’un beau dessin. Il eut beau regarder à l’intérieur, il ne trouva rien d’intéressant et se demanda à quoi ça pouvait servir. Sur le bouchon, une anse bougeait chaque fois qu’il secouait l’étrange bouteille. Il s’amusa, alors, à la secouer dans tous les sens pour entendre claquer l’anse.

Le bruit d’un moteur le stoppa net dans son ébauche de mélodie. Luca se tourna vers l’entrée, balança le cylindre dans le tas et trottina dans la poussière. Parfois, ses chenilles lui manquaient pour rouler partout sans s’inquiéter de rien. Des pieds, ce n’était pas toujours pratique. Il lui arrivait de tomber en voulant bouger les deux en même temps, ce qui ne fonctionnait pas avec un corps humain. Il regrettait, aussi, son corps tout carré, le vide dans son ventre pour pouvoir compacter les déchets et sa petite boîte qu’il accrochait dans son dos. Même ses deux yeux si amovibles lui manquaient.

Ce n’était pas l’heure de se perdre en sentiments !

Luca trottina donc jusqu’à l’entrée et regarda le nouvel arrivant venir à pied. Il était pourtant certain d’avoir entendu une voiture faire vroum vroum, pas loin de sa décharge. Quelqu’un d’autre, peut-être. Il ne savait pas. Luca aimait bien regarder les roues des voitures tourner, tourner, tourner, soulever tout plein de poussière dans sa cour ! Tant pis, il se rattraperait sur un camion, c’était bien aussi, les grosses roues des camions.

L’inconnu se pencha à la fenêtre, passa la tête dans un carreau cassé et parla fort à l’intérieur. Luca le regarda faire, très intrigué. C’était bien la première fois qu’il voyait quelqu’un faire ça. C’était plutôt amusant ! Il n’avait jamais pensé à regarder à l’intérieur de chez lui et hausser la voix pour être entendu. Entendu par qui, en même temps ? Luca était seul, dans sa déchetterie, et les animaux ne répondaient jamais, quand il leur parlait.

Très intrigué par cet homme penché par chez lui, Luca se posta discrètement à ses côtés et passa, lui aussi, la tête par un carreau cassé. Il regarda l’intérieur si joli (à ses yeux) de son bâtiment et sourit à pleines dents. Ça en jetait un max ! Il était fier de son petit chez lui, sans le moindre doute.

– Helloooo ! Il y a quelqu’un ? Non, je crois qu’il n’y a personne. J’ai vu entrer personne, en tout cas. Tu cherches quelqu’un ? Qui ? Quoi ? C’est plutôt quoi, tu as dit « quelque chose », non ?

Luca sortit la tête de la fenêtre et tapota l’épaule de l’inconnu, une fois, avant de se reculer un peu, au cas où il lui prenne l’idée de l’attaquer. Après tout, ça n’aurait pas été la première fois que quelqu’un venait chercher quelque chose chez lui et décide, soudain, de lui tirer dessus alors qu’il n’avait rien fait ! Et rien demandé à personne.

– C’est pour quoi ? Tu as jeté quelque chose et tu veux le récupérer ? C’est quand même mieux de pas le jeter, parce que ça va être compliqué à retrouver. Mais dis-moi ce que c’est… Non. Décris-le-moi plutôt. Peut-être que je l’ai vu. Je suis justement en train de trier.

Il pointa, du pouce, une pile plus loin, qui ne correspondait pas du tout à celle qu’il était en train de trier depuis ce matin, mais l’image était là. Le geste lui permit de se rendre compte qu’il avait les doigts tout tachés de crasse et il frotta un peu, sans arriver à enlever les taches noires.

– Luca ! Luca Barker ! se présenta-t-il, en tendant la main, qu’il referma, rouvrit, puis fit une moue, incapable de savoir si la saleté gênerait l’autre ou non. Si c’est un cadeau que tu cherches, je peux te trouver quelque chose de bien ! Dis-moi, dis-moi !

Luca était, peut-être, un poil content de trouver quelqu’un qui s’attardait chez lui et prenait la peine de lui parler. Bon, OK… l’inconnu ne lui avait pas vraiment adressé la parole à lui, mais l’idée était là, non ? De toute façon, c’était trop tard, Luca lui avait mis le grappin dessus et s’y accrocherait jusqu’à ce qu’il parte en courant.



Barlay Lightfoot
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________________________________________ 2021-05-18, 13:55

DollBarlay regardait à l’intérieur de l’étrange hangar sans faire attention aux restes. Lui n’avait pas peur des animaux, des insectes, ou des ombres dans la nuit. Il ne faisait même pas attention. Un monstre pourrait passer à côté de lui qu’il le louperait. Même si en suite, il s’en voudrait complètement et serait triste de cette disparition. Mais donc, il n’était pas vraiment concentrer avec ce qui l’entoure… ainsi quand un homme se posa à côté de lui pour parler, il ne sursauta pas, il fit la grimace.

Si l’homme à ses côtés disaient qu’il n’y avait personne à l’intérieur, peut être devrait il revenir plus tard ? Il prit quelques secondes, les quelques secondes des paroles du nouveau venu, pour percuter qu’il y avait quelqu’un, puisqu’il était à côté de lui. Il papillonna des yeux. Il finit par sourire à l’inconnu.

- Je te cherchais toi je pense. Pour m’aider à trouver quelque chose. Je rechercherais une poupée.

Il lui fit un sourire en écoutant le reste des paroles du garçon. Il jeta un regard au loin. C’était vrai qu’il ne valait mieux pas jeter quelque chose que l’on voulait garder … c’était un peu trop dur ensuite de les retrouver. Il se souvenait vague de sa mère jetant dans leur monde une figurine limité du jeu qu’il adore…. Il ne voulait pas se rappeler de tout ce qu’il avait du faire pour la récupérer.

- Ce n’est pas moi qui l’aie jeté, c’est une fille de ma classe. Elle pense qu’avoir jeté la poupée a un rapport avec ce qui lui arrive récemment. Elle a entendu parler d’une légende d’une poupée jeté à la décharge et depuis elle pense que la poupée essaie de la tuer …. Vue qu’on est à SB ça ne m’étonnerait même pas. Mais pour commencer l’enquête je me suis dit que c’était le meilleur endroit.

Barlay observait le garçon, et il allait lui prendre la main quand il remarqua sa gêne. Il n’était pas le genre à s’en faire pour quelques traces. Il lui prit la main alors et la serra dans un enthousiasme qu’il ne se connaissait pas. Peut être que l’homme en face de lui avait cette aura particulière qu’avaient certaines personnes.

- Barlay. Barlay Lightfoot. Avec un A. Parce qu’avant on l’écrivait avec un E. Pour ce qui est des cadeaux, je n’en cherche pas pour le moment, mais ça serait une idée que de venir ici, surtout si tu peux m’aider à trouver ce que je recherche.

Il faisait des cadeaux, ça arrivait. Mais aussi il aimait bien réutilisé les choses. Loin d’une idée écologique de la chose, bien que cela allait avec sans le faire exprès, Barlay aimait les histoires d’un objet. Il aimait avoir un objet qui avait vécu. Il appréciait moins d’acheter neuf quelque chose qui n’a vécu qu’une sortie d’usine.

- Tu es tout seul ici ? A travailler je veux dire ? La zone à l’air immense ! C’est ouf. J’aurais bien besoin de ton aide si tu l’acceptes parce que je ne serais même pas par où commencer !

Il observait les environs d’un regard. Il ne jugeait pas. Même pas une petite seconde, c’était juste une mise en plan dans son cerveau. Il essayait d’imaginer la zone qu’il ne pouvait pas voir, et de deviner comment il pourrait commencer à chercher. Alors qu’il allait demander à Luca ce qu’il pourrait faire pour le remercier s’il l’aide, il se figea. Ils se sont tutoyés depuis le début, et il allait l’appeler par son prénom. Il sourit.

- Je suis sur qu’on va bien s’entendre Luca !

Il adorait avoir des gens comme ça avec lui. Il aimait avoir ce genre de personne avec qui on se sent à l’aise tout de suite. Si l’odeur du lieu pourrait déranger certain, Barlay n’en avait cure.

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