« Pour réaliser une chose extraordinaire, commencez par la rêver.
Ensuite, réveillez-vous calmement et allez jusqu'au bout de votre rêve
sans jamais vous laisser décourager. » (Walt Disney)

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 A l'animalerie - protégeons les animaux - ft Aloïs

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Lorenzo Pascalino
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A l'animalerie - protégeons les animaux - ft Aloïs _



________________________________________ 2020-07-27, 00:40

Veganisme un mode de vie
Une journée estivale des plus douces est marquée par le levé du soleil, les premiers rayons du soleil viennent baigner la chambre du jeune adolescent qui n’a pas encore atteint les 14 ans. Alors que la douce pénombre est doucement chassée par la lueur du petit matin, dans le grand lit au milieu de la pièce les fines courbes d’un corps se détache de la nature morte du mobilier de la chambre, les courbes se lèvent imperceptiblement au rythme de la respiration du jeune homme, ainsi qu’aux douces caresses des rayons lumineux provenant de l’astre qui s'élève dans le ciel.
Lorenzo se réveille donc doucement en se redressant dans son lit, laissant le tissu fin de la couverture lui glisser le long de son torse finement dessiné dénudé, tombant au niveau de la ceinture de son boxer avant qu’il ne se lève, posant ses pieds nus sur le sol froid. Son corps fin et assez élancé se déploie suite à ses fluides mouvements pour se rendre à la fenêtre, à la lumière du soleil sa peau révèle son teint légèrement hâlé, captant parfaitement les rayons du soleil pour se tanner le teint sans brûler, lui assurant une aura assez envoûtante. Son boxer blanc moulant accentuant la fine courbure de son bassin, ainsi que contrastant à la perfection avec sa fine peau lisse et hâlés.

En ouvrant la fenêtre l’air doux s’engouffre rapidement dans la chambre, évitant de dormir la fenêtre ouverte pour ne pas se faire piquer par les moustiques, bien qu’il ne se soit jamais vraiment fait piquer par eux, certainement dû à son ancienne condition de caméléon. N’ayant pas très faim, il se décide à aller prendre râpures une douche avant de descendre à la cuisine de l’orphelinat.
Après plus de 10 minutes sous le jet d’eau revitalisant de la douche, il en sort et vient enfiler la tenue qu’il avait déposé sur son lit avant de pénétrer la salle d’eau. Revêtant donc un boxer moulant noir sous un short bleu en jean stretch, lui descendant juste à 4cm au dessus du genou, moulant, avec un t-shirt bleu roi moulant.
Il décida d'accessoiriser sa tenue avec une ceinture tressée bleue et brune qu’il attache autour de sa taille angevine, ainsi qu’une paire de tennis bleue en toile.

En descendant à la cuisine de l’orphelinat il vient se servir dans le frigidaire sur l’étagère lui étant réservé dû à son régime alimentaire stricte, prenant un petit bol de fruits rouges qu’il consomme assez rapidement, regardant l’heure pour pouvoir se rendre à l’animalerie.
Terminant son petit déjeuner, il se dirige vers la porte de l’établissement dans lequel il vit après avoir nettoyé ses affaires de son repas qu’il prit seul ayant préféré se doucher en premier lieu.

Laissant un petit mot sur la table à l’intention du directeur, le prévenant qu’il va passer la matinée pour commencer à l’animalerie, ayant eu l’accord du gérant pour venir s’occuper des bébés renards qu’il avait ramené quelques jours plutôt les ayant trouvés seuls dans la forêt.
Après une bonne demie heure de marche, Lorenzo arrive à l’animalerie, passant par la porte battante en faisant tinter le carillon. De son pas léger et aérien il pénètre l’enceinte de l’établissement pour se diriger d’un pas décidé vers l’accueil de la boutique, tapotant du bout de ses doigts la surface dans un rythme à la fois relaxant et enivrant.

- Bonjour, c’est moi Lorenzo, pour les bébés renards Dit-il à l’intention du petit bureau dans le fond en s’éclaircissant la voix.
feat Aloïs

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Aloïs Tribberhood
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Aloïs Tribberhood

| Avatar : Hermαn Tømmerααs

A l'animalerie - protégeons les animaux - ft Aloïs Aleonard

So you say, all you wanna be is remembered
I'll make you go down in history
Show me a God that I can believe in
Show me some stars
Beneath this, beneath this ceiling
AND I'LL REMEMBER YOU.



| Conte : Robin des Bois
| Dans le monde des contes, je suis : : Robin de Locksley

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A l'animalerie - protégeons les animaux - ft Aloïs _



________________________________________ 2020-08-03, 12:02

Paradise

On est des animaux, même dans ce qui nous donne la plus haute idée de notre humanité.


À chaque fois qu’il enfilait le gilet bleu de l’association « Pet Care » sur ses épaules, Aloïs se sentait d’une fierté incommensurable. C’était comme si l’envie de combattre refluait dans ses veines et boostait ses capacités, même s’il n’était pas toujours aisé de défendre la cause animale dans le contexte actuel. La plupart du temps, il rejoignait le refuge après sa journée de travail mais, une fois par semaine, il se rendait à la petite « animalerie » de la ville – dont l’association était propriétaire – pour une journée entière. La majorité de la population connaissait mieux cet endroit que le véritable refuge, à quelques miles du centre-ville, et Aloïs devait très souvent répéter qu’il ne s’agissait pas de vente de chiots de race ou quoi que ce soit… Mais bien de placements d’animaux abandonnés / donnés sous couvert d’une sûreté de leur lieu de destination. Il arrivait que certains animaux reviennent après quelques semaines mais, fort heureusement, le choix des familles était sujet à étude et il était très rare de faire le mauvais choix. Les bénévoles étaient là pour ça.

Il passa une main dans ses cheveux pour les repousser en arrière, se dirigeant vers la caisse aux dons anonymes qui trônait sur le côté du bâtiment ; la plupart des gens qui ne voulaient plus de leurs animaux le faisaient à l’abri des regards, comme si la culpabilité pouvait être dissoute par l’obscurité… Et l’été s’installant à Storybrooke, ils étaient de plus en plus nombreux. Comme chaque année. Ce matin, Aloïs découvrit deux chiots pressés l’un contre l’autre en tremblant, une maigre gamelle d’eau posée à côté d’eux et à peine une alèse pour leur servir de support. Passé le premier soupir atterré et l’exaspération colérique qui grimpa en lui, il s’empressa d’appliquer la procédure : mettre à l’abri, vérifier les constantes, appeler le vétérinaire, nourrir. Tout ça en se montrant le plus doux possible pour ne pas effrayer les deux petits chiens à peine plus grands que sa paume. Les couinements de satisfaction qu’ils poussèrent lorsqu’il les enroula dans une serviette humide en leur faisant téter un peu de lait eu raison de sa colère. C’était triste à voir… Mais au moins étaient-ils dans un endroit où on prendrait soin d’eux, désormais.

Voyant le vétérinaire arriver, il s’empressa de lui faire un rapide topo alors qu’il saisissait les boîtes et seau pour nourrir le reste des petits habitants de l’animalerie : oiseaux, rongeurs, chiots, chatons, chats, chiens, poissons et même quelques créatures exotiques ramenés quelques jours auparavant : des renardeaux. Un adolescent les avait déposés en précisant qu’ils étaient seuls et exposés en pleine forêt ; une mère n’aurait jamais laissé ses petits en visibilité, encore moins dans un état de déshydratation pareil, il était probable qu’elle soit décédée. Ils étaient arrivés mal en point et se remettaient doucement, très doucement, de leur sauvetage. L’association de protection de la faune sauvage était pleine à craquer dans la ville voisine et ne pouvait prendre en charge une telle portée, aussi les avaient-ils gardés pour le moment… En suivant strictement les conseils prodigués. Aloïs se sentait très proche de ces petites bestioles – qui semblaient l’apprécier grandement – et s’amusait à observer leurs réactions. Les souvenirs d’une vie d’antan flirtait parfois avec la réalité et il était assez drôle de voir les coïncidences que la vie nous amenait…

Alors qu’il s’assurait qu’ils étaient tous en vie et que les plus faibles parvenaient à rejoindre les gamelles d’eau, Aloïs entendit tinter le carillon de l’entrée. Se redressant – trop rapidement – il se cogna à l’étagère juste au-dessus de la caisse et poussa un juron étouffé qui fit sursauter les animaux convalescents présents autour de lui. Le bidon d’eau qu’il tenait lui échappa et il tenta tant bien que mal de le rattraper, aspergeant tout sur son passage y compris ses vêtements… Lorsqu’il parvint à se stabiliser, le bidon était vide, le sol était trempé, sa tête lui cognait et ses affaires lui collaient à la peau.

Su-per. Bravo, Aloïs. Et dire qu’il avait une réputation d’agilité hors pair !

J’arrive ! Lança-t-il, cherchant des yeux un moyen de ne pas donner l’impression qu’il s’était baigné dans une bassine…

Peine perdue. Il faudrait faire avec. Étouffant un autre juron agacé, s’excusant auprès du vétérinaire encore en poste à l’arrière de la boutique, il se dirigea d’un pas assuré vers l’accueil en tachant de ne pas faire trop moche profile. Peut-être qu’il avait un pull de rechange quelque part ? Il y en avait souvent pour les bénévoles… Malgré la chaleur ambiante.

Oh, bonjour ! Il adressa un sourire amical au garçon derrière le comptoir, Désolé, j’étais un peu occupé… Les renards ? Ah, tu es celui qui les a retrouvé, c’est ça ? Alban m’a signalé que tu passerais. Moi c’est Aloïs.

Il l’avait juste imaginé un peu plus jeune… Ou plus vieux ? Mystère. On ne sait jamais vraiment qui sont les gens qui vous aident mais, quand ça arrive, c’est toujours bénéfique.

Tu veux les voir ? Ils sont encore fatigués mais bougent de plus en plus. C’est une chance qu’ils t’aient trouvés sur leur route, la plupart des gens les aurait laissés en songeant qu’ils pouvaient être nuisibles.

Il n’y avait personne d’autre dans l’animalerie, aussi Aloïs souleva-t-il la planche en bois qui coupait l’accès entre la zone publique et l’arrière-boutique, invitant le jeune homme à passer. Ces simples mouvements lui rappelèrent qu’il était temps de trouver autre chose à se mettre… La ventilation de l’animalerie ne l’aiderait pas à sécher suffisamment rapidement.


CODAGE PAR AMATIS
BLESSINGS - DUB FX
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