« Pour réaliser une chose extraordinaire, commencez par la rêver.
Ensuite, réveillez-vous calmement et allez jusqu'au bout de votre rêve
sans jamais vous laisser décourager. » (Walt Disney)

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 Evénement #119 : Everything is Awesome [Fe]

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Deborah Gust
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Evangeline Dreamword
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Evangeline Dreamword

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"Okay, this is a bird."
"...Why I am even talking to you ?"

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"..."

| Conte : La princesse et la grenouille, Les 5 légendes
| Dans le monde des contes, je suis : : Evangeline, l'Etoile des voeux

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Evénement #119 : Everything is Awesome [Fe] - Page 4 _



________________________________________ 2020-02-23, 22:13





Everything is Awesome

je suis toujours une voleuse de code

C’était étrange de revenir à une apparence qui a été la notre si longtemps mais qui ne l’est plus réellement. Comme les autres, elle était redevenue celle qu’elle était dans son conte, même si contrairement à certains, cela n’avait pas apporté un grand changement à son physique. Mais elle ne s’étonnait plus de rien. Entrer dans la tête d’un robot grâce à une télécommande conçue par une grande scientifique était déjà bien assez conceptuel comme ça pour elle, elle n’était plus à ça près.

La chasse au trésor avait été lancée et même si Eva aurait pu trouver amusant de retrouver le dit trésor en première uniquement pour pouvoir réclamer le bisou de Dewenty, les chasses au trésor et les jeux de rôle, ce n’était pas vraiment son truc. Elle avait laissé les plus motivés prendre les devants en suivant plus ou moins leur rythme, mais fermant la marche, aux côtés d’Erwin et avec Debbie derrière eux. « Bon les chansonnettes de bal musette censées s’inscrire dans notre cœur et les chasses aux trésors inexistants c’est bien joli mais bon il reste à espérer que la suite soit tout aussi...awesome » Sur bien des aspects, outre la gifle qui ne la concernait pas car elle n’avait pas à se mêler des affaires des autres -ce n’est que son point de vue- elle lui reconnait des qualités que peu peuvent avoir ici. « Et comment imaginez-vous une suite awesome, dans un tel contexte ? » C’était toute la question…L’endroit avait l’art de les surprendre, mais pas toujours de manière awesome. « On a déjà eu le karaoké et la chasse au trésor, il reste la pinata en forme de licorne...Plus sérieusement, je n'en n'ai aucune idée, j'espère juste que nous ne fonçons pas au devant d'ennuis. Enfin, pas pire que ceux qu'on affronte déjà. » « Oh les licornes, c'est surfait... » Plaisante Eva. « Je crains qu'on ne pourra pas échapper aux ennuis si on se base sur ce qu'on a déjà rencontré comme difficultés » « Je partage votre opinion... Laissons passer les membres les moins avisés devant, ils sont d'une si grande vigueur combative... Tentons de raisonner en attendant. » L’étoile hoche la tête mais n’a pas le temps de répondre quoi que ce soit.

« STOOOOOOOOOOOOOOOP ! » Crie Debbie derrière eux. Ils s’arrêtent tous les deux, Eva pose un regard interrogatif sur elle alors qu’Erwin fait de même avant de regarder autour de lui. « Pourquoi cet emportement ? » Jusqu’alors, ils n’avaient pas fait attention aux différents embranchements et suivaient juste le chemin principal. « On va faire une pause de la chasse au trésor ici. » Du pouce, elle indique une pièce sur la droite. L’étoile pose un regard sur Erwin puis s’avance vers la pièce. « Est-ce que tout va bien ? » Elle sait que les interventions de Debbie ne se font jamais au hasard et sans raison. De fait, la question est surtout posée afin de s’assurer qu’il n’y a pas danger. Mais cela ne semble pas être le cas. Erwin se rapproche d’elles. « Qu'est-ce qui vous fait penser que cette pièce est importante ? Que renferme-t-elle ? » « Parce que c'est leur bibliothèque de connaissances. Ça vaut le coup de jeter un oeil, non ? » Elle n’y avait pas fait attention lorsqu’elle était passée devant, mais la pièce est effectivement désignée par un panneau. « Déso les mini smileybots, on continue la progression dans 5 minutes, 10 peut-être. Allez, max un quart d'heure. »

Eva est la première à pénétrer dans la pièce qui ressemble à une grande bibliothèque, suivie de Deb, Erwin et de Graham. A gauche se trouve la section EMOTIONS et à droite la section CONNAISSANCES. Erwin et Deb vont vers la gauche tandis qu’Eva observe les rangées de droite. A gauche, seule la section JOIE est remplie, les autres se trouvent être totalement vides. « Evidemment, c'est toujours la même qui est la star, je suis même plus étonnée. » Observant les étagères de son côté, Evangeline remarque que seuls les concepts positifs sont répertoriés. Amour, Bonheur, Chocolat chaud…Mais aucune notion de guerre à la lettre G, ni même de mort à la lettre M. « C'est parce que je ne suis pas l'incarnation d'une émotion, moi même, sinon elle serait détrônée... » Plaisante Erwin qui se trouve près de Deb. « Vous ne devriez pas vous en affecter, très chère. Le dégoût est une émotion dont seuls quelques privilégiés comprennent l'utilité. Et ce qui est rare est précieux. » Ecoutant leurs échanges elle fini ton tour de la partie connaissance. « Certes, mais ils en ont besoin pour que leur complexe fonctionne correctement. Vous ne pouvez pas fonctionner avec une seule émotion aux commandes. Il faut un équipage. » Lorsqu’elle en a fait rapidement le tour, elle revient vers eux. « Toutes les émotions sont importantes, sinon il n'y a pas d'équilibre... » Elle pose son regard sur l’émotion du groupe. « Est-il est possible de rajouter des données dans les rangées vides ? » « C'est justement pour en rajouter qu'on est venus. Mais c'est pas ici que ça se fait. Ici, ça nous permet juste de constater l'étendue de ce qui leur manque. Tiens, je vais faire un test. »

Debbie va de l’autre coté de la bibliothèque, côté CONNAISSANCES et s’arrête devant la lettre M mais ne semble pas trouver ce qu’elle cherche. « Par exemple, ils ne savent pas ce qu'est une manticore. Leur créateur n'a pas jugé cette connaissance utile et c'est sans doute pour cette raison que Dewenty ressemble à une héroïne de comics car... » Elle se déplace jusqu’à la lettre C. « Comics est répertorié. Et... » Cette fois elle se déplace jusqu’à la lettre N. « Noblesse aussi, d'où votre look. Et moi... » Elle termine à la lettre E et lis à voix haute. « Les émotions sont ce qui permettent d'indiquer si l'hôte est heureux. Il faut pour cela rechercher l'émotion joie et éviter les autres, surtout le dégoût et la colère. Su-per. J'adore déjà ce créateur. » « Pourtant, ils ont réagis à la tristesse en l'éliminant, mais ils n'ont pas l'air d'avoir réagis à la colère tout à l'heure... » Réfléchis Eva à voix haute. « Oui ils ont éliminé l'inconnu parce que justement... » Debbie checke la lettre I. « Ils ne savent pas quoi en faire. La colère de Ralph c'était différent. Ils avaient déjà commencé à penser par eux-mêmes plus seulement suivre le protocole et nous imiter. Ils y ont réagi en se préparant à l'attaque parce que... » Elle regarde à E. « Ils connaissent le concept d'espèce ! » Elle sort la fiche et la regarde. « Et ils se la sont appropriée, parce qu'ils apprennent. Je pense qu’à A tu peux trouver "apprendre" ou quelque chose du genre. » « Noblesse... » Répète Erwin en souriant « Ce créateur a malgré tout du goût. » Il se tourne ensuite vers Eva. « La colère sûrement parce qu’ils n’en n’ont pas encore constaté l’effet nocif directement... cependant s’ils exècrent la tristesse pourquoi chaque mini smiley-bot y étaient ils eux même sujets ? » Elle y réfléchit quelques secondes. « Ils voulait l'éliminer parce qu'ils y sont sujet aussi et pensent que ça va les soulager ? C'est étrange de se dire qu'un robot, même capable d'apprendre, puisse être triste... » Mais qu’est-ce qui n’était pas étrange dans cette aventure, dans le fond ? « Effectivement. On parle d’IA mais ça reste assez curieux de se dire qu’une machine puisse accéder à l’intelligence alors encore plus aux émotions »

« J'aime bien ta théorie » Dit-elle à Eva. « Je connais quelqu'un qui l'a eue, bah elle a pas eu une bonne idée ce jour-là. Ils ont commencé à été tristes par mimétisme. Comme je viens de le dire, ils apprennent aussi de nous mais je ne sais pas si c'était voulu : je pense qu'ils ont vu une première personne triste, qu'ils ont essayé de copier son émotion mais qu'elle n'était pas dans la base de données. Ca les a fait buguer alors ils l'ont jugée néfaste et... byebye Gloria et Kezzia. Mais ils ont continué leur apprentissage et ils ont dépassé le stade de mimétisme. Je crois qu'ils sont en dépression parce que... d'une façon ou d'une autre, Gloria et Kezzia leur ont fait entrevoir le concept de tristesse mais ils l'ont mal interprété. En fait ils font leur deuil. D'abord le déni : ils vivaient dans un monde où la tristesse n'existait pas. Ensuite quand ils ont vu que la tristesse, même s'ils ne pouvaient pas la nommer, existait, ils l'ont mal pris. On pourrait assimiler ça à l'étape de la colère. Et maintenant c'est... » C’est Graham qui clos le raisonnement. « .. L'étape de la dépression. » Elle reste un moment silencieuse, le temps de bien digérer l’information. « Donc si je suis ton raisonnement on a passé l'étape de la dépression et se retrouve en plein dans la reconstruction...Non ? Est-ce que ce n'est pas justement la phase idéale pour de nouvelles données ? » « Totalement de cet avis. » Lui répond Deb.

La logique voudrait donc qu’ils se rendent au cerveau pour y incorporer de nouvelles données. Avant ça, Evangeline a une dernière chose qu’elle voudrait vérifier. « Je me demande si… » Elle se rend à la lettre C de la partie CONNAISSANCES. Alors qu’elle cherche, Debbie s’approche d’elle. L’étoile sorti finalement la fiche « Créateur » qu’elle lit à voix haute pour le groupe. « Créateur : Michael Good, né le 21 juin 1947 est un prodigieux concepteur de complexes de vacances de luxe. C'est lui l'inventeur du Bon Endroit, le complexe que vous dirigez. Michael est un homme qui n'a qu'une seule ambition : rendre le plus de personnes heureuses et c'est pour cette raison que vous avez été créés. » Sous la photo de l’homme en question se trouve la légende : Michael Good, promoteur du Bon Endroit. Eva, après sa petite lecture, montre la photo au reste du groupe. « C’est visiblement l’homme du spot qu’on a visionné en arrivant. » Commente Erwin. « T'es maligne, toi. Vous enfoncez des portes ouvertes, Erwin, on a tous des yeux pour voir. Même Graham qui malgré son âge ne porte pas de lunettes. Maintenant on a un nom et une date de naissance. J'aurais préféré que ce soit ni le même jour, ni le même mois que moi, mais avec ça on pourra le trouver. Mais d'abord, on a de la reconstruction à terminer. » Suivant les petits robots, le groupe se remet en marche en direction du cerveau.



Dewenty Maanteekor
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Dewenty Maanteekor

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Que le spectacle commence...

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Evénement #119 : Everything is Awesome [Fe] - Page 4 _



________________________________________ 2020-02-25, 00:36

everything is awesome Dewenty dans Les vacances presque parfaite

On va éviter les résumé on voit bien tout ce qu’il s’est passé dans les épisodes précédent en lisant CORRECTEMENT bien entendu. Mais vous êtes des champions et vous lisez très bien. Vous avez donc vu la magnifique tenue resplendissante de Dewenty… Mise à par la couleur qu’elle n’aime pas… le vert c’est pas chouette pour elle. Disons que la manticore n’aime pas cette couleur au grand damne de sa moitié. Bon alors reprenons, L’équipe de choc nommé le gang Awesome était en route vers le “cerveau” des robots, en d’autre terme, ils arrivent dans une salle avec deux espèce de fenêtres rondes qui donnent vers l'extérieur. La sensuelle créature avait rapidement compris que c’était les yeux du robot, ce qui était plutôt pas mal comme vision des choses. Ils s’étaient donc avancé, voyant un tableau de bord (semblable à celui de Vice Versa) Sur ce fameux tableaux de bord, il y avait plein de boutons avec des indications juste en dessous comme “sourire”, “faire un calin”, “rire”. Des indications sous le thème de la Joie Sauf le bouton qui se trouvait tout à droite avec un joli rond rouge dessous il y avait “Attaquer”. Et la vous voyez la superbe scène avec Groot ? Oui celle ou il dit qu’il doit appuyé sur le bouton qu’il faut pas. Un joli bouton rouge vraiment intéressant comme les poupée avec écrit “Try me”. Et qu’est-ce que Dew à fait ? Elle appuie ! BADDAAAAMMMMMMMMM BAADDAAAMMMMMM BADAAAAAABOUUUUMMMMMMMM TOUT LE MONDE EST MORT ! Nan je déconne ! il se passe RIEN =D vous avez flippez avouez ?

-C'est normal, la tête est plus raccordée au reste du corps. A moins de rouler pour donner un coup de boule, elle est limitée. Remarque, comme ils sont tous interconnectés, si ça se trouve, dehors c'est la grosse baston mais comme on est dedans, on s’en cogne, non ?

Tout s’expliquait…

- Pourquoi créer un bouton “attaquer” et qu'il ne passe rien ? Ou alors y a rien à attaquer ?
- Je pense que si on avait laissé Ralph dehors et la tête attachée au corps, on aurait pu voir un truc très marrant. dit-elle avec un sourire.
- Hmm ouai dommage j'aurais tellement aimer voir sa tête sauter comme une bouteille de champagne... Mais pourquoi 36 boutons de bonne humeur et un seul de destruction je suis déçu ..
- Toujours la même réponse : d'abord ils faisaient ce pour quoi ils sont programmés, ils ont croisé la tristesse et ont pas su quoi faire donc ils ont recyclé dit-elle pointant le bouton écologie sur la console. et maintenant ils apprennent réellement donc quand Ralph les a agressés, ils ont riposté et cette initiative à ajouter le bouton au tableau de bord. Ils devaient pas être d'humeur pour la commande "peace & love" tout en désignant un autre bouton.
- Ohhh... Mes pauvres petits enfants.... Je les comprends .. j'aurais réagis de la même manière et personnes n'est là pour les protéger de ce vilain Ralph... Comment créer de nouvelles émotions ?
- Les émotions ça ne se crée pas ça se ressent.

C’était une chose pas très clair pour la manticore, disons qu’elle ne ressentait les émotions de cette façon que depuis elle était humaine. Être humain c’est vraiment la merde parfois. Et encore, elle apprenait encore.

- Hmm je voie donc on doit faire en sorte de leur faire ressentir plus d'émotion et qu'ils connaissent le mot manticore alors..après tout ils n'ont pas eu de maman…
- Si tu permets, d'abord la tristesse, ensuite la manticore si on a le temps. Bien, c'est comment pour toi d'être triste ?

Dewenty regardait depuis un moment les faits et gestes de l’émotion Debbie, qui prenait toujours soin de parler mais sans jamais toucher le tableau de bord, elle ne fait que de le pointer sans jamais l'effleurer. Puis, elle répondit.

-La tristesse ? dit elle en réfléchissant à ce qu’elle pouvait ressentir en tant qu’humaine. Je parle en tant qu'humain alors. C'est se sentir seule.. de voir la personne qu'on a aimé vous laisser un petit mot au matin vous disant quil vous quitte ou partir pour ne plus souffrir. J'ai été triste dans ses circonstances la.. ou... Perdre une personne qui vous est cher. C'est dur on a l'impression d'être mort de l'intérieur et de pleurer sans s'arrêter... Mais on peut aussi ressentir la tristesse des autres. Ou à travers un film comme dans Gladiator.
-Mort à l'intérieur. C'est bien ça. La tristesse des autres. Encore mieux. On appelle ça l'empathie et l'empathie c'est ... ?
-Empathie...? Hmm... Ressentir les émotions des autres ? Et les ressentir pour sois? Pour aider si besoin ?

Dewenty apprenait de jour en jour de nouvelle façon de percevoir le monde, ce qui ne l’a rendait pas plus gentille, mais, elle pouvait ressentir certaines choses par rapport à d’habitude.

- Oui, certes, mais l'empathie c'est BIEN ! Non ? Bon peut-être que les manticores n'aiment pas l'empathie, à toi de me le dire.
- Oui c'est bien pour un humain.. non les manticore ne ressente pas l'empathie... De ce que je sais.. et que j'ai ressenti.. quand j'ai vu Eva qui n'allait pas bien... J'ai eu envie de la réconforter.. qu'elle puisse de nouveau sourire.. lui changer les idées... Et lui offrir un chocolat chaud. En lui remontant le moral, et je comprenais sa tristesse sans pour autant être atteint de la même émotions . Je me suis mise à sa place pour essayer de comprendre. Je l'aime bien Eva.
- Ouais, moi aussi, je l'aime bien. Mais c'est pas le sujet. Si tu n'avais pas ressenti sa tristesse tu n'aurais pas eu envie de faire tout ce que tu as fait. Ressentir sa tristesse ça a eu un bon impact. Touche la console.
- Hmm... Je ne sais pas.. De toucher la console va faire en sorte d'activer l'empathie ? La triste ou je sais pas quoi. ? dit-elle en posant sa main doucement sur le tableau de bord. Pourquoi toi tu évite de la toucher ? C'est parce que tu es une émotion ?

En touchant la console, cette dernière s'agrandit pour faire apparaître un bouton bleu qui s’appelle “Empathie”

- Tu transpirais l'empathie tellement tu en parlais, c'était le moment ou jamais
- Ohhh mais c'est super chouette ça ! Je veux encore créer des boutons.

Elle était à deux doigt d’applaudirent dans ses mains. Elle n’avait pas eu encore sa réponse à sa question. Peut-être était-ce tu à son coté émotion… et que pour le moment on devait leur faire comprendre la tristesse de façon positive et non le dégoût ?

- T'emballes pas, hein, on peut pas créer le bouton manticore, c'est pas une émotion. OK, qui d'autre à un truc sympa à partager sur la tristesse à partager ?

Un Silence presque gênant que Graham finit par briser en lachant.

-La résilience.

Sur cet aveux Dewenty se tourne vers Graham, ne comprenant pas bien ce mot.. du moins ce qu’il pouvait représenter pour le commun des mortels.

- Résilience ?
- C'est le fait de savoir rebondir après une mauvaise nouvelle ou une épreuve difficile, c'est la capacité à prendre un nouveau départ.
- Oh.. merci de votre lumière, et je pense que cela ne doit pas être évident... vous êtes quelqu'un de fort Graham

La manticore savait qu’elle était plutôt maladroite parfois dû à son côté créature qui n’était pas réellement doté d’un coeur ou d’une quelconque empathie pourtant, elle pensait que cet humain était courageux. Graham haussa les épaules sans répondre et vient toucher le tableau de bord aussi. La console se développe avec le bouton “Résilience” qui apparaît en couleur bleu et jaune. Lena apporta elle aussi sa touche pour partager un truc sympa sur la tristesse.

-La tristesse apporte très souvent le réconfort d’autrui vis à vis de la personne qui est triste.
-Ouais, c'est vrai. Sandy attire toujours l'attention sur elle quand elle chouine.

Lena fini par porter sa main sur le tableau de bord et ainsi le mot “réconfort” est apparu tout comme “Résilience” de couleur bleu et jaune. C’est ainsi qu’on rajoute les aspect positifs de la tristesse dans la joie et la bonne humeur.

-Hmm c'est vrai que pleurer interpelle les personnes..


Ralph qui s’était plutôt montrer calme pour le moment. D’ailleurs Dew avait même fini par l'oublier.. jusqu’au moment ou il intervient.

- C'est des conneries tout ça. La tristesse, ça n'a rien de positif, vous allez sûrement pas me faire croire ! dit-il et sans demander l’avis de personne, il bouscule Dewenty et tape sur la console. A cause de cela un nouveau pan se créer et ou se trouvait le bouton “Attaque” Dew porta son regard dessus et ainsi, des boutons rouges avec les insultes et tout ce qui est en rapport avec la colère. Debbie porte son regard sur le tableau aussi.

- Bah c'est bien, vous leur avez appris la colère. Ca va être fun, les smileybots vont pouvoir insulter les futurs clients.

Dewenty suite à cette bousculade fronça les sourcils, elle essayait néanmoins de se contrôler au maximum pour pas lui arracher la carotide. Cet homme était un malotru de première. Elle s’approcha donc de monsieur Ralph et lui mets un coup de tête, bien entendu… elle ne sentait pas le coup mais, lui non plus… Ce qui était bien dommage dans ce genre de cas. Dès qu’ils sortent d’ici, elle lui en mettra un bonne, pour lui apprendre les bonnes manières.

- La prochaine fois, dis pardon Ducon ! je savais qu'il y avait des con mais toi tu bat tous les records...
- J'arrête pas de le dire. Mais bon, la colère aussi ça a des effets positifs. Clairement sur vous, Ralph, mais chez les gens qui savent se maîtriser. Merci d'avoir apporté votre pierre à l'édifice, maintenant je suggère que vous en restiez loin, Ralph.
- Oui.. elle me permet de me défouler.. il touche encore une fois au tableau de bord, je lui arrache la main.
- Je ne compte pas spécialement l'en empêcher. OK, un autre volontaire pour parler en bien de la tristesse ?

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Deborah Gust
« Sarcasm: punching people with words. »

Deborah Gust

| Avatar : Catherine Tate

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- Youhou Deborah, regarde ce que je sais faire !
- C'est bon, je démissionne, j'en ai marre des débiles.

| Conte : Inside Out
| Dans le monde des contes, je suis : : Disgust

| Cadavres : 4325



Evénement #119 : Everything is Awesome [Fe] - Page 4 _



________________________________________ 2020-02-25, 22:44 « Sarcasm: punching people with words. »

- Oh l’utilité de la tristesse n’est pas à démontrer chez certains mais si c’est pour voguer entre désespoir et hilarité... Notre robot va être limité si vous voulez mon avis, commenta Erwin, fidèle à lui-même.
- Que chez certains ? rebondis-je, intéressée. Genre, vous êtes jamais triste ? C'est pas assez hype pour vous ?
Je ne le prenais pas mal. On parlait quand même de Tristesse et toute sa morve, perso, si je peux l'éviter, je l'évite, ça me va pas spécialement au teint. Je cherchais simplement à comprendre. Pour une fois que je ne m'intéresse pas qu'à moi… Même si Tristesse n'est vraiment pas la plus simple à gérer, je la savais essentielle et j'aurais cru qu'un esprit qui se disait aussi brillant qu'Erwin l'aurait également compris et assumé. Manifestement ce n'était pas le cas ? Même vous, vous avez envie d'en savoir plus, avouez.
- Non... Pourquoi le serais-je ? Je m’ouvre à vous car je vous estime assez pour vous juger digne de cette information mais... Pour être tout à fait franc, j’ai toujours été satisfait du chemin qu’empruntait ma vie, j’ai toujours obtenu ce que je voulais... Jusqu’à la malédiction mais encore même là... je..
Erwin marqua une pause pour réfléchir à la suite et froncer les sourcils au passage, ce que, perso, j'essaye d'éviter pour préserver mon joli visage, mais chacun son truc. Mais si on oublie ce détail, je pouvais lire sur ce visage une vraie interrogation, du genre qu'il avait sans doute pour la première fois de sa vie.
- Je suis mélancolique de mon ancienne vie. Je suis déçu des choses que l’on m’a ôtées, frustré de ce que l’on me refuse, pressé de ce que je n’ai pas...mais je ne doute pas que les choses s’amélioreront à ma convenance.
- La mélancolie et la nostalgie ! m'écriai-je en omettant tout le reste de sa confession. Bah vous voyez que ça vous concerne quand même. Est-ce que c'est fondamentalement mauvais de repenser à ce qui n'est plus et d'y rêver un petit peu ? Ou beaucoup, vous concernant.
Erwin était au delà du concept de résilience parce que le faire plier ça avait l'air assez difficile. Il était plutôt de ceux qui ne se laissent abattre parce qu'à défaut d'avoir foi en l'humanité, il avait foi en lui-même et soi-même, je suis bien placée pour le dire, c'est encore la seule personne sur qui on peut compter. Je ne doutais donc pas de la force des convictions qu'il exprimait et je sentais qu'il mettrait tous les moyens en œuvre possibles pour parvenir à ses fins. Clairement un Serpentard, si vous voulez mon avis (et vous le voulez toujours).
- Je suppose que ça dépend de ce qu’on fait de cet état d’esprit... si on s’y complaît ou si on l’exploite pour en tirer le meilleur, des enseignements, un but, un objectif..
- Oui, faut pas devenir Emma Bovary, je suis d'accord. Allez, à votre tour d'apporter votre émotion à l'édifice. Pensez bien à toute cette nostalgie qu'inspire votre ancienne vie de Roi Soleil en touchant la console.
- Je vais lui montrer de quoi faire pâlir d’envie et de regrets Versailles elle-même, annonça le grandiloquent Erwin en filant ma métaphore avant de se diriger vers la console avec arrogance puis fermer les yeux en posant la main dessus, un sourire mélancolique sur les lèvres.
Comme précédemment, une nouvelle commande, qui s'appelait nostalgie cette fois, apparue, elle aussi jaune et bleue, avant qu'il ne regagne sa place. J'observai le tableau de bord, plutôt satisfaite.
- Bien ! A qui le tour ? demandai-je à la cantonade comme si j'animais un jeu télé.
Cette fois ce fut Joie bis qui intervint :
- La tristesse, une fois passée, nous aide à retrouver un sentiment de soulagement. Je pense qu'elle est parfois nécessaire pour évacuer le négatif et se sentir mieux par la suite, fit observer la personne la plus solaire de notre aventure (vous direz, vu la concurrence, c'était pas bien difficile).
- "Pleure un bon coup, ça ira mieux après", commentai-je en référence à ce qu'on répétait souvent à gauche à droite sans savoir de quoi on parlait. Très bien vu. Oh bien sûr tout le monde le dit sans savoir pourquoi ça fait du bien mais comme je suis généreuse je vais vous le dire, annonçai-je, surtout pour me faire mousser parce que j'adore dire des trucs intelligents que les uns et les autres ignorent. C'est parce que ça fait baisser la tension. Dans le cerveau, indiquai-je en pointant ma tête parce que je sais de source sûre que pas tout le monde dans l'équipe sait qu'il en a un et doit l'utiliser. Quand il surcharge c'est le système parasympathique qui ouvre les vannes pour éviter la surtension. Comme une cocotte minute, si c'est plus parlant pour vous.
Confer la réflexion précédente sur l'utilisation du cerveau des uns et des autres.
- Je savais que ça soulageait mais je ne savais pas tout ça, commenta Evangeline avant de toucher elle aussi le tableau de bord pour lui transmettre ce soulagement si bénéfique et créer la nouvelle commande adéquate.
- T'en fais pas trop, je pense que c'était aussi le cas des autres, lui répondis-je avant de tourner mon regard vers Leo. A ton tour, annonçai-je d'un air tranquille.
Leo, comme les autres avant lui, se lança :
- La tristesse est pour moi, une communication d'un besoin...donc la communication.
Il se répétait un peu et manquait clairement de l'éloquence de certains. Mais bon, c'était pas totalement faux. Mais s'il voulait vraiment aider les smileybots, il devait développer un peu quand même.
- Du genre ? le relançai-je d'un ton neutre.
- Tu sais tous les hommes ont des besoins à combler, reprit Mister Love en me faisant rouler des yeux intérieurement.
Sainte Patience, priez pour moi.
Est-ce qu'on avait vraiment besoin de parler encore des besoins physiques et probablement psychologiques de Leo ? Manifestement oui. Je prie mon mal en patience et le laissai poursuivre néanmoins :
- Mais certains de nos besoins ne sont pas satisfaits, donc on ressent de la tristesse. Mais on est trop orgueilleux pour l'exprimer, donc on refoule. Mais si on exprimerait la tristesse, on pourrait communiquer nos besoins plus facilement. Et la femme comprendrait peut-être mieux nos besoins a combler.
- Mouais, on repassera pour l'auto-centrisme, c'est bon, va toucher le tableau de bord, répondis-je pour éviter de le relancer sur ses visibles problèmes de couple car je n'étais pas venue pour les régler.
Leo ne se fit pas prier pour y aller, plutôt content, apparemment de toucher à la console. Dewenty l'avait été aussi - au moins ils avaient des points communs. J'avais presque envie de les voir se disputer la télécommande chez eux devant la télé le soir. Presque. Y a plein de boutons dessus, après tout.
Bref.
Leo toucha donc la console mais aucune nouvelle commande n'apparut. En revanche, le bouton central jusqu'à présent uniquement jaune se teinta de bleu. Ca avançait plutôt bien, mine de rien. Et comme j'aime bien surprendre tout le monde avec mes petits effets, je m'adressai ensuite à... Ralph.
- A vous. Epargnez moi vos discours et venez juste toucher le tableau de bord, commandai-je, pressée d'en finir. Sans lui taper dessus, cette fois.
Il eut l'air perplexe, ronchonna je ne sais pas quoi (et je ne veux pas savoir) mais obtempéra, sans doute parce qu'il se rappelait que seule moi pouvait le ramener à sa taille initiale.


Erwin Dorian
« If the crown should fit, then how can I refuse? »

Erwin Dorian

| Avatar : Rufus Sewell

Evénement #119 : Everything is Awesome [Fe] - Page 4 Vba9
- Pour ma victoire? C'est adorable, trésor... Même si en toute modestie, je dois admettre, qu'au-delà de cela, je suis un prestigieux modèle pour mes concitoyens"
(Alexis pense-t-elle qu'il est parti trop loin? Sûrement! On approuve)

Evénement #119 : Everything is Awesome [Fe] - Page 4 Sn0a
Evénement #119 : Everything is Awesome [Fe] - Page 4 Da6n
Evénement #119 : Everything is Awesome [Fe] - Page 4 W2ja

| Conte : Coeur de Princesse/Le Prince et le Pauvre
| Dans le monde des contes, je suis : : Preminger

Evénement #119 : Everything is Awesome [Fe] - Page 4 Hmch

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Evénement #119 : Everything is Awesome [Fe] - Page 4 _



________________________________________ 2020-02-27, 00:23 « If the crown should fit, then how can I refuse? »


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The reboot is awesome

Si Erwin avait toujours pensé que Storybrooke était un endroit étrange, tout ce qu’il vivait actuellement achevait de démontrer qu’il pouvait y avoir bien pire en matière d’étrangeté. Après tout, si on cherchait à tout récapituler, ils étaient voguant dans la tête d’un robot pour échapper à une tentative d’assassinat d’une multitude dedits robots...et actuellement en train d’appuyer sur une console hight-tech pour créer des émotions. Pour peu, il aurait pu croire surtout s’être téléporté dans le cerveau béat de Nick…. Mais aussi cocasse que cela puisse paraître, c’était la réalité. Et le toucher de la console ajoutait, créait les émotions au sein de l’être d’acier.
Erwin songeait à ce qu’il avait déclaré à Deborah Gust plus facilement qu’il l’aurait cru. Il n’était pas un fervent admirateur de la tristesse, il ne l’éprouvait pas, pensait-il. Du moins, il ne voulait pas le savoir. Mais il avait malgré tout de son vécu, de ses souvenirs, il avait apporté une pierre à cette édifice.
La nostalgie était quelque chose qu’il respectait et ressentait chaque jour. Il aurait préféré ne pas se livrer autant malgré tout mais que ces gens de peu de fortune s’estiment heureux d’avoir bénéficié de ses confidences.
A présent, c’était à Ralph de devoir faire acte. A vrai dire, Erwin personnellement se serait bien passé d’un don quelconque de cet énargumène. Mais l’idée de Deborah n’était pas si dénuée de sens.
Il observa ledit Ralph s’approcher du tableau, l’air plus calme à l’ordinaire, comme si toute sa colère s’était brusquement affaissée sur elle-même, engloutie dans les méandres de son coeur.
Malgré tout, la démarche ne pouvait tromper Preminger, visiblement cet homme n’était pas rassuré.
Et il se faisait à peine la réflexion que le tableau s’agrandit au toucher du jeune homme avec tous les boutons de la...peur.
-"Cela laisse sous-entendre que malgré ses fanfaronnades, son état d'esprit résulte plus de la terreur qu'autre chose.", commenta Erwin avec moquerie.
Souvent les plus effarouchés des adversaires tapissaient leur effroi derrière de pathétiques bravades. Lena n’en n’était-elle pas elle-même un flagrant exemple ? Tout aussi vite qu’elle les avait balayées d’un revers de main, elle n’avait pu les lui dissimuler. Il les avait vu grandir dans ses yeux autant que sa peur. C’était sûrement cet effroi qui l’avait poussée à outrepasser sa fierté mal placée pour bredouiller un misérable mot d’excuse à son intention. Ce qui l’avait contenté mais pas satisfait. peut-être avait-elle caressé l’espoir vain de le voir s’excuser. Ce qu’il ne ferait jamais non pas par orgueil mais pas réel manque de culpabilité. Il ne s’en voulait pas le moins du monde, en avait exulté même. Au moins cela lui avait-il permis de comprendre la réelle dimension de la jeune femme. Quand bien il la haïssait elle n’avait pas l’étoffe d’une rivale sérieuse, ce n’était qu’une babiole. De celle qu’il lançait à Midas autrefois pour le simple plaisir de voir son chien la malmener jusqu’à la déchiqueter. Une babiole qu’il mettrait en pièce lui-même. « Petite idiote ». Il s’interrogea sur l’émotion que le cadran indiquerait s’il avait posé à cet instant précis la main sur lui. Le mépris ou la haine ? Ou la jubilation ?
- C'est un classique, abonda Deborah le faisant revenir à ses préoccupations principales, Quand quelque chose nous fait peur on essaye souvent de le masquer en adoptant une attitude jugée plus virile, ou acceptable. Mais il y a vraiment de la colère en Ralph. Y a juste un peu plus en dessous. Cela dit je vous blâme pas, ajouta-t-elle en direction du sportif Etre dans un complexe robotique tueur, y a de quoi flipper.
Ce dernier ne daigna pas leur répondre, préférant croiser les bras en boudant. Les êtres comme Ralph, Lena ou même Léo étaient si puérils. Et ils s’indignaient toujours de la moquerie qu’ils provoquaient chez autrui.
Tout aussi révélateur qu’avait été le geste de Ralph, Erwin le trouvait néanmoins utile. La peur l’était.
- Au moins, en leur amenant la peur, nous amènerons la pondération dans les réactions des smileys-bots...enfin c'est à l'espérer!
On pouvait espérer qu’en en comprenant le concept, ils craindraient eux-même pour leurs vies. Si on pouvait le dire ainsi de robots. Deborah hocha la tête :
- Ouais, Peur pondère pas mal. Trop, souvent.
Visiblement c’était l’expérience qui parlait. Qu’était-ce d’avoirs des amis émotions ? Cela lui semblait si peu concevable. Si déraisonnable. Et pourtant…
- Et les connaissances en premier secours, poursuivait l’ancienne conseillère de mairie, Sait-on jamais, si déjà 9 personnes ensemble ont du mal à ne pas en venir aux mains, je demande à voir ce que ça donnera une fois le complexe rempli...
- "Oh ce n'est pas tous les jours qu'on retrouve une brochette d'individus aussi colorée que la nôtre, je ne parle pas de votre teint, ma chère, tempéra-t-il en plaisantant, Ôtée de quelques membres défectueux – qu’il prit bien le soin de toiser - nous nous en sortirions très bien.
Malgré tout, la joie, la peur et la tristesse, tout cela était bien joli mais cela demeurait bien incomplet. Il désigna la console d’un geste de la main comme pris d’une idée et d’une envie subite :
- Peut-être devrions-nous varier leurs émotions de quelques facettes, qu'en pensez-vous?
- Vous croyez que je l'avais pas prévu ? Il manque un TAS de choses, répondit la rousse en posant ses deux mains vertes sur la console.
Si bien sûr que si, il le savait. Une émotion, qui plus est, une émotion comme Deborah ne pouvait pas manquer de désirer le faire. Comment aurait-elle pu ignorer sa fonction ? Sa raison d’être-même.
Il aurait fallu être aveugle pour ne pas constater qu’elle en rêvait à la minute où elle avait aperçu le tableau de bord. Elle avait du...contrôler sa volonté pour en appeler d’abord à la Tristesse. L’abnégation. C’était bien un terme qui horrifiait le notaire. Une perte de soi. Mais cependant, il appréciait suffisamment le Dégoût s’il pouvait le présenter ainsi, pour lui en tenir rigueur. A l’inverse, il s’inclina vers le tableau pour observer les conséquences de l’action de la jeune femme. Conséquences qui n’avaient pas traîné. Parce qu’apparurent alors non pas un bouton mais toute la section « Dégoût » que Deborah s'empressa de checker à la vue d’Erwin qui en dénota un nombre considérable : ironie, sarcasme. Tout cela continuait encore et tout semblait lui convenir, à en juger par son air satisfait. D’un mouvement vif, elle tourna finalement la tête vers lui :
- Vous vouliez rajouter quoi, vous ?
Les yeux brillants de l’émotion démontrait sa félicité et il ne pouvait lui reprocher de l’avoir dévancé. Aussi ricana-t-il beau joueur :
- "Je ne m'en aurais voulu de vous voler la primeur de votre domaine... D'excellents choix... A cela près qu'il manque..
L’essentiel. Ce qui constituait son émotion principale et qu’il s’enthousiasmait de transmettre. D’un geste arrogant, se regorgeant de fierté, il se remémora toute l’admiration qu’il portait à sa propre personne, l’admiration qu’il portait à son intelligence, l’amour qu’il éprouvait pour sa beauté. Le tableau s’illumina et une nouvelle case apparu soudain :
- La fierté est une émotion précieuse... déclara-t-il avec suffisance, elle nous forme et nous instruit de notre destinée.
« Fierté » figurait à présent sur le compteur. Dans un sourire victorieux, Erwin mesura soudainement toute la puissance de ce jeu. Il lui suffisait de vouloir transmettre une émotion pour le faire, il pouvait tout faire… Sélectionner les qualités parfaites pour créer une armée de petits sbires idéaux. Que n’en n’avait-il l’occasion avec Nack et Nick !
- "A vrai dire c'est un jeu grisant...s’exclama-t-il d à destination de l’émotion verte, être comme Dieu pour ces êtres, décidant de leurs sentiments, de leurs émotions."
Il mourrait d’envie de recommencer l’expérience. De décider du Destin des autres.
- Et encore vous n'avez fait qu'ajouter des boutons, vous n'avez pas piloter le robot. Ca, c'est vraiment ouf. Comme les Sims mais en vachement mieux. Enfin bref, une autre fois. On va peut-être pas s'éterniser ?
Les Sims ? Il ne connaissait pas. Mais visiblement, Deborah comprenait cette sensation. Cette envie de contrôle. Cette possibilité de contrôle. Il garda dans un coin de sa tête, précieusement, l’idée du pilotage de robot…. Puis hocha la tête 
Il se mis a sourire
- Vous avez raison... Ne tardons pas ici, nous avons accompli notre oeuvre
Il était inutile de poursuivre des rêves de grandeur dans un format miniature à l’intérieur d’une tête de robot déconnectée. Le Monde l’attendait après tout.
Il s’éloigna de la console, à presque regrets cependant, chemin faisant avec Deborah lorsque cette dernière pivota vers le reste du groupe qui était resté sur place. Il ricana lorsque cette dernière claqua des doigts pour leur intimer de les suivre. Une vraie bande de manants… Evangéline avait des traces de fulgurance parfois, cela dit. Evangéline.La photo n’était pas bonne mais le tracé du monde des contes avait fait ressortir les similitudes... Ainsi, il avait fini par faire le lien avec la photographie entre-aperçue dans le salon de son homme de main. . Rien que de l’imaginer avec Gajeel confirmait que la malédiction avait fait un étrange choix en liant faussement ces deux-là par le « sang ». Elle n’avait pas de réels points communs avec son frère factice, d’ailleurs… Il se promit de l’interroger sur le type de lien qu’elle parvenait à entretenir avec lui.
- Vous fatiguez pas, déclarait- en parallèle Deborah aux mini-smiley-bots qui avaient fait mine de les suivre, on trouvera la sortie.

- Alors. alors... vous roucoulez bien, je constate..! »
Il n’avait pas pu s’empêcher de le faire remarquer à voix haute. A la différence de Lena dont il tolérait la présence divertissante au regard de leur haine réciproque, la vue de Leo lui était tout bonnement odieuse. Ce dom Juan de pacotille et ses dialogues sucrés sur l’amour lui le multiplieur de conquêtes!
Trop naïf cet imbécile eut encore le culot de lui répondre:
- '' Ca serait encore mieux si je pourrais roucouler dans ma chambre, cette chambre que je n'ai pas eu le temps de voir, et vous dommage que Georgia ne soit pas là, pour vous roucoulerez aussi ''
S’il n’y avait pas eu la fin de la phrase, le notaire aurait ricané à la barbe de ce coq de basse-courte s’en serait arrêté là..
Déjà qu’il avait sous-entendu qu’il était venu ici en compagnie d’une maîtresse imaginaire !
- Je ne vous permet pas de prononcer le prénom de mon épouse claqua t il avec hauteur. Ce que je fais ou ce qu’elle fait ne vous regarde en rien. Pas plus que son absence
L’énergumène le qualifia d’un sourire confus puis avança jusqu’à sa hauteur en murmurant : - Moi je vous permet plus de manger des tartes avec la mienne. Mais cessez votre crise de jalousie. Vous savez j'ai compris qu'elle vous aime Georgia. Et j'ai Dewenty maintenant dans ma vie..Donc Georgia et moi c est de l histoire ancienne on est juste amis.. par contre je crois sincerement qu elle voudrait qu on s accorde ..
Preminger se retint de rire méchamment. Si son regard avait pu tuer, il l’aurait fait:
Ma femme et vous ce n’est pas de l’histoire ancienne, ça n’a jamais existé. qui serait assez sotte pour préférer un autre que moi? En revanche je me moque éperdument de ce qu’elle souhaiterait que nous fassions.
'' Vous etes un cas desespéré mon cher, j'espere sincèrement qu'un jour, vous allez realiser que Georgia a beaucoup plus de valeur que vous le croyez. Si seulement vous pourrez la traitrer comme une couronne. Il n a pas juste vous dans votre couple Erwin. Moi je vous aimerais plus si vous pensiez plus a elle. Au faites, elle va venir a mon mariage le jour venu..peut-etre voudrez vous venir pour voir la vraie notion de l amour.
Y avait il un prix pour déblayer autant d’inepties en si peu de temps ? Des concepts aussi vides de sens ? Sans compter qu’il n’avait pas mandaté de conseiller conjugal et n’aurait jamais choisi cet ignorant méprisable
- «  je connais parfaitement la valeur de ma femme. Vous l’avez dit vous même: c’est une couronne.
Il se mis sourire méchamment. L’exacte vérité ni plus ni moins. Mais subtile. Il reprit sèchement :
- -Gardez pour vous vos remarques aussi misérables que votre personne et faites une croix sur la présence de mon épouse à votre pantomime de mariage..
Leo avait serré les dents captant l’allusion a la couronne:
- J'ai promis a votre femme de ne pas vous taper, Mais sachez qu'on peut etre Roi sans couronne . Je suis Roi et je n'ai pas besoin de couronne, parce que ma plus grande richesse est l amitié, l'amour , cette femme. Il avait pointé Dew de la main. Et notre futur bebe..Dommage vous voulez mettre une croix sur mon invitation, moi qui avait envie de vous offrir un role de grande importance. Meme essentiel pour mon mariage. Et Georgia serait tellement fiere de vous.
Cet homme était tellement abject. D’une arrogance mêlée de bêtise. « Je le ferais exécuter » il ne valait même pas la peine de s’amuser avec lui a le torturer comme pour Léna. Il n’y trouverait aucun plaisir. Tant pis pour lui. Il recevrait ce qu’il aurait semé. L’inviter à son mariage ! Se détournant avec dégoût de Léo, il rejoignit Déborah en tête de cortège pour les derniers dix pas le séparant de la sortie.

Le trajet s’était écoulé presque plus vite que l’aller mais cela était sûrement causé par l’absence d’appréhension à présent que le pire était passé. Fermant les yeux pour se protéger contre la lumière éblouissante de l’extérieur, Preminger sentit le changement avant même de l’apercevoir. Son authentique corps avait disparu, emportant avec lui les vestiges de sa coiffure immatriculée. Retrouvant son costume moderne, loin de la grandeur de la Cour. Il pinça les lèvres. Dommage. Mais à quoi s’attendait-il après tout ? Tout le monde était redevenu tels qu’il les avait connu auparavant, humains, vêtus de leur tenue initiale...mais toujours aussi petits. L’herbe les dépassait, les dominant en taille et le moindre zéphyr devenait bourrasque.
- C’est toujours douloureux de quitter son ancien soi..." commenta-t-il avec dépit avant d’envisager les environs… Les smileys-bots sont-ils toujours à distance ?
Il doutait que le sort de ce piètre magicien puisse perdurer à leur disparition…
- A qui le dites vous... Ils doivent être, proportionnellement à nous, très loin de nous, fit Deborah lui donnant ainsi tort. Mais il faut qu'on s'éloigne suffisamment de la tête de robot avant que je nous redimensionne. Sinon on risque de l'endommager.
- "Cela serait déplaisant de s'être donné tant de peine en vain" Acquiesça Erwin avant de sourire "Dommage que l'on ait pas des bottes de sept lieux avec nous."
Lesdites bottes leur auraient évité les deux cent mètres qu’ils durent parcourir pour se trouver à une distance raisonnable de la tête de métal… Une simple enjambée.
Visiblement, Deborah sembla juger se trouver suffisamment éloignée car elle brandit bientôt la télécommande vers sa direction :
- Allez, j’suis sympa, vous pouvez appuyer.
Cela devait consister en un sacrifice considérable pour une personne qui aimait se mettre en valeur que le notaire l’assimila à un acte d’amitié. Il était bien trop malin pour le refuser, aussi bien différemment l’accepta-t-il :
- "C'est très gracieux de votre part, Deborah!" déclama-t-il en offrant à l’ancienne émotion verte son sourire le plus suave avant de s’emparer de la télécommande.
Une fois encore les diverses couleurs qui la composaient attirèrent son attention et il s’interrogea sur les conséquences de ses actions s’il venait à en actionner une couleur à dessein. C’est tentant. Mais complément hors de question au regard de la situation critique dans laquelle il se trouvait toujours. Hors de propos, donc. A l’inverse, demeurait le pouvoir absolu de modifier l’apparence de chacun.
- Mes très chers sujets...commença-t-il, Je nous renvoie à notre état initial !
Et joignant le geste à la parole, il pressa le bouton droit blanc d’un geste vif. Tout cela était sûrement un peu grandiloquent, mais Preminger n’avait jamais apprécié la simplicité. Tout était prétexte à moment de gloire et pourquoi se serait-il refusé celui-ci ? Il savoura son petit effet en sentant son propre corps grandir, grandir, jusqu’à regagner sa taille. Intact.
Deborah n’avait pas perdu de temps et avait déjà ramassé la tête décapitée du smiley-bot et s’affairait à la reposer sur le corps inerte du robot.
En l’espace d’une seconde, confirmant la théorie des nano smiley-bots, la tête se ressouda parfaitement au corps dont elle avait été extraite. Comme si jamais elle n’en n’avait été ôtée. Détournant son regard de Deborah qui trifouillait encore à l’arrière du robot, Erwin le portant sur la machine, pour croiser subitement son regard. Le smiley-bot se réveillait déjà, une « happy face » sur l’écran qui le tenait lieu de visage, comme si rien n’avait eu lieu.
- "Hum.... En voilà un qui n'a pas perdu le SOURIRE" déclara Erwin.
Il l’avait déclamé d'un ton badin mais en haussant la voix pour alerter Debbie, "Quoique vous fassiez Deborah, n'aurait-il pas été plus efficace de le faire AVANT? "
- Absolument pas; Vous avez déjà fait une mise à jour sur votre ordinateur ? Demanda la voix de l’émotion à moitié dissimulée derrière le smiley-bot.
Elle cherchait visiblement quelque chose à l’arrière du robot. Preminger évinça sa question en haussant les épaules:
- "Généralement, je laisse faire les professionnels, le matériel informatique d'une étude notariale est assez technique. Mais je sais en quoi cela consiste...Et votre but. Vous voulez réinitialiser notre cher ami avec nos nouveaux paramètres."
- VOILA, c'est APRES la mise à jour qu'on redémarre la machine, pas avant, sinon ça sert à rien.
Le notaire fit le tour de la machine circonspect. Tant que le vent tenait les autres à distance, la menace était éloignée et l’objectif était tout autre… Il baissa la tête, pour rejoindre l’examen en cours qu’effectuait l’émotion rousse.
- "Je ne suis pas un expert en la matière mais je m'en voudrais de ne pas contribuer à ce succès. Sauver le monde, sans c'est toujours bon pour l'image, n'est-ce pas? "
Il n’avait pas de réelle intention de le sauver lui-même. Mais le simuler aux autres suffirait.
- Il parait. Faut juste penser à ne pas être dans l'excès ensuite. La fausse humilité ça marche bien.
- Je sais... Je pratique assez couramment, chuchota dans un petit rire.
Il avait eu de nombreuses années de pratique dans ce domaine, il pouvait l’avouer sans honte. Des années à feindre le dévouement le plus total au royaume tout en participant à sa ruine. Et sa chère épouse n’avait jamais décelé le moindre vice ni la moindre fourberie dans ses courbettes et ses loyaux services de ministre.
En attendant, cela dit, rien ne ressemblait à un bouton sur le fer qui tapissait le squelette du robot. Et le savoir conscient n’aidait pas la tâche. Un geste déplacé de l’un ou l’autre ne risquait-il pas de provoquer chez l’être métallique une réaction dangereuse ?
- "Si vous voulez mon avis, on place généralement le centre de tout être..., à l'endroit de son coeur. Peut-être pourrions nous tout bonnement lui demander où trouver ce que nous cherchons?"
S’il parvenait à manipuler suffisamment le robot, lui fournir cette information capitale de lui-même permettrait sûrement d’éviter une erreur de manipulation.
- Votre idée, vous demandez, se borna à rétorquer Deborah.
Peut-être craignait-elle la réaction du smiley-bot ? Avec n’importe quel autre que lui aux commandes, il lui aurait donné raison si aisément… Mais avec lui.
Il s’écarta de la machine d’un pas, se redressa de toute sa hauteur royale, levant le menton avec toute l’arrogance qui seyait à son rang, puis claqua des doigts deux fois 
"Oh... Oh...Smiley-bot!"
A sa grande satisfaction le robot pivota vers lui. Portant sa main sur son coeur, il déclama, chantonnant presque :
"Sais-tu ce qui contribuerait grandement à mon bonheur? Me ferait EXCESSIVEMENT plaisir?"
- Non mais j'adore les devinettes. Vous voulez me faire une charade ou bien me donner la réponse directement ?
Il hésita un bref instant. Tout en lui lui conseillait de ne pas s’encombrer en palabres mais Preminger ne disait jamais non à l’occasion de faire un bon mot et moins encore à l’occasion qui lui permettrait de briller en société, aussi s’exclama-t-il mimant l’enthousiasme :
"Hum... Voyons "Mon premier est un adverbe, mon second indique le Temps qui passe, mon Tout est un organe essentiel à tout organisme vivant. Je veux localiser le tien"
- Le coeur ! Répliqua le robot avec une intonation qu’Erwin identifia comme de la joie.
Un fin sourire victorieux glissa sur les lèvres du notaire, qu’il effaça pour laisser place à un émerveillement factice :
- Merveilleux! Quelle prouesse" Applaudit-il en battant des mains d'un air extatique"Tu peux te vanter d'être plus fin qu'une certaine personne de ma connaissance! Je suis sûre qu'elle n'a pas compris. Bien... Où est le tien?"
- Je n’ai pas de coeur. Je suis un robot…
La réponse crispa légèrement les muscles du visage d’Erwin. Ne pas cesser de sourire… Evidemment, cela aurait été trop facile. Comment les machines pouvaient-elles appeler ça…
- Mais tu as bien un centre de données non? Une batterie, quelque chose qui s'en approche?
- Nous fonctionnons à l'énergie solaire que nous stockons pour quand il n'y a pas de soleil.
« Stupide machine...Ce n’est pas ce que je te demande ! Je me moque de comment tu fonctionnes ! » Il inspira profondément, ravalant sa colère derrière un simple éclat, si ce n’était pas cela...c’était donc…
- "Tu as bien un "bouton reset" non?"
- Oui
Il ne devait pas céder si près du but, pas maintenant. Ne pas se trahir, ne surtout pas se trahir face à un ennemi si proche. Mais c’était facile n’est-ce pas ? Il était Preminger, Roi, Ministre, Notaire, Ambassadeur… Il était la Perfection ET sentait la victoire proche, si proche.
- "Ou se trouve-t-il Peux-tu nous le montrer? Exigea-t-il dans un sourire entendu ; J'ADORERAI voir comment ton créateur l'a agencé"
Le robot esquissa un geste… faisant pivoter une de ses jambes. Le notaire se pencha pour en observer l’intérieur. Dans la pénombre… Se trouvait un bouton. « RESET  OFF/ON» était indiqué.
Le sourire d’Erwin s’élargit, sincèrement, et ses yeux pétillèrent de satisfaction. Il l’avait fait, il avait gagné.
- "Ah! Awesome! Tellement soo easy"
Et il appuya sur OFF. Puis leva la tête pour en constater l’effet. Qui fut immédiat.
L’immense nuée de robots suspendue dans les airs par l’action de Léo fut secouée d’un bloc. Puis retomba subitement comme un torrent dans la tempête de vent. Un à un, les robots se désagrégèrent, heurtant le sol comme de vulgaires morceaux de métaux sans vie, sans âme propre. La plupart virvoltèrent dans la tempête, ballottés comme des feuilles, disparurent. Le complexe et les nano-bots partageaint le coeur de l’établissement, en éliminant l’un, l’autre avait suivi. L’atmosphère aussi avait brutalement changée. Plus...froide. Plus vide. Sans âme, sans vie propre. Un simple local aux courants d’air, inhabité, désert. Comme si tout ce qu’avait été le complexe avait été subitement réduit à néant en l’espace d’une seconde. Ne restait que le silence et des lieux désolés.
Face à cette immensité mutique, Erwin mesura encore l’impact de son seul geste. C’était une sensation des plus grisantes… Et avec une impatience plus grande encore, il appuya une nouvelle fois.
« RESET ON »
Ce fut comme un frémissement… Puis comme la clameur du vent… Une nuée de petits éclats qui flotta dans l’espace tout frémir autour d’eux, autour du complexe, autour des lieux… Les smileys-bots revenaient à la vie… Se reconstituaient. Ils se soulevèrent puis se dissipèrent bientôt partout, dans les lieux. Pour les investir, les réaminer, les faire revivre. Le complexe se réveillait. Toute la saveur qui avait subitement été chassée de cet endroit revenait à elle.
- Moteur et action ! s’exclama Erwin avec orgueil tout fasciné par le spectacle qu’il avait créé.
- Et ça tourne ! Répliqua Deborah en lui faisant un clin d’oeil.
Graham semblait conquis, émerveillé. Ses yeux semblaient contempler la 8ème merveille du monde en dépit du fait qu’elle se tenait un peu à côté de lui…
- Wahou Souffla Ryan presque bouche bée.
Oui c’était un des plus beau spectacle qu’il lui avait été donné de contempler. Fascinant.
Mais il ne fallait pas qu’il ait eu lieu pour rien
Erwin s’avança vers le smiley-bot d’un air perplexe. Il devait fonctionner. Il le fallait ! Mimant soudain une terreur fidèle, il tendit le doigt vers le champ derrière le robot :
- « oh ciel! N’est-ce pas le potager qui brûle la bas!!! » s’exclama-t-il de mon meilleur ton catastrophé savourant toute la fausse détresse de sa voix.
Le robot se tourna lentement pour observer l’endroit désigné par le notaire. Et ne vu rien. Il se retourna très retourna très lentement vers Erwin et demanda
- : Est-ce que vous me prenez pour un débile ou pour un aveugle ?
- « Oh peut-être les deux...Techniquement tu n’as pas de globe oculaire» ricana le notaire pour toute réponse avant de se retourner vers Debbie narquois « Visiblement, ça a fonctionné..même si je préférais leur ancienne déférence »
- Comme disait Mick Jaegger : on peut pas toujours avoir c'qu'on veut.
Merci mais il devait poser un démenti à cette affirmation! Il avait toujours ce qu’ils voulait. Ça ce saurait si Mick Jagger avait des talents de philosophe
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Lena Davis
« J'ai pas trouvé où on peut demander un rang personnalisé... ! »

Lena Davis

| Avatar : katie mcgrath

Evénement #119 : Everything is Awesome [Fe] - Page 4 Cizv
Je te jure, je me sens tellement mal de t'avoir amenée inconsciemment dans cette histoire.
Evénement #119 : Everything is Awesome [Fe] - Page 4 Hf3k
Par delà les apparences...

Evénement #119 : Everything is Awesome [Fe] - Page 4 Zv9r

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Evénement #119 : Everything is Awesome [Fe] - Page 4 _



________________________________________ 2020-02-27, 23:28


Everything is awesome

Lena & les autres

Du bonheur vous avez dit ?



J’étais fatiguée. Fatiguée d’être ici, fatiguée de me battre sans fin contre cet imbécile et surtout j’avais encore la joue douloureuse. Une chance que le fond de teint existe, ça m’éviterait de répondre à dieu seul sait quoi comme question une fois de retour à Storybrooke. Bref donc vous avez saisi qu’on a quitté la tête du robot et qu’on a retrouvé nos tailles normales ? C’est bien, vous êtes bien moins stupides que l’autre nunuche qui se croit notaire.

Mes lunettes de soleil sur le nez, je ne quitte pas le robot des yeux. Levant les yeux au ciel à certaines remarques d’Erwin, je finis par m’approcher du robot. J’avais envie de voir si toutes ces sois-disant émotions fonctionnaient vraiment chez lui. On allait faire mumuse avec la colère. Et c’est que ça t’amuse en plus. Oh mais ferme là toi.

« Dites les robots, votre complexe est finalement pas si sympa que ça. Je dirais même que j’ai vu mieux ailleurs. Concrètement à côté des spas auquel je suis habituée, votre complexe s’est tellement du bas de gamme. »

Je ne savais pas vraiment quoi dire pour le mettre en colère mais s’attaquer au complexe en lui-même était sans doute l’une de mes meilleures possibilités. Les bras croisés sous la poitrine, je toise le robot de haut, un petit sourire mauvais sur le visage. Mon dieu, je commençais à devenir cette vieille bique de Lois Davis. Moi qui prie toujours le ciel pour ne pas ressembler à ma famille adoptive…

« Je suis triste d'apprendre que vous pensez cela et je vous promets que nous allons tout faire pour nous améliorer. Voulez vous nous donner des conseils plus précis ? »

T’es pas hyper crédible en méchante tu sais Lena. Ton frangin est bien plus opé’ que toi. Ferme Ta Bouche Bordel.

« Eh bien vous devriez avoir des salles d’eaux thermales d’encore meilleure qualité. La salle de sport devrait être encore mieux équipées et vos douches revues à la hausse. et je ne parle même pas du choix de la clientèle. » continuais-je en posant mon regard sur Erwin avec un sourire narquois. « Il y a encore tellement de choses qui devrait être revues. Je qualifierais cet endroit de piteux endroit plutôt que bon endroit. Vous êtes mauvais mais bon, c’est sans doute pas de votre faute. » « Je prends note de vos conseils mais je trouve que vous avez une façon un peu méchante de les donner. » « J’ai été élevée comme ça que voulez vous. J’ai toujours eu tout ce que je voulais alors je n’hésite pas à donner mon avis et à me montrer directe et peut être méchante mais c’est pour la bonne cause. »

Quelque chose au fond de moi me disait que tout cela ne me ressemblait aucunement. Peut être que la présence de cet idiot me poussait dans mes retranchements. Peut être que sa gifle m’avait fait comprendre que je devais me montrer un peu plus « Davis ». Après tout, je le savais que je pouvais être aussi cruelle que mon frère. J’étais assez maligne pour arriver à mes fins. Mais il est vrai que me montrer méchante, ne me ressemblait pas et pourtant, cela fonctionnait. Il tombait dans le panneau. Je voulais le conduire au delà de ses limites pour voir jusqu’où sa fameuse colère pouvait aller. Un peu comme je l’avais fait avec mes parents adoptifs par le passé.

« Je ne suis d'accord qu'avec l'affirmation suivante : vous êtes méchante. » énonce le robot alors que sa tête montre un smiley qui tente de rester zen. On notera quand meme que y’a du changement, c’est pas plus mal dans un sens finalement. Je pousse un soupir avant de reprendre la parole. « un des méfaits de la famille encore une fois, j'ai tendance à avoir une facilité à être trop franche mais tu ne sais pas ce qu'est la méchanceté. » là j’étais au minima de ce que je pouvais faire niveau méchanceté. « Tu veux que je te montre à quel point(g) tu as tort ? » et il a l’air de plus en plus angry.

« Si tu crois que tu me fais peur ? »
Lena tu devrais arrêter là. Mais il n’est pas arrivé au delà de ses limites, laisse moi tranquille. Le robot se désagrège et m’entoure des mini bots qui le constituaient. « On va peut être arrêter de tester maintenant, non ? » « C’est dommage, ça commençait à devenir amusant. Mais souates, arrêtons là. Par moment j’ai vraiment l’impression d’avoir le virus de la famille… » soupirais-je finalement.

Je reprenais pied et je me rendais toute de même compte que j’étais allée un peu loin. Mais je crois que pendant une bonne partie de cette « aventure », j’avais enfoui une bonne partie de mes émotions au fond de moi et que d’une manière ou d’une autre, je m’étais amusée à ressortir tout cela en poussant le robot à bout.

« Au moins, on sait que la colère, ça marche chez eux maintenant. » « Et donc après cette démonstration, je dois croire que ces robots ne sont plus dangereux ? » demande Ralph, super sceptique. « Même mon IA Hope pourrait se montrer plus aggressive que ces robots Ralph. » « Vous aussi vous êtes en colère des fois non ? Mais c’est pas pour autant que vous tuez la moindre personne qui vous met en colère, pas vrai ? Bah eux pareil. J’dois dire que même moi j’avais envie de frapper Lena tellement son test m’agaçait. Et puis de toute façon, pourquoi vouloir vous en prendre à ces robots qui ne se rappellent même pas de vous ? » « Pour ma part, j’aurais déjà enterré vivant cet abruti fini si je me laissais aller à ma colère. Et mon test n’était pas agaçant, il était amusant. J’avais envie de voir leurs limites. »

Je respire longuement.

« Mais merci de m’avoir arrêtée, j’aurais été capable d’aller trop loin. » « Y’a vraiment pas de quoi, t’avais atteint les miennes de limites, déjà bien éprouvées par un tas de personnes par ici. » « Mais je me suis rendue compte que je commence un peu trop à ressembler à ma famille adoptive quand je m’y mets et j’avoue que c’est genre pas awesome du tout. » « Ça a pas l’air, ouais. Bon, on passe aux présentations au lieu de faire mumuse peut-être, non ? »

Oui, c’est vrai que ce serait plus judicieux, même si tête de serpillière n’avait pas besoin de se présenter, on sait déjà tous de qui je parle.
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Loke Lionstar
« Tous les hommes sont des imbéciles »

Loke Lionstar

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| Conte : Manga Fairy Tail
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________________________________________ 2020-02-29, 04:09 « Tous les hommes sont des imbéciles »




Everything is Awesome

«  Ne mettez jamais la clé de votre bonheur dans la poche du temps , ni dans la poche de ses ex . »


Cerveau du robot 


Avez-vous déjà visionné le manga  Fairy Tail ? Pas besoin de regarder l'intégrale du dessin animé. Mais si vous me connaissez , vous savez que je possède de longues..très longues jambes. On pourrait même dire que je suis le plus élancé de la Guilde. Mon frêle de chat avait ses avantages, comme celui de courser avec mes enfants adoptifs pour dénicher le trésor, malgré la pause a la course  pour un arrêt la bibliothèque  interne.  Je gardais mon objectif en vue : ma récompense.  Ce fameux baiser promis m'emballait, comme toutes les gateries que ma future femme pouvait m'offrir. Et me donnerait dans un avenir proche.  Mais malheureusement encore un bien émotionnel que Patience allait me dérober, car  Patience avait auditionnée pour un rôle a jouer dans ma destinée. Mais c'était  un chapitre qu'on verra bientôt a l'affiche..Patience aurait un impact.  Ne pouvant pas en vouloir a Bebe Poison, car la synchronisation avait amadoué a mon karma. Mais j'avais quand meme un coup de blouse. Mais je pouvais que maudire le temps.. car quand nous avons découvert le trésor. Qui s'avérait être une console , un tableau de bord.  Bebe Poison, s'était précitée sans retenue sur le bouton . Oubliant sa promesse et mon existence.  Mais difficile de lui en vouloir au présent,  quand elle était  pétillante de vie.  Et qu'elle se comportait comme une gamine.  La voir lumineuse ,  faisait de moi , un homme sans mot pour la décrire , car a cet instant mon coeur faisait boom-boom a cause de son aura céleste.   

Mais ce moment fut obscurcit par une certaine révélation verbale sur cette meilleure amie si parfaite.  Dose de jalousie ! Et je continuais ma descendante tenebreuse a cause de  cette mystérieuse manifestation sur le tableau de bord  quand mon tour était venu.  Sans explication de Miss émotion trop occupée a gérer  le groupe .  J' avais percu cette réaction du robot comme un échec.  Et  ce ressenti de  faiblesse m'avait envahi tout le long de la suite des événements.. Je me sentais comme un minable, comme cet homme sans gloire et avec la conversation entretenu avec Erwin j'avais essayé de remonter mon estime de moi-même mais sans succès.  Je regrettais presque que ce n'était pas Georgia. Elle qui était un plier de soutien dans ma vie, comme Jacqueline et Aisha.  Je voulais qu'on me réconforte. Qu'on m'encourage a ne pas lâcher prise alors qu'on était presque qu'à la fin de cette aventure . Mais Dewenty dans cette histoire ?  Elle voyait que la détresse de sa meilleure amie. Et non la mienne.  Cette fille semait en moi un papillon qui allait enfanter un nouvel homme , car je n'avais plus le contrôle de mes sentiments. Je ne savais plus comment les gérer.  Et le seul moyen de me débarrasser de cette négativité qui m'empoisonnait , car je me sentais terni . Et pour ceux qui me connaissait réelement s'avait que je ne pouvais tolèrer autant de noirceur dans mon être. Et que je devais rebondir. Et pour le moment tout ce que je voyais pour me sentir mieux était  me débarrasser de mes émotions, j'étais dans le deni de certaines choses dans mon couple.  

Post Erwin et Lena 


Sortie de la tête du robot.  Tout était redevenu a la normale le bon endroit,  notre apparence , notre taille. On était toujours nous-même.  Mais la tenue de Dewenty, malgré sa couleur me manquait. Heureusement,  j'avais photographer celle-ci dans mes souvenirs, car je savais que je n'aurais aucune chance de revoir Poison Bébé.  

Le reste des événements était observation. Et d'un silence complet pour moi. Attentif a l'acte héroique d'Erwin, malgré cette attitude nombrilisme et narcissique. Il pouvait être fier, il pouvait se considérer comme un héro dans cette histoire. Mais si il lisait mes pensées a cet instant. Il aurait sans doute un air dégout de dessiner sur le visage. Parce que tu es un héro tu as le devoir de te soucier de l'autre. Et c'était peut-etre ça la source de mon malheur, ma dépendance.  Le fait de me souci de son bonheur que ca détruisait le mien.  Peut-etre je devrais me faire rebooter et devenir comme cet homme.  Me soucier que de moi ! Ses sombres pensées étaient chassées quand  Lena se comportait avec une attitude qui me restait au travers la gorge ,  envers ce robot .  Mais ce n'était pas intervenu, car elle était peut-etre comme moi.  Fatigué de ressentir des émotions haut en lumières. 

Moment présent 


On reprend ou en était sur une parole de notre émotion favorite:  Ça a pas l’air, ouais. Bon, on passe aux présentations au lieu de faire mumuse peut-être, non ? 

Mumuse.  On était venu pour cela non ?  Essayant de me remotiver pour me prouver que j'étais capable d'accomplir une victoire parmi mes défaites. Je pouvais une question qui allait encore secouer ma fragilité  -Pourquoi vous voulez faire des présentations ?- Pourquoi ? Parce que ces robots ont été rebootés. Ils savent pas qui on est surtout ils doivent se demander ce qu'on fait dans leur village de vacances et SURTOUT pour une inconnue les a mis en colère. Mais si ça t'intéresse pas, je te retiens pas. Va; viens et deviens.  Si j'aurais des souvenirs d'une certaine malédiction, mais le seul souvenir que j'en est gardé était une armure que je n'avais vu qu'une fois, durant le séjour a Castle Rock.  Si j'aurais le vécu imprégné de cette malédiction dans ma mémoire ,   j'aurais pu comprendre plus rapidement le cernement de cette demande  et j'aurais m'épargner cette agression verbale a cause de ma question stupide.  Mais je savais qu'au fond d'elle , malgré ses piques , elle n etait pas méchante, elle appuyait ou ca faisait mal. Dans mon estime de moi,  pour me pousser a réagir.  Oui j'avais du mal a réagir, car  je me sentais consumer par ma réalité .  Mais surtout parce que je me sentais étouffé par des têtes fortes, que je me soumettais a ce rôle étiqueter par ma femme.  

Respirant un bon coup, car j'étais sur le bord d'une crise colérique et de montrer les crocs. Je refoulais ma colère. Je refoulais toujours. Mais un jour, j'appuyerais sur mon bouton rouge, intérieur. -Au contraire de vous pouvez penser Madame. Ca m'interresse les présentations si ca peut les aider Oui cette cause me tenait a coeur, car eux et moi nous étions semblables . Donc l'émotion avait du mal a cerner le fond de mes pensées.  Et éviter qu on frole une autre catastrophe parce que j'aimerais bientot retrouver la tranquillité, et profiter du bon endroit.  Besoin de ventiler, car n'allait bientot craquer. Et il était hors de question que je fasse un mélodrame et que je tombe en larmes. Bah alors vas-y, à toi l'honneur. Explique leur qui nous sommes et pourquoi on est là.

M''approchant  du robot d'une démarche amicale  -  Tu sais il faut tu lui pardonnes a la demoiselle. Elle ne voulait pas être méchante avec toi . Aujour dhui, les dames ont tous un caractère de femmes badass . Et Aujour dhui les hommes de mon genre était voué a ne plus avoir aucun pouvoir sur  la culotte du couple.  L'image de la Princesse n'existait plus.  Si seulement Dewenty pouvait  faire semblant de l'être. Je pourrais lui démontrer que je n avais pas besoin d'être un autre , pour être son male alpha. Je me sentais comme Erwin, un Roi qui portait que la couronne , que pour m'assesoir sur le trone a son coté.  Moi c'est Leo , et eux se sont mes amis..Tu as Deborah,  Lena ,  Erwin, Evangeline, Graham , Ryan , Ralph  et Bebe . Je  lui disais  tous nous pointant . Et toi tu as un prenom ? 

 Je suis un robot mais je suis content de vous connaitre tous. Être un robot ce n'était pas une reponse suffisante pour moi. C'était comme si je disais que j'étais un Esprit céleste. Et être un esprit ou un robot c'était être un bien pour une personne. Non les robots méritaient un prénom. Surtout que c'était des êtres avec des émotions, maintenant.  Il allait me valoir l'adresse de leur fabriquant pour qu'on est une discussion, car ses robots devaient avoir un prénom.  
Le robot  avait  une smiley face vraiment tres tres contente. Il était trop mignon ! Aussi mignon que Sparkle.  Nous aussi on est content de te connaitre robot . Je lui disais pour le rassurer mais encore une fois le fait qu'il n est pas de prénom me dérangeait fortement. C'était comme appeler son enfant.. Enfant. Mais encore une fois, je me confiais a personne, car les gens allaient sans doute me juger. Je continuais donc ma discussion:  Tu dois te demander qu'est -ce qu'on fait ici n'est-ce pas ?Effectivement. Tu es très perspicace.  Merci. On est des vacanciers. On a recu une invitation  pour venir au bon endroit . Vous y êtes. Bienvenue au Bon Endroit. Le prochain séjour sera payant. Pas une invitation.Merci j'en prend note .  Par curiosité c est combien le prochain séjour pour un couple ?  Oui il fallait que je le sache, car cet endroit était quand meme symbolique pour moi. C'était ici , dans leur magnifique jardin que j'avais demandée la main de Bébé Monstre. Ce n'était pas une demande princière ! Mais la femme d'Aujourd'hui n'ont plus besoin de Princes non ? Elle veule un homme moderne, alors je lui avais une demande moderne..  Une demande de Starlette.  Parce que je me cherchais une idée bête pour lui démontrer que j'existais !  Que je voulais briller dans ses yeux.  Mais malgré ma modernité soudaine, au fil des années mon romantisme n allait pas mourir. Je pourrais venir ici pour une nuit , et mettre le genou a terre chaque année..  100 dollars la nuit. Sans le petit déjeuner inclus.  Merci petit robot.  Me retournant  vers les autres : Vous avez des questions a poser aux petits robots ?  Ralph qui avait  toujours pas l'air super zen ni avenant disait : Moi j'en ai une mais elle est pour Deborah. Pour lui repondre , Miss emotion lui disait : Eh bien Deborah est là, pose ta question. Ralph enchainait et puis Debbie: Pourquoi vous avez dit que c'était LEUR endroit ?Oh j'sais pas, sans doute parce qu'ils SONT littéralement l'endroit. Quelqu'un d'autre à une question 

En effet j'avais une question , cette question qui me hantait et brulait mes lèvres : Oui moi j aurais une pourquoi le tableau de bord a réagit différa-ment a moi ? Et elle repondait : Parce que tu as parlé de la communication par la tristesse. Mais la communication n'est pas que liée à la tristesse. Y avait déjà un bouton communication, vu que c'est un peu la base. Tu as amélioré cette commande. Tu devrais trouver ça cool. Sortir du lot, en général, les gens aiment bien.  Finalement je n'avais pas échoué.  Et j'avais trainer cet émotion comme un fardeau . Ayant un large sourire a ,mes levres. Prenant mon air fier de d'habitude :  Merci de l'explication, c est vrai vous avez raison en general les gens aiment  sortir du lot. Je ne suis pas une exception, j 'aime bien briller dans les yeux des autres.. Si j'ai pu aider ses robots, j en suis content.c est comme voir son enfant grandir.   Tu les as aidés.   Je n'étais peut-etre pas une tête glorieuse de cette quete, car je n'étais pas le mec celebral,  mais avoir eu la chance de la considerer comme mes enfants , d avoir été un père , car leur créateur avait été là pour que les créer mais il n avait jamais servi de modele mais  les avoir permis de grandir , me donnait de la valeur. Et il restait le souci de prénom..  Mais c'était un peu déplacé de demander l'adresse de leur créateur.. 

Donc en tant que Chevalier , ma quête était presque achevée. Il me restait a défier le monstre qui m'empêchait d'atteindre le bonheur.  Patience , car je deviendrais encore attendre, que ma Reine se libère de son emprise sociale.  Malgré le fait , d'être entouré . D'avoir de la bonne compagnie.  Il était temps pour moi de vous abandonner , car j'avais eu ma dose du gang awesome, mais aussi des autres vacanciers.  Mais je ne fermais pas la porte de les revoir. 
Deborah donnait envie de l'avoir comme thérapeute de couple. Donc si un jour, ma femme me rendait dingue . Je savais quel canapé sur lequel j'irais étendre mes états émotionnelles . 

Evangeline , je n'avais pas trop le choix de la revoir. Elle était devenue la meilleure amie de ma fiancée.  Et quand on aime une femme, par amour on aimait  ses copines aussi. Elle ne pouvait pas être plus pire que ce chat diabolique non ?  Et si je voulais que Lucy , soit acceptée. Même si je savais qu'avec le prénom de Stella , elle avait encore du mal. Mais, elle pouvait comprendre car elle entretenait un lien d'attachement semblable avec ce dragon.  Et moi contrairement a elle , ce lien avait créer une plaie sur mon coeur. Parce qu'elle avait eu des récits de lit. Et moi , Bébé Monstre, était celle qui m'avait exclu du ciel. C'était celle qui m'avait redonner foi en l'amour et les miracles. Elle m'avait fait penetrer une porte, vers un nouveau monde spirituel.  Mais contrairement a elle, moi ce lien d'âme coeur avec Lucy avait été enfoui dans les profondeures ma toile cosmique. Parce que ce lien était interdit , a sens unique . Mais pour ceux qui connaisse mon histoire avec Karen, sache qu'a chaque deuil , je fuyais sur le sentier de Cupidon.  Je flirtais sans attachement recicroque. Donc pour conclure le paragraphe sur Evangeline,  je devais l'acceptée pour qu'elle fasse de même avec Lucy. 

Erwin , malgré son rêve idéal de ne pas me revoir,  on allait se revoir ,  parce que même si il ne voulait pas se l'avouer, Georgia et moi on avait bien une histoire. Donc ne croyez pas ce menteur quand il affirme le contraire.  Mais il ne fallait pas , s'imaginer une histoire autre que du copinage ! Tout simplement parce que la femme de ma vie était Dewenty Maantekor , prochainement Dewenty Lionstar.  A moins qu'elle désirait avoir les deux noms sur l'acte de mariage. Même sincèrement et secrètement, vieux jeu je préférais qu 'elle porte seulement le mien.  Encore un détail qu'il fallait qu'on discute ! Mais avec Patience on n'a jamais le temps pour communiquer nos émotions et nos besoins. Pour revenir a notre Mister perfection, on allait se revoir parce que Georgia, devait me donner absolument sa recette de tartes aux citrons meringuées pour le buffet du mariage. Mais elle devait aussi être aux petits soins avec moi pour ce jour , car Dewenty méritait un mariage royale mais aussi un époux parfait.. C'était aussi pour prouver a Monsieur Dorian qu'avec un peu de volonté et d'amour, Georgia pourrait faire de lui.. un phénomène non désespéré. Un époux parfait a son tour . Et ce n'était pas cela qui désirait être la perfection ? Non il me l avait avouer sans s en rendre compte, il ne voulait pas briller dans les yeux d une femme, mais étinceler dans l'or d'une couronne.  Il était une incarnation de Narcisse, qui ferait un joli prénom pour un mini lui.  Mais peu importe mariage ou non on allait se revoir au prochain cadavre , ou peut-etre pour une visite improvisée chez lui  pour déguster ce fabuleux  dessert dont lui et Dewenty raffole,  occasion aussi  pour lui parler de la distribution des rôles pour le mariage. 

Lena , tu étais celle que j'avais appris a moins connaître, mais nos chemins allaient se recroiser surtout si tu étais reelement la maitresse d'Erwin.  Je n'allais quand meme pas te laisser mettre la pagaille dans le couple de mon amie.  Donc toi je t'avais a l'oeil ! 

Pour les autres vacanciers , il avait que Graham qui m'avait inspiré . Inspiré le fait que je devais continuer a espérer et me battre contre le cancer Patience pour avoir la chance de franchir toutes les étapes du bonheur, car clôturé cette vie dans le bonheur d'être ami, mari et père était une belle fin.  Même si certains dans ce monde croient qu'un baiser d amour véritable peut ressusciter une âme et un corps. A tester au dèces de Dewenty ou Lucy..Certains ont trop visionner Once upon a time. Certains croyent trop aux contes de fées.  Est-ce que c'était mon genre de croire a ses histoires de baiser magique  ? Si ca pouvait me garantir une vie éternelle avec Bébé Monstre.  Et m'empêcher de vivre un autre deuil que celui de Karen. Je voulais bien y croire.. Mais je savais que la mort attendait avec Patience , que cette destiné s'achève. Mais la mort devra être patiente , car  je voulais gouter au bonheur..  Et ce n'était pas le but de cette invitation ? 

Sur ces dernières pensées , je m'éloignais du groupe accompagné du robot coeur. A quelques pas de bébé monstre, je m'approchais d'elle , car  nous devions partager quelques mots, avant mon départ prématuré.  A ses cotés, ma main discrète se faufilait jusqu'a son poignet pour lui  offrir  de délicates caresses montantes. Communication gestuelle pour lui faire comprendre mon besoin de me retrouver avec elle, pour une soirée romantique.  Je lui disais : - Rejoins moi dans une heure a notre chambre Bébé , ca te laisse le temps de leurs dire au revoir, de passer un peu temps avec ta copine. Mais ne m'oublie pas.  Oui envers Dewenty je possèdais  de grandes exigences, des critières. Et celui de prendre soin de ma personne en faisait parti.  Mais le fait qu'elle n'avait pas accordée le baiser promis, m'avait terriblement décu. Mais encore une fois, je refoulais jusqu'à qu'elle se réalise que j'en avais besoin pour me sentir bien dans ma peau. Et qu'elle avait une chance de se faire pardonner son oubli.  Mais cette derniere parole était remplie d'espoirs.  Elle, qui adorait avoir le controle de la situation, elle avait le sort dans notre bonheur entre les mains. Et ne n'était pas tout, elle avait aussi mon sort entre celles-ci , car l'esprit du lion s'étiole, se meurt , sa lumière s'éteint quand il ne brille pas d'amour. Mais l'étincelle brûlait encore..et mes mots pouvaient le confirmer.  - Je t aime bébé. Sur ces mots, je faisais un symbole de bec avec mes lèvres et je lui faisais  mes bruits de bouche habituels . (Ceux que je t'ai partagér hier Jess  parce que je devais les placer quelques parts) Ayant du mal a me détacher de son emprise.  Contre mon gré , mes doigts s'éloignaient de sa peau si envoûtante .  Et je continuais mon chemin seul.  Mais ce ne l'était pas car des robots avaient vu ma direction.. et le but c'était quoi ? Servir au nom du bonheur !   

Chambre de Leo et Dewenty 


Devant ma porte de ma chambre. Main moite et doigts tremblants vers la poignée de la porte.  A celle ci se trouvait une cravate.  L'une des miennes.  Symbole d'intimité.  Je me sentais a présent en confiance pour ouvrir la porte, car je savais que j'allais découvrir aucun cadavre du passé derrière , car l'accessoire pendu était le signe que les robots du bonheur avait tout prévu  pour que   je passe une bonne soirée.. Et avec un peu de chance, une nuit romantique avec ma future femme.   

Ce que je souhaitais depuis le début ! Ouvrant la porte pour y découvrir un décor moulin rouge, avec une touche perse dans le tissus .  Un décor avec ses couleurs préférées, le rouge, le violet et le noir.  L'éclairage était feutrée et il avait un immense lit baldaquin entouré de rideaux.   Explorant la pièce en détail , avec toute mon attention. Sur une table de la chambre, il avait tout un buffet aphrodite.   Sur la commode ou se trouvait la television, il avait tous ses films préférés dont on pourrait regarder ensemble sous la couette.   Sur le lit, il avait une nuisette rouge, a mettre.   Mais entre temps , j'avais fouillé dans ma valise pour y mettre a la place, ma chemise fétiche.   Parce que la voir dans mon linge était symbole qu elle etait ma possession. Qu'elle etait ma femme..  Une femme qui j'espérais allait me rejoindre dans notre nid d'amour. 

Entre temps, pendant le délai de Dewenty. Je me préparais a cette soirée relaxe et amoureuse.  Bain moussant , aux chandelles parfumées, avec des pétales de roses j'avais patauger de longues minutes avant de me glisser un peignoir tout doux a fourrure. Et pour conclure,  je me glissais dans les draps de satins avec ma peluche plue et le doudou de Bebe Monstre que j'avais dérobé .. Pour fermer les yeux et roupiller le temps qu'elle vienne m'offrir ce baiser qu elle m'avait promis car tenir ses promesses  dans un union c était essentiel.
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Dewenty Maanteekor
« J'ai pas trouvé où on peut demander un rang personnalisé... ! »

Dewenty Maanteekor

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Que le spectacle commence...

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| Conte : Folklore & Mythes
| Dans le monde des contes, je suis : : Manticore

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________________________________________ 2020-03-01, 01:42

everything is awesome Dewenty dans Les vacances presque parfaite

Comme vous le savez, le gang Awesome était sorti du robot, s'en suivie de quelques testé sur le petit robot après le reboutage. C’était grandiose cette mission finalement rétrécir c’était super fun. Heureusement, elle n’avait plus cette tenue verte sur elle. C’était au moins ça. Par la suite Leo lui demanda de la rejoindre plus tard dans leur chambre ce qu’elle ferait bien évidement mais, avant elle avait surement d’autre chose à faire. Elle devait pour commencer apprendre à ce petit robot le mot manticore. Ce n’était pas chose facile d’apprendre à des robots un mot. Leo était donc parti et sa nouvelle mission venait donc de commencer. Elle s’approche à son tour du robot. Qui était beaucoup moins moche qu’avant du moin à ses yeux, l’apparence de ce robot n’avait nullement changer mais, c’était peut-être le point de vu de la manticore qui avait quelques peu changé. Mais, comment leur faire apprendre un mot à des robots… elle se tourna donc vers digustmotion.

-Debbie ? J’ai une question comme tu es une émotion, comment crois tu que je peux le apprendre ce qu est une manticore ?
-Comme à un enfant. En lui parlant pour expliquer. Ils ont l’air d'aimer apprendre ça devrait pas être trop dur.
-Très bien.. oui ça doit être plutôt simple alors dit-elle en se penchant devant le petit robot. Bonjour toi... Je suis Dewenty et pas bébé comme l'a mentionné mon petit copain Leo..
-Enchanté Dewenty je suis un smileybot

Dewenty avait apprit finalement, à ne pas détruire tous les robots, elle les avait donc toléré dans son champs de vision. C’était plutôt pas mal non ?

-Ravi de faire ta connaissance.. comme j'ai compris vous aimez apprendre, je vais t'apprendre ce qu'est une manticore si tu le veux bien ?
-D’accord.
-Une manticore est une créature plutôt chimérique.. c'est ce que je suis. Issu de légendes comme les dragons, les licornes.
- Je ne comprends pas le mot chimérique dit le bot dont l’expression était smiley étonné
-C'est un mélange de plusieurs choses comme un hybride ? La manticore est un gigantesque lion portant des ailes et une queue de scorpion capable d'envoûter ses proies. Mais pas que..
Elle savait de quoi elle parlait une Manticore s’était pas que cela. Son souffle pouvait déversé la solitude même, elle crachait la peste sous son passage, la manticore pouvait manger une armée entière quand celle-ci s'aventurent dans le territoire du prédateur. Ses ongles étaient tranchant, ses dents étaient taillé en dents de scie. Une queue hérissé de dards qu’elle lançait des épines empoisonné. Les gouttes de sang pleuvaient sur son passage.


-Je ne sais pas non plus ce qu'est un scorpion. Serait-ce un animal ?.

Dewenty se rappelait que leur base de données étaient restreinte comme le cerveau d’un enfant. Et ils ne concernait que les choses positifs, pour rendre la chose plus difficile.

-Oui c'est plus un insect mai ça rentre dans les animaux, ils ne sont pas très gentil car il empoisonne leur proie …
- Est-ce que cela signifie que les manticores empoisonnent les autres ?
-Oui elles empoisonnent leur proie, leur dard est couvert de piquant mais elles le font pour se nourrir c'est le cycle de la vie.
-Je ne sais pas ce qu'est un dard est-ce que c'est comme dans l'expression "dare-dare" ?
-Non c'est comme une piqûre dit elle en sortant un stylo et dessine le scorpion, elle le montre au petit bot c'est ça le dard
- Ca a l'air dangereux.
-En quelques sorte ça l'est mais c'est quelques chose de nécessaire pour qu'elle puisse manger.
- Manger c'est positif. Quel est votre plat préféré ?
-En tant qu'humain? Ou en tant que manticore ?
- Humain.

Dewenty avait pu apercevoir brièvement une expression alarmée quand elle avait demander en temps que manticore ou humaine. Aurait-elle risqué sa vie à cette instant ? Elle n’en avait aucune idée mais, elle s’était empressée de répondre.

- j'adore les pâtes c'est tellement bon cette chose. dit-elle en voyant que le bot fait un smiley Happy quand parla de Pâtes.
-Donc si j'ai bien compris les manticores sont comme les licornes et les dragons sauf qu'elles empoisonnent les autres personnes et qu'elles ressemblent à un lion et un scorpion. Je dois classer cette espèce dans la catégorie dangereuse, d'après vous ?
-Un dragon est tout aussi dangereux qu'une manticore mais je pense que vous pouvez classer cela dans la catégorie à servir avec dévouement. Mais oui elles sont dangereuse.
- Je n'ai pas de catégorie "à servir avec dévouement" je vais donc classer la manticore dans la catégorie "dangereux".
-D'accord, mais elle n'en reste pas moins une créature dévoué et avec un instinct protecteur et territoriales.
- La dévotion, c'est un concept qui me parle.
-Sans déconner, genre on avait pas remarqué.
-Faut pas croire j'ai pas mal d'hectares où je règne. Après ça, elle fit sortir ses ailes noires pour les déployer.
-Tu frimes, là.
-Juste un peu dit elle en faisant un clin d’oeil. Parce que je le vaut bien.
-On va dire que oui. Je crois que le Bon Endroit a compris ce qu'est une manticore mais que tu as encore un peu de travail avant de savoir expliquer les choses à des gens limités mentalement. Mais si tu veux j'en connais quelques uns sur qui tu pourras t'entrainer.
-Hmmm oh... Oui je veux bien donner des cours pour m'entraîner ... Ça me fera la main.. cela dit ... J'ai déjà une petit ami qui est comme un enfant je peux toujours tenter de lui expliquer des choses dit elle en souriant.
- Oui, c'est aussi un bon entraînement.
-parfait ! Je pense qu'il a dû comprendre ce qu'était une manticore ... Cela dit je ne peux pas me transformer ainsi mais, j'ai gardé quelques facultés mais je ne crache plus la peste ni les solitude sort de mes narines ... Et je n'ai pas ma queue de scorpion mais j'ai mes belles ailes caressant au passage ses ailes.
- Les ailes c'est mieux.

Bien entendu que les ailes s’étaient mieux, elle permettait de parcourir en un temps record une étendue de terre. Elle sourit légèrement elle avait encore une dernière mission avoir un nouveau client. Elle s'approcha donc d’Erwin.

-Si jamais vous êtes intéressé pour qu'on traite ensemble.. je peux vous proposer mes services Erwin.. cette carte vous sera utile dit-elle en lui tendant sa carte de visite. Ce dernier prit la carte entre son index et son majeur sans la lire.
- Tiens tiens...Puis-je savoir en quoi consiste vos services d’une ancienne manticore ?

Dewenty avait pu remarquer que dans les yeux qu’il avait deviné que c’était quelque chose de pas très clair. Pour le rassurer elle repris. Avec un sourire en coin.

-J'ai garder certains faculté Erwin.. et je pense que nous pouvions traiter ensemble mon venin est toujours puis elle murmure. opérationnel…

Il se rapprocha un peu de Dewenty, étant proches de Lena et Eva pour lui parler plus discrètement.

-Vous m’en direz tant... Qu’est-ce qui pourrait bien vous laisser penser que...tout...cela...m’intéresse ? dit-il en souriant finement à son tour.
-Hmm une intuition.. cela vous évitera de vous salir les mains au passage... Ou même de vous faire mal, ce serait dommage de salir vos belle mains.. et un roi de votre trempe à des ennemis qu'il faut éliminer... Un... Par...un.

Erwin rit fièrement puis penche la tête en fixant Dewenty dans les yeux.

- vous êtes assez douée, je le reconnais. Bien plus que d’autres. Tout ceci est fort attrayant et...tout à votre avantage. Ceci dit, je doute que l’individu qui vous sert de fiancé approuve cet arrangement

Dewenty sourit et passe une main dans ses cheveux.

-Je vous remercie des compliments mais vous avez très cher Erwin...mon fiancé... N'aura pas son mot à dire sur le sujet tout simplement parce qu'il n'en saura rien, je tiens à ce que mes clients conservé leur anonymat.
-C’est ce que je désirais entendre, après tout..Ce qu’il ignore ne peut pas lui faire de tort, n’est-ce pas ? dit-il en gloussant puis murmure. Je ne vous cache pas cependant que je préférerai être votre client exclusif. J’exècre la concurrence et mes prix sauront vous en persuader, si votre essai s’avère concluant..
-bien entendu.. toute vérité n'est pas bonne à entendre de toute manière...dit-elle avec le sourire puis reprend. Ne vous inquiétez pas Erwin vous êtes mon seul client à ce jour.. et j'y compte bien que votre prix me persuadera. mes essai sont toujours concluent n'oubliez pas que je suis une manticore très cher et donc un nombres incalculable de cadavres dans mon placard..
-Certes...Cependant S’il ne peut faire face à votre personnalité c’est qu’il ne vous mérite pas. Mais je vous fais confiance pour savoir ce qui est bon pour vous… hochant la tête flatté en entendant qu’il était son seul client. Suis-je inspirant au point de vous donner envie de reprendre du service? Quelle charmante perspective... la réputation précède votre espèce mais mon approbation se mérite, d’autant que j’aime travailler entouré de personnes fiables. comment puis-je être sûr de votre entier dévouement à ma personne face à cet intérêt tout à votre honneur mais si soudain.
-Il fera face à tout ça le moment venu j'imagine.. oui ne vous en fait pas je sais ce qui me convient parfaitement. Je vous en remercie souriant d’autant plus. bien entendu que vous êtes inspirant sinon je ne vous aurez pas proposer mes service. Cela va de soit je tiens à ma réputation de manticore, je suis une personne fiable je ne trahit pas ma parole. Mon dévouement..

Après cela elle retire une plume de ses ailes et le lui tend

-Vous ne pouvez pas en être sûr totalement mais, je vous promet mon dévouement..

Ce dernier lui fait un autre sourire en coin puis, saisie la plume qu’elle lui avait tendu d’un air satisfait.

-Pourquoi me défierai-je de vous? Vous me flattez très chère...Alors acceptez ceci en modeste premier paiement . Puis il tendit une bague qu’il avait à son auriculaire. Elle ne fait pas partie de ma collection personnelle je peux m’en passer mais elle a son prix et comprends un diamant.

Prenant la bague sans rechigner .

-ça fera un parfait acompte et je vous en remercie vous ne regretterez pas notre accord. Cette bague est parfaite ne perdez pas ma carte, j'attendrais votre appel le moment venu Erwin.

Lui faisant un baise main, qu’elle galanterie dites moi !

-Tout vient à point à qui sait attendre. Patience à vous ! Je vous appellerai
-Bien, souriant une nouvelle fois, elle retire sa main doucement. Je vais me retirer le lion doit attendre avec impatiences.. ne faites pas trop de bêtises en mon absence... Je serais fort triste de ne pas y assister.

Erwin rit puis, s’inclina légèrement vers l’avant.

-N’ayez crainte, Madame. Vous pouvez rejoindre votre lion. Je pense pouvoir me contenir jusqu’à votre retour. Même si la compagnie laisse à désirer, je pense pouvoir l’apprivoiser suffisamment pour ne pas souffrir moult péripéties supplémentaires.


Dewenty rit légèrement, puis s’inclina en retour avant de partir, saluant au passage les autres,en leur disant à tout à l’heure. Retourner auprès de son lion qui devait sûrement l’attendre depuis un bon moment. Elle arriva vers leur chambre. Ou tout semblait être sur la touche du romantisme, elle s’approcha et sourit légèrement. C’était mignon de sa part, une chemise trônait sur le lit. Elle s’était donc changer pour mettre cette fameuse chemise qui portait l’odeur de son cher et tendre. S’approchant de Leo pour déposer un tendre baiser sur ses lèvres… Et le reste se passa sous un rideau rouge…

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« J'ai pas trouvé où on peut demander un rang personnalisé... ! »

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"..."

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________________________________________ 2020-03-01, 22:27





Everything is Awesome

je suis toujours une voleuse de code

Se rendre à l’intérieur d’un robot afin de lui apprendre diverses émotions, ce n’était pas vraiment ce qu’on pouvait qualifier de vacances reposantes. Elle était pourtant contente de l’avoir fait. Les choses auraient pu très mal tourner s’ils ne s’étaient pas occupés de ça, les victimes auraient pu être plus nombreuses et finalement, c’était une chance que Deb se soit trouvée avec eux. Qui de mieux qu’une émotion pour les aider à faire face à cette situation et pour les guider dans ce genre de périple ? Les choses avaient mal tourné, c’était indéniable. Mais la situation aurait pu être bien pire et ne valait-il pas mieux voir le bon côté des choses ? C’était plus facile à dire pour elle que pour d’autres invités du complexe en tout cas. Compatissante elle s’approche de Graham et pose une mais sur son épaule. « Je vous présente toutes mes condoléances Graham. Grace semblait vraiment être une femme merveilleuse, je n'ai passé qu'une journée avec elle mais elle m'a beaucoup touchée avec votre histoire. » Il avait déjà traversé tellement d’épreuves…La vie n’était pas juste. « Merci, c'est gentil ce que vous dites. Je… » Il se racle la gorge. « Je crois que je vais aller la voir. » Elle lui adresse un sourire doux alors qu’il s’éloigne.

Leo fut le premier à s’éloigner, puis Dew avait fait de même après un échange avec Erwin, qui s’était approché d’elle par la suite. « Je suis ravi de voir que finalement tout semble s’arranger, pas vous Évangéline, je peux vous appeler Evangeline? » « Naturellement vous le pouvez. J'en suis ravie aussi, nous avons évité le pire même si n'avons pas pu sauver tout le monde... » C’était parfois la réalité de la vie, il fallait simplement l’accepter. « Oui il faut s’en féliciter... c’est l’essentiel ! Je suppose que cela écourtera nos vacances ici. Une bonne anecdote à raconter à votre frère ! » Evangeline ne le montre pas mais elle tique tout de suite à la mention de son frère. « Mon frère ? » Car tout ce qu’elle sait de Gabriel, c’est qu’il est mort et Gajeel n’avait pas semblé très enclin à lui parler de lui. « Oh excusez-moi, j’aurai du préciser, vous en avez peut-être plusieurs...Gajeel. Le boxeur, non pas que je boxe, très peu pour moi » commente-t-il en souriant « Mais pendant la malédiction il a travaillé comme chauffeur pour moi » Il faut deux-trois secondes à Evangeline pour que ses neurones se connectent et qu’elle capte de quoi il est en train de parler. Pour autant, Erwin pourrait très bien se fourvoyer sur la nature de leur relation. « Il vous a parlé de moi ? » Demande-t-elle d’un air étonnée -et elle l’est, c’est même peu dire !

« Bien sûr...Il y a peu. J’ai vu votre photographie dans son salon. Apparemment il tient beaucoup à vous.. » Il lui sourit. « Cela vous étonne ? Qu’il m’ait parlé de vous ? Vous savez nous sommes assez proche » Ce n'est pas le fait qu'il ai parlé d'elle qui l'étonne, mais le fait que ce soit LUI son putain de frère ! « C'est un peu étonnant oui...Vous ne semblez pas avoir beaucoup de points communs avec Gajeel. Pourrais-je vous demander ce qu'il a dit ? » « Bien sûr... même si je ne peux vous garantir avec exactitude les propos qu’il a tenu, il n’a pas souillé votre image. Disons que cela tournait autour de sa volonté de vous protéger malgré votre absence de lien de sang. Du lien fraternel qu’il ressent pour vous » Il doit voir tout le désarroi de l’étoile car il semble intrigué par sa réaction et ses questions. Dans le but de se justifier et d’amoindrir les soupçons, elle sourit avant de reprendre. « C’est que Gajeel n’est pas si démonstratif avec moi. » L’odieux menteur. « Il faut croire qu’il me fait confiance alors... et que vous pouvez faire de même. Cela dit ça ne m’étonne pas ce n’est pas le genre à s’épancher sur ses sentiments, ce que je ne saurais lui reprocher » Il plisse les yeux, comme s’il cherchait quelque chose. Elle n’est pas très convaincante sans doute, il doit voir que quelque chose cloche. « Tout va bien ? Vous êtes si pale » « Oui...C'était une journée riche en surprises et en émotions ! Je suis ravie en tout cas de savoir qu'il peut compter sur vous. » En ça elle ne ment pas…Riche en émotions. C’est si peu dire. Je vais le trucider, se dit-elle en gardant son large sourire.

« Ah oui c’est vrai… » Il sourit mais reste circonspect. « Nous pouvons appeler un smiley bot pour qu’il vous serve un remontant si vous le désirez... » Il regarde dans les environs et se retourne vers elle. « Oui cela va de soi. C’est comme un jeune frère. » « Merci, ça va aller je pense » Elle sourit pour le rassurer. « Nous aurons sans doute l'occasion de nous revoir en sa compagnie, dans ce cas ! » Si il survis à leurs retrouvailles en tout cas. « Avec grand plaisir. Même si je n’ai guère le temps d’arpenter les salles de boxe, je ferais bien une exception » Il lui sourit également. « Oh et bien, vous semblez être un amateur de bonnes choses. Peut-être qu'un repas chez moi vous semblerait plus convenable ? Ne comptons pas sur Gajeel pour cuisiner après tout ! » « Je vois que vous êtes perspicace, Evangeline. Comment refuser ? Effectivement les talents culinaires de Gajeel ne doivent pas surpasser les vôtres » Elle rit légèrement. « Nous ferons ça alors ! Malgré les circonstances, j'ai été ravie de vous rencontrer ! » « Moi de même, moi de même » Il s’incline presque devant elle, en retour elle lui fait une légère révérence.

Elle s’éloigne et fait quelques pas vers la piscine, songeuse. « Par contre…Comment est-ce qu’on rentre chez nous ? » C’était une question globale, posée à tout le monde et personne à la fois. C’est un smiley bot qui trainait dans le coin qui s’approche d’elle pour lui demander. « Quand souhaitez-vous rentrer ? » Elle n’a plus vraiment envie de profiter du complexe en réalité. Visiblement maintenant elle a des choses à régler avec une certaine personne… « J’aimerai rentrer ce soir. » Et, contre toute attente, le robot lui répond simplement. « Entendu, le départ se fera à l'entrée du complexe à 21h » Elle remercie le petit robot qui s’en va maintenant qu’on n’a plus besoin de lui. Elle n’a donc plus qu’à aller préparer ses affaires…Enfin, elle a pas sorti grand-chose de sa valise alors ça devrait aller vite.




Deborah Gust
« Sarcasm: punching people with words. »

Deborah Gust

| Avatar : Catherine Tate

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- Youhou Deborah, regarde ce que je sais faire !
- C'est bon, je démissionne, j'en ai marre des débiles.

| Conte : Inside Out
| Dans le monde des contes, je suis : : Disgust

| Cadavres : 4325



Evénement #119 : Everything is Awesome [Fe] - Page 4 _



________________________________________ 2020-03-02, 15:03 « Sarcasm: punching people with words. »

- J'ai vu avec les smileybots et British Airlines pour le transport de Grace jusqu'au Royaume-Uni. Sheffield, c'est bien ça ? demandai-je en sachant que j'avais la bonne information.
J'aurais pu aussi le gratifier d'un petit préambule mais déjà qu'il fallait bien que quelqu'un avec la tête froide fasse toute la paperasse, Graham ferait sans. Comme je n'ai de cesse de le répéter : y a pas non plus marqué Croix-Rouge sur mon front.
Bref.
Graham se tourna lentement vers moi, l'air perdu.
- Merci, finit-il par articuler, l'air ahuri et triste, ce qui donne un drôle de mélange, si vous voulez mon avis (et vous le voulez, toujours). Mais… comment vous savez qu'on venait de Sheffield ?
Ah bah voilà, comme quoi, même endeuillé, un cerveau parvient encore à effectuer quelques connexions logiques. Bravo champion.
- Oh j'suis passée y a une demie heure pour fouiller dans vos affaires, trouver les billets d'avion du retour et faire le nécessaire, répondis-je très (trop ? assurément pas) décontractée. Vous aviez opté pour quinze jours de vacances mais du coup j'ai échangé vos billets pour un départ demain à 22h. Je me suis dit que ça serait mieux. Je voulais pas perdre du temps en vous dérangeant de votre recueillement ou peu importe ce que vous faisiez exactement. Mais j'ai tout rangé comme j'ai trouvé et j'ai même pas brûlé vos vêtements les plus moches. Je pense que vous pouvez me dire merci, ajoutai-je, nonchalante.
Et ce qu'il fit, l'air toujours aussi sonné.
- On se tire à 21h, tâchez d'être prêt, ajoutai-je avant de quitter la chambre (mortuaire, du coup) de Grace et Graham. Ou plutôt : tâchez de quitter la chambre à 20h30 max pour laisser aux smileybots le temps de… préparer Grace pour le voyage, ajoutai-je après avoir réfléchi à une fin de phrase plus emprunte d'empathie que "empaqueter" ou "mettre dans un cercueil".
Alors vous allez me demander : où ai-je pu trouver un cercueil en si peu de temps ? Eh bien je vais vous répondre de connecter vos neurones pour trouver la réponse vous-mêmes.
Avant cette annonce, Ryan y était passé également, histoire de se rendre compte et de pleurer avec son grand-père adoptif avant de retourner s'asseoir près de la piscine, où les smileybots avaient tenté de lui remonter le moral pendant que je passais quantité de coups de téléphone depuis ma chambre joliment décorée d'émeraude avec une touche de violet.
Quant aux autres, ils avaient eu l'air décidé à profiter des quelques heures de détente qui nous étaient accordées avant le départ. Plus ou moins, en tout cas. Se rendre dans la serre où avait échoué les squelettes de Kezzia et Grace, j'appelais pas ça de la détente, mais je ne fus pas fondamentalement surprise de voir Ralph le faire. C'est vrai qu'il avait aussi fallu inclure ces deux-là dans la multitude d'appels à passer. Et qui allait me dire merci ? Personne, comme d'habitude, alors que, personnellement, m'occuper des morts, ça n'a jamais fait partie de mes hobbies.
Bref.
Je n'apprécie et n'apprécierai jamais Ralph, déjà parce que son prénom me fait mal aux oreilles mais aussi parce qu'il est quand même très con, arrêtons de nous voiler la face. Mais le devoir m'intimait d'aller le récupérer lui aussi et c'est ce que je fis en me rendant à mon tour dans la serre, près de la réserve de compost.
- Vous devriez pas rester là, commentai-je, une fois de plus sans m'être annoncée auparavant. Vous auriez jamais dû venir, en fait. Fin je comprends que vous l'ayez fait, j'aurais fait pareil, mais voir un squelette, c'est quand même vachement plus violent que juste un corps sans vie. Enfin, si vous avez déjà visité des catacombes ou que vous êtes légiste - mais j'en doute - j'pense que c'est pas votre premier. Cela dit, vu l'odeur de vomi dans le fond de l'air, je dirais que c'est les premiers, ajoutai-je en grimaçant. Vous devriez aller prendre un verre en attendant le départ. Je me suis occupée de leur transport.
Ce n'est qu'en entendant cette phrase que Ralph sortit de sa torpeur pour tourner une expression ahurie (tiens, que d'originalité) vers moi.
- Pourquoi vous faites tout ça ? demanda-t-il lentement.
- Parce que je sais ce que ça fait de passer par là soudainement quand on avait encore toute la vie devant soi. Et parce que personne n'en a pris l'initiative alors il fallait bien que quelqu'un se dévoue. En général, je conseille mais je n'agis pas. Sauf que là personne n'agit sur mes conseils.
Sans m'étaler davantage, je l'entrainais hors de la serre et lui commandait un petit remontant bien chargé une fois de retour près de la piscine centrale. J'en profitai pour me faire apporter un un screwdriver afin de faire passer le temps. Puis j'envoyais un smileybot prévenir Leo et Dewenty que nous partirions à 21h histoire de ne pas avoir à potentiellement interrompre des ébats dont je ne voulais pas avoir d'images mentales à vie, merci bien.
L'heure du départ arriva mine de rien rapidement, et avant elle les cercueils nécessaires au transport de certaines personnes qui furent chargés avant les vivants mais dans la soute à bagages du limobus qui nous ramènerait plus au nord, là où certains repartiraient pour Storybrooke et d'autres pour l'aéroport de Boston.
Personne n'avait réellement l'air mécontent de partir et l'ambiance dans le bus limousine avait changé. Heureusement, nous n'aurions pas à nous faire la conversation toute la soirée et une bonne partie de la nuit car notre repas du soir fit une fois de plus office de somnifère. Quand nous nous réveillâmes nous étions le 6 février aux alentours de 11h du matin (comme ne manqua pas de l'annoncer la douce voix du haut parleur) et de retour à la gare routière de Boston.


Erwin Dorian
« If the crown should fit, then how can I refuse? »

Erwin Dorian

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- Pour ma victoire? C'est adorable, trésor... Même si en toute modestie, je dois admettre, qu'au-delà de cela, je suis un prestigieux modèle pour mes concitoyens"
(Alexis pense-t-elle qu'il est parti trop loin? Sûrement! On approuve)

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| Conte : Coeur de Princesse/Le Prince et le Pauvre
| Dans le monde des contes, je suis : : Preminger

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Evénement #119 : Everything is Awesome [Fe] - Page 4 _



________________________________________ 2020-03-04, 00:56 « If the crown should fit, then how can I refuse? »


Evénement #119 : Everything is Awesome [Fe] - Page 4 Pf23
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The ending is awesome

Le reboot des smiley-bot avait fonctionné et avait par ailleurs sonné le glas de leurs vacances au Bon Endroit au grand désappointement d’Erwin. Il n’avait pour ainsi dire par réellement compris l’intérêt de mettre fin si tôt à leur séjour gratuit et ô combien satisfaisant. D’autant que les ennuis avaient été maîtrisés si facilement que plus rien ne compromettait leur repos. L’idée de se voir imposer le deuil d’une femme qu’il n’avait qu’entre-aperçu l’espace de deux minutes le rendait amer. D’autant plus qu’il s’amusait bien ici. Les smiley-bot étaient prometteurs, de fidèles acolytes auraient-ils pu devenir si on lui avait laissé l’occasion d’en exploiter plus. Et les rencontres...prometteuses. Il y songeait encore lorsqu’il était monté récupérer ses bagages dans la suite prestigieuse qui avait été préparée à son intention, le dépit croissant en constatant à quel point cela aurait été si splendide de se prélasser là-dedans. Il avait fermé à regret la porte de sa suite violette non sans emporter la Couronne que les smiley-bots lui avaient offert. Elle n’avait aucune valeur réelle, il le savait parfaitement mais il ne pouvait se défaire de son emprise, de ce qu’elle représentait. L’abandonner aurait consisté en un échec pour sa propre personne, un renoncement qu’il ne ferait jamais. Il aurait cette Couronne et il aurait ce qu’il lui revenait de droit, peu importe les moyens et les sacrifices que cela nécessiterait.
Non sans avoir glissé sa carte de visite à un Graham quelque peu ébahi, il s’était engouffré dans la busimousine. De la place de choix où il s’était installé, il pouvait apercevoir Léo et sa charmante fiancée. Un rictus moqueur parcourait les lèvres du notaire à chaque éclat de rire qui émanait de leurs sièges. Qu’il profite bien pendant qu’il était encore temps… Il avait rangé soigneusement la carte et la plume que Dewerty lui avait offert tout aussi précautionneusement que la jeune femme avait dissimulé sa bague. Il laisserait le temps faire mais ce ramassis de séduction lourde payerait. Il payerait pour son impudence, la manière dont il avait regardé son épouse et pour ses pathétiques conseils distillés d’un ton paternaliste sur la notion de couple et d’amour. « Ton Amour est vain ». Il n’aurait pas besoin de grand-chose pour faire payer ce moins que rien, l’outil et la manœuvre étaient déjà à porté de main, le résultat tout acquis déjà. Il n’avait même pas besoin de fermer les yeux pour imaginer la réaction du Don Juan ; Délectable.
Il s’était endormi sur ces pensées et n’avait repris connaissance qu’au presque arrêt du train. Boston, déjà. Il avait beau essayer, rien n’y faisait, il restait déçu d’être si vite privé de ses divers loisirs. Attandant son taxi, il se faufila près de Deborah qui visiblement patientait pour la même chose :
- Nous revoici au point de départ...Des vacances de moins de trois jours, si on peut réellement appeler ça ainsi, n’êtes-vous pas un peu frustrée ?
S’il y avait bien une personne à même de comprendre son dépit, c’était bien Deborah Gust, plus qu’une alliée de taille, il s’était surpris à apprécier la rouquine. Un esprit comme le sien détestait d’ordinaire spontanément toute mentalité semblable à la sienne mais une exception s’était créée à son contact. Plus qu’une rivale, il l’envisageait comme une sorte de compagnie non méprisable, ce qui était un réel succès.
- J’ai pu faire ce pourquoi j’existe pendant un moment bref, certes, mais un moment quand même. Croyez moi mes attentes étaient bien en dessous de ça. Bon c’est vrai que je me serais passée de la moitié du casting et des cadavres, mais ils m’ont permis de démontrer que j’étais la plus intelligente du groupe, chose que j’adore passer mon temps à prouver. Donc moi, ça me va.
Bien évidemment si on se plaçait de ce point de vue, Erwin ne pouvait pas lui dénier son raisonnement. Même lui tirait profit de cette aventure et s’en félicitait, la chose devait être encore plus certaine lorsque l’on était une authentique émotion incarnée. Il se promit d’évoquer un jour avec elle toutes les questions insensées qui lui traversaient l’esprit lorsqu’il réfléchissait à sa condition peu anodine. A la place, il se contenta de l’exprimer simplement :
- Nous humains somme très soumis à l’idée de Destinée… Mais étant ce que vous êtes, vous surpassez cette notion. … Votre existence est fonction, c’est très curieux comme concept… Mais tout à votre avantage, conclut-il avec grâce avant d’ajouter : je ne peux nier que vous écrasez facilement la concurrence féminine effectivement. Mais de toute façon, il aurait été des plus délirant de parier ne serait-ce qu’une pièce sur certaines.
Deborah coula un regard vers Lena, qui patientait à quelques distances d’eux puis lui sourit :
- Je suis sûre qu’au fond vous adorez la détester. On a tous sa Lena. Ou son Erwin.
Il en doutait. Tout d’abord parce qu’il n’y avait pas un seul Homme qui ne soit ou n’ait été comme Lui, et il n’y en aurait jamais d’autre. A l’inverse, les Lena, oui c’était interchangeable. Quant à savoir s’il adorait la détester… S’il faisait un comparatif avec le fade bourreau des coeurs, il haïssait ce dernier et n’en tirait aucun plaisir, juste de la rage et une volonté de le détruire. Pour elle…
- Il est satisfaisant de mesurer la grandeur de son être en considération d’autres, plus méprisables, expliqua-t-il à Deborah, et il est vrai que je me suis toujours amusé de la vision de la médiocrité. Elle est si courante en tout à chacun et plus encore en elle. Surtout en elle. C’est un concentré de médiocrité humaine, claqua-t-il sèchement et une moue de dégoût flotta sur son visage qui s’effaça vite sur un sourire, Mais il ne fait nul doute que je considère notre rencontre comme cent fois plus appréciable, Deborah.
- C’est vrai, je m’apprécie au moins cent fois plus que je n’apprécie le reste des gens, répliqua-t-elle tout de go avant de marquer une pause, un sourire satisfait se dessinant sur son visage avant d’ajouter :
- Je suis aussi contente de vous avoir rencontré, je pense même que nous allons nous revoir.
Erwin avait eu un rire spontané, qui n’était pas motivé par la moquerie ou la perfidie ce qui lui arrivait rarement :
- Ca nous fait un point commun, plus encore que vous, c’est ma propre personne que j’apprécie le plus… Sans regret de son aveu, il hocha la tête aux propos de l’émotion verte, Je le pense aussi. Qui plus est, il est évident que nous fréquentons les mêmes bonnes adresses.
Il était même des plus extraordinaires que le Destin ait décidé d’attendre ce jour pour croiser leurs vies respectives ! Il avait tant entendu parler d’elle et il ne faisait de doute qu’on lui avait parlé de lui.
- En parlant de bonnes adresses, voici celle où me trouver. Des fois que je vous manque trop vite.
Elle pêchait par orgueil bien évidemment mais il récupéra malgré tout la carte verte et violette qu’elle lui tendait. Notant avec amusement que c’était la deuxième qu’il récupérait en peu de temps. Et sûrement la dernière, il doutait que l’impudent séducteur ait déjà confectionné les faire-parts de son mariage...Même si rien ne l’eut étonné de ce point de vue là.
- Joli choix de couleurs, mais ça ne vous étonnera pas. Au cas où vous trouveriez que vous ne me manquez pas assez vite, voici la mienne.
L’utilité de munir chaque veste de costume de quelques cartes de visite au cas où un client potentiel se présenterait venait encore de faire ses preuves. Il aurait pu en distribuer à Dew mais avait choisi de ne pas le faire, la bague était une signature bien plus significative et plus redoutable sous couvert de faux anonymats.
Deborah tourna la carte dans les deux sens, observant sa couleur violette et les reliefs dorées des écritures et arabesques qui l’ornaient et l’empocha non sans un air approbateur.
Il la reverrait, il en était certain. Ses yeux s'égarèrent pour suivre un taxi qui emportait d'autres voyageurs loin de la gare de Boston jusqu’à ce qu’il disparaisse à l’horizon et se posèrent sur la silhouette de la brune scientifique. Il avait noté qu’elle patientait un peu à l’écart du groupe, dos tourné, guettant sûrement le jet qui l’avait déposée. Il aurait pu ne pas la rejoindre et terminer de l’ignorer, la laissant à ses tourments inavoués...mais il était bien plus amusant d’y prendre part directement. Aussi, en quelques pas, il se positionna derrière elle. Elle n’avait pas pris garde à son arrivée à vrai dire, toute plongée dans ses pensées :
- Alors, Lena, on part sans même dire au revoir ? » glissa-t-il narquoisement.
Comme il l’avait présagé, elle sursauta et se retourna pour lui faire face.
- Oh...euh...
Sûrement avait-elle reconnu sa voix avant de le voir , mais pourtant ses lèvres n’articulèrent plus un seul autre mot. Elle si d’ordinairement stupidement inspirée semblait vide de toute attaque.
Comme hapée.
- Vous voilà sans voix, à présent… ricana-t-il méchamment, fuyiez-vous quelque chose, ma chère ?
« Ou quelqu’un ». Il n’avait pas besoin de le formuler à voix haute et elle n’avait pas besoin de l’entendre de sa bouche pour le comprendre parfaitement. Au delà du regard qu’elle lui offrait, il revoyait l’effroi qui avait dansé dans ses yeux.
- Je ne pensais pas que vous prendriez la peine de venir à ma rencontre, Erwin. Pour tout dire, je pensais simplement rentrer à Storybrooke et pouvoir reprendre ma vie là où je l’ai laissé quand nous sommes partis.
Le ton de sa voix tout comme ses propos le désarçonnèrent tout autant qu’ils l’amusèrent. Il n’avait pas pour habitude d’entendre la scientifique s’adresser posément à son encontre et avec sincérité. Ses yeux se plissèrent moqueurs. Sincérité jusqu’à une certaine limite.
- Je n’en n’attendais pas moins de vous, une réaction somme toute banale, retourner à ses habitudes, l’air de rien. Cette histoire vous a donc si perturbée que vous vous sentez si ébranlée à la vue de morts ?
Le ton de sa voix demeurait outrancièrement interrogateur mais son sourire mesquin flottait sur ses lèvres. Pitoyable enfant. Elle pensait, s’abusait… Comme pour tenter de lui donner tort, elle retira ses lunettes pour le regarder.
- Justement, retourner à mes habitudes, c’est je crois actuellement la meilleure chose à faire. Vous savez pertinemment pourquoi j’essaie de...de vous fuir, comme vous le dites si bien. Je ne suis pas impolie, c’est juste que j’essaie d’oublier ce qui s’est passé, c’est tout.
Preminger manqua de lui rire au nez. Tout dans son attitude démontrait son inaptitude à le faire, pire que cela même, elle avait évolué. Ses paroles retombaient sans hargne, sans défi, presque posément, craintivement.
- Mais je n’ai jamais dit que vous essayiez de me fuir, vous l’avez fait toute seule… corrigea-t-il avec une fausse bienveillance tandis que ses yeux glissaient vers sa joue. Elle était encore légèrement violette malgré la nuit :
- Oublier ? Répéta-t-il, Mais c’est toute la raison de ma présence que vous ne vous expliquiez pas, ici. Cela fait-il sens à présent ?
Il pencha la tête sur le côté, tel un animal observa sa proie, d’un ton faussement badin. Il dosait savamment le ton de sa voix, lui ôtant toute moquerie. Cela suffirait à la décontenancer, sûrement, à la perturber encore.
Il l’observa pousser un léger soupir avant de le fixer du regard :
- A moins que vous ne souhaitiez vous excuser, je ne vois point d’autre raison pour vous pavaner tel un paon devant moi.
« Se pavaner tel un paon, n’est pas une insulte pour moi, Lena. » Il se garda bien de lui dire, se doutant qu’elle avait du se mordre les lèvres à l’instant où cela lui avait échappé. L’idiote espérait encore sérieusement qu’il se prête au jeu des excuses ? Ravalant son cynisme, il dessina sur son visage l’air le plus défait qui soit, et battit des cils d’un air perdu :
- M’excuser ? Vous voulez entendre mes excuses ? Finit-il par articuler dans une voix faussement maladroite...Marquant une petite pause dramatique puis commença : Eh bien ma chère, concernant...mes agissements envers vous...Je suis...foncièrement...désolé...il fit une minuscule pause avant de poursuivre narquoisement...d’avoir attendu si longtemps pour y céder. Et ne regrette absolument mon geste. Etes-vous satisfaite ? Etait-ce que vous rêviez d’entendre ? Ajouta-t-il cruellement, ses yeux dorés brillants méchamment tandis qu’un petit ricanement s’échappait de sa bouche, Mais puisque vous semblez dénuée de toute logique actuellement, je vais vous enseigner.
- Vous êtes un beau salaud, Erwin… marmonna la brune avant d’hausser les sourcils : m’enseigner ? Vous êtes sérieux, là ?
- Je goûte peu au dernier terme, il est indélicat. Mais c’est tout à fait vrai, gloussa-t-il en se rengorgea avec arrogance puis ajouta d’un ton las : vous enseigner la raison de ma présence. Vous expliquer, si vous êtes plus familière avec ce terme. J’oublie souvent que nous n’êtes pas au fait d’un vocabulaire soutenu.
Cela fit son effet, lui fit lever les yeux au ciel. Puis elle serra le poing, sans le quitter des yeux.
- Abrégez, je n’ai pas que ça à faire….finit-elle par énoncer en fronçant les sourcils.
Il aurait pu prolonger le débat pour le simple plaisir de lui donner tort mais la vision du jet le força à décider de se hâter, il aurait été dommage de manquer sa magnifique conclusion, n’est-ce pas ? Elle l’attendait, même si elle le réfutait, d’ailleurs. La brune trouvant d’ailleurs opportun de préciser :
- J’ai un vocabulaire soutenu uniquement avec les personnes qui méritent un minimum de respect, ce qui n’est pas votre cas, Erwin.
Rien que pour cette phrase ridicule, elle avait mérité ce qui lui arrivait. En plus, même avec le bas peuple, Preminger demeurait pédant, c’était tout le sel de la chose ! Montrer aux inférieurs qu’ils l’étaient par le simple usage du langage.
- Je suis Roi et rien que ce titre vous oblige, grinça-t-il avec hauteur en levant le menton.
Il aurait pu pousser le vice à préciser qu’elle était de par ce fait son sujet et qu’il avait par conséquent droit de vie et de mort sur la pitoyable loque qu’était sa personne. Tandis que le jet se posait derrière elle, il pinça légèrement la marque qu’il avait laissé sur la joue de la jeune femme :
- Vous pouvez fuir, me fuir, retourner à Storybrooke, ailleurs ou que sais-je et peu m’importe mais vous n’oublierez pas. Jamais. Cela vous hantera. Je suis là pour vous rappeler que ma promesse tient toujours et qu’elle sera. En temps voulu et utile, par nombres de moyens, par bien des façons et de manière bien plus insidieuse que vous pouvez le concevoir, elle sera, Lena.
Il n’avait même pas besoin de lui proférer à nouveau sa menace, elle flotta entre eux pour s’induire en elle. Suffisamment pour lui faire peur à nouveau.
- Dans vos rêves les plus obscurs, Dorian, jamais je n’accorderai une once de respect à votre égard.
Se reculant néanmoins de son emprise, elle ramassa son sac et sa valise puis le regarda droit dans les yeux :
- Allez au diable et brûlez dans les flammes de l’enfer, c’est là qu’est votre place… Vous ne lèverez plus jamais la main sur moi.
Preminger lui répondit par un sourire cruel. Sa place ? Peut-être. Mais pas tout seul. « Vous y brûlerez avant moi, je vous y enverrai de toutes les manières imaginables Lena ».
Tandis que le pilote s’occupait de charger les valises, indifféremment aux états d’âme de sa propriétaire, elle se retourna une dernière fois vers lui :
- Je vous cerne enfin...et vous me faites pitié, la porte se referma sur ces mots.
Mais il savait parfaitement que ce n’était pas les seules choses qu’elle avait emporté avec elle. S’il lui faisait pitié, elle plus encore.

Il était reparti chez lui dodelinant de la tête avec contentement, non sans avoir pris la peine de saluer une dernière fois Evangéline et sourit galamment à Dewenty.
Lorsque le taxi le déposa devant sa charmante demeure, Preminger ne put néanmoins s’empêcher de ressentir de la joie à la vue de son domicile. Il avait hâte de trouver son épouse ne serait-ce que pour lui partager les quelques aventures nouvelles qu’il avait vécu, le clown pitoyable qu’il avait aperçu dansant sur le capot de sa voiture déguisée en un bonhomme jaune héro de manga jeunesse, les desserts qualitatifs du Bon Endroit ; Et surtout lui montrer sa couronne d’ailleurs, pour qu’elle puisse comparer et lui affirmer qu’il s’agissait bien de la réplique exacte de celle qui se trouvait autrefois dans la salle du trône. Celui remuerait assurément quelques souvenirs d’évoquer cela, mais il n’en n’avait cure, au contraire, il voulait voir ses sentiments se mouvoir sur son visage. Et après peut-être lui proposerait-il d’anticiper leur voyage à Paris. Il avait des envies de voyage…
La réalité revint frapper à son esprit au moment même où il ouvrit la porte. Georgia n’était pas encore rentrée. Seulement demain… A l’inverse, seul restait…
Gajeel. Emmitouflé dans une plaid, encore vêtu de ses habits de la veille, qui dormait à poings fermés dans le magnifique et violet canapé du salon principal.
- Qu’est-ce que ? C’est comme ça que tu gardes une maison ? Vociféra-t-il en se postant à proximité du dormeur.
Pour toute réponse, le colosse de muscles se contenta de grogner :
- Je dors… Tu as un système de sécurité du tonerre qui réveillerait un mort…
Pas le vigile exceptionnel qu’il avait embauché pour l’occasion en revanche, visiblement. Ca c’était trop lui demander…
- Tu l’as testé ? Dans mon quartier ??
La frayeur s’emparait du notaire, il s’imaginait déjà demain recevoir une plainte du voisinage pour tapage nocturne. Ses yeux tournèrent vers le reste du mobilier, vérifiant qu’il était intact.
Parallèlement, Gajeel persistait dans son sommeil.
- Réponds !
Le coussin que lui jeta le notaire, répondit à peine sur le boxeur et retomba dans l’indifférence générale sur le sol. Cela eut un minuscule effet tout de même, car Gajeel ouvrit un œil
- J’ai pas besoin de tester, je te connais.
Cela aurait pu agacer Erwin dans d’autres circonstances mais il n’avait jamais su non plus résister à une flatterie, même inconsciente :
- Le pire, c’est que tu as raison. Je suis bien trop intelligent pour risquer quoique ce soit.
Il se sentait trop las pour tenter de se fatiguer à convaincre Gajeel de se lever, à l’inverse, il s’assit dans le canapé qui faisait face au boxeur, entreprenant de se masser les tempes dramatiquement :
- Profite que je sois exténué par ce voyage si épuisant pour des vacances si courtes pour te faire la moindre remarque.
A vrai dire, il n’exagérait qu’à peine, se sentait vide dans cette maison vide, s’ennuyait, se trouvait frustré.
- C’était pas si bien que ça ? Marmonna Gajeel, la tête toujours enfouie dans l’oreiller, quoique pour revenir aussi rapidement, laisse-moi deviner, ton chat te manquait.
Erwin pesta en détournant la tête. Et dire qu’il avait presque oublié l’existence de ce sac à puces… Aucun risque que cet animal lui manquât un jour. En revanche, son chien lui manquait. Pas ce qu’il était devenu en revanche…
- Ton sens de l’humour est défaillant. A revoir. J’espère seulement que tu t’es occupé de cette sale bête !
Il marqua une pause. Fallait-il réellement entrer dans les détails de ce bref séjour ? Midas restait le meilleur pour ce genre de confidences détaillées… Gajeel en revanche… Gajeel apprécierait un résumé concis, si bien qu’il s’entendit dire :
- Disons juste qu’entre la mécanique défectueuse de robots, quelques accidents osseux en tout genre et la clientèle bas de gamme, les vacances ont été écourtées…
Gajeel se mis à rire :
- Ce chat est adorable pourtant. Il a dormi dans ton lit, d’ailleurs.
Il lui tira néanmoins la langue comme pour lui signaler qu’il plaisantait. Ce qui ne rassura qu’à moitié le notaire… Il pouvait presque affirmer que ce chat de malheur était entré ici :
- J’espère pour toi que c’est réellement une plaisanterie, je n’ai pas envie d’investir dans un nouveau lit…
- Comme si je ferais ça...grommela Gajeel de cette voix qui faisait tout craindre à Erwin, justement, il n’y a rien eu. Même pas de courrier.
- Oh...Ca va être assez compliqué de te rémunérer sur du vide, mon cher, persifla-t-il l’air de rien, Georgia n’a reçu aucun appel ?
Même si cet imbécile avait prétendu l’avoir invitée ce dont doutait Erwin, l’aurait-il fait sur le téléphone fixe ? Pour tout vérifier, il aurait fallu avoir entre les mains le téléphone de son épouse.
- Parce que je devais être payé ? C’est pour moi ne t’en fais pas.
- Oh je ne m’en fais pas, je vais pas te forcer à recueillir un paiement… Mais tu peux rester cependant, je pense que je vais partir en voyage demain.
- Encore ? Pour aller où cette fois...Et attends des robots ?
Erwin haussa les épaules, oui, il était riche après tout, pourquoi refuser? Il voulait ses vacances! Il prenait cette décision sans être totalement certain de son bien-fondé et regrettait déjà, mais après tout :
- Georgia rentre cet après-midi, elle voulait aller à Paris, alors pourquoi pas. Je devais être en vacances, alors… Il marqua une pause puis hocha la tête : oui des robots, leurs émotions se traduisaient en smiley. Pourquoi ? Es-tu féru de technologie ?
Il n’avait pu cacher le ton goguenard de sa voix même savait que Gajeel ne s’en offusquerait pas :
- Les robots sont fait en métal, c’est tout.
Erwin se souvenait qu’il lui avait déclaré une fois changer sa peau en métal, se sentait-il...De la même famille que les robots ou un autre de ce genre d’idées farfelues ? Il n’insista pas tandis que Gajeel poursuivait :
- Je sens que j’aurais adoré que tu me racontes cette histoire, mais peut-être devrais-je disparaître avant l’arrivée de votre femme ?
- Oui, il vaut mieux. De toute façon, si je n’ai pas le temps de te la raconter, une autre le fera.
- J’ai hâte d’entendre cette histoire…
Il aurait mieux valu que non, en réalité, mon cher Gajeel… Evénement #119 : Everything is Awesome [Fe] - Page 4 479813545
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