« Pour réaliser une chose extraordinaire, commencez par la rêver.
Ensuite, réveillez-vous calmement et allez jusqu'au bout de votre rêve
sans jamais vous laisser décourager. » (Walt Disney)

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 on ne badine pas avec les vaches | james

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Weenonah Matoaka-S.
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Weenonah Matoaka-S.

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________________________________________ 2020-05-05, 18:42



on ne badine pas avec les vaches
James | Weenonah
🌷

La soirée telle que je me l’étais imaginée prenait un tout tournant. Je me souviens, ce matin, j’avais tellement hâte de tous les retrouver autour d’une bonne côte de bœuf, mais les choses avaient évolué : à la naissance de Fauve je ne m’y voyais plus du tout. James était une personne plaisante à écouter, et je savais que ma soirée allait être beaucoup plus réussie en sa compagnie qu’en la leur. La côte de bœuf ne serait que partie remise, bien évidemment.
Il pensait sincèrement que cela était de sa faute si nous ne les avions pas rejoints ? Je le regardais, claquant la portière de son 4x4 qu’il n’avait même pas démarré, et je le suivais en souriant, bras croisés tandis que nous nous rapprochions du bâtiment principal de son ranch.
« Ce sont des amis du lycée, nous nous connaissons depuis assez longtemps pour savoir que même si la soirée est annulée ce soir, elle se tiendra à un autre moment plus… opportun. » Je m’arrêtais un instant. « Ce n’est pas du tout de ta faute en tout cas : je crois que la soirée était vouée à l’échec avant même qu’elle n’ait lieu. On est grands maintenant, on a tous nos occupations, et même si j’avais été à l’heure la soirée était déjà annulée. »
Il s’était assis sur ses chaises d’extérieur, et je m’étais assise en face de lui. Il était vrai que l’endroit était beau : tout était calme, paisible, assez loin du centre-ville pour ne pas être importuné par les fracas bruyants des voitures, et j’adorais cela. Nous étions au plus proche de la nature dans un écrin de verdure qui valait vraiment le détour. J’étais réellement impressionnée par toutes ces installations qui en plus d’être très certainement onéreuses, étaient impeccablement propres. Il faisait vraiment bon vivre par ici, et je ne pouvais que comprendre le bonheur qu’éprouvait James à résider ici. D’autant plus si comme moi, il était l’ami des bêtes.
« Très sincèrement, je dois te féliciter pour la beauté de cet endroit James. Crois-moi j’en ai vu des exploitations, mais jamais aussi impeccable. »
Je le regardais avec de grands yeux ébahis et rieurs. Au même moment, il m’avait proposé d’aller rejoindre mes amis chacun leur tour au cas où nous avions quelque chose à fêter, ce qui heureusement n’était pas le cas, peut-être hormis la naissance de Fauve. Mais c’était quelque chose que nous partagions seulement James et moi, et aucun de mes amis ne comprendrait pourquoi nous fêtions cela avec eux. Je ne souhaitais pas partir d’ici. Tout était tellement agréable. Je me sentais portée par les odeurs singulières de foin et de bétail mélangées – odeurs qui auraient pu en gêner plus d’un, d’ailleurs – sans que cela ne me fasse grimacer.
« C’est gentil de me proposer mais je suis tellement bien ici que ce serait dommage de partir si tôt... »
Je souriais. J’avais l’impression de ne faire que cela : sourire, mais le contexte s’y prêtait bien. C’était un havre de paix, et j’avais déjà extériorisé toute la tristesse qui sommeillait en moi. Il s’était levé, se rapprochant d’un enclos avec deux cheveux. Naturellement, je l’avais suivi. C’est à ce moment ce que je découvris qu’en plus d’être propriétaires de vaches, James était également propriétaires de chevaux. C’était une double-casquette intéressante, qui lui permettait certainement de diversifier ses activités et la source de ses revenus. D’autant plus que ces chevaux avaient été sauvés d’une mort certaine. Je fondais. Même si je ne m’empêchais pas de manger de la viande pour éviter les carences alimentaires, je mettais un point d’honneur à ne jamais mettre de viande chevaline dans mon assiette tellement cette pratique me répugnait.
« Je ne comprends pas ces personnes qui acceptent de manger ces fabuleuses créatures. Elles ont toujours servi l’Homme des siècles durant dans un vrai Labyrinthe de tâches et c’est comme ça que nous les avons remerciés : en les assaisonnant dans une assiette. J’ai vraiment beaucoup de mal avec ça, mais je suis heureuse d’apprendre que tu n’en fais pas partie. »
M’approchant également de ces animaux majestueux, je tendis la main bien à plat vers les naseaux de l’un d’eux pour qu’il me renifle sans avoir la possibilité de me mordre. Montrant qu’il m’avait acceptée, il s’avança d’un pas et vint appuyer son chanfrein contre mon visage. Ces animaux étaient certes gigantesques comparé à un homme, mais ils ne m’effrayaient pas. James me proposa de monter à cheval, en me confiant qu’il souhaitait vérifier que ces neveux ne s’entretuaient pas. Amusée, je laissais s’échapper un léger ricanement, avant d’acquiescer.
« Nom d'un Champignon, tu as raison, ils sont vraiment magnifiques. Quelle horreur qu’on ait voulu les tuer. Et quel bonheur que des gens comme toi existent pour ralentir le frénétique commerce de leur viande. Inapte aux courses tu me dis ? Comme si les chevaux ne servaient qu’à cela… Comme si un cheval ne pouvant permettre une capitalisation à son propriétaire étaient des animaux bons à tuer et à dépecer. » A l’intérieur de moi, je bouillais. Imaginer ces deux bêtes sans défense dans une telle situation me mettait hors de moi. « C'est de la Folie, il y a tellement d’autres possibilités… Le pâturage, l’éveil des enfants avec les plus dociles d’entre eux… Pourquoi tout de suite l’abattoir ? Je suis révoltée. En tout cas, oui je sais monter même si j’ai appris sur le tard, mais j’adore cette communion avec le cheval. Bon, je ne suis pas la Reine de l'équitation. Mais ça devrait aller. Si je tombe j'irais me plaindre à Hadès pour sa mauvaise gestion de la ville. »

Je m’étais permise d’escalader les planches qui formaient la clôture, ayant au préalable vérifié si elle n’était pas électrisée. Les chevaux s’étaient reculés, quelque peu craintifs, mais lorsque je commençai à m’approcher d’eux à nouveau, ils s’étaient eux-aussi avancés, intrigués. C’était bien dommage que je n’aie pas de carotte ou de morceau de pain avec moi (en même temps, qui se balade avec une carotte et du pain sur lui ?), mais le simple fait que je positionne ma main devant moi suffisait amplement pour eux, visiblement.
« Oups, j’espère que cela ne te dérange pas que j’ai escaladé la clôture, je ne suis pas chez moi. »
J’avais pris un air faussement déconcerté, avant d’engouffrer ma main dans la crinière du cheval qui avait établi un contact avec moi.
« J’étais tellement emballée à l’idée de le chevaucher, que je me suis laissée emporter. Tu préfères monter à cru ou tu veux d’abord seller les chevaux ? J’adorerais faire une petite balade, et ce serait dommage que tes neveux aient fini de s’entretuer avant qu’on arrive. »
Me retournant fièrement vers James, avec un sourire plein d’éclat, je me voyais déjà galoper aux vents au travers des enclos. Par chance j’étais en jean et en baskets, et habillée du joli tee-shirt conservateur que m’avait prêté James, alors que d’habitude j’ai tendance à être bien plus féminine. Des talons auraient été bien plus problématique pour monter, avouons-le.
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James D. Fauntleroy
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________________________________________ 2020-05-08, 09:01

“Holly shit"






James, tout en regardant les chevaux courir, sourit à Weenonah en coin. On était des grands maintenant. Ca le fit sourire. Elle était marrante, cette jeune femme, pensa-t-il. Au moins, elle avait pleinement conscience d’être juste arrivée dans la vie active, et que le lycée n’était pas si loin que ça quand même. Lui, n’avait pas fait d’étude. Déjà, ca ne servait pas puisqu’il était riche, et ensuite, il n’en avait jamais trouvé l’intérêt. Rester assis derrière une table à écouter quelqu’un qui pensait détenir le secret de la vérité…. C’était ennuyant. Avec ironie, James lui répondit :

« Oui. Ca devait certainement être super. Tellement que c’est annulé. C’est ce qu’on fait quand quelque chose est super, on l’annule ! »


Tout en riant, James caressa le cheval et ricana à la remarque de Weenonah. Observant le cheval de côté, pour qu’il puisse l’observer dans les yeux, il attrapa par le cou et lui murmura quelque chose. Ce dernier trembla un peu et se détendit. James reporta alors son attention sur Weenie.

« Oui. Mais comme je l’ai dit… S’il n’y avait pas cela, les races seraient éteintes. Elles ont été faites par l’homme… Donc sans lui, elles disparaissent. C’est un vrai débat, et je suis sûr que beaucoup aient raison. Je fais ce qui me semble le plus juste, mais je ne peux pas tous les accueillir. Malheureusement. »


Quand elle posa la question sur comment monter, James ricana légèrement. Il avait encore quelques traits du canards, donc son rire, et ça lui donnait un air assez mignon. Sans répondre immédiatement, il alla sous un porche, qui était fait simplement avec quatre poteaux en bois et un toit en taule. Dessous, plusieurs selles étaient visibles. Allant vers elles, il scella d’abord le premier cheval, le siens, rapidement, puis se dirigea vers celui de Weenonah. Etant donné qu’elle était en train de le caresser, James passa proche d’elle et scella rapidement le deuxième cheval.

« C’est mieux avec une scelle pour eux. Même si je sais faire les deux, je ne les connais pas tellement ceux là. Ca aurait été Bucéphale que tu vois au loin, je t’aurai dit pas de problèmes ! Mais là, ils sont juste débourré. T’as pas l’air d’avoir peur, et visiblement, tu sais monter ! Donc je m’en fais pour... »


Sa tête se tourna, elle était à côté de lui, alors qu’il parlait. Son visage était proche du siens. Ses joues montèrent au rouge rapidement. James termina définitivement de sceller le cheval et resta un peu rouge.

« Toi. »


Il avait envie de l’embrasser, mais il se retint. Et si ça fonctionnait pas ? S’il prenait un rateau ? C’était déjà complexe, la vie de fermier pour trouver quelqu’un. S’il échouait et qu’elle allait le raconter à toutes ses copines, il pouvait rapidement baisser en côte de popularité et perdre définitivement la chance de trouver quelqu’un.
Autant prendre d’abord la température ? Posant une main sur son épaule, doucement mais pas comme un pote non plus, il lui décocha un sourire en coin, malicieux et espiègle comme il en avait le secret et dit :

« Tu devrais pas avoir besoin d’aide pour monter ! »


Elle était en jean et en basket. James, lui, adorait quand les femmes étaient habillés comme ça : au pratique et au naturel. Elles pouvaient se mouvoir sans artifice au naturel, et faire exploser leur charme. C’était le cas de Weenonah.
James monta sur son cheval d’un geste rapide et en une enjambée. Serrant la bride, le cheval souffla un peu. Il avait pris le plus tonique.

« On se retrouve là bas ! »


Et, il partit au galop. Ses chevaux et son visage au vent, il respira l’air pur autour de lui. Le pré était assez grand. Au loin, il pouvait distinguer trois adolescents en pleine dispute. L’un avait un marteau et tenait en respect les autres.

« M’APPROCHEZ PAS ! OU J’VOUS DEGLINGUE »


James s’arrêta à quelques pas, et ils tournèrent la tête tous les trois. A la vu de leur oncle, Riri lâcha immédiatement le marteau et dit :

« On jouait. La cloture est réparée ! Enfin je crois... »


Sacré jeu. James eut un léger sourire en coin. Les trois garçons tournèrent leur visage en même temps vers Weenonah et se figèrent. Alors ; un sourire en coin, un peu pervers naquit sur leurs visages. James, de dos à Weenie, les foudroya du regard. Un regard qui en disait… long.
Le premier qui faisait une remarque allait être puni, pour des mois. Voir à vie.





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________________________________________ 2020-05-09, 19:37



on ne badine pas avec les vaches
James | Weenonah
🌷

Alors nous allions réellement faire cette balade à cheval. Je palpitais. Le cadre était parfait : au soleil couchant, les couleurs du ciel étaient magnifiques, teintées d’ocre et de rose à l’horizon, puis un bleu grisé lorsque je levais les yeux. Cela tranchait à merveille avec les différents tons verts de toute cette nature qui nous entourait. Lorsqu’il était passé près de moi, pour seller mon futur canasson d’un soir, si près qu’il m’avait presque électrisée de son regard, je sentais mon palpitant battre de plus belle. Il faut se l’avouer, il était charmant. Serviable, gentleman, et charmant. Sa main se posant sur mon épaule m’avait presque fait tressaillir, mais je m’étais contentée de lui sourire. Un sourire grâcieux, plein de charme, toutefois teinté d’un léger embarras. Il rougissait. Cela ressemblait presque à une drague retenue, tout à fait timide et hésitante. Ce n’était pas désagréable. Il y avait dans son regard une sorte de malice plaisante me faisant penser à un enfant qui fixait de ses grands yeux ronds une vitrine pleine à craquer de bonbons en tout genre qu’il avait envie de goûter les uns après les autres.
Il m’avait captivée. Alors que je le regardais s’éloigner au galop par-delà les enclos, je m’étais laissée fondre sur place. Je n’arrivais pas à mettre de mot sur ce qu’il était entrain de m’arriver, mais je sentais une effusion de sang me monter à la tête, et j’aurais pu parier que je m’étais mise à rougir moi aussi en repensant à son regard posé sur moi. Captivée. Les jambes en guimauve, j’avais secoué la tête pour remettre mes idées en place tellement mes pensées étaient parasitées par des images bien trop peu catholiques. Il faut dire, les hommes bons et charmants tels que se montrait James ne couraient pas les coins de rues storybrookiennes à mon sens. Me faire draguer de la sorte par une personne qui elle aussi avait tout mon intérêt arrivait uniquement tous les trente-six du mois.
Babibel – oui, c’était le petit nom provisoire que j’avais donné à ma monture vu que j’ignorais son nom – m’avait sorti de ce temps de réflexion en me donnant en léger coup de tête sur la hanche, l’air de dire eh oh moi aussi j’veux galoper comme mon copain. Lui caressant le toupet, je l’avais la minute d’après chevauché pour aller rejoindre James. La prise en main au début assez certes assez hésitante, mais j’avais réussi à assez vite m’y faire. D’abord au pas, mais Babibel n’était pas vraiment de mon avis : il avait filé à toute vitesse pour rejoindre son pote, et je ne m’y attendais vraiment pas.

M’agrippant comme je pouvais, je faisais mon maximum pour ne pas tomber et donc me ridiculiser devant James. Cela aurait été certes drôle, mais mon amour-propre en aurait pris un coup. Rapidement, je parvins à être à mon aise, et j’avais fini par le rejoindre. Je rencontrais donc ses trois neveux dont il m’avait parlé tout à l’heure dans la grange. Ils semblaient tous les trois pleins de fougue, et à les voir ils étaient exactement tels que je me les imaginais.
En revanche, ils me perturbaient à me fixer comme ça.
« Ben alors les garçons, on ne dit pas bonjour ? »
Tout sourire, j’avais passé les rênes dans une seule de mes mains, et je m’étais appuyée de l’autre sur le pommeau de la selle. J’avais oublié à quel point cela manquait de confort, une selle. Western ou pas, pour une demoiselle (et même pour ces messieurs) c’est vraiment une sensation d’oppression.
« J’imagine que vous êtes Riri Fifi et Loulou, les neveux de James ? Enchantée, je suis Weenonah. Je suis… la nouvelle véto, votre oncle vient de m’engager. »
Tournant mon visage vers James, je lui avais adressé un sourire de gratitude, avant de me retourner vers ses trois neveux. Qui me fixaient toujours, avec un sourire indéchiffrable en coin. Mais pourquoi ? Est-ce que je me tenais mal ? Est-ce que j’avais un bout de salade coincé entre mes dents ? Est-ce que mon tee-shirt s’était relevé au moment où je galopais avec Babibel et il s’était coincé dans mes dessous ?
« Mais vous pouvez m’appeler Weenie. Comme l’Ourson. »
J’avais tout de même vérifié d’un coup d’œil rapide pour l’histoire du tee-shirt. Je ne voudrais pas choquer des âmes aussi sensibles !
Un silence. Je ne m’attendais pas à un accueil aussi… distant, mais j’allais faire avec. Ils étaient peut-être seulement impressionnés de voir une femme à cheval. Ou même de voir une femme tout court après tout. Il est vrai que l’univers fermier n’était pas le plus glamour qui soit, mais heureusement je n’étais pas de ces femmes glamour qui ont besoin de voitures de luxe et de restaurants haut-de-gamme pour se sentir bien.
« J’ai interrompu quelque chose ? »
Je m’étais retournée vers James, lui chuchotant mes préoccupations, soucieuse de savoir si je tombais mal. Cela pouvait aisément se lire dans mon regard. Rênes totalement détendues, Babibel avait commencé à brouter l’herbe au sol. Aucun des neveux ne répondait. Ils se contentaient toujours de me fixer, et cela devenait vraiment très dérangeant. Finalement j’avais décidé de resserrer légèrement l’emprise que j’avais sur le mors de Babibel avant de donner un léger coup de talons sur ses flancs. Même s’il n’était que débourré et non dressé, celui-ci semblait plutôt bien m’obéir sans faire de frasque. Nous nous éloignions donc, laissant les hommes entre hommes, et j’avais commencé à emprunter un petit chemin qui partait dans le sens inverse au ranch. Je savais que James allait me rejoindre, mais je me disais qu’il avait peut-être deux ou trois petits soucis de communication avec les jeunes ce qui expliquait sans doute l’accueil peu chaleureux qui m’avait été réservé. Ils avaient certainement des choses à régler.

Quelques instants plus tard, il m’avait effectivement rejointe au galop tandis que je demandais à Babibel de rester au pas pour profiter de la beauté de la nature. Il avait vraiment beaucoup de chance de vivre dans un cadre aussi privilégier, et je l’enviais pour ça.
« Ils n’étaient pas très loquaces tes neveux. Ils sont toujours comme ça ? Je ne pensais pas effrayer la jeunesse à ce point-là, à vrai dire. »
Je riais timidement tandis que je me confiais. Il est vrai que j’avais été perturbée par cette rencontre que j’imaginais… autrement. Sans lui dire que cela m’avait presque choquée, je me contentais d’encore une fois le dévorer des yeux. Qu’il soit à pied ou à cheval, il dégageait une certaine aura qui le rendait vraiment très attachant. Je devais presque me retenir de me mordiller la lèvre inférieure.

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James D. Fauntleroy
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________________________________________ 2020-05-11, 23:07

“Holly shit"






Les trois garçons étaient bouche bée. Sans bouger, celui au marteau pivota lentement. Très lentement. James se mit à rire aux éclats. C’était extrêmement rare qui ramène une fille à la maison, et surtout encore plus rare qu’il l’a présente à ses neveux. En général ; il se contentait de… la laisser partir, dirons nous. La famille, surtout celle là, était assez complexe à gérer. Mais… Elle avait, un je ne sais quoi, qui disait à James de l’amener les voir. D’ailleurs, c’était tant mieux ; car ils étaient en train de s’entretuer. Sur son cheval, James regarda ses trois neveux en s’appuyant sur le cou de l’animal, rieur.

« Alors, les garçons ? On ne dit pas bonjour à sa nouvelle Vétérinaire en chef ? »


James sourit en coin, et descendant du cheval, se dirigea vers celui qui tenait le marteau. D’un mouvement instinctif, il lâcha le marteau et rejoignit ses frères.

« Bonjour Madame Weenie. »
dit le premier.

« Vous êtes belles, vous devriez penser à plus qu’une simple liaison de travail ! »


« Il a raison. On ne voit pas souvent de filles par ici... »


James leva le marteau. Et l’examina. A ce geste, les trois garçons reculèrent. Prenant un air faussement méchant, il allait s’amuser un peu. Regardant le métal, il enchaîna :

« Vous savez ce que c’est ça ? »


Le plus courageux d’entre eux le fixa, et déclara :

« Un marteau... »


James leur jeta à leurs pieds. Le visage un peu dur, il les regarda en croisant les bras. Avec un soupire, cette fois-ci réel, il poursuivit :

« De la rouille. Et vous savez pourquoi ? Parce qu’il est resté dehors toute la nuit... »


L’un des trois l’observa et fit une grimâce en déclarant :

« On s’en fiche, on est riche, on peut s’en acheter pleins d’autres... »


James s’avança. Les deux autres se ratatinèrent, comprenant qu’il était aller trop loin. Beaucoup trop loin. Il n’allait pas les frapper o_O. James détestait la violence, et elle ne résolvait rien du tout. Il allait être ferme, et leur éduquer les bonnes manières, comme il le faisait toujours, avec une leçon de morale, dont ils allaient se souvenir.

« Ce n’est pas une raison pour esquinter ce marteau. Ce n’est pas parce que nous avons les moyens que nous devons le montrer, et encore moins pour abîmer inutilement un objet utile. Vous ne pourrez pas toujours vivre dans l’opulence. Et il arrivera un jour, où un marteau pourra vous coûter de l’argent. On ne le dépense pas inutilement. C’est comme ça. On prend soin du matériel. Allez à la ferme, et commencez la traite des chèvres, j’arrive. »


Personne ne rouspeta. Son neveux en face de lui, prit le marteau, dans une moue désolé et détourna le regard. James les suivit des yeux jusqu’à ce qu’ils soient hors de voix. Il crut entendre des mots d’excuses envers Weenie de la part de chaque garçon. C’était la meilleure. C’était à lui et au marteau qu’ils devaient des excuses ! Pas à une inconnue !
James grimpa sur le cheval, et la rejoignit. Elle n’était pas allée bien loin. Arrivant au trot juste à côté d’elle, il la fixa avec un sourire en coin.

« Désolé, ils sont un peu… Perdus. Ce sont des enfants gâtés, mais qui ont eu la vie dure, je sais ce que c’est… »


Tout en avançant, James arriva à ses côtés, à bonne distance. Libérant lui aussi un peu les rênes, pour laisser le cheval suivre celui de Weenie en cadence, il se prêta à sourire et dit :

« Par contre, je crois que tu les as impressionnés… Ils ont pas l’habitude de… euh. De voir des filles on va dire. »


James continua à rester à côté d’elle, et observa le comportement du cheval d’un air assez ravi. C’était à double tranchant, il lui avait laissé sans vraiment savoir ce qu’il faisait. Le cheval était récent et ça aurait pu mal se passer. Mais elle avait vu assez d’étude pour repérer un comportement dangereux chez un animal. Il avait eu confiance, et il avait bien raison.

« Tu le veux ? Il est à toi. Il est arrivé la semaine dernière, je prends les pensions sans soucis ! Pour toi ça sera gratuit ! On appelle ça un échange de service ! Et je t’ai entendu lui murmurer, il adore ça. Je ne connais pas son prénom, donc il a eu le nom d’une couleur, tu peu xlui changer si tu veux. Il s’appelle Marron. Mais… Tous les autres noms pourront lui aller. Je crois qu’il aime bien être… Juste avec toi. »

James sourit en coin. Il y en avait un autre. Mais ça, il préféra le garder pour lui. Arrivant dans un bois, il s’arrêta au bout du chemin et se tourna vers Weenie :

« Je crois qu’on a atteint les limites du champs. Tu veux continuer ? »







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