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 [Amélia] JE VEUX LE POGNONS ET QUE ÇA SAUTE PAS! Tu saisie?

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Stanley Ipkiss
« J'ai pas trouvé où on peut demander un rang personnalisé... ! »

Stanley Ipkiss

| Avatar : Jim Carrey

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Fêtard

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Cartoonesque

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N'est pourtant qu'un homme.

| Conte : The Mask
| Dans le monde des contes, je suis : : Stanley Ipkiss alias le masque

| Cadavres : 32



[Amélia] JE VEUX LE POGNONS ET QUE ÇA SAUTE PAS! Tu saisie? _



________________________________________ 2021-01-17, 22:22

C’était un soir d’hiver bien banal. Il y avait une douce petite neige qui tombait dans les rues de Storybrook et seuls les réverbères éclairaient les rues. Les gens terminaient leurs emplettes, d’autres fermaient les portes de leurs boutiques. D’autres jetaient les poubelles comme cette fameuse Amélia Peters qui ne se doutait nullement qu’un homme l’observait de l’autre côté de la rue. Non... Ce n'était clairement pas un pervers ni un dangereux psychopathe. Heureusement pour elle-même si cela ne changeait nullement ce qui allait se produire dans l’immédiat. Après tout, un kidnapping, ce n'est pas gentil non plus même si la personne ne comptait pas torturer sa victime. Ah bah oui, quand même! Ce n’était pas pour lui souhaiter un joyeux anniversaire qu’il se cachait permis les ombres, le monsieur!

Cedit monsieur était Stanley Ipkiss. Les gens qui le connaissent ne se méfieraient clairement pas de lui. Ce n’était pas un mauvais gars, juste un brin clownesque. C’était un bon père de famille, un bon vivant qui aimait bien s’amuser avec ses copains, mais il n’était pas un assassin ou un grand méchant de film Disney. S’il était là à ce moment-là était, certes, pour commettre un crime, mais ce dernier était dans le but d’aider des enfants malades. C’est assez étrange de se dire que ce “vilain kidnappeur” avait un but altruiste, mais c’était bel et bien le cas. Il voulait viser une personne en particulier en commentant son crime. Cettedite personne avait de la richesse en trop et ne pensait pas aux pauvres. Donc, il était important pour lui de redistribuer ces richesses.

Son masque vert en main, il l’approcha de son visage et se mit à tourner sur lui-même comme une toupie géante dans une lueur vert si intense que même Peters ne pouvait pas la rater. Rapidement, il se transforme en un personnage cartoonesque tout vert portant un costume jaune banane. Il sort de sa poche une perruque de clown et des ballons soufflés l’hélium. Avec son grand sourire, il s’approche des poubelles où se trouvait sa victime et il se mit à chanter "joyeux anniversaire". Comme elle semblait vouloir lui dire quelque chose, il mit son index devant ses lèvres en faisant: “ CHUUUUUT”.


-C’est impoli d’interrompre les gens! Je vais devoir vous punir pour ça! Attention, ça va faire une MÉCHANTE BOSSE HÉHÉHÉHÉHÉHÉHÉ!


Sans prévenir, il fouille à nouveau dans la poche de son manteau pour sortir une poêle en fonte et frapper sur la tête de la demoiselle. Il la rattrape dans ses bras quand elle tombe sans connaissance. Quand elle se réveille, ils sont dans un entrepôt délabré où personne ne songerait aller les chercher. Elle est attachée solidement assise sur une chaise et le masque ne la regarde pas, jonglant avec des balles. Un téléphone se trouve sur la table près de lui.


-Bon réveil madame Peters. Votre patron va prendre les appels à partir de quelle heure? Je ne serais plus moi-même dans quelques heures, je dois donc prendre des notes pour ne pas OUBLIEEEEEER! Quelles mauvaises manières j'ai! Je ne me suis pas présenté! Je suis le masque et ce n'est pas vous qui m'intéressez, mais le maire.


Amelia Peters
« La vie c'est pas de la tarte ! »

Amelia Peters

| Avatar : Alyssa Milano

Propriétaire de La Pelle à Tartes : La vie, c'est pas du gâteau mais la pâtisserie, si !

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| Conte : Le Roi Lion
| Dans le monde des contes, je suis : : Diku

| Cadavres : 3376



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________________________________________ 2021-01-17, 23:26 « La vie c'est pas de la tarte ! »

La journée avait été longue, excitante et épuisante, de fait. Tenir une boutique demandait de l'énergie, heureusement, Amelia en avait à revendre - en plus de ses nombreuses pâtisseries. En ce soir de janvier, il était 18h passées et Cassie, sa salariée, venait de quitter La Pelle à tartes pour rentrer chez elle où, vraisemblablement, elle regarderait la télé en caressant son gros chat qui dormirait sur ses genoux. Comme Amelia, Cassie n'avait pas une vie particulièrement passionnante mais adorait faire des gâteaux. C'était cela, entre autres, qui les avaient rapprochées. D'ailleurs, Amelia ne tarderait pas à rentrer chez elle pour faire sensiblement la même chose, même si elle n'avait pas de chat, seulement deux grands enfants à nourrir pour qui elle avait hâte de cuisiner le dîner.
Son sac à main sur l'épaule, la pâtissière s'assura que la porte de devant était bien fermée, éteignit les lumières et traversa sa boutique à présent plongée dans le noir pour sortir par derrière, en profitant pour jeter les poubelles avant de fermer la porte de service, celle qui menait directement au labo. Rêveuse de son état, Amelia ne faisait pas particulièrement attention à l'environnement autour d'elle et ne se serait jamais doutée qu'on pouvait être en train de l'espionner. Ce n'est, de fait, que lorsqu'elle entendit une voix masculine chanter "Joyeux anniversaire" qu'elle releva la tête, étonnée.
Ce n'était sans doute pas pour elle, car son anniversaire tombait fin juillet, mais, dans cette ruelle derrière les commerces de la place, c'était quand même curieux de venir chanter des chansons. Qui plus est en se déguisant en clown, comme c'était le cas de l'homme qui approchait. Amelia papillonna des yeux et l'observa, restant plantée devant les bennes qu'elle venait de remplir des ordures du jour. Elle ouvrit la bouche, plus de stupéfaction que pour réellement dire quelque chose (que dire devant un pareil spectacle, d'ailleurs ?) mais l'homme interpréta cette réaction d'une toute autre façon.
Et le temps que son interprétation ainsi que les conséquences qu'elle impliquait fasse son bonhomme de chemin dans l'esprit - fatigué, il est vrai - d'Amelia celui-ci n'eut plus guère le temps de penser à quelque chose. La pâtissière était sonnée, assommée par un coup de poêle sur la tête. Oui, ça ferait une vilaine bosse, effectivement. Mais cette réflexion, Amelia l'aurait plus tard.

La pâtissière se réveilla un certain temps (combien exactement, elle n'aurait pas su le dire) plus tard, ligotée à une chaise. Elle aurait bien eu besoin d'un doliprane pour faire passer la vive douleur sur sa tempe et peut-être aussi d'un scanner pour s'assurer qu'elle n'avait pas de commotion. Mais à juger par l'allure de l'endroit où Amelia était, sans compter le fait qu'elle y était retenue, il ne s'agissait pas d'un hôpital et le check-up devrait donc attendre.
Continuant son observation silencieuse, Amelia posa les yeux sur un homme qui lui tournait le dos. Son ravisseur. C'était bien la première fois qu'Amelia se faisait kidnappée et elle avait du mal à comprendre l'intérêt que cela pouvait représenter. Elle n'avait pas de grande fortune, n'embêtait jamais personne, n'avait pas de lien avec la mafia locale et pas d'ennemis à sa connaissance. Heureusement, façon de parler, l'homme ne tarda pas à révéler la raison de ce kidnapping. Et elle était plus que surprenante, y compris pour Amelia dont l'imagination était pourtant très fertile.
Avec de gros yeux sidérés, elle répondit pourtant la vérité :
- C'est rarement le maire qui prend les appels à la mairie, c'est pour ça qu'il a une secrétaire ou des conseillers municipaux spécialisés dans certains domaines. Pour les questions financières, notamment, y en a un dédié, précisa-t-elle rapidement, car on kidnappait souvent les gens pour ce genre de choses, d'après son expérience qui se résumait aux séries policières. Et puis je ne sais même pas quelle heure il est, ni combien de temps j'ai dormi. Comment voulez vous que j'estime quand est-ce que les appels seront pris sachant qu'en plus il ne les prendra probablement pas lui-même ? Vous lui voulez quoi, au maire, d'abord ? Je voudrais pas vous vexer parce que je suis pas certaine que ce soit bienvenu de vexer son ravisseur, mais si vous vouliez un moyen de pression sur le maire, fallait peut être enlever sa fille ou sa femme ou une amie proche. La secrétaire... c'est triste pour moi mais je vois pas en quoi ça va le soucier.
C'était évidemment très mal joué de la part d'Amelia que d'affirmer qu'aux yeux de Hadès, que le Mask voulait faire chanter, elle ne comptait probablement pas beaucoup (sauf quand il s'agissait de faire des gâteaux et de lui racheter du papier pour écrire des contrats), et la pâtissière en avait conscience, tout comme elle avait conscience de ne jamais pouvoir s'empêcher de dire la vérité. Peut-être que cette nuit allait bêtement signer son arrêt de mort simplement parce qu'elle était incapable de mentir.
http://www.ouat-storybrooke-rpg.com/t12266-c-est-l-histoi http://www.ouat-storybrooke-rpg.com/f78-la-pelle-a-tarte
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