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 La fête des voisins, où une manière d'en apprendre plus sur vos amis ! [Fe]

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La fête des voisins, où une manière d'en apprendre plus sur vos amis ! [Fe] _



________________________________________ 2021-03-30, 23:01

La fête des voisins, où une manière d'en apprendre plus sur vos amis !
ft. Alexis Child


Le printemps avait débuté, apportant avec lui le beau temps, les journées plus longues et la chaleur. Et ce n’était pas tout ! Le printemps annonçait le début des barbecues. Le premier auquel Violette avait été conviée était celui organisée par la Mairie, à l’occasion de la première fête des voisins de Storybrooke. La lettre d’invitation avait été rédigée par Hadès et évidemment, Violette n’avait pas pu s’empêcher d’ajouter un PS pour rectifier certaines choses. Le Dieu des Enfers avait vraiment un problème pour rédiger des textes clairs et concis. Mais le plus important n’était pas l’invitation, en soi. C’était cette fameuse fête. Il était évident que Violette y participerait. Habitant dans le quartier Est, Violette trouvait cela logique de participer à la fête de son quartier. Mais cette logique n’avait pas traversé tout le monde dans la coloc. Socrate n’était plus leur coloc, donc évidemment, il ferait la fête dans son nouveau quartier. Magrathéa ne semblait pas très motivée pour participer. Quant à Apple, cette dernière avait décidé de ne pas se rendre dans leur quartier. Et enfin, Nora…Bonne question ! Violette n’avait aucune idée de ce que la brune comptait faire. Aussi, Violette se considérait comme la seule colocataire à participer à la fête des voisins du quartier.

Et ça, c’était pas cool ! Oh, elle n’en voulait absolument à ses colocataires. Simplement, elle savait que ça serait elle qui allait faire la cuisine. Venir les mains vides à une fête des voisins, c’était impoli. Mais est-ce que c’était poli de venir avec quelque chose d’horriblement mauvais ? Tout le monde connaissait la piètre cuisine de Violette. A la maison, ce n’était pas elle aux fourneaux, loin de là ! Alors Violette appréhendait simplement ce moment où elle allait devoir concocter un petit plat. Et finalement, c’est vers une salade que Violette décida d’aller. Une salade de pâte, plus précisément. Grâce à une recette trouvée sur internet, la jeune femme avait réussi à préparer quelque chose de potable. Est-ce que c’était bon ? Violette ne savait pas. Et elle ne préférait pas se risquer à goûter.

Les mains pleines, Violette s’était rendue dans un petit parc qui se trouvait au milieu du quartier. Il y avait des chaises, des tables et des plus grandes tables où étaient posés les différents plats amenés par les habitants du Quartier. Violette se dépêcha de poser son saladier et de s’éloigner du buffet. Elle profita de cet éloignement pour observer les alentours. Les gens arrivaient petit à petit, tous avait levé au moins une fois leur tête vers la grande banderole où été écrit « BIENVENUE A LA FÊTE DES VOISINS ! ». Violette connaissait certaines personnes présentes. Elle espérait voir sa famille, qui vivait dans le même quartier. Elle espérait également voir Meredith. Pour le reste, elle ne savait pas réellement qui viendrait, qui ne viendrait pas. Puis après tout, si Apple avait décidé d’aller faire la fête dans un autre quartier, peut-être que d’autres personnes feraient comme elle ?

Néanmoins, parmi les invités, Violette fut rapidement intriguée par une famille. C’était la toute première fois qu’elle voyait leurs visages. Et le moindre que l’on puisse dire, c’est qu’ils semblaient plutôt louches. D’ailleurs, il n’y avait pas que cela qui était louche. Violette se souvenait les avoir vu sortir de leur maison….et c’était une maison qu’elle n’avait jamais remarqué auparavant. Comme si elle était apparu, en ce jour de fête, comme par magie. Tout cela était étrange…

Mais les interrogations de Violette s’envolèrent très rapidement lorsque son regard croisa celui d’Alexis. ENFIN ! Depuis le temps qu’elle voulait la voir. Violette savait qu’elle était de retour depuis la dernière dizaine de Mars…Mais malheureusement, les deux jeunes femmes n’avaient pas réussi à s’organiser quelque chose. Parler au téléphone, c’était bien mais pas pour ce que Violette avait à lui demander. Aussi, en voyant Alexis, Violette était heureuse mais également très stressée. Néanmoins, elle s’avança vers Alexis avec un large sourire. Elle la prit dans ses bras avant de lui coller un bisou sur la joue.

« Eh bien c’était le dernier endroit où je m’attendais à te voir ! Je savais pas que tu avais déménagé dans le quartier Est ?! »

Violette savait qu’il était question d’un déménagement du Centre-ville à un autre quartier. Mais la brune n’avait pas imaginé celui-là. Ou alors…ce n’était pas ça ? Et peut-être qu’Alexis faisait comme Apple ? Squatter la fête d’un quartier qui n’était pas le sien ? Peu importait pour Violette. Elle était heureuse de voir son amie.

« Juste un petit conseil. Tu vois le saladier rouge avec des pois blancs dessus ? Surtout ne prends pas ce qu’il y a dedans. J’aimerais pas que tu meures intoxiquée à cause de moi » rigola Violette, tout en étant pourtant très sérieuse.

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________________________________________ 2021-03-31, 18:53 « Allez dans la Lumière. C'est au détour d'une Ombre que nous attends le Mal. »




La fête des voisins, où une manière d'en apprendre plus sur vos amis !


J’avais fini par appuyer sur “envoyer”. Nous étions le samedi 4 Avril et il faisait beau. Une belle journée pour se balader, rencontrer peut-être aussi des gens et la Fête des Voisins était sans aucun doute le meilleur moyen d’y arriver. J’avais posé les yeux sur l’invitation que j’avais reçu de la mairie juste après mon SMS, un sourire satisfait sur le visage. Cette journée, je n’avais prévu de la passer avec personne en particulier mais je savais que j’allais y voir tout le monde. Il n’y avait pas de festivités prévues dans le Centre-Ville mais on but était bien plus de me diriger vers le Quartier Est où vivait mon meilleur ami. Nous avions ri la veille sur la probabilité de faire cramer la moitié de la ville si nous nous occupions du barbecue et je leur avais promis de passer une tête. De toute façon, mise à part le boulot et les cartons, je ne faisais plus grand-chose, sortir la tête de mon déménagement me ferait le plus grand bien. J’espérai peut-être y voir Erwin aussi, il était le destinataire de mon message. Bien que l’annonce de ma grossesse n’eût pas été des plus plaisantes à faire, nous tentions de passer outre ce moment de malaise et de continuer à profiter de ce que nous avions. D’une certaine façon, ça s’était peut-être aussi mieux passé que je ne l’avais prévu... Il ne m’avait déjà pas obligé à avorter, c’était déjà ça.

Comme il était à la Mairie, il devait sans doute être de tous les fronts. Je savais que sa femme s’occupait aussi des préparatifs pour leur gala de charité du soir dans le Quartier Nord mais il m’avait parlé d’une éventualité de se montrer dans les autres Quartiers. Prenant de l’avance, je lui avais précisé donc vers où je comptais me diriger, juste au cas où nous devions nous rencontrer “par hasard”. J’avais posé un dernier regard sur ma tenue, un jean taille basse et un pull en maille suffisamment loose pour me permettre de cacher le petit rebondi de mon ventre. J’avais besoin d’être à l’aise, n’en déplaise au “trésorier” de la ville si jamais une rencontre était prévue. J’avais également opté pour des baskets histoire d’être à plat et après un moment d’hésitation, j’avais récupéré le carton d’invitation avant d’observer le panier de ma licorne et sa propriétaire qui se reposait allégrement dedans :

— Pétu ?

Instinctivement, elle avait relevé la tête, les oreilles en alerte.

— Tu veux venir avec ?

Je m’étais accroupi pour lui faire renifler l’invitation. Elle avait eu un tout petit éternuement que j’avais pris pour un oui et je lui avais souris. J’avais tenté de me relever mais elle avait posé un de ses sabots sur mon genou pour m’en empêcher. Avec toute la douceur dont elle était capable, ce qui voulait déjà dire beaucoup pour elle, elle avait posé un instant sa gueule contre mon ventre et j’avais senti de l’air chaud passer par ses naseaux. Je lui avais caressé la crinière avec un petit rire avant de me relever finalement. Je ne savais pas trop comment elle avait compris que j’étais enceinte mais depuis le début, elle faisait presque autant attention à ce bébé que moi et il n’était pas rare qu’elle vienne lui faire des bisous par ventre interposé. J’avais récupéré sa laisse multicolore qu’Elliot m’avait offert ainsi que le saladier de salade de pomme de terre que j’avais faite. J’étais pas immunisé contre la toxo, j’avais donc tout un pan de ma vie qui s’était stoppé et notamment les barbecues en bon et due forme. Mais ce n’était pas grave, c’était un sacrifice que je faisais volontiers et j’adorais la salade de pomme de terre, alors...

Après quelques minutes de marches, j’avais rejoint le petit attroupement qui se faisait au niveau du parc. Pétunia avait alors regardé en direction de l’air de jeu pour enfant et s’était stoppée net au point que je ne parvenais plus à la faire avancer. Soupirant, j’avais fini par lui retirer la laisse avec les conseils habituels :

— Bon bon... tu peux aller jouer mais tu viens tout de suite quand je t’appelle, ok ? Pas de destruction et tu es gentille avec les autres enfants.

Elle avait eu un hochement de tête avant de partir comme un boulet de canon en direction du parc où des cris d’enfants s’étaient élevés avec une seule et même voix :

— UNE LICOOOOOOOOORNE !

Pétunia avait pourtant toujours détesté les enfants. C’était étrange, je me souvenais encore du jour où Jack l’avait enlevé pour la faire se montrer aux enfants malades de l’hôpital. Si elle avait semblé apprécié toute l’attention qu’on lui portait dans un premier temps, elle avait vite perdu patience face à toutes ces petites mains sur son corps. Pourtant, depuis quelques temps, elle raffolait des enfants, jouaient avec eux dès qu’elle le pouvait, comme si elle s’entraînait pour le jour de mon accouchement. Avec un sourire ému à cette pensée, je m’étais dirigée vers la table des victuailles pour y déposer ma salade de pomme de terre.

— Bonjour.

— Bonjour !

Je m’étais tournée avec un sourire vers la personne qui m’avait parlé. C’était une grande femme blonde, avec une coupe au carré qui semblait venir des années 50. Elle avait d’ailleurs un petit bandeau dans les cheveux et les pointes rebiquaient vers le ciel, comme dans les années 50. Même sa tenue ne semblait pas très appropriée. Elle avait un regard perturbant, des yeux cris mais qui semblaient me voir sans me voir. Un peu mal à l’aise, j’avais posé mon saladier avec l’espoir de m’en aller mais elle avait rajouté rapidement en plongeant son œil dans le bol :

— Il y a du maïs là-dedans ?

— Euh... Non...

— D’accord, merci. Au revoir.

— Au... revoir...

Sans demander son reste elle s’était détournée de façon assez rigide pour se diriger vers le reste de sa famille qui semblait planté comme un piquet. Même le petit garçon ne semblait avoir aucune volonté d’aller jouer avec les autres. C’était assez étrange et maintenant que j’y pensais, ils ne me disaient absolument rien. Je sursautais alors, sortant de mes pensées lorsqu’une voix que je connaissais bien m’interpella. Me retournant, mon regard avait croisé celui de Violette et je lui avais souri tandis qu’elle s’approchait pour me prendre dans les bras. J’étais toujours un peu mal à l’aise face à ce moment, comme si toute personne me faisant un câlin pouvait sentir le petit être en mois, comme si en gros mon ventre avec la circonférence d’une pastèque, ce qui n’était clairement pas le cas. Je lui caressais pourtant doucement le dos avant de me détacher pour l’observer :

— Non non, je n’ai pas déménagé dans le Quartier Est, je suis juste en visite.

J’avais éclaté de rire avant de préciser :

— En fait, je suis toujours en Centre-Ville pour le moment et je vais pas tarder à déménager Quartier Nord, j’avais besoin d’un peu plus d’espace et de revenir à mes sources. Mais la plupart de mes amis habitent par ici donc je m’étais dit que ce serait sympa de passer une tête ! Et la preuve, te voilà ! Je suis contente de te voir !

Elle m’avait parlé de sa propre salade et j’avais éclaté de rire en me tournant pour observer le saladier qu’elle m’avait décrit. Le mari de la femme que j’avais croisé tout à l’heure, tout aussi étrange que son épouse, d’ailleurs semblait regarder la salade de pâte avec une attention toute particulière. J’avais légèrement grimacé en précisant :

— En tout cas lui, il a l’air d’être à fond sur tes talents culinaire... t’as mis du maïs dedans par hasard ?

Les observant un peu plus en détail je lui avais demandé :

— Tu les connais ? Ils ont l’air sacrément chelou quand même... m’enfin bon...

Je m’étais retournée vers mon amie pour l’observer de nouveau, de haut en bas. Elle avait l’air en forme... et seule. C’était quand même bizarre d’aller à une fête de ce style seule, non ? Je remarquais alors que je l’étais tout autant qu’elle mais je me souvenais de nos dernirèes conversations où elle était restée évasive sur plusieurs sujets et notamment certains dont elle devait apparemment parler avec moi quand on se verrait. C’était peut-être l’occasion idéal :

— Dis-moi, t’es toute seule ? Je voudrai pas te retirer aux gens avec qui t’es venue... Mais si t’es seule... je veux bien être seule avec toi, ça fait longtemps qu’on ne s’est pas parlé après tout... et je me demande pourquoi t’es pas venue avec ton Jules par exemple...

C’était un coup de bluff, elle ne m’avait rien dit à propos de qui que ce soit même si ses messages pouvaient le laisser supposer. Voyant l’éclair de panique furtif qui était passé dans ses yeux, j’avais saisi l’occasion au vol et son bras dans le mien avec un éclat de rire et un sourire mutin :

— Ah ah ah ! Trop tard ! Y’a un Jules, je le sais, je le SENS et je veux touuuuuut savoir...

C’était sans doute un jeu dangereux quand on savait que j’avais aussi des secrets que je ne lui avais avoué qu’à demi-mots jusque maintenant... et sur lesquels elle risquait également de rebondir.
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________________________________________ 2021-04-06, 23:26

La fête des voisins, où une manière d'en apprendre plus sur vos amis !
ft. Alexis Child


Finalement, Violette n’aurait pas dû être si surprise de voir Alexis. Si elle avait été plus attentive aux alentours, elle aurait remarqué la licorne. Et la seule personne qui possédait une licorne, c’était Alexis. Après tout, cette créature n’était pas censée exister. Même s’il fallait avouer que Violette avait appris à ne plus être surprise par toutes les choses étranges qui pouvaient se passer à Storybrooke ou dans les autres mondes. Et pourtant, Violette parvenait encore à trouver des gens louches. Cependant, elle se détourna rapidement de ce couple au look complètement démodé pour s’intéresser à Alexis. Elle était tellement ravie mais aussi légèrement stressée de revoir son amie.

Elle lui expliqua qu’elle n’avait pas déménagé dans le quartier Est…malheureusement. Violette était légèrement déçue, et cela se voyait sur son visage. Mais elle tenta de faire bonne figure, écoutant les projets d’Alexis. Elle allait quand même déménager, mais dans le Quartier Nord. Il était clair qu’elle allait avoir bien plus d’espace là-bas. C’était quand même le quartier des riches.

« Ah oui ! Madame a les moyens dis donc ! » plaisanta-t-elle.

Violette retrouva un large sourire lorsqu’Alexis expliqua qu’elle était venue ici car la plupart de ses amis vivaient ici, et que justement, Violette en faisait partie. Cela touchait Violette en plein cœur.

« Evidemment, c’est réciproque ! Je suis tellement heureuse de te voir ! Ca faisait vraiment trop longtemps ! Je pense qu’on a beaucoup de chose à rattraper…surtout ta disparition d’un mois ! Je me suis vachement inquiétée hein ! »

Violette suivit le regard d’Alexis, qui s’était posé sur son saladier peut-être empoisonné. Malheur ! Quelqu’un venait de s’approcher du saladier.

« Faîtes qu’il n’en prenne pas, faîtes qu’il n’en prenne pas… » répéta Violette en murmurant tout en croisant les doigts.

La jeune femme n’avait pas du tout envie d’avoir – de nouveau – la mort de quelqu’un sur la conscience. Et encore moins à cause de sa cuisine ! Violette fronça les sourcils face à la question d’Alexis.

« Du maïs ? »

Pourquoi posait-elle cette question ? Violette secoua négativement la tête.

« Non. C’est une salade de pâte. A moins que mes pâtes se soient transformés en maïs pendant la cuisson ! Mais c’est pas possible ça, hein ? Pourquoi tu me demandes ça ? »

Violette allait lui demander si elle connaissait ses personnes chelou. Mais Alexis la devança. Si elle posait cette question, cela voulait bien évidemment dire qu’elle ne les connaissait pas non plus. Violette secoua une nouvelle fois négativement la tête.

« Non, c’est la première fois que je les vois. Mais je suis bien d’accord avec toi, ils ont l’air sacrément chelou. Puis complètement démodée. Je suis pas quelqu’un à la pointe de la mode, mais je sais reconnaître quand ça ne va pas du tout. Et là, c’est le cas ! »

La jeune femme observa le couple des années 50. Elle avait envie d’aller les voir, afin d’apprendre à les connaître. C’était bien le but de cette journée non ? Violette avait donc reposé son regard sur Alexis pour lui proposer d’aller voir le couple bizarre. Mais cette dernière la questionna sur de potentiels partenaire de journée, voire même de vie. Immédiatement Violette paniqua. Elle tenta malgré tout de faire comme si de rien était.

« Un Jules ? » rigola Violette assez nerveusement. « Oh non non non… »

A vrai dire Violette ne mentait pas réellement quand elle disait qu’elle n’avait pas de Jules. Officiellement, elle n’était pas en couple. Mais elle avait bien quelqu’un en tête…quelqu’un qu’elle n’avait pas réussi à sortir de la tête alors que ce dernier ne répondait plus à ses messages. Il lui faisait la tête. C’était sûr. Alors Violette n’arrêtait pas de ruminer, de tenter de comprendre ce qu’elle avait fait de travers. Et tout la ramenait à leur dernière conversation…quand elle avait osé dire que ce baiser était une mauvaise idée et que Jack devait sans doute encore avoir Alexis en tête. Le fait qu’elle soit enfin en face d’elle allait surement faire avancer la situation. Enfin elle pourrait renvoyer un message à Jack pour lui annoncer qu’elle avait parlé avec Alexis. Enfin, si la conversation se passait bien. Déjà…Alexis avait clairement grillé que Violette ne lui disait pas toute la vérité.

« Sérieuuuux ? Ca se voit autant que ça ? » bouda Violette en croisant les bras.

L’Indestructible ouvrit la bouche mais rien ne sortit…comme si elle n’arrivait pas à tout avouer à Alexis, par peur de sa réaction. Et immédiatement, Violette se souvint de la discussion qu’elle avait eu avec Alexis à son anniversaire.

« Eh ! Mais toi aussi tu as des choses à me dire sur ce sujet-là, non ? »

D’ailleurs, la situation n’était pas la même qu’à son anniversaire. Il fallait prévenir Alexis.

« Pour commencer, oublie ce que je t’ai dit à mon anniversaire. La personne dont je parlais à ce moment-là, c’est du passé. Et même si c’est encore un petit peu difficile d’en parler car ça me fait toujours un pincement au coeur, je tourne petit à petit la page…j’espère vraiment que le garçon que j’ai rencontré pourra me faire croire en l’amour et me rendre heureuse. J’ai l’impression que c’est possible. »

Mais uniquement si elle avait l’aval d’Alexis.

« Pour tout te dire…c’est quelqu’un que tu connais… »

Violette stressait. Elle se mordillait la lèvre inférieure, nerveusement. Rah ! Qu’est-ce que c’était dur ! Il fallait qu’elle change de sujet, histoire d’y revenir plus tard…quand elle serait plus prête.

« Eh ! » s’exclama Violette en mettant une main autour du cou de son amie, se plaçant à ses côtés. « Et si on allait faire connaissance avec nos enfin mes voisins bizarres. Ils m’intriguent tellement ! Je pense que ça va être drôle non ? Puis je sais pas, j’ai besoin d’en savoir plus sur eux… »

Plutôt, elle avait besoin de changer de conversation pour éviter de lui avouer toute la vérité.

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________________________________________ 2021-04-15, 22:16 « Allez dans la Lumière. C'est au détour d'une Ombre que nous attends le Mal. »




La fête des voisins, où une manière d'en apprendre plus sur vos amis !


— Ah oui ! Madame a les moyens dis donc !

Je n’avais rien répondu, me contentant d’essayer de rire à sa blague avec elle, même si je m’étais senti rougir. Violette n’y était pour rien, elle ne l’avait pas dit méchamment, plus sur le ton de la franche camaraderie et c’était bien entendu dû au fait qu’elle ne savait pas. Ni pourquoi j’avais tout cet argent, ni comment il était arrivé en ma possession. Je ne lui avais jamais vraiment parlé de mon autre vie, celle que j’aurais dû vivre si mes parents ne m’avaient pas abandonné au bord d’une forêt. “Fille d’un président”, une espèce de truc plus pompeux que classe qui avait plus le don de m’énerver et de me mettre dans l’embarras que de me rendre fière. Il suffisait de voir comment j’avais reçu Erwin quand il m’avait fait l’affront d’exulter cette partie de ma vie au grand jour, bien trop heureux de sa trouvaille. Et si l’idée de parler de mes origines me gênait, l’idée de lui dire “ben je le suis surtout depuis que ma mère a fait exploser mon père dans un bunker et qu’ils sont mort tous les deux, me laissant la fortune familiale bien que je n’aie jamais vraiment fait partie de la famille” me semblait encore plus glauque. Alors j’avais rien dit, me contentant de rire en enchaînant pour changer de sujet. Et je devais bien avouer que les voisins chelou m’avaient grandement aidé à lui faire changer de cheval de bataille. J'avais éclaté de rire lorsqu’elle m’avait posé toutes ses questions sur sa salade de pâtes, apparemment, elle n’avait pas l’air doué en cuisine, ce qui expliquait aussi clairement pourquoi elle craignait autant que quelqu’un en prenne :

— Non les pâtes ne peuvent pas se transformer en maïs à la cuisson ! Mais tu peux ajouter toute sorte de truc dans une salade de pâtes, t’aurai bien pu ajouter du maïs... c’est chelou mais tu m’as dit que ta salade était pas nette alors...

J’avais hoché les épaules avant de continuer à observer les voisins d’un air sceptique tout en expliquant :

— Quand je suis allée déposer mon plat tout à l’heure, la femme s’est approchée de moi. Elle m’a fait une drôle d’impression, comme si elle me voyait pas vraiment... elle m’a demandé si j’avais mis du maïs dans ma salade de patates. Je lui ai dit non et elle est repartie comme elle est venue... Au départ je me suis dit qu’elle était peut-être allergique mais maintenant je me demande si c’est pas ce qu’ils recherchent plutôt...

Je reportais alors mon attention sur mon amie, me sentant coupable de lui parler de ces voisins plutôt que de savoir comment elle allait, déjà qu’on se croisait par hasard. J’avais décidé d’enchaîner sur les amours. Nos conversations étaient sacrément restées en suspens depuis tout ce temps et elle n’avait pas résister bien longtemps à son mensonge avant de m’avouer qu’elle avait quelqu’un, les bras croisés. J'avais éclaté de rire en voyant sa tête boudeuse, posant sa main sur son épaule dans un geste d’affection :

— Ça se voit comme le nez au milieu de la figure, ma vieille ! Mais c’est pas grave, hein, au contraire...

Je lui avais lancé un sourire malicieux et elle m’avait retourné la question... J’aurai dû la voir venir celle-ci... Sans vraiment y réfléchir j’avais posé ma main libre une ou deux secondes sur mon ventre pour le masser avant de la retirer calmement en réalisant ce que j’étais en train de faire. J’avais concédé d’un signe de tête :

— C’est pas faux... mais j’ai demandé la première alors à toi l’honneur !

J’avais hoché la tête plusieurs fois lors de son explication. Elle avait changé de cible depuis notre dernière discussion à son anniversaire. Apparemment ça c’était mal passé et elle en souffrait encore. J'avais eu une petite grimace de soutien avant d’hocher la tête d’un air convaincu, espérant également que le petit nouveau arriverait enfin à lui faire tourner la page et qu’elle découvrirait l’Amour, le vrai, elle le méritait. Même si elle était encore jeune. Mes yeux s’étaient teintés d’une lueur de surprise curieuse lorsqu’elle m’avait dit que je le connaissais. Ça m’aidait pas des masses d’un côté, je connaissais beaucoup de garçons... mais j’espérais que c’était quelqu’un que j’appréciais car je sentais que Violette avait besoin de mon soutien, comme si elle voulait que je le valide et je ne me sentais pas de faire semblant si c’était un type que je pouvais pas blerrer. Mais quelque chose dans l’attitude de Violette me faisait comprendre qu’elle n’arrivait pas encore me le dire. C'était intrigant, elle s’en était mordu la lèvre, signe d’un stress qui la rongeait. Je commençais à me demander jusqu’à quel point je connaissais ce “Jules” ? Ce n’était pas Henry tout de même ? Mon petit frère pouvait faire ce qu’il voulait après tout et Violette aussi, s’ils étaient heureux, c’était le plus important pour moi mais je n’avais du coup pas spécialement envie d’en savoir plus sur l’intimité de mon frère... berk. Respectant son choix d’attendre, j’avais concédé sa proposition d’un signe de tête en observant les voisins.

— Drôle je sais pas... j’espère en tout cas parce que j’aurai pas envie qu’on finisse encore sur une catastrophe atomique dont Storybrooke a le secret... On peut peut-être aller voir le mari ?

Je l’avais montré d’un signe de tête.

— Il a l’air de galérer avec le barbecue...

En effet, à première vue, l’homme semblait regarder l’engin avec une certaine appréhension. Tandis qu’un voisin s’occupait de retourner la viande, j’avais pu voir en m’approchant qu’il regardait plutôt avec attention les légumes griller dans un coin : poivrons, oignons et... épi de maïs.

— Bonjour !

On était suffisamment proche d’eux à présent pour les saluer et si celui qui s’occupait de la viande m’avait salué, l’homme étrange ne semblait pas m’avoir entendu, bien trop concentré sur ses épis de maïs. Je constatais qu’il avait un sachet à la main.

— Euh... je peux vous aider ?

— Non.

Le ton avait été plutôt sec, abrupt et j’avais écarquillé les yeux de surprise, tant je ne pensais pas mériter ce ton d’une violence incroyable. Il avait alors avancé sa main vers le grill et j’avais eu un mouvement pour le stopper afin qu’il évite de se brûler. Pourtant, il n’en avait rien fait, se contentant de récupérer un des épis avant de le mettre dans son sac sous l’oeil médusé de l’autre voisin :

— Mais qu’est-ce que vous faîtes ?

— Je prends le maïs.

— Oui, ça je vois, mais pourquoi ? On se sert pas comme ça, mon vieux, on attend son tour...

— J’en ai besoin...

— Oui, mais...

Faisant fi des protestations du voisin, l’étrange homme y était retourné une seconde fois et une troisième pour récupérer deux nouveaux épis, apparemment insensible aux brûlures qu’il devait pourtant se faire. Médusée, j’avais échangé un regard avec Violette. L'autre homme continué de protester mais le mec au maïs s’était avancé d’un pas menançant vers lui, plantant ses yeux dans les siens :

— J’AI DIT... J’en ai besoin.

Visiblement effrayé, l’autre avait décidé de poser sa pince à barbecue et s’éloigner tandis que l’autre type continuait à collecter son maïs. Un peu plus loin, je constatais que leur fils avait la tête et la main dans un bocal de salade de riz et semblait lui aussi collecter les grains de maïs un à un avant de les mettre dans un sachet similaire à celui de son père. Attrapant le poignet de Violette, je l’avais attiré en arrière :

— Y’a un truc qui va pas bien là... Je sais pas pourquoi ils ont besoin de tout ce maïs mais c’est clairement pas normal... et leur baraque qu’on a jamais vu avant aujourd’hui... On devrait peut-être...

J’avais grimacé en le pensant, hésitant un instant. C’était pas très bien ce que j’allais lui proposer. Si je sentais qu’Erwin aurait été plus que partant, je n’étais pas certaine qu’il en était de même de mon amie. Me rapprochant un peu d’elle, baissant la voix sur le ton de la confidence, j’avais ajouté :

— On devrait peut-être fouiller un peu la maison pendant qu’ils sont ici à compter leur maïs, non ? Si on trouve un truc chelou, alors on appelle la police, t’en pense quoi ?

J’étais prête à lui sortir l’argument qui tuait du “après tout, t’es à la mairie donc c’est aussi de ton devoir de veiller à ce que tout se passe bien” mais j’en avais pas eu besoin. A ma joie et ma surprise, elle avait semblé plutôt partante et après avoir vérifié plusieurs fois si personne ne nous regardait, nous étions passées dans le jardin arrière.

— Au fait, je me suis toujours demandé, ton pouvoir d’invisibilité, il fonctionne sur quelqu’un d’autre aussi ? Genre tu peux l’étendre à moi au besoin ou pas ?

Nous étions montés sur le perron à l’arrière et après avoir tenté d’actionner la poignet qui était verrrouillée, j’avais fait naître quelques éclairs dans ma main droite :

— Ah ben tiens, toi qui me demandais des scoops, mes pouvoirs sont revenus avec un peu plus de contrôle depuis ma disparition.

Je lui avais fait un sourire sympathique sans en préciser la cause, conformément à ma discussion avec Anatole puis j’avais dirigé les filaments électriques en direction de la serrure jusqu’à entendre le cliquetis libérateur. J’avais alors ouvert la porte, réagissant brusquement à ce que je faisais, le danger que je prenais. Était-ce vraiment une bonne chose à faire ? J’étais enceinte... ce n’était plus seulement ma vie que je mettais en danger. Mais trop tard pour se dégonfler, surtout sans en expliquer la raison à Violette. Tournant les yeux vers elle, je lui avais précisé à voix basse.

— On devrait faire vite et se séparer. Au moindre truc chelou, on se tire.

J’avais refermé la porte avec douceur derrière moi avant d’observer la cuisine qui s’offrait devant nous. La chose la plus étrange, c’était son air de cuisine témoin : pas de bazar, pas d’ustensiles, elle avait l’air même de ne jamais avoir servi. Il en était de même pour la salle à manger qui manquait même cruellement de meuble ou le salon qui n’avait même pas de canapé, juste des sacs qui contenait des épis de maïs.

— Oooookay... Tu montes à l’étages et je descends ? Si l’une a trouvé un truc, on appelle l’autre, ok ? Vu que tu peux te rendre invisible, tu devrais peut-être monter la garde par moment... soit prudent surtout !

Je lui avais lancé un regard inquiet avant d’ouvrir la porte qui menait au sous-sol et de descendre les escaliers. J’étais LOIN très LOIN de m’attendre à ce que j’allais trouver. La pièce semblait abriter une espèce de tableau de bord futuriste à la Doctor Who avec pleins de boutons et de trucs qui clignotait, comme si j’étais dans le centre de contrôle d’une navette spatiale ou je ne savais pas quoi... Dans un coin de la pièce trois grands bocaux contenant un liquide vert attendaient dans un coin. Il n’y avait rien d’autre que le liquide à l’intérieur. Prenant le risque de parler à voix haute, j’avais alors appelé mon amie :

— VIOLETTE ! J’AI TROUVE UN TRUC !

La vision de la pièce se passait de mot. Je me contentais de la regardais interloquée lorsqu’elle arriva devant moi, tendant les bras pour lui présenter le décor.

— On fait qu...

Au-dessus de nos têtes, la porte d’entrée venait de claquer et des bruits de pas se faisaient entendre. Paniquée, je l’observais avec un regard terrifié. Si elle avait la capacité de nous rendre toutes les deux invisibles, c’était peut-être le moment de l’utiliser.
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