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 Après tout ce temps... [PV Tohru]

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Kyô Soma
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________________________________________ 2020-03-08, 17:12

Après tout ce temps...

Tohru & Kyô
••••

Pendant 6 ans, Kyô avait évité les lieux de grand rassemblement pour éviter de tomber sur Tohru. Pas qu'il la trouvait chiante ou quoi que ce soit, mais parce qu'il n'arrivait toujours pas à assumer la perte qu'il avait causé à Tohru... Et même si à une époque elle lui avait dit l'aimer, avec la révélation qu'il lui avait fait sur la mort de sa mère, sans doute que cela avait changé. Ou pas. Elle était assez généreuse pour le pardonner. Mais Kyô ne voulait pas prendre le risque. Alors il était resté autant que possible au Dojo, même s'il avait suivi ses études sans aucun problème, pour les loisirs, disons qu'il avait préféré les limiter. De toute façon, ses journées au Dojo lui prenaient beaucoup de temps. Sauf aujourd'hui. Son père lui avait demandé de prendre un jour de congé.

Alors Kyô déambulait dans les rues, les mains dans les poches de sa veste, se promenant sans voir véritablement le monde autour de lui. Il avait passé un temps certain à observer les vagues s'écraser doucement contre la plage et à présent, il était frigorifié. Alors le rouquin s'était dirigé vers un café et avait pris place dans un box sans faire attention à qui que ce soit. Il était trop pris dans ses pensées pour faire attention au monde extérieur de toute façon. Cela faisait tellement longtemps qu'il n'était plus sortit du dojo qu'il ne savait plus tellement ce qu'il appréciait faire à l'extérieur. Au final, il s'était un peu enfermé tout seul... Ironie quand tu nous tiens...

Un bruit de verre le ramena à la réalité et il releva la tête, regardant la scène qui s'était déroulée à quelques mètres à peine de lui. Une jeune femme avait lâché la cafetière pleine qu'elle avait eu à la main alors qu'elle semble venir vers lui. Et kyô comprit parfaitement pourquoi elle était aussi choquée. Il ne mit pas longtemps à la reconnaître. Cette fille, il l'avait dans la peau depuis très longtemps maintenant... Et il avait redouté leur rencontre. Au final, même s'il ne le voulait pas, il allait enfin savoir. Si elle le détestait.

- Tohru... Dit-il doucement, un fin sourire aux lèvres malgré tout, ravi de la revoir au fond de lui.

Elle semblait aller bien. C'était le principal pas vrai ? Qu'elle aille bien, toujours. Avait-elle retrouvé Arisa et Saki ? Si c'était le cas, et il l'espérait pour elle, il risquait de morfler sévère si elles mettaient la main sur lui... Enfin. Tout déprendrait d'elle. Et de sa capacité à lui à surmonter ses remords. Ce n'était pas gagné...


••••

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________________________________________ 2020-03-14, 15:23



Après tout ce temps
La vie c'est des étapes... La plus douce c'est l'amour... La plus dure c'est la séparation... La plus pénible c'est les adieux... La plus belle c'est les retrouvailles.


Aujourd’hui, c’était Mercredi. Et c’était surtout le jour où Tohru travaillait en tant que serveuse dans un café. Parmi ses nombreux petits boulots, celui-ci lui était particulièrement utile pour pouvoir tester ce qu’elle apprenait en école de cuisine. Le gérant était suffisamment gentil pour la laisser faire, proposant même d’ajouter les plats à la carte. Évidemment elle se sentait à chaque fois très gênée mais n’osait rien dire, parce qu’au fond eh bien c’était gentil et tout le monde n’agirait pas de la sorte. Au fond c’était peut-être une chance, et si c’était une chance elle n’avait pas le droit de la refuser.

Comme à son habitude, elle était parti tôt en saluant sa mère et avait dévalé l’escalier de son immeuble avant de se rendre à l’arrêt de bus le plus proche, son sac contenant ses affaires pour le travail en main. A l’intérieur, elle s’était d’abord installé sur un siège puis l’avait quitté pour le laisser à une personne âgée, ce qui faisait qu’elle était présentement coincé entre deux géants. Ce n’était pourtant pas l’heure de pointe, mais aujourd’hui le bus semblait être bondé. Non pas qu’elle s’en plaigne. Après tout, si elle n’était pas contente elle pouvait tout aussi bien prendre ses pieds. Et puis son arrêt n’était plus très loin, alors elle appuya sur le bouton permettant au bus de s’arrêter, et se fraya un chemin comme elle le put en direction de la sortie.

Une fois à son arrêt, elle se dirigea rapidement vers le café et utilisa l’entrée des employés afin de se changer rapidement. Enfilant sa tenue de travail, et son tablier par dessus, la brunette salua quelques uns de ses collègues et se mit rapidement à l’ouvrage. Dans un premier temps, elle enchaîna prise de commande, nettoyage de table et service, puis elle passa derrière les fourneaux à midi, pour tester l’un des plats, qu’elle avait apprit à travailler sur l’année. Il s’agissait d’une tarte aux poireaux, et durant un instant elle eu un léger instant de nostalgie songeant à ce légume tellement détesté par Kyô. Ses amis lui manquaient, beaucoup même, mais tout au fond d’elle une petite voix lui murmurait que la personne dont l’absence se faisait le plus ressentir c’était sans conteste le maudit du chat. Évidemment, elle savait qu’il l’avait repoussé peut-être même qu’il ne voulait plus la voir mais ça n’empêchait pas le manque d’être bien présent.

Pour la seconde moitié de la journée, elle fût en salle. Nous étions peut-être début Mars, mais le temps n’était pas encore au Printemps. Dehors, on avait encore ses manteaux d’hiver et parfois son bonnet ou ses gants. C’était encore l’Hiver, et les gens affluaient dans le café pour se réchauffer autour d’une boisson chaude. C’était d’ailleurs pour ça qu’elle passait de box en box, carafe en main afin de servir les gens ou bien de leur proposer autre chose s’ils ne souhaitaient pas de café comme du thé, du chocolat ou les boissons faites maison. Toujours souriante, toujours serviable elle faisait en sorte de ne laisser personne attendre trop longtemps, et allait de ce fait là où ses collègues ne servaient pas. Et c’est d’ailleurs comme ça, qu’elle se dirigea vers un box où personne ne semblait venir avant de s’arrêter subitement en chemin et de rester planté au beau milieu de ce dernier en ouvrant les yeux ronds, et sans qu’elle ne s’en rende vraiment compte sous l’effet de la surprise lâcha sa carafe qui bien évidemment, finit sa course parterre dans un bruit de verre brisé et des éclaboussures de café :

- Kyô bredouilla-t-elle

Elle papillonna des yeux, afin d’être sûr qu’elle n’était pas en train de rêver mais non. Le rouquin n’avait toujours pas bougé, et c’est ce qui la fit revenir définitivement à la réalité et se rendre de l’ampleur eh bien...Des dégâts :

- Pardon ! S’exclama-t-elle je suis désolée je vais tout nettoyer !

Commençant à paniquer, elle s’agita dans tous les sens à la recherche de quelque chose pour nettoyer, alors qu’elle avait l’impression que son coeur était en train de faire des loopings dans sa cage thoracique. Elle ne s’était pas attendue à être autant submergé par l’émotion et évidemment, ça ajouté à sa maladresse naturelle fit qu’elle se retrouva à vouloir ramasser les débris à la main et se coupa. Fort heureusement, une collègue vola à son secours, et l’entraîna avec elle pour désinfecter, tandis-qu’une autre revenait avec de quoi éponger et nettoyer les bouts de verre. Quant à Tohru, elle était dans un état second. Partagé entre l’euphorie et l’angoisse. Elle était tellement contente de le revoir ! Mais et lui, est-ce que le sentiment était partagé ? Peut-être que justement il avait cherché à l’éviter et qu’elle était arrivé comme ça sans qu’on ne lui ait rien demandé. Et s’il ne voulait pas la revoir ?

Remerciant distraitement sa collègue, dès que sa main fût désinfecté et bandé, elle attrapa machinalement un menue, ainsi qu’une nouvelle carafe de café et se dirigea à nouveau en direction du rouquin, tentant de calmer les battements erratique de son cœur :

- Bo..Bonjour Kyô balbutia-t-elle maladroitement. Ça me fait très plaisir de te revoir, est-ce que tu veux du café ou autre chose ? On a du thé, du chocolat et des boissons maisons. Notre spécialité du moment c’est le white latte. C’est un latte mais avec du chocolat blanc. Tu peux aussi, trouver de quoi manger si tu as faim sur notre carte des spécialités.

Elle lui tendit la dite carte, et posa la carafe sur la table, attrapant son calepin afin de noter une potentiel commande de la part du jeune homme. A cette heure-ci ils servaient plus du sucré que du salé, mais ils leurs restaient encore des spécialités salés comme des sandwichs, ou des croque monsieur, ils pouvaient aussi faire des bagels il y avait encore suffisamment d’ingrédient en cuisine. Donc au final, peu importe ce qu’il pouvait souhaiter ils auraient probablement les moyens de le lui servir. Elle avait pour sa part un millier de questions à lui poser, mais elle fit de son mieux pour se contenir afin de ne pas l’embêter. Comme d’habitude, elle ne voulait pas s’imposer.

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________________________________________ 2020-03-22, 18:38

Après tout ce temps...

Tohru & Kyô
••••

Kyô n’arrivait pas à savoir. Dès que ses yeux s’étaient posés sur Tohru, il n’était plus parvenu à faire le tri parmi les émotions qui l’avaient assailli. Peur, doute, culpabilité, remord, mais aussi tendresse, amour, amusement… Non vraiment, c’était le bordel dans sa tête. Déjà que de base il n’aimait pas trop tous ces trucs de gonzesse, mais les ressentir en force en ce moment, ça lui plaisait encore moins ! Et voilà que la colère s’y mettait aussi ! Agacé contre lui-même, il ne se rendit même pas compte sur le coup que Tohru avait été embarquée par ses collègues. Comme toujours, elle avait voulu bien faire et elle s’était fait mal. Inquiet, le rouquin s’était levé et s’était dirigé vers les vestiaires où il s’était fait gentiment mais fermement entendu répondre qu’il devait regagner son siège. Ouais… Pour le coup, Arisa et Saki n’étaient pas présentes, mais c’était tout comme.

Prenant sur lui pour ne pas piquer de scandale, de peur d’être par la suite interdit de séjour dans ce resto, Kyô retourna à sa place en soupirant. Croisant les bras, il rongea son frein en attendant de voir Tohru sortir des vestiaires. Mine de rien, ça le tuait de ne pas savoir comme elle allait. La blessure était-elle grave ? Parce que bon, elle avait toujours le don de minimiser ses douleurs la petite boulette de riz… La voyant revenir, il ne put s’empêcher de grimacer. Encore une fois, elle faisait comme si tout allait bien et reprenait son travail sans rien dire. Des fois, il se demandait comment elle faisait pour prendre aussi bien soin des autres alors qu’elle ne prenait pas soin d’elle… Peut-être que c’était ça le secret en fait.

- Moi aussi je suis content de te voir. Répondit-il sans trop en montré, comme d’habitude. Ton white latte, ça a l’air pas mal… Je vais prendre ça. Commanda-t-il avant de reprendre. Ta main, ça va ? Lui demanda-t-il.

Belle approche Kyô, vraiment… Ce que le rouquin pouvait avoir envie de se gifler parfois. Plus banal comme approche, tu meurs. Alors certes, il craignait quand même qu’elle ne soit juste heureuse de le revoir pour pouvoir lui dire à quel point elle le haïssait, n’empêche que quand il s’agissait d’elle, l’ancien chat était foutu. Il allait profiter de sa présence au maximum, pour pouvoir par la suite se rappeler de son visage et de son sourire.

- Ah oui, puis si tu as un conseil à me donner sur un truc à manger, je ne dis pas non. Dit-il, un peu gêné alors que son estomac venait de se manifester à grand bruit. Est-ce que tu as une pause bientôt ? Lui demanda-t-il par la suite, beaucoup plus sérieusement.

Il voulait passer du temps avec elle, savoir ce qu’elle devenait, comment elle s’en sortait. Savoir aussi si elle parviendrait un jour à lui pardonner de ne pas avoir pu sauver sa mère à cause de cette foutue malédiction… Savoir si elle parviendrait à l’aimer de nouveau…


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________________________________________ 2020-04-09, 21:04



Après tout ce temps
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Elle faisait de son mieux pour ne pas le montrer, mais sa fébrilité devait se lire sur son visage. Après tout, Tohru n’avait jamais vraiment été une bonne comédienne. Ni une bonne menteuse d’ailleurs, c’était même deux choses qu’elle ne maîtrisait pas du tout. En fait, elle avait toujours plus ou moins été un livre ouvert pour ses amis, que ce soit Saki ou Arisa ou bien les Soma. Généralement, lorsqu’elle « dissimulait » quelque chose, ça ne partaît pas d’une mauvaise pensée. Après tout, elle n’avait jamais rien dit à ses deux amies concernant la période où elle vivait sous une tente afin qu’elles ne s’inquiètent pas pour elle. On pouvait à juste titre, lui reprocher de trop s’occuper des autres et pas assez d’elle, mais certaines habitudes ont la vie dur, et Tohru avait toujours été comme ça même du temps où sa mère était encore là. Après tout, si elle avait appris la cuisine c’était avant tout pour soulager un peu sa mère. Elle qui travaillait déjà si durement pour faire bouillir la marmite, n’avait pas besoin de ça en plus. Les corvée, les tâches ménagères, Tohru pouvait s’en charger ce n’était vraiment pas un problème pour elle.

- Oui. Oui j’ai une pause éclaircit-elle

Parce que « oui » ça pourrait très bien être pour tout ce qu’il avait demandé. Alors, elle avait préféré définir ce pourquoi était ce oui des fois qu’elle se fasse mal comprendre. Elle nota aussi, sur son petit calepin la commande du rouquin : Un white latte et quelque chose à manger, mentalement elle était en train de faire la liste de ce qui leur restait, évidemment la tarte aux poireaux était à exclure. C’était peut-être une chance, qu’elle ait décidé de se charger de Kyô, si un ou une de ses collègues lui en avait apporté les choses ne se seraient peut-être pas très bien passé :

- J’apporte ça tout de suite !

Fermant son carnet, elle se dirigea vers le comptoir pour y poser sa carafe et fila en direction des cuisines afin de prendre de quoi contenter Kyô, elle en profita pour demander un bagle en espérant que ses goûts n’avaient pas changés. Avoir vécut aussi longtemps en la compagnie du maudit du chat et de ses deux cousins avait un avantage : comme elle se chargeait de la cuisine elle avait finit par connaître leurs goûts par coeur. Les choses étaient cependant différente ici, il y avait de nouvelles choses en terme de gastronomie qu’elle avait découvert alors ça devait être la même chose pour tout le monde. Du moins, le pensait-elle.

Elle attendit patiemment, que sa commande soit prête, avant de remercier chaleureusement l’auteur du plat comme à son habitude, et de repartir son assiette en main prenant soin de faire un détour par le comptoir afin d’y attraper une nouvelle carafe, celle du white latte cette fois-ci. Evidemment, cette fois-ci elle prit soin de faire attention à ne pas faire de nouveau tomber ce qu’elle avait entre les mains. C’était compliqué de se concentrer quand on avait un millier de questions en tête, cette rencontre ou plutôt ces retrouvailles devrait-elle dire auxquelles Tohru ne s’était pas attendu la chamboulait complètement. L’émotion prédominante devait sans conteste être la joie, elle qui en rêvait depuis si longtemps de cet instant ! Et évidemment, elle avait imaginé tout un tas de scénarios, réfléchissant à ce qu’elle pourrait bien lui dire, mais force était de constater que la réalité même si on y avait pensé et repensé au moins un millier de fois nous dépassait complètement.

Elle déposa l’assiette devant le rouquin, et s’appliqua par la suite à verser le liquide dans le mug qu’il avait en face de lui :

- J’espère que ça t’iras. Si tu as besoin de quoi que ce soit d’autres dit-le moi, et ma pause est dans vingt minutes.

Elle sourit une dernière fois, avant d’aller s’occuper d’autres clients c’était aussi une manière de ne pas trop penser à ce qui pourrait se passer dans une vingtaine de minutes. S’il voulait lui parler, c’était bien qu’il ne la détestait pas non ? Peut-être aurait-elle l’occasion de lui dire qu’elle ne lui en voulait pas concernant l’histoire avec sa mère et que sa mère ne lui en aurait d’ailleurs pas voulut. Tout au fond d’elle, elle le savait, sa mère aurait compris pourquoi Kyô n’avait pas agit ce jour-là. La dernière fois, il s’était enfuie avant même qu’elle ait eu le temps de lui dire les choses, alors peut-être était-ce une seconde chance, un moyen de réparer les choses.

Comme à son habitude, Tohru restait optimiste s’occupant des divers clients que ses collègues n’étaient pas encore allé voir, prenant et apportant leurs commandes, nettoyant les tables lorsqu’ils partaient tout en attendant sa pause dans un mélange d’euphorie, d’excitation et d’angoisse. Si elle ne remarqua rien, ses collègues de tout à l’heure l’observaient en émettant des chuchotements soucieux. D’un côté, Tohru n’était pas vraiment connu pour remarquer lorsqu’on s’en faisait pour elle. Elle qui craignait plus que tout d’être une gène ou un poids pour les autres, avait toujours tendance à prendre sur elle pour ne rien montrer. C’est pourquoi l’inquiétude que semblait éprouver ses deux collègues, lui passa un peu au dessus sans qu’elle ne remarque rien du tout. En fait, elle continua comme à son habitude de servir, et de nettoyer les tables en chantonnant joyeusement. Puis, quand la pause arriva elle fit un crochet par les vestiaires pour enlever son tablier et prendre sa veste. Elle ne savait pas trop comment ça allait se passer, mais elle supposait que dehors c’était mieux pour discuter qu’a l’intérieur. Même si les températures étaient encore plus hivernales que printanières, ce serait sans doute plus calme. Kyô, n’avait probablement pas envie que tout le café soit au courant de ce qu’ils allaient se dire ce qu’elle comprenait bien sûr.

Sautillant d’un pied sur l’autre pour se réchauffer, elle en profita pour sortir son téléphone de sa poche afin de voir si un de ses employeurs lui avait laissé un message. Hormis un message général très certainement envoyé à tous les étudiants venant de l’université de Storybrooke pour rappeler les dates de partiels, il n’y avait rien, aussi rangea-t-elle l’engin électronique dans sa poche. Quelque part, c’était plus un téléphone de travail que de « loisir » étant donné qu’elle ne s’en servait quasiment que pour rester en contacte avec ses employeurs ou bien le propriétaire de son appartement.

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________________________________________ 2020-04-19, 23:18

Après tout ce temps...

Tohru & Kyô
••••

Perturbé, Kyô se passa une main sur le visage. Il était très content d’avoir pu retrouver Tohru aussi facilement, mais dans le même temps, il avait une trouille bleue de ce qu’elle pourrait lui dire. Cette fille ne savait pas ce qui était bon pour elle et clairement, le rouquin ne s’estimait pas comme faisant partie des choses bonnes. Ceci dit, comme un papillon était systématiquement attiré par la flamme, le maudit était attiré par la jeune femme. Merde, 28 ans de malédiction n’avait pas mis fin à ses sentiments…

En tout cas, elle avait l’air comme avant, à s’occuper avec attention des autres. Quand elle lui amena sa commande, Kyô ne put qu’être certain de son fait : elle n’avait pas changé. Le rouquin la remercia pour l’avoir servi et pour avoir si bien choisi. D’autres à la place de la jeune femme lui aurait sans doute apporté un truc qu’il aurait détesté, genre une quiche aux poireaux… Mais Tohru n’était pas mesquine et du coup il se retrouva avec un bagel parfaitement dans ses goûts.

- Merci Tohru. Je te retrouve dans 20 minutes alors. Lui dit-il doucement.

Et pendant vingt minutes, le chat prit le temps de savourer son bagel et sa boisson, reconnaissant qu’il avait bien fait de l’écouter quant à la boisson. Dans le même temps, il passa son temps à regarder Tohru évoluer dans la pièce, souriant de la voir aussi elle-même, tout en stressant pour le rendez-vous qu’ils avaient pris. Kyô était beaucoup de choses, mais il n’était pas un lâche en règle générale. Il fallait régler les choses pour que peut-être la boulette de riz puisse lui pardonner. Et peut-être qu’ils pourraient redevenir amis.

Quand le temps fut venu, le jeune homme alla régler ses consommations à la caisse, ne sachant pas si elle voudrait toujours le côtoyer après cette discussion. Ainsi il arriva deux/trois minutes après elle et ne put la manquer alors qu’elle dansait d’une jambe sur l’autre pour essayer de se réchauffer. Soupirant légèrement en constatant qu’elle n’était pas prévoyante quand ça la concernait, le roux retira sa veste et la posa sur les épaules de Tohru.

- Pas de protestation. La coupa-t-il avant même qu’elle ne pense à ouvrir la bouche. Je n’ai pas envie que tu tombes malade. Ajouta-t-il avant de mettre ses mains dans ses poches et de regarder partout sauf vers la jeune femme. Je… Je ne sais pas par où commencer… Tu dois tellement m’en vouloir. J’ai été surpris que tu me parles aussi gentiment tu sais, je ne l’ai pas mérité. Tout ça, c’est arrivé à cause de moi… Je suis tellement désolé Tohru…

Tout en parlant, Kyô avait serré les poings dans les poches. Autrefois, sans doute qu’il aurait frappé quelque chose. L’envie ne lui en manquait pas, mais le jeune homme avait grandi et était plus mature. Alors il serrait les poings et les dents en attendant de savoir ce que Tohru allait faire de lui, sachant qu’elle pouvait l’accepter à ses côtés ou bien l’en bannir à tout jamais. Le chat n’allait même pas se défendre, quoi qu’elle puisse faire.


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________________________________________ 2020-04-29, 21:48



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Tohru aurait voulu protester, dire que si elle prenait sa veste lui, il aurait forcément froid mais Kyô la connaissait et avait totalement anticipé sa réaction, en l’interdisant de le faire avant même qu’elle ne puisse ouvrir la bouche. Les protestations mourir sur les lèvres de Tohru, tandis-qu’elle écoutait avec une certaine anticipation ce que le rouquin allait lui dire. Au final, rien n’avait vraiment changé pour lui pas vrai ? Depuis qu’il avait retrouvé ses souvenirs il était toujours rongé par la culpabilité. Mais pourquoi ? Elle ne comprenait pas, il n’y avait pas d’excuses à donner. Kyô n’avait pas volontairement laissé sa mère mourir, il avait eu une bonne raison pour ne pas l’aider. Évidemment qu’elle lui manquait, et pendant longtemps elle avait eu peur que ses sentiments pour Kyô ne prennent la place de ceux de sa mère, que cela ne la remplace mais c’était finit maintenant ou plutôt elle avait compris avec un peu d’aide que ce ne serait jamais le cas. Ce qu’elle éprouvait pour sa mère et ce qu’elle éprouvait pour Kyô, c’était deux choses très différentes :

- Non. Dit-elle d’une petite voix.

Tohru, ne savait pas très bien comment gérer la situation. Elle avait l’impression de revivre leur dernier face a face et plus que tout, c’était une chose qu’elle n’avait pas souhaité voir se reproduire. Pourtant, cette fois il n’était pas question de le laisser parler et de rester là, trop sonnée pour réagir. Elle savait que les choses ne changeraient pas, si elle ne décidait pas un peu à elle aussi, entretenir la conversation, parce que toute ces années elle avait pu y réfléchir, et elle savait ce qu’elle voulait lui dire, cette fois-ci elle ne serait pas lâche, cette fois-ci, elle oserait dire ce qu’elle avait sur le coeur :

- Je ne t’en veux pas, et maman non plus ne t’en voudrais pas je le sais !


Tohru connaissait sa mère, si jamais elle avait su que Kyô n’avait pas pu intervenir à cause de la malédiction, alors jamais elle ne lui en aurait tenue rigueur. Elle était la personne la plus compréhensive qu’elle ait jamais connu. Tout ce qui faisait ce que Tohru était aujourd’hui, elle le devait entièrement à sa mère, et si elle pouvait comprendre les choses alors il n’y avait aucun doute dans son esprit qu’il en eut été de même pour la personne qui l’avait élevé et lui avait inculqué toutes ces valeurs.

La tournure que prenait ces retrouvailles, la terrorisait. Elle ne voulait pas perdre Kyô a nouveau, c’était peut-être égoïste de sa part, et elle s’en rendait bien compte mais elle ne pouvait s’empêcher d’avoir ces pensées, elle sentie son coeur se serrer, et les larmes lui monter aux yeux. C’était le problème avec Tohru, c’est qu’au fond elle était beaucoup trop sensible et il pouvait lui arriver de pleurer pour pas grand-chose. Généralement, elle ne se préoccupait pas trop de ses états d’âmes. Sourire, c’était un peu son arme secrète, sa manière à elle de dissimuler sa peine parce qu’elle ne voulait pas embêter les autres avec ses problèmes, parce qu’elle estimait que les problèmes des autres étaient toujours bien plus important que les siens et tout un tas d’autres raisons.

- Si tu l’avais fait tu te serais transformé et..Et peut-être même que vous vous seriez fait renversé tous les deux.


C’est vrai, Kyô souffrait de sa culpabilité mais peut-être que s’il était intervenue pour essayer de sauver sa mère au final, cela n’aurait rien changé et il y aurait eu une victime de plus. Et rien qu’a cette pensée, Tohru imagina toute la souffrance du maître, tout ce qu’il aurait pu ressentir si Kyô aussi avait fait partie de cette accident. Et rien que de l’envisager, son coeur se serra encore plus.

- Tu imagine, si toi aussi tu avais été renversé a quel point le maître en aurait souffert ? Maman, elle n’aurait jamais voulu ça.

C’était un accident, ce n’était la faute de personne. C’était bien pour ça qu’il y avait des accidents, c’était justement quand quelque chose n’arrivait pas volontairement. Il y avait eu deux victime ce jour-là, elle avait perdue sa mère, mais elle savait qu’une autre personne avait perdue son père aussi. Tohru en avait souffert, mais elle n’était pas la seule. Et au milieu de tout cela il y avait Kyô qui endossait, la responsabilité et le blâme de l’accident alors qu’il n’y était pour rien. Et c’était une chose qu’elle ne pouvait tout simplement pas laisser passer. Elle savait qu’il n’y avait que Kyô pour réussir à passer outre, qu’il devait accepter de lui-même qu’il n’était pas responsable pour ce qui était arrivé, mais ça ne voulait pas pour autant dire qu’elle ne pouvait pas l’aider ou tout du moins essayer :

- Si tu me fais des excuses, alors je ne les accepterais pas. Parce que tu n’es pas responsable, il n’y a pas de responsable c’est comme ça.


Elle ne savait plus très bien, combien de fois est-ce qu’elle l’avait répété, a force de pleurer elle perdait un peut le fil. Tout ce dont Tohru était sûr, c’est que Kyô se blâmait à tort. Si cela pourrait passer pour de l’entêtement, ça n’en était pas vraiment ou peut-être que si, elle ne savait pas très bien. Ça n’avait jamais vraiment été un de ces traits de caractère d’être entêté mais au fond, peut-être l’était-elle sans s’en rendre compte. A force de ne vouloir jamais inquiéter personne, et de tout faire pour se débrouiller, de ne jamais être un poids. Et voilà, a présent qu’elle se mettait a trop réfléchir sur des petites choses pourtant toute bête. Au fond, tant pis elle était ce qu’elle était non ? Ce n’était pas le moment de se poser ce genre de questions. Mais Tohru avait toujours plus ou moins eu l’art et la manière de s’inquiéter pour pas grand-chose dans des moments où personne n’y songerait.

- Ce n’est pas de ta faute, il ne faut pas t’en vouloir. Répéta-t-elle encore

Elle secoua vivement la tête de droite à gauche, alors que ses larmes ne semblaient pas vouloir s’arrêter de couler. En fait, comme la dernière fois elle ne savait pas quoi faire. Tout ce qu’elle savait c’était qu’elle ne voulait pas que Kyô s’éloigne. Elle ne voulait pas qu’il redevienne celui qu’il était au tout début, parce que Kyô comme tous les Soma méritait tellement, tellement mieux…

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________________________________________ 2020-05-03, 18:06

Après tout ce temps...

Tohru & Kyô
••••

Evidemment… Ça aurait été trop simple si Tohru s’était mise à accepter ses excuses. Il savait pourtant la facilité qu’elle avait à toujours trouver le bon en chacun… Pourtant Kyô avait du mal à se départir de sa culpabilité. Il se rappelait encore trop bien les derniers efforts de celle qu’il appelait alors « La Vieille » pour pouvoir prononcer ces quelques mots, en le regardant lui. Elle l’avait reconnu, il le savait. Il était très facilement identifiable après tout… Mais surtout, elle l’avait beaucoup aidé durant un temps. C’était aussi pour ça qu’il s’en voulait autant. Alors qu’elle l’avait aidé, lui, quand le moment était venu de lui retourner la pareille, n’avait rien pu faire.

- Et peut-être que j’aurais pu la sauver. Répliqua-t-il, un peu sèchement. On ne sait pas ce qu’il se serait passé si j’avais pu attraper le bras de ta mère quand il le fallait. Et en même temps, si je l’avais fait, est-ce qu’on se serait rencontré ? Souffla-t-il. Tu vois ? Est-ce que tu comprends que je m’en veux pour ne pas l’avoir aidé et en même temps, je m’en veux parce que si je l’avais aidé, je ne t’aurais peut-être jamais rencontré !

Comme souvent, bien que cela beaucoup plus rare que dans leur monde d’origine, Kyô donna un coup de poing dans le mur, tellement tout ça était compliqué. Kyôko lui avait parlé. Personne n’avait compris, même pas les gens auprès d’elle, mais lui si. Il l’avait entendu… C’était en partie pour ça qu’en suite, il avait fait ce stupide pari avec Akito et était parti dans les montagnes.

Kyô rouvrit les yeux en entendant que Tohru refusait ses excuses. Même si cela lui faisait mal, il comprenait ce qu’elle voulait faire : lui faire comprendre qu’il ne s’agissait que d’un accident. Mais c’était surtout ses larmes qui lui faisaient le plus mal. Elle avait toujours le cœur sur la main… Et Kyô n’aimait pas la voir dans cet état. Alors doucement, il passa sa main sous les yeux de la jeune femme, essuyant ses larmes.

- Tu sais… Je n’ai jamais aimé te voir pleurer… J’ai l’impression de sentir ce stupide rat derrière moi prêt à frapper l’imbécile de chat que je suis… Grommela-t-il, essayant de la faire sourire. Ta mère et moi on se connaissait. Révéla-t-il par la suite. Je m’étais disputé avec mon maître et j’avais fui parce que les gens n’arrêtaient pas de dire que je n’allais causer que des problèmes à mon maître… Bref, j’ai rencontré ta mère. Elle s’est moquée de moi. Grogna-t-il avant de sourire. Mais elle m’a écouté et m’a aidé. Alors ce jour-là… Ce jour-là j’aurais voulu l’aider moi aussi… Dit-il plus doucement alors que des larmes se mettaient à couler sur ses joues.

Kyô n’était pas démonstratif. Encore moins émotif. Mais… Kyôko avait tenu une grande place dans sa vie et sa mort l’avait profondément marqué. Le rouquin avait beaucoup de mal à admettre qu’il ne s’agissait que d’un accident alors qu’il avait été là tout près. Mais à cause de la malédiction, il avait été obligé de laisser les choses se dérouler. Privant quelqu’un de sa mère et se privant de pouvoir lui retourner l’ascenseur un jour. Alors quand il avait compris qui était Tohru, il avait essayé de veiller sur elle, en mémoire de sa mère. Et il s’était attaché. Tout en se disant qu’il ne devait pas, parce que sa mère serait certainement contre de voir son bébé adoré avec quelqu’un comme lui…


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________________________________________ 2020-05-19, 21:23



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C’était beaucoup d’informations à encaisser. Jamais, Tohru n’aurait imaginé une telle chose que sa mère et Kyô se soient connus il y a des années, ça faisait beaucoup de coïncidence, entre ça et Yuki qui lui avait apprit être celui qui l’avait aidé à retrouver son chemin quand elle s’était perdue, c’était presque comme si tout avait été calculé de manière à ce qu’ils se rencontrent, à ce qu’ils tissent des liens. Et évidemment, cela ne fit que redoubler sa détermination pour enfin faire en sorte que les deux garçons s’entendent. Mais pour l’heure, elle avait d’autres priorités, et sans trop savoir d’où lui venait cette audace elle qui d’habitude, faisait extrêmement attention avec les maudits, Tohru s’approcha de Kyô et l’enlaça. Même après que le jeune homme ait été remplacé par un chat roux, elle ne défit pas son étreinte de peur qu’il ne s’en aille.

- Si elle t’as connu, alors maman ne t’en aurais jamais voulu pour ce qu’il s’est passé ce jour là. Je pense qu’elle te serais reconnaissante, à toi, Yuki, monsieur Shigure et tous les autres, pour avoir si bien veillé sur moi.

Elle n’en était pas « juste » convaincu, ce n’était pas quelque chose qu’elle s’était imaginé afin de faire déculpabiliser Kyô. Non, elle le savait c’était tout. Parce que Tohru connaissait sa mère, et qu’entre elles il y avait toujours eu comme un espèce d’accord pour ne plus parler de la période ayant suivit le décès de son père, car si elle était jeune, elle n’avait pas oublié et sa mère non plus. Et Tohru savait bien que sa mère s’en était voulut mais au final c’était plus ou moins ce qui les avaient « rapprochés » ce qui avait forgé leur relation. Alors, quand sa mère a dût être percuté, très certainement que ses dernières pensées avaient été pour elle. De savoir, qu’elle n’était pas seule, que des gens l’avaient accueillit et prit soin d’elle, a n’en point douter, sa mère aurait été reconnaissante.

- Je ne regrette pas notre rencontre. Avoua-t-elle

Ses larmes avaient séchés, a présent c’était un sourire qui s’affichait sur le visage de Tohru. On lui avait dit plusieurs fois, de ne pas trop s’approcher d’eux, qu’ils étaient dangereux et tout un tas d’autres choses. Pourtant, elle ne pouvait pas leur tourner le dos, et plus que tout elle ne pouvais pas tourner le dos à Kyô, les sentiments ça ne se contrôle pas, et elle savait que ce ne serait jamais une option de partir et de le laisser. C’est vrai, la malédiction n’était pas encore levé mais cela n’empêchait que cette rencontre lui avait redonné la foi et elle était encore plus déterminé que jamais à la lever. Parce que Kyô méritait de vivre comme tout le monde, sans ce poids à porter sur ses épaules.

Elle ne pourrait pas effacer sa culpabilité d’un coup de baguette magique, elle le savait. Mais cela ne l’empêchait pas de pouvoir l’aider à avancer, et de rester à ses côtés coûte que coûte. Storybrooke avait changé la donne après tout. Il n’était plus nécessairement obligé de se plier aux « traditions » familiales. Autant Kyô, que le restant des maudits.

- Je veux pouvoir rester à tes côtés, j’ai envie que tu me dise quand tu es heureux, quand tu es triste, ou n’importe quoi, que tu continue à me parler des arts martiaux, qu’on partage des moments comme avant. Même si ce ne sera jamais vraiment comme avant, on peut construire de nouvelles choses.

Et surtout, elle voulait en apprendre plus sur sa vie ici. Cela faisait partie de ces nouvelles choses que Tohru voulait construire avec Kyô. Elle avait déjà compris, qu’il n’avait pas revu les autres maudits, il était donc inutile de lui poser la question à ce sujet. Mais peut-être avait-il retrouvé d’autres personnes comme le maître par exemple. La jeune femme ne cessait d’espérer qu’ici, la vie avait été plus clémente pour Kyô, et ce souhait, elle l’étendait à toutes les personnes qu’elle connaissait. Que ce soit les maudits de la famille Soma ou bien ses deux amies : Saki et Arisa. Ils méritaient tous de vivres de meilleures choses que dans leur monde d’origine. Elle souhaitait par exemple de tout son coeur, qu’Arisa et Monsieur Kureno se retrouvent enfin et puissent pleinement vivre leur histoire. Et peut-être même que ça permettrait à Yuki et Kyô de mettre enfin leurs différents de côtés, Tohru n’avait jamais perdu cette espoir, et ça faisait évidemment partir des choses pour lesquelles elle continuerait encore et toujours d’œuvrer. Si seulement, ils arrêtaient d’être jaloux l’un de l’autre et acceptaient enfin de mettre leurs différents de côtés…

- Tu ne m’as pas causé de tort Kyô, et tu n’as pas causé de tort à maman non plus. J’ai compris, que j’étais bête de croire que je pourrais l’oublier et la remplacer. Parce que personne ne pourra jamais la remplacer, ce que j’avais avec elle, c’était quelque chose d’unique. Elle me manque, mais je sais qu’elle ne voudrait pas que je sois malheureuse et que je me mette des barrières à cause d’elle.


Il était certain que si elle avait été là, et si elle avait sût les sentiments de sa fille envers le rouquin, elle aurait tout fait pour l’encourager. Et si aujourd’hui elle n’était plus là physiquement, son souvenir subsisterait à jamais tant qu’il resterait quelqu’un pour l’entretenir. Personne n’aurait pu prévoir l’accident, et s’il ne l’avait pas fait a cause la possibilité de se transformer devant tout le monde, Kyô avait tout de même voulut aider sa mère, et pour Tohru il ne lui en fallait pas plus.

- Alors, tu vois cesse de t’en faire pour moi. Et arrête de t’en vouloir, tu sais que si tu continue comme ça tu peux te rendre malade, c’est important de faire attention à sa santé. Affirma-t-elle.

Elle prenait cela très au sérieux, elle savait qu’a force de trop s’inquiéter ou bien de trop culpabiliser on pouvait aussi finir par se rendre physiquement malade. Hors, elle ne voulait pas que Kyô se rende malade, pas pour ça en tout cas. Le temps avait passé depuis, entre la malédiction qui avait duré en tout vingt huit ans, et aujourd’hui il y avait eu plus de trente ans en tout qui s’était écoulé. C’était bien assez au final, pour que Tohru ait le temps d’y réfléchir. Même si comme tout le monde, elle n’avait pas vraiment « vécut » les vingt huit ans de malédiction, au final cela avait été la même journée qui se répétait en boucle, pendant que de faux souvenirs leurs faisaient croire à une autre vie.

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________________________________________ 2020-05-31, 00:04

Après tout ce temps...

Tohru & Kyô
••••

Kyô avait du mal. Beaucoup de mal à accepter le pardon dont Tohru le gratifiait. Pourtant lui s’en voulait tellement ! Comment faire autrement en sachant qu’il n’avait pas pu rendre la pareille à une femme qui l’avait aidé à une époque, même s’il avait fallu qu’il grandisse pour le comprendre ? Il aurait suffi de peu, un simple geste. Quand on dit que les actes ont des conséquences, rien n’était plus vrai. Le rouquin l’avait bien expérimenté. Un geste et la mère de Tohru serait en vie. Mais le secret des Soma dévoilé. Et ça, à l’époque, il n’avait pas été prêt à y faire face. Déjà qu’on le traitait de monstre dans la famille, alors avoir le droit aux mêmes regards dans le monde extérieur ? Oh non, il n’aurait pas pu le supporter. Et c’était parce qu’il avait été aussi égoïste qu’il s’en voulait.

Cependant, cela n’avait plus autant d’importance. Tohru savait à présent. Elle ne le fuyait pas, ne le traitait pas de monstre. Elle était là, fidèle à elle-même à vouloir continuer à croire en lui. Comment pouvait-il lui résister ? Il avait toujours fallu un simple sourire ou un simple regard pour qu’il fasse tout ce qu’elle voulait. C’était ainsi… Peut-être que comme la Malédiction des Soma à laquelle il ne pouvait rien, sa relation avec Tohru était immuable ?

Soudainement, le rouquin sentit les bras de la jeune femme autour de lui. Avant qu’il n’ait pu la prévenir, il se transforma en chat, les oreilles plaquées sur sa tête tellement ça l’agaçait. Ce qu’il allait se cailler quand il reprendrait forme humaine ! Elle y avait pas pensé à ça hein ? Toujours à vouloir faire des câlins alors qu’elle savait très bien comment ça finissait ! Le jeune homme était en train de s’énerver de plus en plus, sans pour autant se mettre à crier comme autrefois, quand Tohru prit la parole. Aussitôt, ses oreilles se relevèrent, son attention aussitôt focalisée sur la jeune femme.

- Tu crois vraiment ? Demanda-t-il doucement.

Il avait envie d’y croire. Envie de tourner la page. Comme elle, il ne parvenait pas à regretter leur rencontre. Il était triste que cela se soit fait au détriment de Kyoko, mais Kyô avait depuis longtemps admis qu’il était égoïste sur certaines choses. Et qu’il voulait garder Tohru pour lui. Toujours resté à ses côtés, prendre soin d’elle comme elle prenait soin des autres. C’était là son vœu le plus cher. Et au fond, le fait d’être à Storybrooke, ça lui permettrait sans doute de réaliser ce rêve.

- Tu sais, le dernier nouvel an qu’on a passé ensemble… J’ai souhaité qu’on ne soit jamais séparé. Avoua-t-il en murmurant, profitant qu’un chat ne pouvait pas rougir. Pour toujours être là auprès de toi…

Il n’avait pas prévu de lui en parler aujourd’hui. De lui en parler tout court en fait. Mais c’était sorti tout seul, sans doute parce qu’elle voulait qu’il reste auprès d’elle. Kyô savait qu’il allait devoir la partager avec le sale rat s’ils se retrouvaient – et il ne doutait pas que Tohru voudrait le retrouver – mais même ça ne l’empêchait pas de vouloir rester là, près d’elle. Il ne permettrait plus qu’on lui fasse du mal.

- J’ai toujours eu la sensation que ta mère veillait sur toi tu sais. Je me dis que le fait que tu aies été obligée d’emménager chez Shiguré, ça n’était pas un hasard. Ni que ta route ait de nouveau croisé celle de la famille Soma. J’ai juste… Bah, tu sais comment c’était dans cette famille. Alors… Savoir qu’encore une fois, quelqu’un de mon entourage était mort à cause de moi…

Il ne parvenait pas à finir cette phrase. Et puisqu’il était toujours dans les bras de Tohru et donc toujours sous sa forme animale, Kyô en profita pour poser sa tête dans le cou de la jeune femme, profitant de sa douceur et de son odeur. Il était pathétique parfois… Mais elle avait toujours eu le don de lui faire voir les choses d’une autre façon. Et elle était tellement têtue de toute façon qu’on en venait vraiment à voir la vie de la même façon qu’elle. C’était peut-être pour ça que tous les Soma avaient été attirés par elle. Elle les fascinait tous, les entourait de chaleur. Et vu qu’ils ne connaissaient pas ce sentiment d’acceptation plein et entier sans ressentir de contrainte comme avec Akito… Tohru était un peu devenue le nouveau dieu de la légende. Et les choses semblaient bien plus belles avec elle…

- Je sais, je sais. Remarque, en trois ans, c’est plus souvent toi qui es tombée malade que moi. Lui rappela-t-il. D’ailleurs, t’as intérêt à m’emmener dans un endroit chaud avant de me lâcher, j’aimerais éviter de reprendre forme humaine dehors. Dit-il d’un ton grognon. Je parie que tu n’y avais pas pensé à ça hein ! Espèce de crétine !

Bon, il était un peu agacé, mais son « crétine » était plein d’affection. Elle le connaissait suffisamment pour s’en rendre compte. Non ?


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________________________________________ 2020-07-17, 17:29



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Tohru n’avait pas l’intention de revenir sur ses mots, parce que chaque argument utilisé pour convaincre Kyô de ne pas s’en vouloir était absolument sincère. Elle ne doutait absolument pas que sa mère si elle avait put s’exprimer d’une manière ou d’une autre ne lui en aurait jamais voulut pour ce qu’il c’était passé ce jour là. Tout comme elle ne lui en voulait pas. Aux yeux de Tohru, seule l’intention de Kyô comptait. Et il avait voulut aider, simplement la malédiction l’en avait empêché. Plus que jamais, il était temps pour elle de reformuler son vœu, celui qu’elle avait fait après sa première véritable confrontation avec Akito cette nuit là, lors de leurs vacances à la plage : elle lèverait la malédiction. Parce que de toute ses forces, et avec tout son âme elle voulait les protéger, tous, Kyô y compris. Lui, qui avait déjà tellement souffert, que tout le monde prenait de haut parce qu’il était du signe du chat, plus que jamais elle voulait être à ses côtés.

Storybrooke avait changé beaucoup de choses, et peut-être ces changements étaient-ils pile ce dont ils avaient besoin pour lever la malédiction. Après tout, Kyô ne semblait pas avoir retrouvé ses autres cousins. Peut-être qu’ici, les autres membres des douze avaient pu avoir une vie relativement « normale ». De plus, maintenant qu’elle y pensait, dans un endroit comme celui-ci, des personnes se transformant en animaux au contacte du sexe opposé, ça devait être perçu comme étant « banale ». Et peut-être était-ce cette « banalité » de la chose, qui pourrait entre autre les aider. Néanmoins, il y eu deux choses qui sortirent Tohru de ses réflexions : la première la remarque de Kyô et la seconde la réalisation que son temps de pause arrivait à sa fin :

- Aaaaah !
S’exclama-t-elle en paniquant

Immédiatement, son cerveau se mit en mode automatique et elle se mit à frénétiquement ramasser les affaires du rouquin qu’elle tenait toujours sous forme animale dans ses bras et à se diriger vers les vestiaires. Personnes n’y seraient à cette heure ci. Son service à elle se terminait dans deux heures, en même temps que celui de deux de ses collègues. Pour ceux qui travaillaient en cuisine, le temps de tout ranger cela leur prendrait un peut plus de temps. Et si elle s’était proposé plus d’une fois de rester pour aider, personne n’avait jamais voulut la laisser faire, prétextant qu’elle en faisait déjà bien assez et qu’il était inutile qu’elle se surmène. Tohru n’avait jamais compris en quoi, elle se surmenait mais n’avait pas osé protester. Quand on lui disait quelque chose, elle argumentait rarement. Sauf évidemment si cela concernait le bien être d’autrui. Après tout, malgré les avertissements d’Akito elle avait continué à « interférer » dans la vie des douze. Mais elle ne pouvait pas faire autrement, elle ne pouvait pas les laisser le destin qui les attendait était trop malheureux pour ne pas s’y opposer. Pas alors que Kyô allait être enfermé, et que Yuki allait devoir revenir vers ce qu’il avait fuit. Ce n’était tout simplement pas quelque chose qu’elle pouvait accepter.

- Je suis vraiment, vraiment désolée Kyô. Je dois retourner travailler. Mais regarde, il fait chaud ici ! Et personne ne viendra te déranger pendant que tu redeviens humain. Mon service finit dans deux heures, on pourra en rediscuter après enfin...Si tu veux. Rajouta-t-elle d’une petite voix mal assuré.

Il y avait encore beaucoup de choses à régler. La conversation qu’ils avaient eu même si elle l’aurait vraiment souhaité et aimé ne pourrait pas faire tout le travail. Quelque part, elle ne pouvait empêcher cette petite boule d’anxiété qui se formait dans sa gorge, si ça ne tenait qu’a elle évidemment qu’ils en reparleraient de ça et de tous les non-dits qu’il y avait entre eux. Mais ça dépendait aussi pas mal du maudit du chat. Quoi qu’il en soit, elle serait fixé dans deux heures pour le moment il fallait vraiment qu’elle reprenne son service, c’eut été impensable pour elle d’avoir ne serait-ce que deux minutes de retard. S’excusant encore au près de Kyô, elle fit demi-tour en direction de la salle. De toute façon, il n’avait pas encore finit ce qu’il avait commandé, alors il reviendrait sûrement à sa place lui aussi.

En attendant, elle décida de ne pas trop se tracasser et afficha son plus beau sourire le temps qu’il lui restait de service. S’appliquant à bien s’occuper de prendre les commandes des clients et les leur rapporter sans rien laisser tomber. Elle avait déjà cassé une carafe de café aujourd’hui, il n’était pas question qu’elle recommence avec quoi que ce soit d’autres. Elle était maladroite, Tohru le savait et ne s’en cachait pas. Simplement, quand elle travaillait elle essayait de l’être disons un peut moins.

Elle s’employa à faire son service le sourire aux lèvres, s’occupant des clients avec patience et bienveillance et lorsqu’il fût temps pour elle de rendre son tablier pour la journée, ce ne fût pas sans discuter avec ses collègues. C’est vrai qu’elles n’étaient pas Saki ou Arisa, mais Tohru appréciait de passer un peut de temps avec elles, et de travailler dans une ambiance aussi bonne. Bien sur, elle aimerait beaucoup retrouver ses deux meilleures amies mais elle était patiente. Et puis, elle avait déjà retrouvé Kyô, c’était pour elle déjà une victoire et ça lui mettait du baume au coeur. Après avoir passé autant d’années à les chercher, de retrouver quelqu’un le maudit du chat particulièrement la rendait particulièrement heureuse. Et évidemment, son morale du jour ne semblait pas avoir échappé aux autres employés du café. On l’avait taquiné au sujet du rouquin, et elle s’était défendu le visage au moins aussi rouge qu’une écrevisse. Finalement, elle salua tout le monde, et attrapa son sac contenant ses affaires afin de se rendre à l’entrée du café. Évidemment, elle salua également tous les collègues qu’elle croisa au passage si bien qu’il lui fallut cinq bonnes minutes pour faire le trajet qui se faisait généralement en une. Si Kyô, l’attendait dehors il n’allait certainement pas être très content d’avoir attendu...

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