« Pour réaliser une chose extraordinaire, commencez par la rêver.
Ensuite, réveillez-vous calmement et allez jusqu'au bout de votre rêve
sans jamais vous laisser décourager. » (Walt Disney)

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 Evénément Divin #6 {18} : Les Petits Secrets d'Hippolyte

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Elliot Sandman
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Elliot Sandman

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Evénément Divin #6 {18} : Les Petits Secrets d'Hippolyte - Page 12 Try5

Tous les mots sont fins
quand la moustache est fine...


Evénément Divin #6 {18} : Les Petits Secrets d'Hippolyte - Page 12 Eu7xoqr

| Conte : Intrigue Divine
| Dans le monde des contes, je suis : : Le fils de Hadès et Aphrodite

Meilleur duo Awards

| Cadavres : 1568



Evénément Divin #6 {18} : Les Petits Secrets d'Hippolyte - Page 12 _



________________________________________ 2015-03-01, 12:24


« J'ai remué ciel et terre pour vous retrouver. »

J'apparus devant un hôtel hyper classieux, en plein centre de Londres. Une voiture klaxonna et manqua de m'emboutir. Elle fit un écart pour m'éviter tandis que je faisais un bond pour atterrir sur le trottoir. Il fallait que j'affine ma technique de téléportation pour ne pas finir au milieu de la route. Ce n'était pas encore très au point, tout ça.

Pantelant, je me tournai vers les marches de l’hôtel. Deux jeunes femmes discutaient avec animation. L'une d'entre elles tenait un jambon de la même manière qu'une mitraillette au repos. Mais je n'avais d'yeux que pour la seconde, avec son joli petit nez et ses grands yeux.

"LILY !" m'écriai-je d'une voix aiguë.

Je me dirigeai vers elle en zigzaguant, me prenant pas mal de passants sur mon chemin. Ils maugréaient à chaque fois. Non mais... ils ne pouvaient pas regarder où ils mettaient les pieds ? J'accélérai l'allure et me plantai devant la jeune femme pour la regarder d'un air à la fois ahuri et émerveillé. J'avais peine à croire qu'elle était vraiment là, devant moi. C'était un tel soulagement de la savoir en vie !

"Tu vas bien ? Oui, tu vas bien, c'est... oh Lily !"

Je ne savais quoi lui dire. J'avais eu si peur. Peur de la perdre pour toujours, de la retrouver la gorge tranchée dans un caniveau avec la dédicace de Sweeney Todd. Je regardais sans doute trop de films.

Je la soulevai de terre et l'écrasai presque dans mes bras. Je la gardais contre moi un instant puis la reposant par terre, je chassai une larme et m'écriai, mon visage perdant toute douceur :

"Les téléphones c'est pour les chiens ? Tu n'imagines pas à quel point j'ai flippé ! Je t'ai laissé des centaines de messages ! Ellie aussi s'est fait un sang d'encre ! Elle a totalement perdu la boule ! Elle est en train de faire la tournée des musées ! Des musées, tu imagines ? Non mais quelle personne saine d'esprit irait se perdre là-dedans ?"

J'expirai un peu d'air, sans me départir de mon regard sévère, avant de soupirer pour de bon et de l'embrasser tendrement. Elle allait me rendre dingue mais je ne pouvais pas me passer d'elle. Puis je me tournai vers Robyn et fixai son jambon.

"Au moins, vous n'allez pas mourir de faim avec ça... Salut Robyn, au fait."

Je lui fis une tape virile sur l'épaule parce que cette nana était un vrai mec. Je levai les yeux sur les autres filles qui venaient de sortir de l’hôtel. Mon visage s'éclaira tandis que je m'écriai si fort que des passants se retournèrent sur moi :

"MAMAN !"

Je me précipitai sur elle, montant le reste des marches quatre à quatre, et lui fis un gros calin. Elle me reçut dans ses bras en manquant de tomber par terre.

"Elliot, doucement. Moi aussi je suis contente de te voir !" s'esclaffa-t-elle.

Je ne l'écoutais pas, la serrant avec davantage de force. Il fallait qu'elle arrête de disparaitre de la circulation comme ça. J'avais besoin d'elle. Me reculant, je remarquai son expression soucieuse. J'ignorai ce qui leur était arrivé, mais inutile de le lui demander. Mieux valait que j'en discute plus tard avec Lily.

Il émanait de la jeune femme à coté d'elle la même aura charismatique. A force, j'arrivais à reconnaitre un dieu quand j'en voyais un. Ils avaient une dimension qui semblait capturer l'air tout autour d'eux. J'esquissai un sourire sympathique et lui tendis la main. Elle avait l'air dévasté mais semblait tenir le choc.

"Bonjour, tante, euh..."

C'était toujours bizarre de rencontrer un membre de sa famille, surtout que je ne savais jamais à qui j'avais à faire. Ma mère sourit et la présenta :

"C'est Artémis. Je t'ai déjà parlé d'elle."

"Wouah, la déesse qui... Tchak !" fis-je, épaté, en mimant un arc et le bruit de la flèche qui part. "Maman m'a raconté tellement d'histoires sur vous ! Vous êtes super cool ! Genre la super héroïne des dieux !"

Mon regard tomba sur les deux autres filles qui venaient de les rejoindre.

"Hip Hip !"
lançai-je en voyant ma cousine.

Je m'élançai vers elle pour faire notre salut trop stylé. Avec la main, on se tape les paumes, le revers, on tape nos poings et pour finir, on mime un pistolet. C'était dans l'Arme Fatale. Hip était aussi geek que moi, ou peu s'en faut.

Quant à la dernière, je lui fis coucou de la main. Elle était accompagnée par un type qui répondit à mon salut en croyant qu'il lui était adressé. Okay...

Je me retournai vers Lily pour constater, la mine sombre, qu'elle était en compagnie d'Ellie. Je la trouvais un peu trop discrète quand elle se téléportait, celle-là. Lily était aux anges car mon double venait de lui offrir le porte-clés cadran solaire que le guignol de Soho lui avait refourgué. Je croisai les bras, les yeux plissés sur cette scène. J'étais venu les mains vides. Je n'avais pas de cadeau pour elle. Ellie marquait encore un point. C'était vraiment dur d’être en compétition constante avec soi-même.

J'esquissai une moue peinée mais pris sur moi pour demander :

"Alors, on rentre ?"
"Non, on a décidé de faire les boutiques. Ca va nous faire le plus grand bien." répondit ma mère.

J'entrouvris la bouche, indigné d’être embarqué contre mon gré dans une affaire de shopping. Elles étaient sérieuses ? Elles allaient vraiment me faire endurer ça ? Je lançai un regard insistant aux autres filles, espérant qu'elles comprendraient ma douleur. Pitié, pas de magasins de fringues... Je n'avais pas fermé l'oeil depuis plus de 24H...
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Diane Moon
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Diane Moon

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Evénément Divin #6 {18} : Les Petits Secrets d'Hippolyte - Page 12 Dmia

“I love you to the moon and back”


| Conte : Hercule
| Dans le monde des contes, je suis : : Artémis la déesse de la chasse et de la lune herself (même si je viens du monde réel)

| Cadavres : 9254



Evénément Divin #6 {18} : Les Petits Secrets d'Hippolyte - Page 12 _



________________________________________ 2015-03-01, 22:32

Les petits secrets d'Hippolyte
Demain sera un autre jour...Mais d’abord shopping


J'étais tombée de haut, des siècles de mise à l'écart, et voici ce que je découvrais, des demi dieux, laissés à leur sort, des créatures, qui n'étaient que de vulgaires objets. Il, était temps que cela, cesse, Arès, aurait des choses à me raconter, et à présent, que j'acceptais pleinement, la fonction de bras droit, il était hors de question, qu'il me cache des choses.

La présence, d'Aphrodite, m'aidait à tenir, mais en retirant mon bracelet, et en retrouvant, mon lien avec Apollon je m'étais rendu compte d'une chose : je comptais beaucoup trop sur lui. Je m'étais rendu, compte que je le traitais, comme s'il n'était là que pour me ramasser à la petite cuillière. Je, l'avais accusé d'être trop possessif, mais ne l'étais-je pas tout autant que lui ? Il, était temps qu'il y ai une véritable égalité, entre nous, que je lui rende, tout ce qu'il m'avait donné, et qu'il compte sur moi, autant que je comptais sur lui.

Quant, à moi, j'allais devoir apprendre à me débrouiller, sans lui. Il, ne pourrait pas toujours être là, à mes côtés, je devais apprendre à faire avec. Je suppose, que c'était ça, murir.

Poséïdon, n'était clairement, pas l'homme que je pensais qu'il était, et même si j'ignorais, totalement, ce qu'il s'était passé avec Aphrodite, il était temps que je demande, quel était l'homme derrière le masque. Arès, serait surement le mieux, placé. Je ne lui demanderais pas de me raconter ce qu'il s'était passé avec notre sœur, c'était à elle, et à elle seule, de le faire.

Je m'étais débarbouillé, et remaquillé, histoire de paraitre un peu plus, décente, et je rejoignais les autres avec ma sœur, quand un boulet de canon, arriva droit sur elle. Après, quelques instants, pour faire le lien, je compris qu'il s'agissait d'Elliot. Une fois que le moment, mère, fils fut passé, il s’avança, vers moi, ne sachant pas trop comment s'y prendre. Mais, dès qu'Aphrodite dit mon nom, je su dès l'instant où il ouvrit la bouche, que j'allais beaucoup l'aimer. Il, était drôle, et c'était comme une bouffé d'air frais :

- Tu peux me tutoyer tu sais, et m’appeler Diane, si ça te parait plus accessible. Je reconnais, qu'Artémis, ça peu faire un peu pompeux

Il fila ensuite en direction d'Hippolyte pour la saluer, et repartis vers Lily. Je le regardais faire amusée, jusqu'à ce qu'une jeune femme n'apparaisse. Étonnée, je me tournais vers ma sœur :

- J'ignorais que tu avais eu des jumeaux, je croyais que tu n'attendais qu'un garçon

Aphrodite, me sourit, et m'expliqua qui était « Ellie ». Le moins, que l'on puisse dire, c'est que c'était quelque peu complexe. Mais, d'un côté, tout l'était quand ça concernait notre famille.

La nouvelle d'aller faire, les boutiques, ne sembla pas enchanter Elliot, en revanche. Le pauvre, je compatissais :

- T'en fais, pas, on va se serrer les coudes, entre personne qui n'aiment pas faire les boutiques. Malheureusement, je crains que cela ne soit inévitable, Lily ne rêve que de ça, depuis qu'on est arrivé, et puis, ça nous changera un peu les idées.

Je lui adressais un clin d’œil amusée, et prit mes affaires, avant de suivre le groupe. Puis que nous, n'étions plus reliées, par les bracelets, nous pouvions, faire un peu tout ce que nous voulions. Néanmoins, un horaire à respecter fut établit. J'avais, des cadeaux à acheter, à plusieurs personnes, et par la même occasion, j'avais aussi envie de me vider la tête, en m'achetant quelques vêtements. Aussi, pris-je la direction de Burberry. Je n'en avais pas vraiment, besoin, mais en entrant, je me répétais, d'être raisonnable...Sauf qu'évidement, ce fut tout le contraire.

Après, m'être probablement, acheté plus de vêtements, que je n'en porterais, je fis le tour de divers grands magasins. Je n'étais pas une grande adepte, en général, mais pour une fois, je pouvais faire une exception.

J'étais actuellement, en pleine indécision, quant à ce que je pourrais bien offrir à mon frère. Aussi, me décidais-je à l’appeler. Dès qu'il décrocha, je ne lui laissais même pas le temps de répondre que déjà je lui posais une myriade de questions :

Dit moi Apo, qu'est que tu préfère ? Une veste en cuire ou bien un polo ? Ou peut-être que tu n'as pas envie de vêtements, de l'électronique tirais mieux ? Ou, un parfum ?

Je finit par m'arrêter, lorsqu'il me demanda comment il pouvait me répondre si je ne le laissais pas en placer une. Un sourire, étira mon visage, ça faisait du bien de l'entendre. Une fois, qu'il m’eus dit ce qu'il souhaitait, je filais acheter, d'autres choses encore. Je savais que Diana, vouait un véritable culte aux chaussures. Aussi, décidais-je de lui en prendre plusieurs paire. J'allais très certainement, me faire sermonner comme une gamine, de 3 ans, quand elle le verrait mais tant pis. Je, ne voulais, penser à rien, aujourd'hui.

Après, un bon moment, je me rendis compte, que l'heure de rendez-vous, était pour bientôt. Je m'apprêtais à partir, mais en voulant sortir du rayon vêtements masculin, je tombais, sur les costumes. Bien, sur, il pouvait en changer quand il voulait, mais, ça ne serait pas un cadeau. C'était, ce qu'on était censé faire non ? Pour ses proches, les gens, qu'on aimait, l'homme qu'on aimait. Des cadeaux.

J'avais, souvent l'impression, d'être bien ignorante des codes sociaux, qui régissait le monde. L'on, ne pouvait pas franchement, dire, que c'était les mêmes, que chez nous, les dieux. Je réfléchit, quelques instants, essayant de me rappeler, combien il mesurait. Il, était plus petit qu'Apollon, ça, déjà c'était sure, mon frère faisait quasiment, office d'ovni avec sa taille.

Je me décidais, finalement, à agir à l'instinct, au pire, il pourrait toujours l'ajuster avec sa magie. Mon, achat, terminé, ainsi que tous les autres. Je me décidais, à rejoindre le groupe. Riant, en imaginant La tête d'Elliot, et des autres à la vue du nombre de sac . Oui, au départ, je n'avais pas vraiment, voulut, aller faire cette sortie shopping, mais au final, je m'étais quelque peu...Laissé emporter dirons nous. En fait, je devais être un peu accro du shopping sur les bords, sauf que je ne m'en étais jamais rendu compte avant.

Mais, l'important, était que j'avais des cadeaux pour tout le monde, pour vraiment, tout le monde.





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Hippolyte Sherman
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Hippolyte Sherman

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Evénément Divin #6 {18} : Les Petits Secrets d'Hippolyte - Page 12 4tez
Arrête de t'en faire. Je suis là maintenant, ok ?

Evénément Divin #6 {18} : Les Petits Secrets d'Hippolyte - Page 12 3401
Tu m'as vraiment manqué Peg !


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Evénément Divin #6 {18} : Les Petits Secrets d'Hippolyte - Page 12 _



________________________________________ 2015-03-02, 00:23




Les Petits Secrets d'Hippolyte

Lily, Aryana, Diane, Louise, Robyn, Egéon && Hippolyte


Plus Egéon s’expliquait, plus les bras d’Hippolyte tremblaient. Son regard se baladait entre Egéon, Diane et Aryana. Chacun prenait la parole pour se défendre, pour exprimer leur point de vue à leur manière. Diane avait même craqué. En effet, tout le monde pouvait voir des larmes couler le long de ses joues. Et Hippolyte était toujours planté, l’arme à feu pointé vers Egéon. Elle essayait de prendre en compte chaque parole, chaque mot des deux côtés. A ce moment-là, Hippolyte avait l’impression d’être le cul entre deux chaises. Pourtant les paroles d’Egéon sonnaient tellement vrai pour Hippolyte. Plus elle réfléchissait – bien que cela soit assez dure vu la situation – plus Hip trouvait des exemples qui allaient en parfaite adéquation avec le discours d’Egéon. Son père lui-même lui avait dit qu’elle avait une tâche bien précise à accomplir, sous-entendu qu’elle avait été créée dans un but précis. Etait-elle un simple pion ? Puis ce que venait de faire Aryana, se servir d’Hippolyte pour mettre la pression, sans même l’avertir. De plus, la demi-déesse était persuadée qu’elle aurait bien voulu mettre fin à sa vie si cela ne tenait qu’à elle. Hip sentait que les larmes ne resteraient pas éternellement stockées dans ses yeux. Elle inspira profondément puis baissa son arme. Elle passa rapidement le revers de sa main sur ses yeux pour éponger avant que cela coule. Il avait raison sur une chose, il fallait partir. Elles n’avaient plus rien à faire ici, l’homme qui voulait les armes divines était mort et Egéon les laissait partir, comme s’il avait compris qu’il n’obtiendrait rien de Diane. La jeune femme rangea son arme, puis adressa un dernier regard à Egéon avant de tourner les talons et se suivre Aaron en silence. Elle n’avait envie de parler à personne. Tout ce qu’elle voulait c’était rentrer chez elle et enfin pleurer, sans doute dans son lit. Sur le chemin menant à la surface, Hippolyte repensa à tout ce qu’elle avait vécu. Jamais elle ne s’était senti aussi mal, ou peut-être si, lors de la mort de sa mère. Cependant là, d’avoir volé la vie d’un homme, ça ne lui avait rien fait, contrairement à sa mère. C’était comme si elle avait perdu une certaine part de sensibilité, voire même du cœur. Hippolyte n’avait pas envie de devenir sanguinaire ou froide, elle n’avait pas envie d’être considérée comme une sans-cœur…Mais les événements avaient brisés quelque chose en elle, et la jeune femme elle-même ne savait pas ce que c’était. L’entente de son prénom fit sortir Hippolyte de ses pensées. Ils étaient à la surface et Hippolyte ne l’avait même pas remarqué. Elle écouta sa tante Artémis s’adresser à elle. Hippo buvait ses paroles. Elle regrettait d’avoir participé au craquement de Diane. Car s’il y avait bien une déesse en qui elle avait parfaitement confiance, il s’agissait bel et bien de Diane. Aussi, elle voulut la rassurer, lui dire qu’elle la croyait, qu’elle avait confiance en elle, qu’elle l’appréciait. Cependant, Diane s’éloigna quelque peu, pour continuer de sangloter. La demi-déesse se mordit la lèvre en affichant une mine plutôt dépitée en voyant tout ce que cette expédition avait fait. Une des raisons ou plutôt une des causes de ce désastre venait de passer devant Hippolyte en lui adressant un discours qui passa dans une de ses oreilles pour en ressortir aussitôt. La jeune femme croisa les bras et roula les yeux. Si elle pensait que des excuses et des mensonges supplémentaires allaient faire qu’Hippolyte lui pardonne, elle se mettait le doigt dans l’œil. Malheureusement, l’étudiante ne put lui dévoiler sa pensée puisqu’elle était rapidement partie vers Artémis. Alors elle décida de suivre Aaron, en restant dans son coin. Ils arrivèrent là où tout avait commencé, l’hotel. C’était une blague ? Là, Hippolyte n’avait pas du tout envie d’y remettre un pied et de se remémorer une tonne de souvenir. Cependant, elle observa ses bras et constata qu’elle avait besoin d’une bonne douche et surtout de se changer. En effet, ses vêtements étaient trouées à plusieurs endroit en raison des flammes. Sa peau était un peu plus noire en raison de la fumée. Hippolyte écouta d’une façon plutôt distance et détachée ce que disait Aphrodite mais n’ajouta aucun commentaire. Elle était d’accord pour prendre des chambres. Une fois les chambres prises, Hippolyte s’était empressée de fausser compagnie au groupe et de s’enfermer dans sa chambre. Elle jeta violemment son sac puis fila dans la salle de bain où elle y resta très longtemps. La demi-déesse n’était pas chaude à l’idée de faire les boutiques. Elle n’avait clairement pas la tête à ça. Malheureusement, elles avaient promis aux mortelles qu’il y aurait un passage boutique avant de retourner à Storybrooke. Puis si ça tenait tant à Lily, alors Hippolyte pouvait essayer de faire un effort. Ainsi, la jeune femme sortit de la salle de bain, dans un état un peu meilleur que quand elle y était entrée. Cependant, à l’intérieur d’elle-même, Hippolyte était encore toute chamboulée, elle avait envie de pleurer, de casser pleins de chose, de se bagarrer. Mais en se regardant dans le miroir, l’étudiante essaya de se calmer. Elle tendit son visage, se massa légèrement le visage. Elle se parla même à elle-même. « Zen. Il ne faut pas craquer. Pas maintenant, pas devant eux. » Hippolyte inspira puis son regard, toujours rivée sur le miroir, descendit au niveau du reflet du sol près de la parole. Il y avait un bout de papier. Hip se retourna rapidement pour aller ramasser le morceau de feuille. Il y avait des inscriptions, une écriture lisible, plutôt féminine au premier abord. Hippolyte commença alors à lire ce qu’il y avait d’inscrit. Une fois finie, on pouvait observer un léger sourire sur son visage pourtant très fatigué. Cela lui mettait du baume au cœur de savoir qu’elle pouvait compter sur Lily, et que cette dernière la considérait comme sa meilleure amie. Hippolyte n’avait pas beaucoup d’amis proche, alors lorsqu’elle en gagnait une, cela ne pouvait que lui faire plaisir. La jeune femme reprit toutes ses affaires puis quitta définitivement la chambre. Elle redonna la clé à la réception puis sorti à l’extérieur. Dehors il y avait déjà Aryana, Diane, Lily, Robyn…et Elliot ? Hippolyte haussa un sourcil, depuis quand était-il là ? En tout cas, Elliot semblait content de revoir sa cousine. Hippolyte n’était pas au mieux de sa forme pour faire le salut des cousins geek. Mais il avait déjà commencé à s’avancer vers elle. Hippolyte n’allait pas lui mettre un vent quand même ! Alors elle prit sur elle, essayant de lui adresser un semblant de sourire puis commença leur salut. Une fois fini, Elliot était rapidement passé à autre chose, tout comme Hippo d’ailleurs. Elle cherchait une personne en particulier. Elle l’a trouva en compagnie d’une jeune femme qu’elle ne connaissait pas. Une amie d’Elliot et Lily ? Qu’importe, la demi-déesse se dirigea vers la brunette puis sans aucune hésitation, elle l’enlaça par le cou. Oui, Hippolyte venait d’offrir un câlin à quelqu’un. C’était tellement rare. Mais cela lui avait fait du bien. Hippolyte laissa même quelques larmes peu résistantes, couler le long de ses joues. « Merci pour ton petit mot. » Hippolyte s’essuya discrètement les yeux avant de lâcher Lily. Maintenant qu’ils étaient au complet, la séance shopping allait pouvoir commencer. Hippolyte n’était vraiment pas d’attaque à faire les boutiques mais elle n’avait pas vraiment le choix. La jeune femme suivit donc le groupe en tapotant son cousin sur l’épaule en passant devant lui. « Rassure toi, je n’ai pas plus envie que toi de faire les boutiques. » Hippolyte aurait bien ajouté qu’ils se tiendraient compagnie mais c’était faux. La demi-déesse allait tout faire pour rester toute seule, dans son coin. Déjà elle les accompagnait faire les boutiques, il ne fallait pas trop en demander. Finalement, chacun parti de son côté, Hippolyte insista pour qu’on la laisse seule. Et c’est donc toute seule qu’elle se dirigea vers les boutiques. La jeune femme n’avait pas trop envie de faire les emplettes, mais il fallait au moins qu’elle pense à ses camarades de Storybrooke, les amis proches qu’elle pouvait compter sur les doigts d’une main. Il y avait Ruini, Alexis, Trojan et évidemment Lily. Il y avait également sa famille, parmi eux, il y avait Peggy, mais aussi son père. Fallait-il qu’elle lui prenne quelque chose. Il lui avait tant donné et Hippolyte rien. Il fallait changer la donne. Et même si elle doutait des dieux et de leur lien avec les créatures et les demi-dieux, Arès restait son père. Hippolyte décida d’acheter des petits souvenirs pour ces 6 personnes. Oui, même Lily alors qu’elle était à Londres. Elle avait envie d’acheter un petit quelque chose pour Cassandre, mais qu’elle donnerait du coup à Lily. Il fallait qu’elle se change les idées et le shopping pourrait peut-être l’aider. Rapidement Hippolyte trouva 5 cadeaux. Une tasse london pour Trojan, une boîte de cookie made in london pour Alexis, une écharpe aux couleurs de Londres pour Peggy, un bracelet au couleur de Londres pour son père (Hippolyte s'était acheté exactement le même, comme pour renforcer leur lien si fragile) ainsi qu'une "boule" anti-stress qui était en forme de cabine téléphonique londonienne et enfin une paire d'écouteur aussi aux couleurs de Londres ainsi qu'un porte clé "Big Ben" pour Ruini. Il ne manquait plus que pour la petite Cassandre, sa petite cousine. La demi-déesse aperçut au loin un magasin pour bébé. C’était parfait. Hippolyte se dépêcha d’y aller pour pas rater l’heure de rendez-vous pour rentrer à Storybrooke. Il y avait de tout là-dedans. Cela allait du biberon au lit pour bébé en passant par les vêtements. La jeune femme décida d’aller dans le rayon des vêtements pour fille. Elle laissa son instinct la guider et choisir pour elle. Elle arriva devant une petite tenue toute mignonne, en forme d’éléphant. Il s’agissait d’un pyjama mais il était parfait. Cela collerait tellement avec Lily, qui était un éléphant dans le monde des contes. Hippolyte n’hésita pas longtemps avant de prendre l’article. Elle se mit sur la pointe des pieds pour l’attraper lorsque soudain elle senti un regard lourd sur elle. La jeune femme tourna la tête pour voir qui la regardait comme ça avec tant d’insistance. Il s’agissait d’un bébé dans son landau. Hippolyte plissa les yeux pour lui adresser un regard mauvais. « Arrête de me fixer comme ça ! » Ok. Hippolyte parlait à un bébé. Comme s’il allait lui répondre. Hippolyte soupira puis attrapa l’article qu’elle voulait. C’est le fait d’entendre le hochet qui fit retourner Hippolyte une nouvelle fois. Malgré le regard peut aimable qu’elle lui avait adressé, le bébé lui souriait. Il rigolait même. La demi-déesse fut touchée par tant d’innocence, tant de pureté dans ce sourire, dans ce rire. Et lorsque le bébé fit tomber son hochet, Hippolyte se précipita pour le ramasser, comme guidé par une force invisible qui lui dictait sa conduite face à un bébé. Que se passait-il ? Hippo ramassa le hochet puis le tendit au bébé qui arrivait parfaitement à saisir les objets. L’étudiante ne put s’empêcher de jouer avec lui bêtement en se cachant les yeux avec ses mains, puis en les ouvrants doucement. Que lui arrivait-elle ? Est-ce que la présence d’un bébé lui permettait d’être plus légère ? Hippolyte adressa un sourire au bébé puis ses pensées reprirent le dessus. Hippolyte se redressa puis sans adresser une parole ni même un regard à la mère, elle se dirigea vers les caisses. Ce fut court mais intense. Ce moment avait soulagée Hippolyte quelques instants mais ses tourments étaient revenus. Il était vraiment temps que la jeune femme rentre chez elle. Elle avait besoin de repos et aussi de pleurer. Sacs en main, la demi-déesse regagna le lieu de rendez-vous à l’heure fixée. Apparemment, tout le monde avait fait du shopping. Le plus étonnant était de voir Diane avec autant de sac. Hippolyte ne pensait pas qu’elle était une adepte du shopping. De toute façon cette expédition avait permis à Hippolyte d’en découvrir beaucoup plus sur cette famille divine. Mais elle avait également semée le doute chez la jeune femme, qui repartait de Londres avec une multitude d’interrogation.


love.disaster

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Louise Hollen
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Louise Hollen

| Avatar : Rachel Mcadams

Evénément Divin #6 {18} : Les Petits Secrets d'Hippolyte - Page 12 1519334329-opy-01
Evénément Divin #6 {18} : Les Petits Secrets d'Hippolyte - Page 12 1521282897-sablou10
He had beautiful eyes. The kind you could get lost in.. and I guess I did.

| Conte : Les douze fréres / Les cygnes sauvages
| Dans le monde des contes, je suis : : Elisa : la soeur

Evénément Divin #6 {18} : Les Petits Secrets d'Hippolyte - Page 12 1519335331-lou-02

| Cadavres : 4499



Evénément Divin #6 {18} : Les Petits Secrets d'Hippolyte - Page 12 _



________________________________________ 2015-03-03, 00:30

Les petits secrets d'Hippolyte



Egeon était un traître. Bah, ce n'était pas une surprise, tous les signes l'indiquaient . Et pourtant, Louise avait l'impression que ce n'était pas quelqu'un de mauvais. Après tout, tout comme elle, il avait eut peur pour la demis-déesse et ne semblait pas prêt a la sacrifier pour atteindre son but. Il parla de choses étranges, de créatures, de sirènes. Le visage de la fille aux cheveux mouillés s'imposa a son esprit mais elle la chassa rapidement. Ce n'était pas le moment de jouer aux Sherlock Holmes.

Elle jeta un regard a Aaron. Lui aussi était un traite. Enfin pour cela il eut fallut qu'elle lui ait accordé sa confiance, ce qui n'était pas réellement le cas. Et pourtant, elle sentait une pointe de tristesse en le regardant. Elle ne leur avait pas fait confiance, et pourtant elle c'était attachée a eux. Étrange non ? Et pourtant …

Mais elle n'arrivait pas a leurs en vouloir. Réellement. Elle avait vu comment les dieux traitaient leurs créatures dans l'esprit de Nathanaël, comment lui même traitait les plus faibles, et elle devait l'avouer, ce n'était clairement pas un ange. Et pourtant, elle était sure qu'il pouvait changer. Devenir meilleur. Déjà il s'améliorait, comme par exemple lorsqu'il avait soigné Sophie Ou elle même. Mais ça ... les demis dieux ne le savaient pas. La seule chose qu'il voyaient était leur souffrances. Elle comprenait qu’ils voulussent changer leur situation.

Egéon leur enjoignit de partir, leur affirmant qu'il retiendrait ceux qui arrivaient. Louise fit un pas en avant, bien décidée a ne pas le laisser seul mais elle sentit une min agripper fermement son poignet. Levant les yeux, elle fusilla Aaron du regard, lui enjoignant silencieusement de la lâcher.« T'en fais pas Loulou, il s'en sortira. Crois moi, vaut mieux le laisser seul ». La princesse se mordit la lèvre, indécise. Si elle restait elle risquait de le mettre plus en danger qu'en partant . Et puis serait elle réellement utile sans mémoire ? Diane s'éloignerait et elle sortit du champ d'action du bracelet. Avant qu'elle ait pu prendre une décision Aaron l’entraîna à sa suite, guidant le groupe vers la surface. Sans réfléchir, Louise tira sur son poignet, mais rien a faire, le demis dieu l’entraînait a sa suite, implacable, irrésistible. Il avançait sans paraître sentir sa résistance. Saleté de force semi-divine.

Lorsqu'ils arrivèrent a la surface il daigna la libérer. Rapidement, ils retournèrent a l’hôtel et la jeune femme monta rapidement dans « sa » chambre. Distraitement elle retira ses vêtements et se fit couler un bain moussant avant de se glisser dedans. L'eau chaude lui fit du bien, et rapidement elle se détendit. Elle y resta un long moment, essayant d'effacer toutes ses pensée noires. Jusqu’à ce qu'un craquement ne se fasse entendre.

Intriguée, la princesse ouvrit les yeux et sortit de la torpeur dans laquelle elle était tombée pour voir … Aaron o_O , seulement vêtu d'une serviette blanche enroulée autour de sa taille. O_O qui sans se gêner le moins du monde, commença a entrer dans la baignoire, jusqu'à s'y plonger entièrement. Evénément Divin #6 {18} : Les Petits Secrets d'Hippolyte - Page 12 3213561239
« NON MAIS CA VA PAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAS ????????? »
hurla Louise en faisant mine de se lever avant de se rappeler que si elle le faisait, il verrai tout. Rapidement, elle ramena de la mousse autour d'elle. « TU DEGAGE DE MON BAIN ILLICO !!! »
En un éclaire, elle attrapa la première arme qui lui tomba sous la main, a savoir … une savonnette. Qu'elle lui jeta a la tête – headshot ! - avait d'attraper le shampoing. « Aaron, je ne plaisante pas, tu dégage d'ici immédiatement ou je te fais bouffer ce shampoing, c'est clair ? ». « Mais Loulou ! J'ai besoin de réconfort, mon meilleur pote est plus la ... ». « Je compte jusqu'à trois. Si a trois tu n'es pas sorti, je .. je … je sais pas encore ce que je te ferai, mais crois moi, tu ne veux pas savoir ! ». En maugréant, le jeune homme se releva et sortit, tendis que Louise se plongeait dans la contemplation du mur. « Rha … Egeon m'avait dit que c'était un bon plan la douche les bains c'est presque pareille non ? ». « Ouais, bah il n'est pas de bon conseil. » lâcha la princesse, amère.

Aaron se dirigea vers la porte, penaud, avant de s’arrêter. « Tu es sure que … ? » « DEHORS ! ». Enfin il quitta la chambre. Louise tendit l'oreille pou être sure qu'il soit parti, avant de pousser un long soupir de … de quoi ? De consternation, voilà. Elle était consternée. Et amusée. Mais surtout consternée. Retenant un petit rire, elle vida la baignoire et termina de se laver a la douche, après avoir barricadé la porte. On ne savait jamais.

Lorsqu'elle sorti de la salle de bain, elle se dirigea vers son lit ou se trouvaient ses vêtements. Rectification, ou auraient du se trouver ses vêtements. Sauf que maintenant, il n'y avait plus que … un ensemble de lingerie des plus sensuel accompagné d'un porte jarretelle. Je vais le tuer. En peignoir, elle fouilla la chambre, mais ne trouva pas ses vêtements. « Rhaaaa ! » Dégoûtée, elle passa rapidement la culotte et le soutien gorge – elle ne voulait pas savoir comment il avait eut sa taille, c'était trop flippant – et passa une robe de chambre.

Lors qu’enfin elle sortie de sa chambre, elle zieuta le couloir pour appréhender le psychopathe. Qui, une demis seconde plus tard, se trouvait face a elle, armé d'un paquet de Krema. « Louloute d'amour ? Tu es prête ? Tu en veux un ? ».

D'un geste, elle lui passa la ceinture du porte jarretelle autour du cou et serra, avant de le pousser sur le mur. « Ou sont mes fringues ? » lâcha elle d'une voix d'outre tombe, ses yeux lançant des éclaires. « Tu préfère le faire habillée ? » Elle serra un peu plus, et fit un petit signe de tête a Lily qui passait. « Ok ! Ok ! Elles sont sous le matelas ! ». La princesse resta une seconde de plus a serrer avant de le lâcher, de s'éloigner, et de claquer la porte de sa chambre, la fermant a double tour.
Saleté de demi-dieu.

Dix minutes après, elle sortait de la chambre et ignorait Aaron comme jamais. Elle descendit et se retrouva en plein milieu d'une scène de famille. Deux nouveaux venus, Elliot et Ellie étaient arrivé. Les enfants d'Aryana apparemment. Le garçon fit un signe de main a Louise qui voulut répondre jusqu'à ce qu'elle voie Aaron lui renvoyer. Ah. Oui, c'était logique qu'ils se saluent entre demis dieux. Intérieurement, elle se frappa le front. Stupide idiote. Enfin, ce n'était pas grave.

Rapidement le petit groupe se dispersa et Louise, qui avait clairement fait comprendre a Aaron que si il s'approchait d'elle il finirait en pâté pour crevette, s'éloigna dans les rues. Tranquillement elle flâna dans les rues, cherchant ses propres cadeaux. Elle trouva rapidement un casque aux couleurs du pays pour Charlie, un superbe haut de forme pour Jeffferson, ainsi qu'un lapin en peluche pour Paige. Puis ce fut au tour de Trojan, auquel elle acheta une énorme boule a neige. Puis Peggy, a qui elle prit un joli foulard, puis un autre pour la dame du lac. Elle allait rejoindre le groupe quand soudain, elle passa devant une boutique de thé. Une seconde elle hésita avant de pousser la porte. La jeune femme flâna dans les rayons, ignorant ce qu'elle était venu faire réellement ici. Après tout elle avait déjà un superbe cadeau pour Jefferson. Et elle avait prit un autre modèle de haut de forme en photo pour pouvoir le reproduire a la boutique.

Alors que faisait elle la ?

Elle eut la réponse quand son regard tomba sur une édition de luxe – horriblement cher – d'Earl Grey. Non. C'est hors de question.. Rapidement la jeune femme quitta la boutique. Une fois dehors, elle s’arrêta et commença a vouloir partir. Sauf qu'elle ne bougeait pas, les yeux fixés sur la devanture du magasin. Elle resta ainsi 10 secondes, 20, avant de repousser la porte, d'attraper la boite, de passer a la caisse et de sortir, le tout en bloquant la moindre pensée. Maintenant que c'était acheté, elle pouvait toujours … ne pas Lui donner. Ou le faire. Après tout, elle savait qu'il avait un amour particulier pour ce thé. Mais je ne suis même pas sure de pouvoir le revoir un jour ! Et puis même si j'y arrive, j'aurai jamais le courage de le faire. Ou même de le regarder dans les yeux...

C'était sur ces sombres pensées qu'elle rejoignit le petit groupe, la boite de thé du malheur gentiment rangée dans l'une de ses poches. Rapidement, elle installa un sourire tranquille sur le visage – et remercia une fois de plus ses talents d'actrice obtenue a cause de Joshua – et rejoignit le groupe au point de rendez vous.



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(Et ouais du coup j'en profite pour faire un tour et mâter les profils, z'allez faire quoi pour m'en empêcher hein ?)

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________________________________________ 2015-03-03, 01:59





Why not ?

Je ne voulais plus jamais avoir à faire avec cette bande de dégénérés. Jamais. Never. Je crois que vous comprenez là, non? Je m'étais fais bavée dessus par une grosse bestiole, on avait failli me zigouiller et en plus j'avais raison, le sourcilleux était un traitre. Je voulais quitter Londres et retourner dans ma patîsserie d'amour. Les dieux, tout ça, c'était à oublier aussi. Je sais pas ce qui me traumatise le plus. Avoir été léchée ou avoir failli mourir?

La bataille et l'émotion m'avait mis K.O, et je m'étais écroulée dans mon lit. A retenir que de passer à deux doigts de la mort, c'est hyper bon pour le sommeil. Par contre, je m'étais réveillée très tôt, et j'en avais profité pour visiter un peu l'hôtel. C'était sympa, mais je me sentais pas vraiment à l'aise dans le décor. Je n'étais pas une vraie princesse, malgré mon rang de naissance. Je préfèrais les appartements miteux et la vie à la dure. Je détonnais un peu trop, avec mes fringues troués et noirs.

Pour renouer avec mes bonnes vieilles habitudes, j'étais aller dans une salle où j'avais trouvé un buffet pour le petit déjeuner. Je m'étais enfourné dans la bouche une tonne de viennoiseries et des morceaux de jambons. Ces mecs avaient un jambon fumé entier, posé sur une table ! Un pain aux raisons dans la bouche, je jetai un coup d'oeil tout autour de moi, mais il n'y avait personne. Enfin personne qui ne s'intéressait à moi. Après avoir mis des muffins aux myrtilles dans mes poches, j'avais attrapé le jambon, et j'étais partie à toute vitesse. J'avais envie de viande. Et de sandwichs maisons. En plus ça me faisait une sacrée réserve pour pas mal de temps comme ça !

- T'es folle! J'ai failli avoir une crise cardiaque à cause de toi !

Lily était apparue, alors que je n'arrêtais pas de jeter des coups d'oeil derrière moi pour vérifier si aucun garde du corps ne me poursuivaient avec leurs teasers. Elle avait le don d'apparaître aux mauvais moments, elle. Quoi que c'était bien moi qui était entrée dans sa salle de bain alors qu'elle se douchait.

- C'est pas pour faire une arme, mais pour des sandwichs. Faut que je trouve des baguettes et du beurre. T'en voudras un ?

C'était gentil ça, non ? Je partageais avec elle ma nourriture, et pourtant j'étais hyper possésive concernant le sujet. D'accord, ce séjour avait pas été si atroce au final. J'avais passé des moments pas si mauvais avec Lily. Elle était pas si insupportable. Par contre, je comprenais que dalle à ce qu'elle racontait. Je la regardais en faisant la tête bizarre de la fille qui a rien compris. Parce que vraiment, je comprenais pas ce qu'elle voulait dire.

- T'es bien mignonne, mais Jamie est mon meilleur ennemi, pas question qu'on touche à notre relation si passionnément haineuse. En plus j'ai jamais déprimé à cause de lui : Et hors de question pour Hippolyte! Elle, je veux plus la revoir, miss je me prends pour l'héroine de l'histoire. Je suis sûre qu'elle rêve de me coincer dans une ruelle sombre pour me péter les dents. Et puis c'est quoi ton histoire de nappe et d'enterrement ? J'm'intéresse pas à ce genre de trucs perso. Faut que je sois d'accord pour quoi ? Revoir Hippolyte ?

Fallait pas qu'elle m'en demande trop non plus. Je lui proposais de manger mon jambon, c'était déjà bien ! Je vous dis pas le choc quand elle me posa la fameuse question. Ma mâchoire tomba, et mes yeux s'écarquillèrent sans que je puisse les en empêcher. Je restais comme ça, pendant une dizaine de secondes, voir une minute, je sais plus trop. C'était une question piège ? Elle avait pas vraiment demandé ça ? La connaissant, maintenant, j'étais sûre que si... Merde, elle avait réussi à me prendre au dépourvu quoi !

- Euh... euh... euh... Whoooo tu fous quoi là ? T'es tarée ?

Son geste totalement inconscient détourna l'attention. Au moins comme ça, je n'avais pas à répondre tout de suite. Mais retirer son bracelet ? Qu'elle malade mentale !

- Salut le tripoteur.

J'avais fais un sourire moqueur à Elliot, qui venait d'arriver. Je me souvenais très bien de son petit pelotage de seins pendant l'histoire des zombies au laser games. Apparemment il était à la fois énervé et content. Je comprendrais jamais ce mec... et pourquoi Lily s'est casée avec. Il lui aurait fallu mieux. Elle était quand même trop mignonne et elle embrassait trop bien pour ce machin trop maigre.


En plus, il avait empêché personne d'aller faire du shopping. J'étais même pas au courant qu'on allait faire les boutiques, moi ! Au moins, on avait plus à supporter ces fichues bracelets. J'étais libre, enfin ! Avant de partir, j'avais attrapé mon sac et mis le jambon dedans, que j'avais enroulé dans un torchon avec un couteau. Je voulais toujours acheter du pain et faire des sandwichs.

Tout le monde avait l'air à fond dans les cadeaux. Moi, je n'avais personne à qui en offrir. J'avais pas d'amis, tout ça. Pas de famille non plus. Je marchais sans réel but, en faisant du lèche-vitrine devant une pâtisserie aux couleurs pastels qui me faisait de l'oeil. Je fini par craquer et acheter un énorme cup-cake rose. J'avais du glacage pleins les doigts et le visage, mais c'était pas grave, c'était trop bon. J'en avais pris un deuxième, mais c'était pas pour moi. J'avais enfin fini par faire ce que je voulais. J'allais aller voir si il me restait assez de temps pour visiter les sous-sols qui racontent l'histoire des tueurs en séries du coin, quand je vis quelque chose l'interpeller dans une boutique. C'était un de ces trucs qu'on met à l'arrière de sa voiture et qui bouge sans arrêt la tête. C'était trop tentant. Un cocker, sérieux. Lily avait dit d'être plus gentille avec lui, non ?

Une fois le "cadeau" pour Jamie acheté, je me remis en route, pour essayer de retrouver les autres. Nous avions un point de rendez-vous, je voulais pas loupé ça, elles seraient capables de partir sans moi. Je vis Lily et Aryana dans une boutique. Oui ? Non ? Vu où j'en étais arrivé... La déesse sortie la première, pendant que Lily regardait je-ne-sais-quoi. Je m'approchais d'elle et sorti de mon sac le jambon qui était un peu trop voyant.

- Est-ce que ça te gênerait de me le tenir deux minutes ? Il faut que je parle à Lily. D'un truc... important.

J'avais fais un petit sourire pour montrer que je n'allais pas faire de bêtises et je le lui tendis. En plus elle le prit! J'étais pas sûre qu'elle accepterait. Les mains libres, j'entrais dans le magasin et me dirigeais vers Lily. Je me raclais légèrement la gorge pour attirer son attention. Je savais pas trop comment m'y prendre, alors j'improvisais.

- Je suis passée à la pâtisserie, et j'ai vu un truc qui pourrait te plaire.

J'attrapais une petite boîte en carton sur le dessus de mes affaires qui traînait dans mon sac et l'ouvris. Le glaçage avait un peu fondu, merde.

- C'est un cupcake au beurre de cacahuète, comme je sais que tu adores les cacahuètes en général...

Je sais pas trop pourquoi je lui en avais pris un. C'était pas mon amie. Pas du tout. Alors pourquoi, hein ?

- Au faîte, je veux bien être ta demoiselle d'honneur. Et préparer ton mariage. Et même faire un effort avec la tête de mûle. Mais je te préviens, interdiction de me faire porter du rose !

J'étais folle d'accepter ça. Mais d'un côté, elle était la personne qui ressemblait le plus à une amie pour moi. Je lui devais bien ça. Voilà que je devenais sentimentale, génial.

- T'as fini, on y va ?

Avec un peu de chance, je pourrais convaincre tout le monde d'aller au magasin M&M's et on pourrait aller au parc d'attraction Lego après. Je suis sûre que voir des déesses dans une montagne russe, ça doit être n'importe quoi à voir.



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❝ Eau trouble ne fait pas de miroir...
Alors pourquoi je me reflète si bien en toi ? ❞


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________________________________________ 2015-03-03, 21:55


It is not in the stars to hold our destiny but in ourselves

William Shakespeare

Un grondement ébranla le souterrain. Il parcourut les canalisations et créa des ronds dans les flaques d'eau. Il s'intensifia, provoquant des vibrations sur le sol humide.

Soudain, une pieuvre géante explosa le mur et déversa une quantité folle d'eau dans le souterrain. Elle agita furieusement ses tentacules dans l'air. Des vagues déferlèrent sur les murs décrépits, envahirent les premières marches de l'escalator défoncé, avant de s'immobiliser et de se dissoudre lentement dans les nombreux trous du souterrain.

J'apparus telle une ombre aux cotés de la pieuvre qui grognait, et qui laissait échapper de l'encre qui coulait lentement sur les pavés mouillés. Je rampai à ses cotés avant de poser une main sur sa peau glacée et gluante.

"Couché, Kraky." murmurai-je sans lâcher des yeux l'homme au milieu du souterrain.

Le poulpe géant émit un grognement déçu et repartit de là où il était venu, par le trou béant qu'il avait créé. Ses tentacules s'agitèrent laborieusement tandis qu'il s'en allait. Il était friand de grands espaces, le pauvre.

L'eau se dispersait, regagnant les égouts et l'océan. Je me redressai et attendis que mes jambes réapparaissent pour me tenir devant Egéon. Je portais une robe bandeau très courte sans bretelles. Il me fallait toujours des vêtements qui ne risquaient pas de m'encombrer sous l'eau. Je l'enveloppai d'un regard perçant plein d'incompréhension.

"Qu'est-ce qui t'a pris ?" fis-je d'un ton fulminant.

Mes yeux lançaient des éclairs. Je le dévisageai, cherchant à saisir ce qui m'échappait. Son regard était impénétrable. Je me mordis les lèvres, refusant la médiocrité dans laquelle il venait de nous faire basculer.

"On les tenait ! Tu avais tous dans tes mains !"
m'écriai-je. "Et il a fallu que tu...!"

Je fermai le poing pour montrer à quel point nous étions proches de notre but, avant de le porter à mes lèvres pour le mordre. Le gout métallique du sang empâta aussitôt ma bouche. Je crachai furieusement par terre avant de le fusiller de nouveau du regard.

"Pourquoi tu as attaqué un homme du Dragon ? Tu veux nous faire tuer ou quoi ? Pourquoi tu as défendu cette garce ? Pourquoi ?"

Je voulais comprendre. Pourtant, je savais déjà. Je n'étais pas sotte. Tout était très clair. J'étais venue en renfort pour montrer au Dragon que nous lui étions fidèles, mais il les avait faites partir. Il avait voulu les protéger. La protéger, elle.

"Tu m'as dit de ne pas faire partie du plan." dis-je, à bout de nerfs. "Tu m'as dit d'attendre, de ne pas intervenir, mais je n'ai pas l'impression que le plan consistait à te taper ton ex !"

Ma voix se brisa sur les derniers mots. Je déglutis avec peine et me reculai d'un pas alors qu'il s'approchait. Non, ne me touche pas... Sans trembler, je relevai farouchement la tête et repris :

"Tu devais séduire Aphrodite, tu te souviens ? C'est elle qui devait finir dans ton lit, elle que tu devais terrasser ! Maintenant, on se retrouve sans Trident ! On fait quoi ?"

"Pour commencer, tu vas te calmer."
dit-il de sa voix pleine d'assurance.

Je secouai rageusement la tête avant de l'éviter du regard. Il fit le dernier mètre qui nous séparait et prit mon menton dans sa main pour que je tourne la tête vers lui. Avec réticence, je consentis à lever les yeux vers les siens.

"Ce n'est qu'une partie du plan. Fais-moi confiance. On est près du but. On n'a jamais été aussi près. J'ai besoin de toi, Mel. Cette fois plus que jamais."

Je me noyais dans la sincérité de son regard. Nous n'avions jamais de mensonge l'un pour l'autre. J'expirai un peu d'air, le souffle court. Je sentis mes écailles invisibles frétiller alors qu'il posait ses lèvres contre les miennes. La tempête qui faisait rage en moi se calma le temps du baiser. C'était ainsi à chaque fois. Les vagues n'avaient plus le même son contre mon oreille, le chant de la mer allait crescendo... Je savais qu'il en était de même pour lui.

Tandis qu'il s'éloignait légèrement, un pale sourire fit tressauter mes lèvres. Les paupières à moitié closes, je murmurai d'un ton apaisé :

"Notre père serait fier de nous..."
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