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 [FE] Tomb Raider - Evenement #56

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[FE] Tomb Raider - Evenement #56 _



________________________________________ 2015-12-27, 17:28



Tomb Raider



Furieuse, je filais à travers la ville, les points serrés. Des branches encore dispersées dans les cheveux témoignaient de l’aventure que je venais de mener en compagnie d’une crevette. Rien de cela n’avait été prévu. La potion était censée me ramener dans ma ville d’origine ou plutôt mon conte d’origine si on en croyait la malédiction de la ville. Contrairement à tout ce que je pensais, il m’avait envoyé en plein milieu d’une forêt des états unis, sans moyen de retour. J’avais payé cette potion les yeux de la tête, pour quoi ? Pour un voyage stupide qui avait gâcher mon temps précieux. Mon tee shirt était déchiré à certaines parties sans parler de mon jean, nouvelle trouée de partout. Le pantalon pouvait encore passer, on pouvait croire à un certain style, style que je trouvais absolument horrible.

J’avais une furieuse envie de meurtre. Mais, tentant de me résonner, je prenais la route habituel pour rentrer jusqu’à chez moi. Montant deux par deux les marches de l’immeuble, le pire était à venir. Arrivant devant ma porte, je m’apprêtais à glisser la clé dans la serrure lorsque je vis le trou béant à sa place. Ecarquillant les yeux, je poussais la porte pour entrer dans mon appartement. Rien n’avait bougé. Rien n’avait été volé. Je n’avais pas grand chose de précieux, voir rien du tout. Qui avait bien pu… M’élançant vers ma chambre, je filais à toute vitesse vers ma table de chevet. Cette dernière était complètement démontée, laissant le faux fond ouvert, et vide. Les poings serrés, je dégageais rageusement la table de chevet pour essayer de retrouver la couronne. Mais bien évidemment il l’avait volé. Il avait profité du fait que je sois isolé loin de Storybrook pour me voler la couronne.

Ressortant de mon appartement, je n’avais pris le temps que de recharger mon pistolet pour vider mon chargeur dans la tête de l’homme. J’avais aussi attrapé la petite sarbacane que ma mère m’avait laissé anciennement après sa mort. Elle ne disposait que de trois fléchettes empoisonnées. Elles ne tuaient pas, mais mettait un ennemi hors d’état de nuire. Le poison n’était pas aussi efficace qu’il y a quelques années, mais on trouvait du bon poison à Storybrook.

La nuit tombait, il devait être aux alentours de 17h ou 18h. Je devinais aisément qu’il se trouvait dans son bureau à se tourner les pouces comme d’habitude. J’avais tourné à plusieurs intersections, n’hésitant pas à bousculer des passants sur mon passage. Quelle idée de discuter en plein milieu de la rue franchement. Arrivée enfin à l’arrière du bar où j’étais venue quelques fois, je l’avais traversé pour me retrouver dans la petite ruelle, devant la porte en fer donnant sur l’immeuble où se trouvait le bureau de mon escroc.

A cette heure là, ses gardes n’étaient pas encore présents devant la porte. Elle n’était pas gardé, simplement solidement fermé et doublé, ne laissant passer aucune balle tirer par quelques imprudents. Malheureusement pour lui, engagé des gorilles sans cerveaux n’étaient pas qu’arrangeant. Solidement protégé par des gilets par balle, il ne sentait presque rien d’extérieur. La dernière fois que j’étais venue, j’avais donc pu aisément voler les deux clés dans la poche de mon premier interlocuteur. Les sortant de la poche de mon blouson, je glissais la première dans la serrure principale et la deuxième dissimulé sur le côté de la porte.

Après quelques tours, un « clic » m’indiqua que la porte venait de s’ouvrir. Entrant dans une sorte de sellier, je refermais la porte derrière moi, laissant volontairement les clés sur la serrure pour éviter que d’autres gardes n’entrent. Silencieusement, je montais l’escalier avant de me poster derrière la porte pour écouter.

- Dites lui que je n’ai pas le temps de le recevoir ce soir. J’ai déjà deux rendez vous de prévu.

Le téléphone, surement. Mais l’homme était bien trop prudent pour rester seul. Glissant un œil dans l’embrasure de la serrure, je pu voir deux gardes du corps assez baraqués. Ils étaient à côté de lui. Il y avait sans doute un autre garde à l’entrée de la salle que je ne pouvais pas voir, le tout était de réussir à neutraliser les deux premiers sans alerter l’autre garde. L’aiguille empoisonnée, fine et moyennement longue était difficilement repérable. Elle ne ferait pas plus mal qu’une piqure d’abeille. J’enlevais la capsule qui la contenait tout en décrochant les décorations à l’arrière de l’aiguille qui la rendait plus facilement repérable. Après avoir effectué cela pour deux des projectiles.

Deux souffles secs et rapides suffirent à faire entrer les aiguilles en contact avec leurs cibles. Avec des objets aussi fin, je n’étais pas très précise, mais l’appuie contre la serrure me donnait une stabilité précieuse pour mon tir. L’idéal aurait été la nuque. Le poison se serait rapidement propagé, mais malheureusement pour moi, mes qualités de tir à la sarbacane étaient bien trop fragiles pour y arriver. La première se logea dans la main de l’homme tandis que la deuxième atteint l’oreille du second. Ce n’était pas l’idéal, mais c’était tout de même mieux que rien. Les hommes ne bronchèrent pas, surement entraîner pour ne pas être surpris par si peu. Ils finirent par ôter l’aiguille, pensant surement à un dard au premier abord, au bout de quelques secondes.

Déjà, les gouttes de sueurs perlaient sur leurs fronts, les rendant de plus en plus nauséeux. L’un des deux vacilla, s’asseyant sur une chaise tandis que l’autre commençait à chanceler et à menacer de s’effondrer par terre.

- Qu’est-ce qui se passe messieurs ?

Avant que l’alerte soit donné, j’ouvris la porte d’un coup sec en courant d’une traite jusqu’au bureau de l’homme, mon arme à la main. Sautant par dessus le bureau, je m’arrêtais à sa hauteur, collant le pistolet à sa tempe. L’homme qui ne s’était pas encore assis tenta de me saisir par le col mais plus rapide, et en meilleure forme, je lui assenais un coup de pied dans le plexus solaire, lui coupant la respiration. L’autre garde braqua son arme sur moi, levant le cran de sécurité.

- Doucement le gorille là bas si tu ne veux pas que j’explose la cervelle de ton précieux patron. Maintenant, tu remets le cran de sécurité gentiment.

Pressant l’arme contre son patron, et voyant qu’il ne réagissait pas, je baissais les yeux vers l’homme que je tenais.

- Vous avez perdu votre langue ? Pouvez vous dire à votre gorille de faire ce que je viens de dire ? A moins que vous ayez une pulsion suicidaire.

Il fit un rapide geste de la main et le garde baissa le cran de sécurité, laissant toujours l’arme dans ma direction. Parfait. Malgré mon assurance, je sentais que mon otage n’était nullement stressé. Ou du moins, il ne laissait rien paraître. Détendu et pas anxieux le moins du monde, il commençait d’une voix calme.

- Lara ? Qu’est-ce qui vous amène ici ?

Mes mains se crispèrent sur le pistolet tandis que ma mâchoire se serra. Il me prenait véritablement pour une imbécile. Il se fichait de moi. Lui loger une balle dans la tête m’aurait fait un plaisir fou. Mais je n’étais pas venue pour ça. Il fallait que je résiste à cette folle envie. Claire et précise, je tournais son fauteuil vers moi pour le regarder dans les yeux.

- Vous savez très bien pourquoi je viens ici. Votre potion de pacotille, premièrement et votre vol. Vous pensiez peut être que je ne le remarquerai pas ? Que je ne l’associerais pas à vous ? Je n’ai pas de temps à perdre, vous me rendez cette couronne, ou je vous fais la peau.

Un rictus se forma sur son visage avant de laisser place à un sourire mauvais. Il soupira laissant passés quelques secondes de fausse réflexion.

- Qui vous dis que je vous la rendrais ?

Enlevant le cran de sécurité, je déplaçais l’arme de sa tempe pour la placer sur sa gorge. Le garde s’approcha de quelques pas, enlevant de nouveau le cran de sécurité. Je lui lançais un regard noir avant de reporter mon attention sur mon otage. Il lui fit signe de reculer et de rester à l’écart de tout ça.

- A moins que vous ayez envie que votre cervelle ne saute pour un simple vol, je vous conseille de m’écouter.

D’une voix froide et assuré, il me répondit.

- A moins que mon… « Gorille », comme vous l’appelez, ne tire avant.

Un sourire se forma sur mon visage. Je le regardais, amusée avant de me redresser un peu en laissant échapper un petit rire.

- Mes réflexes sont bien plus affutés que vous ne le pensez. Vous mourrez tout aussi vite que moi… Mais si par malheur vous y surviviez… Un ami s’en chargerait pour moi. Vous vous rappelez surement pour qui se travaille ? Cet homme n’est pas très accueillant et encore moins lorsque l’on s’attaque à ses alliés. Surtout quand il s’agit de son bras droit.

Un bruit retentit à l’étage d’en dessous. Un coup d’œil par la fenêtre me suffit à apercevoir plusieurs hommes de mains essayés de forcer la porte. Cette ordure avait appelé du renfort sans que je ne m’en rende compte. Pressante, j’haussais la voix en appuyant mon arme sur sa gorge, lui coupant la respiration.

- Magne toi avant que je décide de te tuer et de fouiller moi même !

L’homme hésitait, il me sondait, se demandant si j’étais capable d’une telle chose. Discrètement, je lançais un regard au garde qui me scrutait toujours. Je tournais rapidement le fauteuil dos à lui pour me protéger en tirant une première balle dans la main de l’homme qui hurla de douleur. Une balle partie pour s’écraser sur la fenêtre, me ratant de peu. Si je n’ avais pas bougé, je l’aurai surement reçu de plein fouet.

- La prochaine rejoindra votre petit cerveau si vous ne vous activez pas.

Le temps que le garde se déplace pour me viser, l’homme avait déjà repris la parole d’une voix rauque.

- Stop. Donne lui ce qu’elle veut.

Le garde hésita, une fraction de seconde lorsque je sortis la tête du fauteuil. Mais il se détourna, me gardant toujours dans son champ de vision. Il fit quelques pas vers la bibliothèque pour en extraire un livre, puis deux, et trois qui laissèrent apparaître un coffre. Il l’ouvrit avec la combinaison pour en sortir le précieux objet. Un bruit sourd m’indiqua que les gardes venaient d’entrer dans le bâtiment. Rapide, j’arrachais la couronne des mains de l’homme avant de me ruer dehors par la fenêtre. Le temps que je passe à travers cette dernière, le garde tira une balle qui passa à seulement quelques millimètres de mon épaule, arrachant ma manche et laissant une trace de brulure à vif sur mon épaule.

La retombée sur le sol fut plutôt lourde. J’amortis tout de même la chute grâce à mes entrainements mais la douleur de la réception était tout de même bien présente. Je m’étais bien esquinté. Ne laissant pas la douleur me déconcentrer, je détalais le plus vite possible dans les rues, en zig zag, pour m’éloigner le plus rapidement de cet immeuble.

Une fois en centre ville, je soufflais m’arrêtant sur un banc pour sortir la couronne de ma poche. J’avais toujours appelé cela une couronne, mais cela ressemblait plus à un bijoux de tête en chaine. Les quatre pierres transparentes étincelantes faisaient briller la couronne. Il n’en manquait qu’une pour qu’elle soit complète. Une que je ne trouverai surement jamais.

Mon attention se focaliser sur l’une des pierres, qui brillaient plus que les autres. Comme si elle produisait elle même une source de lumière. La deuxième se mit à faire la même chose, ainsi que toutes les autres en suivant. La luminosité qu’elle dégageait était de plus en plus puissante jusqu’à ce que cela m’aveugle.

Ensuite, ce fut le noir total. Enfin presque. Des fragments de visions polluèrent mon trou noir. Des yeux bleus comme l’océan qui me rappelait une ancienne connaissance. Ou plutôt une ancienne amie proche. Un éclat de rire me confirma qu’elle était bien celle que je pensais être. Puis la vision d’une jeune femme que je ne connaissais pas, mais qui possédait ces yeux bleus. Etait-ce… ? Un autre flash me montra une petite pierre transparente, identique à celle de ma couronne entre des mains noircis par la saleté. Puis des larmes, coulant sur des joues et des poignets ligotés et rougit par les brulure de la corde avec laquelle elles étaient attachées.

Lorsque mes yeux s’ouvrirent, une vive lumière m’aveugla quelques secondes. Après m’être frotté les yeux, et m’être assise, j’ai finalement pu discerné le paysage autour de moi.

- Non ne me dites pas que…

Ca ressemblait furieusement à la forêt. La forêt où j’avais passé mon enfance. La couronne. Je fouillais dans ma poche pour la ressortir. Elle n’avait pas changé. Mais elle fonctionnait. Toutes ses années où elle ne s’était plus activée, elle venait enfin de se manifester. Etait-ce parce que la dernière pierre avait été trouvée ? J’étendis mes jambes, prête à me relever. Mes pieds rencontrèrent un caillou… Plutôt léger pour un caillou, qui fruit un bruit assez étrange. Baissant les yeux, je restais bloqué sur la guitare avant de voir une main se poser dessus. Un homme roux ramenait sa guitare contre lui, tout aussi déboussolé.

- Ah non pas encore ! Pourquoi il faut toujours qu’on me colle un boulet quand je me téléporte, c’est pas possible !

Mais cette fois ce n’était pas un boulet. Non, magnifique, une ribambelle de boulet. Je me levais, faisant un rapide tour sur moi même pour admirer les dégâts. Mais c’est qu’il y en avait beaucoup en plus de ça. Mon regard se posa sur la hache que tenait un homme brun à la mine renfrognée.

- Ca fait un peu psychopathe, mais au moins, c’est pratique.

Les présentations n’eurent pas le temps de ce faire, un homme, faisant surement une ronde ou cherchant surement du gibier à chasser déboucha dans la clairière où nous venions d’atterrir. Il se stoppa, net, bégayant avant de sortir son arme. Sortant mon pistolet, je fus plus rapide que lui. Une première balle s’enfonça dans on épaule tandis qu’une deuxième se logeait dans sa poitrine. Il n’était pas seul, personne ne restait seul longtemps dans cette forêt.

- Cachez vous ! Les autres vont rappliqués.

Mais qu’elle idée de tirer une balle détonante. J’avais du alarmer les autres. Par chance, l’endroit regorgeait d’endroit où se cacher. Tout le monde se dispersait, essayant de faire le moins de bruit possible. Si on était assez discret, les autres passeraient leur route et nous laisserait tranquille. Si ils étaient aussi discrets que des éléphants dans un magasin de porcelaine, on était sérieusement dans la merde.

Lara : 90%


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[FE] Tomb Raider - Evenement #56 _



________________________________________ 2015-12-27, 20:05

Mary Margaret trépignait d'impatience depuis le bal de Noël et le fait qu'elle sorte officiellement avec Nolan. Parce qu'en fait, les fois où ils se voyaient, c'était toujours chez lui, dans sa cabane en plein coeur de la forêt. Vraiment, depuis Poudlard, Nolan détestait sortir. Et c'était une victoire que Mary Margaret ait réussit à le faire sortir de sa grotte en cette journée.

Il faisait froid dehors, et la neige tombait à gros flocons. Mais la princesse avait toujours aimé l'hiver. Et la neige ! Et puis en plus, ce jour allait être extraordinaire puisqu'elle serait en compagnie de son amoureux, sans les enfants - qu'elle avait laissé chez Regina. Seul faux pas dans cette histoire, c'était ELLE qui devait aller le chercher chez LUI... Pas galant pour un sous le Nolan...

Qui disait donc balade en forêt voulait dire, Eden, donc Psychopathe, donc... Préparation de l'arme ! Et c'est donc son carquois de flèches sur le dos et son arc prêt à être bandé qu'elle se retrouva dans la forêt, avec évidemment un quatre heures dans son sac s'ils avaient faim. Bon rien de bien lourd évidemment puisqu'il s'agissait juste d'une boites de biscuits secs et d'une grande bouteille d'eau. Et puis il devait aussi se trouver une boite de bandages en cas de blessure qu'elle n'avait toujours pas retirée...

Elle arriva donc sans encombre aux abords de la cabane du Chasseur, qui lui avait démontré par A+B que la cabane du congélateur ambulant était éloignée de la sienne et elle frappa donc à la porte, sautant presque au coup de son compagnon lorsqu'il lui ouvrit. Et elle n'eut pas le temps de le laisser protester qu'elle l'entraîna vers la ville. Parce que la forêt, elle s'en passait !

Ils arrivèrent donc au Granny's se commandèrent un café bien fort et un chocolat chaud à emporter et se retrouvèrent en un clin d'oeil sur la grande place, là où tout avait commencé, prêt à profiter de cette journée magnifique... Ou pas d'ailleurs !

Parce qu'en un claquement de doigt et de lumière et bien... Ce fut le trou noir. Bon dans le fond, Mary Margaret ne s'était pas fait mal puisqu'elle avait eu un amortisseur en tombant dans le portail - puisque c'était un portail. Et elle se releva bien vite de Nolan, en rougissant comme une gamine :

- T'es confortable, tu sais ?

Oui, bon niveau drague, c'était pourri en fait... Et puis surtout, c'était quoi cette clairière ? Adieu Storybrooke encore une fois ? Et puis c'était qui cette nana qui insultait son chéri de psychopathe ?

- C'est pas lui le psychopathe dans l'histoire... C'est l'autre congélo qui...

Ouais, mais elle n'eût jamais le temps d'en finir avec la dénommée Lara qu'un homme s'avançait vers eux, armé. Ni une ni deux, elle choppa la main de Nolan et se mit à courir comme une dératée, suivant l'autre inconnue qui venait de tirer deux balles.

Elle ne s'arrêta de courir que lorsqu'elle fut à l'abri, dans un buisson, où elle se cacha avec Nolan, en murmurant, excitée par sa course et les joues rougies par le vent, en reprenant son souffle :

- On ne se serait pas fait poursuivre par deux psychopathes, j't'aurais bien proposé de faire des "choses" dans ce buisson.

Technique de drague numéro deux encore plus pourrie que la première. Mais passons. Parce que les méchants de l'histoire ne les voyaient pas. Mais la princesse, elle pouvait voir le fusil et le petit couteau à leur ceinture. Elle donna un coup de coude dans les côtes du chasseur, en chuchotant :

- Regarde !

Mais le plus louche, c'était le corps que Tara venait d'abattre. Il ne restait plus de lui que ses vêtements... Mais pas de corps. Elle échangea donc un regard inquiet à Nolan. Se pouvait-il que l'homme soit encore en vie ? Elle se retourna alors vivement, explorant les lieux du regard, avant que Nolan ne se lève d'un coup, en murmurant :

- Merde, le corps ! Je vais le planquer, reste là !

Quoi ? Non mais il croyait sérieusement qu'elle allait rester tranquille alors qu'il se mettait à découvert ? Non mais c'était comme pisser dans un violon son ordre de rester toute sage...

- Nolan , mais t'es pas série...

Ben si à vrai dire il était sérieux puisqu'il venait de la laisser en plan. Elle soupira donc, se redressant un peu, prenant son arc pour y encocher une flèche et suivre Nolan avec, prête à décocher. Si quelqu'un s'en prenait à lui, elle serait vive comme l'éclair !

MM: 100 % et prête à buter le premier qui touche à Nono [FE] Tomb Raider - Evenement #56 2852471132


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[FE] Tomb Raider - Evenement #56 _



________________________________________ 2015-12-27, 20:41

Tomb Raider

Mary-Margaret, Lara, Hans, Rosalie, Allie, Antropy et Eloise


Sortir... Vous avez déjà eu cette sensation qui vous serrait la gorge quand vous vous apprêtiez à faire un truc dans votre journée ? Cette sensation qui vous signalait qu'il y avait du grabuge ? Et bah Nolan la ressentait lui. Il sortait depuis le bal de Noël avec Mary-Margaret et chaque fois qu'ils se voyaient, c'était chez lui. Non seulement ça l'arrangeait parce qu'il ne voulait pas se mêler à la foule de cons présente dans Storybrooke depuis le fiasco de Poudlard, mais en plus, cela obligeait Mary-Margaret à venir à bout de son appréhension de la forêt depuis son enlèvement par Eden. Elle avait été si à l'aise en forêt autrefois... Ce cinglé lui avait fait perdre cette confiance en elle et en son environnement, pour le grand malheur de Nolan qui s'efforçait de lui redonner goût à tout cela. Mais il devait parfois faire des concessions... Alors il avait accepté de sortir pour aller en ville, à condition qu'elle vienne le rejoindre chez lui avant. S'il devait faire des efforts, alors elle aussi !

Nolan était prêt, sa hache à la ceinture et un briquet dans la poche. C'était toujours utile un briquet... Surtout quand celui-ci était chargé à bloc d'encens... Et puis, par la neige qu'il y avait, mieux valait avoir un truc pour faire du feu rapidement. Quand Mary-Margaret toqua à la porte, il lui ouvrit, la réceptionna quand elle lui sauta dessus et l'embrassa avant de se faire embarquer. C'était lui où elle avait plus que hâte de partir de la forêt ? Quoi qu'il en soit, ils allèrent rapidement chez Granny pour acheter du café et du chocolat à emporter avant d'aller sur la grande place où ils avaient commencé à mettre le passé de côté.

Ils auraient pu en profiter si un éclair de lumière n'avait pas soudain jailli de nul part et s'ils ne s'étaient pas cassés la gueule. Nolan se réceptionna durement sur le sol, son dos heurtant la surface dure assez violemment et il se prit en plus un poids sur le ventre, ce qui lui fit perdre le souffle momentanément. Mary-Margaret, car c'était elle, se releva rapidement en faisant une petite blague. Le Chasseur leva les yeux au ciel face à cette réaction.

- Pas toi, ton coude est super anguleux, ça fait mal quand tu te le prends dans le bide... Rétorqua-t-il rapidement avant qu'une voix ne se fasse entendre et que Mary-Margaret ne prenne sa défense.

Il se foutait pas mal que l'on traite de psychopathe parce qu'il portait une hache à la ceinture, au moins, les gens lui foutaient la paix... Comme le mec qui arriva, il aurait mieux fait de pas faire chier la femme... Ce qu'il se passa ensuite, Nolan n'en eut aucune idée. Il obéit à l'injonction de courir et ne fit attention qu'à Mary-Margaret. S'il y avait d'autres personnes que la brune et sa copine, il n'y avait pas fait attention. Mary-Margaret et lui se cachèrent dans un buisson où la brune en profita pour faire une nouvelle blague. À force, le Chasseur se demandait si ça n'était pas un mécanisme de défense...

- Plus tard trésor, on fera tout ce que tu veux ! Répondit-il en chuchotant, observant les environs.

C'est alors qu'il remarqua que les poursuivants étaient deux au corps que la femme de tout à l'heure avait laissé derrière elle. Merde ! Et re merde ! Si les autres découvraient ça, ils allaient fouiller tous les buissons du coin !

- Merde, le corps ! Je vais le planquer, reste là !

Faisant fi des paroles de sa compagne, le Chasseur se faufila à l'extérieur du buisson sans faire de bruit. Quand il arriva à l'endroit où était censé être le corps, il ne trouva rien. Enfin, pas de corps. Il y avait bien les chaussures, les vêtements et l'arme du mec. Sans trop réfléchir, Nolan embarqua le tout et alla se planquer un peu plus loin. Ils avaient encore un peu de chance de ne pas être trouvé, autant en profiter pour reprendre son souffle et analyser ce qu'il se passait. S'il avait bien tout compris, un groupe de personnes avait débarqué dans un autre monde. Chouette, Nolan adorait les sorties en plein air avec des inconnus...

Nolan : 100%




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[FE] Tomb Raider - Evenement #56 _



________________________________________ 2015-12-28, 00:06





Tomb Raider

Allie avait passé son après-midi à la bibliothèque. C'était un de ses refuges, elle aimait y aller pour feuilleter toute sorte d'ouvrages sur l'Histoire. Cela pouvait l'occuper pendant des heures, et ce fut une nouvelle fois le cas aujourd'hui. Elle voulait couper les informations de sa dernière acquisition, un petit recueil d'anecdotes sur l'Histoire de France, avec les événements qu'elle pouvait trouver dans les documents de la bibliothèque. Il arrivait souvent que les livres qu'elle achetait soient un peu fantaisiste, en particulier quand ils traitaient d'autres choses que l'Histoire américaine. Les historiens de ce pays vérifiaient un peu moins leurs sources quand cela ne les concernait pas directement. En même temps, ce genre d'ouvrage anecdotique était plus pour le divertissement que pour la véracité des propos. Toujours était-il que l'ancienne princesse aimait bien vérifier que les auteurs n'avaient pas pris trop de libertés. C'était un hobby comme un autre. Après avoir passé un certain temps le nez dans les bouquins, Allie commençait à avoir marre. Elle rangea tout le bazar qu'elle avait devant elle, remit son propre livre dans son sac et quitta les lieux.

En sortant de la tour de l'horloge, Allie réalisa qu'elle avait passé plus de temps qu'elle ne le croyait à la bibliothèque. La nuit était tombée. Enfin, peu lui importait, personne ne lui ferait remarqué son retard. Elle rentrait chez elle, marchant tranquillement, perdue dans ses pensées, quand un éclair l'aveugla, puis le vide. Que se passait-il?

Allie heurta le sol brusquement, s'étalant de tout son long. Elle sentit sous ses doigts de la terre. Elle se redressa et scruta les alentours. Pourquoi était-elle dans une forêt? Elle marchait dans Storybrooke, il y de cela une seconde, et elle se retrouvait maintenant dans le pire endroit du monde, une forêt ! D'autres personnes, qu'elle ne connaissait pas, à priori, se trouvait autour d'elle. Une grande brune se tenait debout à quelques mètres, elle parlait de boulet, de psychopathe, c'était à n'y rien comprendre, mais elle semblait dans son élément. De son côté, l'ancienne princesse était de plus en plus perdue.

Soudain, un homme apparut. Il sortit une arme et il n'en fallut pas plus à Allie pour qu'elle prenne ses jambes à son cou. Elle retrouva ses vieux réflexes, fuir loin de ce qui vous menace. Elle était dans une clairière, une des lieux les plus exposés. Les bois la cacheraient mieux. Elle courut aussi vite qu'elle le put vers les arbres, ne faisant attention à rien autour d'elle. Tout ce qui comptait était son objectif. Elle repéra vite un arbre au tronc assez large pour la cacher. Elle s'accroupit pour reprendre son souffle quelques secondes. Elle n'avait plus l'habitude de ce genre de situation. Elle jeta un léger coup d'œil pour voir si elle avait été suivie. Elle ne remarqua rien dans un premier temps, puis aperçut la brune de tout à l'heure cachée un peu plus loin.

Tout à coup, deux hommes surgirent dans la clairière. Ils étaient du même genre que celui qui avait pointé son arme sur le groupe, d'ailleurs où était-il celui-là? Allie n'avait pas le temps de réfléchir à ce sujet plus longtemps, les hommes se rapprochait dangereusement de l'endroit où était cachée la grande brune. Il ne fallait surtout pas qu'il la trouve. Allie ne la connaissait pas, mais elle aurait mis sa main à couper que cette jeune femme était plus ou moins responsable de son arrivée ici.

Allie devait les piéger. Enfin piéger était un bien grand mot, mais au moins, détourner leur attention. Quand les gardes de son père étaient à sa poursuite, elle avait utilisé un petit subterfuge. Pourvu qu'il fonctionne ici. L'ancienne princesse fouilla le sol à la recherche d'un caillou suffisamment lourd pour faire du bruit et suffisamment léger pour être envoyer loin. Quand elle dénicha l'objet recherché, elle le jeta de toutes ses forces dans la direction opposée à la brune vers les fourrés. Le caillou heurta le sol dans un bruit sourd, ce qui fit s'envoler quelques oiseaux.

Allie lança un regard vers les hommes. Ils regardaient vers l'endroit où le caillou avait atterri. Cela avait fonctionné. Elle fut tout sourire un instant, heureuse que son stratagème porte ses fruits. Elle les vit parler mais ne comprit pas ce qu'ils se disaient. L'un sortit son arme et commença à se diriger vers le leurre en criant à l'autre :

- Bouge pas, j'y vais, on se retrouve au camp si on a rien trouvé d'accord ?

Puis il s'enfonça dans la forêt. S'il faisait mention d'un camp, ce qu'il n'était pas seul. Cela ne sentait pas bon. Toujours était-il que pour l'instant, il n'en restait qu'un au milieu de la clairière.
BY .SOULMATES



Vie 100%
Expérience +25%


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[FE] Tomb Raider - Evenement #56 _



________________________________________ 2015-12-28, 11:58


   
Tomb Raider
Hans le Boulet & Les doués


   
Je devais aller faire des courses pour la gosse. Il n'y avait plus grand chose à manger à la maison. C'est pas parce qu'elle était en pleine croissance qu'elle devait tout me bouffer, celle là ! Mais je m'en fichais, j'avais de l'argent. Pas des masses, mais j'en avais assez pour s'occuper de moi et d'elle. Et puis, je faisais du mal à sa mère en lui prenant Kayla. C'était le plus important.
Je m'étais donc dirigé vers le centre-ville à pied. J'avais ce que je prenais toujours sur moi. Mon portable dans ma poche, une brosse dans mon sac à dos accompagné aussi d'un revolver et de recharges ainsi que d'un couteau. On ne sait jamais avec toute cette magie qui traine dans cette ville, on n'est jamais très loin de la mort... Je passais sur la grande place quand je me suis fait aveuglé. Je ne savais pas d'où ça pouvait bien venir...
Ce fut le trou noir, et quand je rouvris les yeux, je me retrouvais dans une clairière à côté d'une forêt. Je vis un homme arriver mais à peine il avait pointé son arme vers moi et les autres personnes qui étaient avec nous qu'il fut abattu. Je regardais les autres. Il y avait la brune, qui venait de tuer l'homme, une autre brune, une blonde, un homme roux encore une brune accompagné d'un autre homme. Et une dernière personne. Que je reconnus très facilement. C'était Athéna. Elle n'avait jamais voulue tuer Elsa pour moi. Et elle m'en voulait parce que moi je le voulais. Je sentais déjà que j'allais passer une mauvaise journée...
Je partis me cacher mais en voulant aller me cacher aux côtés de la brune qui avait abattu l'homme, mes yeux tombèrent sur sa poitrine généreuse. Mes yeux n'étaient concentrés que sur ça à un point que je n'ai pas regardé devant moi et je suis tombé au sol... Je me relevais en essayant d'être plus doué dans mes mouvements mais les gardes avaient déjà du voir que ça avait bougé. La fille me traita de tous les noms.

-Mais t'es vraiment un pauvre crétin ! Dégage de là ! Ils vont nous repérer à cause de toi ! Imbécile !

Je voulus lui expliquer que c'était de sa faute et qu'elle n'avait pas qu'à avoir une poitrine aussi généreuse mais elle coupa...

-La ferme, ils arrivent !

Elle essaya de me pousser avec mon pied, sûrement pour me dire que je devais trouver une autre cachette. Heureusement, la blonde fit diversion avec un caillou. Ingénieux. L'un des eux hommes partit mais l'autre resta vers nous pour continuer ses recherches... Il allait nous trouver ! Mais j'avais une crampe, je voulus bouger un peu ma jambe mais je fis encore du bruit... L'homme arriva devant notre cachette. Je lançais un petit sourire à l'homme et tenta de mentir.

-Ne me touche pas. Il y a quelqu'un derrière toi qui menace de te tuer au moindre faux mouvement.

Le mec avança vers moi tout en me regardant. Il sortit son arme et la pointa vers moi.

-Tu me prends vraiment pour un abruti ? Les mains derrière la tête avant que je te descende !

Je m’exécutais, je n'avais pas trop le choix de toute façon... Il n'y avait plus qu'à espérer que quelqu'un m'aiderait....


   


*Violette Parr
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*Quelle belle bouche. STOP ! ARRETE DE PENSER*

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[FE] Tomb Raider - Evenement #56 _



________________________________________ 2015-12-28, 18:42



Pleins de monde !!
Tomb Raider ¤ Evénement #56
Très mauvaise idée. Rosalie n’aurait jamais dû détourner son attention de son ennemi. Pensant qu’il était trop blessé pour ré-attaquer de suite, Rosa en avait profité pour parler à celui qu’elle venait de sauver. Mais elle n’eut même pas le temps de savoir s’il allait la remercier ou non. En effet, après lui avoir parlé, second trou noir. La seule chose qu’elle sentit, c’est la douleur du coup que l’homme lui avait assené. Rosalie tomba à terre, vivante mais inconsciente. Ce n’est que quelques minutes plus tard que la brunette ouvrit les yeux. La première personne qu’elle vu, le visage au-dessus d’elle, fut une inconnue brune. C’était la première fois qu’elle la voyait. Est-ce qu’il s’agissait d’une personne de Storybrooke ou de ce monde ? L’avait-elle sauvé ? Sans aucun doute. Rosalie se releva avec l’aide de sa sauveuse. Elle lui adressa un léger sourire, tout en se touchant la tête. Un liquide chaud coula sur ses doigts lorsqu’elle passa la main dans ses cheveux. Elle grimaça légèrement de douleur. Ce n’était pas agréable du tout. Rosie chancelait un peu, ne tenant pas totalement sur ses jambes. Heureusement qu’il y avait la brune à ses côtés. D’ailleurs, il fallait qu’elle la remercie ! « Merci beaucoup pour l’aide. Qu’est-ce que j’ai manqué ? » L’homme qui l’avait frappé était au sol, il semblait mort ! Apparemment elle avait loupé beaucoup de chose. D’ailleurs, des nouvelles personnes venaient de se greffer au groupe, un homme et une femme brune aussi. Ils semblaient proches. Enfin bon, ce n’était pas très important et là, elle n’avait vraiment pas la tête à réfléchir. Tout ce qu’elle voulait s’était de retourner à Storybrooke. Mais la leader du groupe voulait aller dans un village. Quoi ? Rosalie n’était pas vraiment pour, jusqu’à ce qu’elle explique les raisons de ce voyage vers le village. Si le seul moyen pour retourner à Storybrooke était la guerrière, alors Rosalie allait la coller ! En plus, elle avait l’air vraiment badass. Rester avec elle, ça lui permettrait de mieux survivre dans ce monde inconnu. Une fois les vêtements volés, le petit groupe se mit en marche. La petite brune essaya de rester proche des personnes forte. Par exemple, sa sauveuse, et la leader aussi. Bien que le rouquin ne fût pas méchant, il parlait trop. En plus, il se croyait dans un cluedo ! Rosalie ne put s’empêcher de lui faire une remarque. Ce n’était pas méchant, mais elle préférait juste lui faire remarquer. « Eh ! Le musicien ! » Rosalie se rapprocha de lui pour pas parler trop fort. « On est pas dans un jeu, là ! Ca ce n’est pas un jeu, c’est du vrai sang ! C’est mon sang !! Et ça fait vraiment mal ! » Elle lui mettait sa main devant son visage, pour qu’il constate bien le sang qu’elle avait sur sa main. Si c’était vraiment un jeu, ils ne saigneraient pas ! Rosalie laissa le roux marcher un peu plus vite, puis elle alla à la hauteur de la brunette qui l’avait aidé à se relever. Cette personne était vraiment imposante ! Le groupe marcha quelques minutes avant d’arriver au village, tout du moins aux abords du village. Ils se cachèrent dans les buissons. Rosalie s’abaissa, observant en détail les bâtiments visibles. La leader avait déjà un plan. Rapide dis donc ! Rosie l’écouta attentivement. Le groupe allait être séparé en 3. La brunette n’était pas la meilleure en ce qui concerne les stratégies d’attaque. Alors elle gobait les paroles sans ronchonner. Tout ce qu’elle espérait c’était de ne pas tomber avec les boulets de groupe. Rosa tenait un minimum à la vie ! Ouf ! Rosalie faisait équipe avec la leader ! Chance de survie multipliée par 2 ! Bon par contre, elle n’était pas obligée de faire tout son baratin. Rosalie n’était pas bête. Avec l’autre brune, c’était sa meilleure chance de survie. Alors Rosalie hocha de la tête. « Discrète et solide. On peut dire ça. Disons que si j’arrivais à utiliser mes dons dans ce monde, ça irait mieux ! Mais oui, je t’accompagne ! » Ok. Rosalie venait de parler dans le vent. En effet, la guerrière venait de partir telle une ombre. Tout le groupe fut surpris. Rosalie était surtout surprise qu’elle fasse confiance à des inconnues. Peut-être que les autres membres du groupe ne suivraient pas les instructions, et tout allait foirer ?! Qu’importe, ils ne pouvaient plus reculer, la leader venait de partir, prête à l’action. Rosalie la suivit avec la même discrétion. Elles arrivèrent à la maison où il y avait des gardes. Super ! C’était dans ses moments-là que son don était indispensable. Mais pour l’instant, même sans, elle se débrouillait. La preuve, Rosie arriva jusqu’à la fenêtre en rez-de-chaussée. Sa coéquipière du jour s’était occupée d’aller à la fenêtre du haut. Mais que faire maintenant ? Entrer ? Le regard de Rosie se posa sur l’autre fenêtre, la femme qu’elle accompagnait lui faisait des petits signes. Elle ne parlait pas le langage des signes mais elle arrivait à comprendre qu’elle lui demandait de venir. Venir ? Mais pourquoi ? Rosie ne chercha pas à comprendre, elle s’exécuta. D’un pas de velours, tel un chat, Rosalie alla vers la fenêtre où se trouvait sa coéquipière. Avec son aide, elle arriva à la hauteur de la fenêtre. Elles étaient cachées grâce à l’inclinaison du toit. La brunette comprit rapidement que la femme avait besoin de son aide pour ouvrir la fenêtre. Comme si elle pouvait y arriver ! Il fallait tenter. Rosie sorti son petit poignard, sa fine lame permettait d’ouvrir beaucoup de serrure. Premier essai, rien. Deuxième essai, rien. Mais finalement, au troisième essai, Rosalie entendit le petit clic qui désignait que la fenêtre était ouverte. Elle l’ouvrit doucement, pour ne pas éveiller l’attention des différents gardes. Rosalie regarda l’aventurière en lui faisant un sourire, satisfaite d’avoir pu aider ! « Si tu répètes ça à quelqu'un je m'occuperais de ton cas ! » Sympa. Rosalie leva les yeux au ciel. Elle ne lui en voulait pas. Surtout qu’elle avait vu son petit sourire qui cachait de la reconnaissance. Cependant elle décida de répliquer, en chuchotant. « J’aurais préféré un Merci ! » La politesse ne devait pas être son fort. Pas de soucis, Rosalie lui donnerait des cours de bonne conduite, car pour l’instant ce n’était pas trop ça ! Rosalie descendit de la fenêtre, pour essayer de regagner sa position initiale. Par chance, ou peut-être grâce à sa grande discrétion, Rosalie ne se fit pas remarquer. Et en quelques instants elle était de nouveau à sa fenêtre. Elle aperçut alors, à l’intérieur, trois hommes dont un qui semblait être une victime dans cette situation. Il était en train de se faire ligoté par un des deux hommes, à un lit. Charmant ! Il comptait faire un plan à trois ? Apparemment non, vu que le deuxième homme pointait une arme vers le grand noir baraqué, celui attaché au lit. Il semblait fort et pourtant il était fait comme un rat. Heureusement, le duo de choc était là…ou pas ! Le regard de Rosie se stoppa sur les corps de deux autres gars. Ah oui d’accord ! 1 contre 4, c’était plus compréhensible que le baraqué se soit fait avoir ! Rosalie reprit son poignard pour faire entrer la fine lame et ouvrit sa fenêtre. Toute en discrétion, elle se faufila à l’intérieur de la maison. L'inconnue sauta de la fenêtre du toit, pour atterrir silencieusement sur le lit dans lequel était attaché l'homme baraqué. Les deux hommes étant trop occupés, ils ne virent pas la petite brunette. Mais maintenant…que faire ? Rosalie savait qu’il fallait que sa coéquipière détache les liens du prisonnier. Aussi, la seule manière de faire ça dans le calme et sans violence, c’était la diversion, et la manipulation. Sauf que mentir, ce n’était pas du tout le truc de la jeune femme ! Mais qui ne tente rien, n’a rien comme on dit ! Alors Rosalie essaya de pleurer. Elle se donna un coup à l’endroit où elle avait mal, pour que les larmes viennent plus naturellement. Une fois que les larmes roulèrent sur ses joues, Rosalie se montra. Elle prit une tête décomposée, faisant mine de pleurer. « Je me suis perdue…Est-ce que vous pouvez m’aider…S’il vous plait… » Soit elle était nulle comme actrice, soit ils avaient un cœur de pierre. Les hommes ne la crurent pas. Celui qui se trouvait non loin d’elle essaya de lui donner un coup avec la crosse de son arme. Ah non ! Pas deux fois ! Cette fois-ci, Rosie fut plus rapide, elle lui planta sa lame dans les côtes ! Celui-ci voulu de nouveau la frapper. Sympa ! Cette fois-ci elle arriva à contourner l’homme, et à se mettre derrière lui. Concernant l’autre homme, aucune idée. Espérons que sa coéquipière ne l’ait pas laissé toute seule ! Rosalie entendit un bruit sourd. La leader venait de tomber lourdement sur le sol, et pas du tout sur l’autre gars ! Pour l’instant elle s’occupait de celui le plus proche d’elle. « TON COUTEAU ! » C’est la jeune femme qui venait de crier, ou du moins de lui ordonner de lui lancer son poignard. Ayant prévu de s’attaquer à l’homme à mains nues, elle lui lança plutôt rapidement le couteau. Et une demi- seconde plus tard, elle ne s’occupa plus de sa coéquipière. Elle donna un gros coup à la tête de l’homme, à main nue. Le faisant légèrement chanceler, il n’était pas KO mais il venait de se faire assommer. Cela laissa le temps à Rosalie de baisser les yeux, sentant qu’elle marchait dans quelque chose de bizarre. A ses pieds elle aperçut du sang…Elle prit le temps aussi de regarder le dos de ses vêtements, ayant senti une projection…du sang là aussi ! BEURK ! Rosalie grimaça. Il commençait à y avoir un peu trop de sang à son gout…Pourvu que cela soit bientôt fini !
©️ wild bird



Rosalie : 90%
Homme 1 : 80%
Homme 2 : 70%
Barre d'expérience : 5% (level up [FE] Tomb Raider - Evenement #56 1634017881 )
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Eloise A. St-James
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[FE] Tomb Raider - Evenement #56 _



________________________________________ 2015-12-28, 22:56

Les recherches infructueuses sur son frère, la sensation que la menace de Chronos se faisait de plus en plus présente et pesante... Toutes ces petites choses ne rendaient pas Eloise plus agréable. Elle était d'une humeur de chien, encore plus que d'ordinaire et une parole malencontreuse pourrait la rendre vraiment méchante... La ramener à ses anciens travers qui commençaient à lui manquer... Faire des plans, manipuler les gens, tromper, se battre, utiliser ses capacités... Bref, tout ce qui faisait d'elle la déesse de la Guerre, la pétasse qui avait assassiné sans état d'âme l'un de ses frères et l'une de ses sœurs, lui manquait. Être en couple avec David était magnifique expérience, mais la brune s'était rendue compte qu'elle se devait de changer pour ne pas le perdre. Par exemple, s'il n'y avait pas David et Emma, cela aurait fait longtemps que Mary-Margaret aurait été rapatriée chez Eden avec des chaînes incassables aux poignets... Ou que Hans aurait été éparpillé façon puzzle au travers de la ville... Mais non, elle avait dû refréner ses instincts. Et la déesse avait donc besoin de décompresser.

C'était pour cette raison qu'elle avait décidé de marcher de l'appartement jusqu'à la forêt où elle pourrait démolir quelques trucs. Elle avait un trop plein d'énergie qu'elle ne pouvait utiliser en ce moment... Jusqu'à ce que la menace de Chronos ne devienne effective à dire vrai... La brune était parvenue sur la grande place et avait dû prendre sur elle pour ne pas aller filer quelques coups à Mary-Margaret qu'elle avait aperçu, riant aux éclats comme la godiche qu'elle était, avec un homme. Heureusement dans un certain sens pour la princesse, un flash de lumière éclata et l'emporta dans le noir.

Quand elle réouvrit les yeux, ils étaient dans une forêt. Un homme venait de surgir alors que Mary-Margaret et son mec étaient apparus près d'une brune qui semblait reconnaître l'endroit. Celle-ci leur ordonna de fuir, ce qui fit arquer un sourcil à la déesse qui n'obéissait jamais aux ordres. Eloise avait plutôt envie d'aller découper les éventuels renforts... Mais en voulant se téléporter un peu plus loin pour examiner la scène tranquillement, la jeune femme se rendit compte que ses pouvoirs ne fonctionnaient pas. P*tain de m*rde... Elle avait horreur de ces mondes qui paralysaient ses capacités ! Alors comme tout le monde, elle alla se planquer au lieu de se battre comme habituellement.

Seulement, l'endroit qu'elle avait pu trouvé avant que les renforts ennemis ne débarquent n'était pas franchement adapté... Eloise se trouvai derrière un arbre chétif qui cachait mal ses épaules et sa masse de cheveux. Cependant, elle n'eut pas vraiment à s'en préoccuper puisque la blonde du groupe réussit à en éloigner un. Sauf qu'il fallut que l'un des trois mecs fasse son boulet en se faisant repérer. La déesse le reconnut, il s'agissait du petit c*n qui avait voulu qu'elle tue l'une des déesses magiques. Hans allait certainement se faire tuer et c'était tant mieux, un boulet de son genre, franchement, le monde n'en avait pas besoin. Quel dommage cependant qu'elle n'eut pas eu le droit à l'exclusivité...

Mais la plus jeune du groupe, une autre petite brune, décida de venir en aide à cet imbécile d'Hans. Gentille fille vraiment... Mais de loin, Eloise l'observa et fut assez intéressée par le côté fonceur de la jeune fille. En un sens, ça lui rappelait Hippolyte et son côté frondeur qui les avait pas mal rapproché... Avec un soupir, la guerrière vit la gamine parler à Hans pour s'enfuir, détournant ainsi son attention de l'ennemi. Mauvais plan... La gamine avait du potentiel cela dit et cela intéressait pas mal la déesse. En attendant, la petite se prit un méchant coup de crosse dans la tête, tombant évanouie. Outch, ça fait mal ça ! Puis l'homme releva la tête et la remarqua, elle. Et m*rde...

Il pointa son arme sur la guerrière, puis sur Hans qui s'était encore fait remarqué et enfin sur la brune qui semblait de ce monde. L'homme était clairement paniqué et ne savait plus sur quelle cible se concentrer. Ce qui était un avantage aux yeux de la déesse qui prit discrètement le couteau qu'elle avait planqué dans sa botte droite et le lui lança. Le couteau se planta dans son épaule droite. Un petit sourire éclaira le visage de la déesse avant qu'elle ne remarque que le mec retirait le couteau et la visa. Eloise tenta d'esquiver le lancé mais son pied dérapa sur une flaque de boue minuscule et qu'elle n'avait pas vu au départ. Un grognement de douleur échappa à la déesse quand le couteau lui entailla assez rudement le muscle du bras droit. Ce que ça faisait mal ce truc-là ! En plus, la jeune femme sentait gros comme une maison le fait qu'elle ne parviendrait pas à s'auto-générer ici... Le gros bordel en somme. Passablement énervée, la déesse récupéra le couteau qu'on venait de lui lancer et le relança sur l'homme.

- Tiens du c*n !

Cette fois, il lui donna la satisfaction de se le prendre en plein bide et de commencer à tanguer. Ah bah tout de même ! À présent, les autres allaient pouvoir le finir non ? Eloise elle, préférait se concentrer sa blessure et sur la gosse. Se relevant, la déesse alla droit vers la petite pour constater un peu son état. Elle tâta rapidement le pouls et constata qu'elle avait des chances de s'en sortir. Bien...

- Allez gamine, tiens le coup, c'est que le début...

Eloise : 90%
Rosalie : 90%
L'homme : 40%
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We at a party we don't wanna be at.
Tryna talk, but we can't hear ourselves.
Read your lips, I'd rather kiss 'em right back...


YOU KNOW WHAT ?

It's kinda crazy 'cause I really don't mind
And you make it better like that


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[FE] Tomb Raider - Evenement #56 _



________________________________________ 2015-12-29, 10:46



On va tous mûûûrir !

Clairement, on allait tous mourir.

Et bien oui, on allait tous mourir un jour, non ? C’était la grande loi théorique qui régissait l’univers après tout : on naissait, on vivait et on mourait. Je ne comprenais pas pourquoi les gens étaient si choqués de cette constatation et décidaient, brusquement, de prendre un tournant radical pour changer de vie. On ne pouvait pas « changer de vie », ça revenait à prendre celle de quelqu’un d’autre, non ? Et dans ce cas, on était un meurtrier ? Est-ce qu’il existait des polices ou des services qui recherchaient ce genre de personnes ? Non parce que certains n’étaient pas gênés de l’avouer en public sans que rien ne lui arrive ! En fait, on était entouré de psychopathes qui rêvaient de vous piquer vos existences et personne ne faisait rien. Mince alors, nous voilà bien… Ou mal en fait. C’était peut-être comme dans Matrix ? Avec des agents qui apparaissent et disparaissent pour éliminer les virus ? « Oh my, j’en étais sûr ! Ca explique tout, absolument tout !! » Les cordes, le miroir d’Ockham, l’anti-gravité et même la matière noire ! Tout, vous disais-je, TOUT !! Sur le coup, je m’arrêtai en pleine rue, l’index levé devant moi et les yeux grands ouverts, comme si je venais d’avoir la meilleure idée du monde !

Bon je n’eu pas vraiment le temps de la développer car quelqu’un me bouscula en morgonnant que je n’avais pas à m’arrêter en pleine rue de cette manière… Je plissai les yeux, partagé entre l’envie de faire une mine désolée ou bien celle d’un visage sérieux, et obtais finalement pour le froncement de sourcils et le regard courroucé. J’en avais un peu assez de m’excuser de tout et de rien alors je décidai de répondre un peu – mais en silencieux – pour me donner un peu de poil de la bête. Mauvaise idée, le type s’arrêta et fit demi-tour pour venir se placer à ma hauteur. Pourquoi est-ce qu’il était si grand déjà ? J’esquissai un sourire en tentant de garder mon air de grand méchant roux. « Vous m’avez bousculé ! » M’exclamai-je pour ma défense, désignai mon épaule endolorie et mon étui à guitare qui avait manqué de basculer du côté obscur de la force. D’ailleurs, je le remis un peu mieux en place pour éviter qu’il ne termine réellement sa course sur le bitume. « Si, c’est vous. Quoi ? Je me suis arrêté ? C’est une rue, tout le monde s’arrête. C’est comme au ski, c’ets toujours celui qui est derrière qui doit faire attention, non ? » Bon en vrai je n’avais jamais fait de ski, mais j’avais lu ça dans un manuel et c’était rudement pratique comme règle ! Surtout que comme c’était en pente, on pouvait toujours accuser qui on voulait derrière nous pour reporter la faute ailleurs.

Il s’agaça fortement, commençant à clairement des mots désagréables et je décidai de pousser un soupir devant un tel comportement anti-civilisé. Il ne pouvait pas être un peu plus clair ? Je frottai mon menton à la barbe naissante, l’air songeur. « Vous ne faites pas de ski, vous, n’est-ce pas ? » Finis-je par demander d’un ton conspirateur. « Vous pouvez me le dire, je ne le répèterais pas et… Eh mais, vous êtes malade ?! » Esquivant d’un bond sur le côté, j’évitai de justesse ses mains qui avaient tentées de me prendre au col. « Ok, ok, pas la peine de vous vexer pour si peu ! Ca arrive les gens qui ne savent pas en faire ! N’en faites pas tout un drame, je suis sûr qu’on pourra trouver un arrangement… Bon pas musical, mais vous avez compris le principe ? Mais arrêteeeeeez ! » C’est qu’il tentait de m’attraper, le bougre ! Je bougeai rapidement pour m’échapper de sa future emprise, refusant catégoriquement qu’il parvienne à poser ses sales pattes sur moi. Qui savait où elles avaient traînées ? Un peu plus et je me choppais le choléra en plus de ça, non merci ! « Ecoutez, promis, je ne le dirais à personne ! Ce sera notre petit secret à tous les deux, comme un accord… Vous savez, fifty-fifty, le partage, la moitié, toussa… Vous gardez votre partie et je garde la mienne. On est d’accord ? Quites ? Okay, je considère que c’est oui, merci et au revoir ! » Et sur ces belles paroles, je lui serrais le poignet de mes deux mains avec vigueur avant de détaler aussi vite que mon ombre me le permettait. C’est que le temps était à la tempête par ici, mieux valait éviter le centre-ville ou il risquait de pleuvoir des coups… ou des gens qui ne savaient pas skier. Un comble !

Je m’apprêtai à traverser pour rejoindre la place centrale lorsqu’un éclair aveugla soudain ma vision, me plongeant dans un monde de clarté sans nom et m’obligeant à fermer les yeux pour ne pas finir avec la rétine cramée au delà de la raison. Tiens, ça me rappelait quelque chose ce genre de sensation… Un truc avec une fiole qui m’avait conduit à retrouver Misha, mais dans ce cas là c’était un petit idiot qui l’avait brisée. Là je n’avais pas entendu le moindre bruit de craquement bruit mais j’avais bien senti l’herbe sous ma joue. Attendez, de l’herbe ? « Ah non pas encore ! Pourquoi il faut toujours qu’on me colle un boulet quand je me téléporte, c’est pas possible ! » Je relevai la tête vers la jeune femme, tournant le cou pour regarder derrière moi à qui elle pouvait bien parler… Personne. Je baissai les yeux vers ses chevilles, mais elle ne semblait pas porter de boulet aux pieds. Pourquoi est-ce qu’elle disait ça alors ? Haussant un sourcil dubitatif, je tendis la main pour récupérer ma guitare avant qu’elle ne marche dessus avec ses gros sabots ! « Vous, vous êtes une copine du jardinier d’Yzma, non ? » Demandai-je, constatant qu’elle semblait avoir le même attrait pour détruire les affaires des autres que Nikolaus. « Lui au moins il avait une jolie casquette. » Casquette qu’on pouvait prendre et se lancer avec Adam… Mais il ne semblait pas là lui non plus. Décidément, observant brièvement les gens autour de nous, je constatai que je ne connaissais absolument personne. Mon pauvre Opy, faudrait que tu sortes un peu plus souvent… Tu saurais qu’il est donc tout à fait normal de dégainer une arme et de tirer dans le torse de quelqu’un pour le saluer !

« … Mais qu’est-ce qu’il vous avait fait ? Il avait piqué votre bracelet ?! Joué avec vos poupées ?!! Maquillée votre nounous favori ?! » Ne pus-je retenir en voyant, sidéré, la jeune femme souffler sur une des mèches de ses cheveux pour la chasser de son visage. Je n’aimais pas les armes à feu, je sentis même des tressaillements provenir de mon ventre en me rappelant la balle que j’avais prise à cet endroit… Tout ça pour une histoire de 4x4 et de vol dans un bureau de tabac, si ce n’était pas stupide. D’un coup, je réalisai que l’idée qu’il lui ait piqué un truc ou joué avec ses poupées était étonnament plausible en fin de compte. Serrant ma guitare contre moi, j’avisai le corps du type mal en point et hésitai entre suivre la tueuse ou rester là. « Si je reste, on va m’accuser de non assistance à personne en danger… » Un coup d’œil au cadavre me coupa toute envie de lui faire les premiers gestes de secours, il fallait le reconnaître. « … Et si je pars, ce sera délit de fuite et association de malfaiteurs. Pas plus glorieux en fait. JE FAIS QUOI ?! » Heureusement pour mon état mental, un des hommes avec… une hache, très bien… décida d’aider notre hôte et je profitai de l’arrivée de deux autres individus pour appliquer le premier conseil : fuir et se cacher. Ça ressemblait à une jungle, les tigres adorent la jungle, je n’allais donc pas faire la fine bouche pour cette fois ! Puis quelque chose me disait que ces types étaient méchants, les méchants des films portaient toujours du noir quand ils débarquaient à la seconde scène. Faudrait que les standards du cinéma évoluent un jour, mais là n’était pas le débat.

Planqué dans un coin, j’essayais de m’éloigner le plus possible de là… Avant d’entendre un bruit juste à côté de moi. Tournant la tête, je ne vis pas tout de suite la racine qui se dressait en travers de ma route, là, comme une petite fourbe, et m’emmêlait les pieds dedans. Chutant en avant, je ne dus mon salut qu’à une branche basse qui me sauva la mise et m’empêcha de m’étaler ridiculeusement dans une fourmilière ! Ouf ! Me redressant en silence, je poussai un soupir rassuré une fois sur mes deux pieds et m’adossait au tronc de l’arbre qui avait voulu m’avoir. BOING !! Fit ma guitare en rencontrant le bois sur ses cordes et je grimaçai, me crispant toutes griffes dehors devant une telle erreur ! « Faischiermaguitaaaare…. ! » Marmonnai-je avant de mettre rapidement mes mains devant ma bouche pour me taire. Attendez… elle avait dit de fuir, pas de se la fermer, non ? Ah, alors c’était bon. Je poussais un soupir soulagé, avant de retenir mon souffle en voyant un des énergumènes de notre compagnie se faire mettre en joue par un type armé. Mais ils collectionnaient les armes à feu ici ou quoi ? C’était une réunion des tireurs anonymes ? Après deux cibles on avait droit à un badge et si on en abattait cinq, on gagnait son poids en balles et autres munitions ? Brr, rien que d’y penser…

Je vis une jeune fille toute brune s’approcher en douce de l’homme armé. Ooooh… Mes yeux se plissèrent pour l’observer faire, ne pouvant me retenir d’applaudir quand elle parvint à l’assommer ! « Bravo ! Bra… » Je me tus en croisant le regard vipérin de la première femme, celle qui parlait d’avoir perdu son boulet, laissant mes mains en suspens pour éviter de faire trop de bruit. Oui bon, ça allait, si on ne pouvait même pas encourager son équipe… Je me contentai donc de taper entre mes index, tranquillement installé contre l’arbre où j’avais élu mon camp de base pour le moment. « Bon, ce n’est pas que je m’ennuie ici, mais je pense que le gars-là, il n’a pas trop apprécié de se faire planter et je pense qu’il va vouloir se venger ! Alors sois vous savez vous battre et vous le mettez KO, soit on fuit ! » - « Je sais fuir ! » M’exclamai en sautant sur mes pieds, bondissant jusqu’à eux – bondir, c’est ce que les tigres font de mieux ! – pour m’approcher de la petite troupe de joyeux lurons. J’arrivai à leur hauteur avec un demi sourire amical, on m’avait dit de toujours paraître sympathique quand on rencontrait des étrangers, ça aidait au premier contact. Mais pas le temps d’apparaître que déjà l’homme se relevait et assomait la fille ! Ah bah mince, la partie n’est peut-être pas terminée finalement… Planqué derrière des feuilles, je remarquai la présence d’une troisième brune avec nous. Oh, mais elles avaient toutes le même coiffeur ou quoi ? Il faudrait que je songe à devenir brun un jour aussi, ça avait l’air drôlement à la mode. Je passai une main dans mes cheveux pour les éparpiller un peu, tic quand tu nous tiens.

« Couteaux 2 – Arme a feu 1. Net avantage des armes blanches. » Commentai-je en voyant leur adversaire tanguer à nouveau dangereusement, un bras tendu mais incapable de viser et l’autre porté sur son ventre qui commençait à prendre une dangereuse couleur sanguine. Je le toisai, sentant un long frisson glacé me parcourir alors que je savais très bien quelle sensation il devait ressentir : se faire blesser à cet endroit n’a rien d’une partie de plaisir. Oh, je n’avais quasiment rien senti pour ma part, trop choqué et prêt de mourir pour ça, mais quand même. Ca la foutait mal. « Et maintenant ? On va pas l’achever quand même ? » demandai-je aux autres en désignant le blessé. « Peut-être qu’il connaît l’adresse d’un bon docteur ? » Mais plus j’ouvrais la bouche et plus la brune du début me fixai. Quoi, j’avais un truc sur le visage ? Je tâtonnai mes joues pour le vérifier, ne sentant rien de particulier. Elle poussa un soupir et tendit la main vers moi. Quoi ? Elle voulait qu’on fasse la ronde ? Penchant la tête sur le côté, je m’apprêtai à dire que ce n’était peut-être pas le moment pour lancer les festivités mais elle insista. « Ta guitare. » Quoi ma gui… Ah non ! je m’agrippai à la bandoulière, retenant mon souffle. Non elle n’allait pas me la prendre ! Si elle voulait apprendre à en jouer, il existait des cours pour ça ! On trouvait bien des cours d’éducation sexuelle, alors la guitare ça devrait être facile à dénicher !

Je secouai vivement la tête, refusant catégoriquement de lui confier mon bébé pour qu’elle en fasse je ne savais quoi. On n’avait pas élevé les bébés éléphants ensemble que je sache ! « Vous voulez pas plutôt une branche ? Ou un téléphone, j’ai un téléphone… » J’avais en tout cas, quelque part dans mes poches. Je ne savais pas ce qu’elle voulait en faire et je ne confiais rien de précieux à un inconnu, première règle de survie dans la jungle urbaine. Elle me toisa des pieds à la tête, avant de soupirer et de s’approcher du type d’un pas sûr. D’un geste rapide, elle saisit son poignet et le désarma – facile quand l’autre avait plus l’air d’un zombie de Walking Dead que d’une armoire à glace. Puis sans prévenir, elle le frappa avec violence en plein dans la nuque avec la crosse du revolver. L’homme eut un hoquet de surprise avant de s’effondrer lourdement sur le sol, inconscient. Inanimé. Plié. Mort quoi, mais je préférais ne pas vérifier tout de suite. L’arme ne tarda pas à le rejoindre, s’effritant dans les mains de sa propriétaire et tombant en petits morceaux autour du type. Brr… « Heureusement que je ne vous ai pas prêté ma guitare… Si c’est comme ça que vous traitez les affaires des autres. » Il s’en était fallut de peu pour qu’elle me la casse ! La jeune femme m’adressa un air agacé avant de me lancer un coup de pied dans le tibia ! « Eh ! Non mais, es… »

Il y eut des grésillements et la voix crachotante d’un homme résonna en provenance du corps. A bien y regarder, on pouvait deviner un talkie-walkie dans la poche de sa chemise… genre, comme les vrais espions ! « Matt rapplique ! On a des problèmes avec le dernier prisonnier... Jonathan je crois… Non, Jonah ! Il vient de mettre chaos deux de nos gars et d'en envoyer un à l'infirmerie, il nous faut du renfort ! » Oooh, c’était comme dans les films ! J’adressai un large sourire à l’instigatrice de toute cette histoire. « Et bien voilà, grâce à vous on a rétablit les communications ! Fallait le dire plus tôt, on aurait peut-être évité deux corps sur les bras et… » et un troisième gars quelque part autour de nous mais je préférais éviter de m’en souvenir. Deux c’était amplement suffisant ! « On va au village. » Quel village ? J’ouvris la bouche pour demander mais elle me coupa l’herbe sous le pied en me passant devant pour se lancer en direction de la jungle. Elle ne nous attendait pas ? Avisant le reste de la petite troupe, je pris le temps d’un petit silence pour voir si quelqu’un prenait une décision. On n’allait pas rester ici et ne rien faire ? Bon au pire on se montait un feu de camp, j’avais la guitare pour les chansons en plus ! Mais cette idée ne sembla pas les enchanter puisqu’ils se mirent en marche, la grande brune aidant la plus petite à se relever. J’adressai un sourire compatissant à la plus petite avant de me lancer moi aussi dans la jungle. Ca, c’était mon domaine !

Nous rejoignîmes plutôt rapidement la première fille, bondissant de ça et de là pour éviter branches basses et autres petits pièges de la nature. La voyant s’arrêter et toucher quelque chose sur le sol, je me penchai avec elle et découvrit des empreintes de pas. Elle me fixa un instant, suspicieuse, alors que je posai mes coudes sur mes cuisses et mon menton dans mes mains. « On suit des traces ? c’est un jeu ? Comme la chasse ? Parce que si c’est ça, y’a des traces là… » Je désignai un arbre amoché suivi d’un autre. « ... Et j’ai trouvé une cuillère. » Je pointai du doigt l’objet égaré à quelques mètres de nous. « Ca élimine déjà un des objets... Hmmm, je soupçonne le capitaine moutarde dans la cuisine avec le chandelier. Alors, un chandelier… » Je me relevai, l’esprit soudain préoccupé par toutes les règles du cluedo et décidai de me prendre au jeu. Un chandelier ça a des bougies, donc de la cire, donc du métal… La cuillère était un indice parfait ! M’engageant sur cette voie, je contournai inconsciemment de nouvelles traces de pas en me disant que le colonel avait des grands pieds de toute manière ; suivant les marques laissées sur les arbres. Furetant, je trouvai un briquet un peu plus loin – ce qui me confortais dans la thèse du chandelier, décidément ! – et le montrait fièrement au groupe avant de poursuivre. C’était amusant en fait, je n’avais pas fait ça depuis des années ! Depuis que je n’étais plus un vrai tigre en fait. Du coup, je m’amusais comme un petit fou ici !

Du bruit finit par attirer notre attention. Alors que nous marchions depuis plusieurs minutes, un brouhaha subtil se mit à résonner. Je m’arrêtai, avant que la femme ne me bouscule légèrement – décidément, c’était la journée ! – et ne s’approche de fourrés plus épais. S’accroupissant, elle m’appuya sur la tête pour que je fasse de même alors que, soudain, deux hommes passèrent devant nous en baragouinant entre eux. Je retins mon souffle encore et mis mon index sur ma bouche pour l’imiter, suivant du regard le trajet des deux compères. Ils avaient l’air plutôt tranquilles, non ? Si on omettait l’agitation planait sur le village et le nombre impressionnant de personnes à notre vue. Apparemment, on avait tapé pile dans l’endroit le plus peuplé de l’endroit. « Si on leur dit qu’on vient en paix, ils nous laisseront peut-être entrer ? C’est ce que font les extraterrestres dans les films et les américains leur ouvrent toujours la porte… » Chuchotai-je à l’attention des autres. Savait-on jamais, sur un malentendu, ça pouvait marcher.


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[FE] Tomb Raider - Evenement #56 _



________________________________________ 2015-12-29, 14:42



Tomb Raider



C’était un retour en fanfare que le destin nous avait prévu. Prise de court, j’avais du mettre hors d’état de nuire l’homme qui venait de débarquer dans la clairière. J’aurai pu faire plus discret et plus propre, mais, malheureusement pour moi, le temps m’avait manqué. C’est donc dans une détonation d’arme à feu bien bruyante que nous sommes partis nous cacher. Courant vers un buisson plutôt bien isolé et à l’abri des regards, j’avais pris place. Cela aurait été une cachette plutôt bien penser si un lourdaud ne m’avait pas rejoint. En plus de me coller, cet imbécile venait de se cacher maladroitement dans le buisson, faisant bouger les feuilles et attirant les regards et l’attention des deux hommes qui venaient d’arriver. Je l’avais fusillé du regard en le voyant se coller à moi, les yeux rivés sur ma poitrine. Commençant à bouillonner intérieurement, j’avais relevé sa tête d’un coup sec.

- Mais t’es vraiment un pauvre crétin ! Dégage de là ! Ils vont nous repérer à cause de toi ! Imbécile !

Chuchotant rageusement, je regardais l’homme avec une folle envie de lui coller ma main dans la figure. Il n’aurait pas pu faire pire que maintenant. Dans un dernier espoir, j’essayais de le pousser du buisson pour qu’il trouve un autre endroit avant que la situation ne devienne critique. Être à deux dans une cachette c’était comme offrir un tir groupé à l’ennemi. Essayant d’ignorer son regard insistant, je le vis commencer à ouvrir la bouche pour prendre la parole. N’attendant pas plus longtemps, je le coupais dans son élan.

- La ferme ! Ils arrivent !

Effectivement, les hommes, bien qu’un peu bourrus, n’était pas sourd et aveugle, ils avaient remarqué de l’activité de notre côté. Laissant mes yeux se balader sur le reste de la clairière pour regarder où s’était éparpiller le groupe, mon regard rencontra une brune, affreusement mal caché derrière un arbre qui dévoilait ses épaules et quelques mèches de cheveux. Je levais les yeux au ciel, affligée. Elle devrait choisir un caillou la prochaine fois pour se cacher, ce sera encore plus discret. Mon regard se posa ensuite sur les affaires de l’homme que je venais d’abattre. Manquait plus que ça, s’il le voyait, il n’allait pas nous lâcher.

L’homme à la hache sortis d’un buisson, discrètement, pour aller récupérer les affaires. Soupirant légèrement de soulagement, je regardais l’autre brunette sortir la tête du buisson pour couvrir ses arrières. Finalement, on était peut être pas si désespéré que ça. Il réussit à cacher les affaires avant qu’elles ne soient remarquées. Continuant à balayer la clairière du regard, je vis une blonde, un caillou en main. Faites qu’elle n’essaye pas de viser les hommes. Avec la chance qu’on a, elle va nous toucher nous. Un bruit assez sourd venant de la forêt me fit lever les yeux. Plutôt douée et ingénieux. Elle venait de lancer le caillou pour les éloigner de notre piste. Je lui fis un rapide signe de tête de remerciement lorsqu’elle croisa mon regard. Oui, je sais dire merci. C’est rare, mais ça arrive. Et non, les poules n’ont pas encore de dents.

Un des deux hommes partis en direction du bruit, mais malheureusement, l’autre campa dans la clairière. L’homme à côté de moi bougea frénétiquement sa jambe, faisant remué le buisson. Je me tournais vers lui, le regard noir et assassin. Mais comment pouvait-on être aussi… Un tas de vocabulaire imagé me passa en tête pour décrire son acte ainsi que son intelligence peu développer. L’homme, plus qu’à quelques mètres de nous, menaçait de nous voir. Le brun, surement dans un élan d’héroïsme suicidaire, se leva pour faire face à l’homme. Profitant de cette diversion, je m’éclipsais rapidement jusqu’à un autre buisson, presque collé à l’autre.

Une fois à l’abris, j’admirais la scène avec un sourire plus qu’amusé sur le visage. L’homme venait de faire une tentative de mensonge absolument raté… Ou du moins, pas de mensonge total. Une petite brunette, assez jeune, s’approchait furtivement par derrière. Silencieuse et habile, l’homme ne sentis pas le danger venir. Elle lui assena un coup sur la tête, le sonnant à moitié, mais pas assez pour l’envoyer dans les vapes. Un bravo peu discret retentit plus loin dans la forêt. L’homme à la guitare aussi doué et discret que l’homme qui nous avait repéré était en train d’applaudir le geste. Lui lançant un regard noir et désespérer. Je ne pensais pas qu’il était encore possible d’être plus boulet. Il continua donc de tapoter avec ses index, me faisant lever les yeux au ciel, dépitée.

Notre attaquant se retourna face à la jeune fille chancelant. Elle eu le temps d’attraper son couteau dans l’optique de lui planter quelque part, mais l’homme était plus robuste qu’il n’en avait l’air. Il parvint à détourner son coup, mais surement encore sonné par l’attaque, la jeune femme réussit à dévier sa trajectoire pour lui planter dans ses côtes. L’homme hurla de douleur, se tordant d’un côté.

L’action aurait été parfaite s’il elle ne s’était pas détourné de son ennemis. Erreur fatale. L’homme sorti son arme, lui assenant un énorme coup de crosse sur la tête. La jeune fille tomba, bien sonnée. Je m’apprêtais à sortir mon arme lorsqu’un couteau siffla à mes oreilles pour venir s’écraser dans l’épaule de l’homme. La brune, aussi bien caché qu’un ours derrière un arbuste, venait de décocher un petit poignard qui s’était enfoncé assez profondément. L’homme, pas encore abattu, répliqua, lui renvoyant le couteau qu’il venait d’ôter de sa blessure. Ce dernier entailla assez profondément le bras de la jeune femme qui n’en démordis pas et lui lança de nouveau le couteau.

Ce fut celui de trop pour l’homme qui s’écrasa sur le sol, retirant désespérément le couteau de son abdomen. Sortant de mon buisson, je m’avançais vers l’homme.

- Je pense qu’il ne devrait plus être très méchant maintenant.

Je levais les yeux vers notre nouveau commentateur. Il parlait… Beaucoup. Vraiment beaucoup. S’en était presque un record. Surtout dans ce genre de situation. Mais pour une fois, j’étais d’accord avec ce qu’il disait. Les armes blanches étaient bien plus avantageuses.

- Même si ça m’arrache la gorge de le dire. Je suis d’accord.

Cela ne dura pas très longtemps, heureusement. Mon regard se métamorphosa de nouveau lorsqu’il se mit à parler du futur de l’homme que nous venions de sonner. L’achever ? Ca me semblait la meilleure des idées, au moins, comme ça, plus de problème. Ce genre de pourriture, il y en avait bien assez sur cette terre pour ne pas en manquer. Je regardais le garçon, de manière insistante.

- Pourquoi ? Tu veux le ramener avec toi en souvenir ? Je suis sûre que quand il ira mieux il te logera une balle dans la tête, c’est sympa. Je te laisse l’amener avec toi si tu veux.

Regardant l’homme d’assez loin, je finis par fixer la guitare du roux. Je m’avançais à côté de lui, tout sourire en tendant la main vers la guitare. Soit gentils et file moi ta guitare que je l’améliore pour qu’elle ne fasse plus jamais de bruit pendant des moments aussi critique. En plus, elle aura une mort digne et de héro, si c’est pas du luxe. Voyant que l’homme résistait, j’insistais verbalement en perdant une partie de mon sourire, plutôt faux.

- Ta guitare, file la moi !

Il la plaqua frénétiquement contre lui, m’empêchant de l’attraper. Surprise par sa résistance, je finis par baisser mon bras, incrédule. Sérieusement, il était dans une forêt, perdu et nous venions d’être attaqué par des hommes, et tout ce qu’il cherchait, c’était à protéger sa guitare ? Il avait fumer ou quoi. Fronçant les sourcils, je m’approchais en reniflant l’individu. Je priais tout de même intérieurement pour qu’il sente une odeur étrange qui explique ce comportement. Il parut surpris de ma démarche. Je finis pas m’éloigner un petit peu de lui en soupirant. Aucune odeur.

- Dis moi que t’as fumé quelque chose avant de venir et que t’es pas dans ton état normal… Parce que sinon, je sens que la route du retour va être terriblement longue.

Dans un dernier espoir, j’attendais sa réponse. Je soufflais, réprimant un sourire lorsqu’il me proposa son téléphone. Me tournant vers l’homme gisant au sol, je lui arrachais son arme des mains, lui assénant un gros coup sur la nuque qui le sonna et lui fit perdre connaissance. L’arme, qui avait surement du vécu et qui avait déjà été fragilisé par le coup préalablement porté, se déforma légèrement, le laissant hors d’usage. L’homme reprit la parole, témoignant de mon acte.

- Ta guitare aurait surement été bien plus utile sur la tête de cet homme plutôt que dans tes mains, surtout vu la discrétion dont tu fais preuve avec.

En voyant les autres s’approcher, je fixais les affaires de l’homme que j’avais préalablement abattu. Elles pourraient être très utiles. Vraiment très utile. Frôlant le roux, je lui dégainai un petit coup dans le tibia pour témoigner de mon agacement suite à la protection de sa guitare… Que je finirai pas cramer, de toute manière. J’allais me détacher du groupe lorsque le talkie walkie surement présent dans la poche de l’homme se mit à grésiller.

- Matt ! Rapplique ! On a des problèmes avec le dernier prisonnier… Jonathan je crois… Non Jonah ! Il vient de mettre chaos deux de nos gars et d’en envoyer un à l’infirmerie, il nous faut du renfort !


Je me retournais vivement, fouillant dans la poche de l’homme pour récupérer l’objet. Jonah. Le Jonah que je connaissais ? Il n’y avait pas trente personnes avec le même nom, surtout ici. Et surtout un fugitif. Je tressaillais en récupérant le talkie Walkie dans ma poche, baissant le son au maximum.

- On va au village.

Hors de question de partir d’ici tant que je ne l’aurai pas retrouvé. Les autres me lancèrent des regards étonnés et plutôt peu dociles. Je soufflais, de toute manière, je n’avais pas le choix. Et ça tombait bien, eux non plus. Ils n’allaient peut être pas me suivre aussi facilement, mais j’avais de quoi les convaincre.

- Quoi ? De toute manière, la seule possibilité de retour, c’est la couronne que j’ai avec moi. Je suis la seule à pouvoir m’en servir. Vous pouvez rester à fuir dans ce monde si vous en avez envie, mais sans mon aide, vous ne rentrerez pas à Storybrook. Il n’y a pas de magie ici, à part venant de certaines pierres très rares.

Je ne savais pas si si peu les convaincrait. A vrai dire, je n’avais pas le temps de m’en soucier, et je m’en fichais pas mal. Je me doutais que dans le lot, il devait y avoir d’ancien héro de pacotille. Haussant les épaules, je finis par dire avant de m’élancer à la recherche du village.

- Pour les personnes se considérant comme des héros, dites vous que vous allez sauver un innocent capturer par de gros méchant pas beau, ça vous fera meilleure conscience.

La brunette qui avait été sonnée commençait de nouveau à se tenir debout sans chanceler. Les quelques minutes qui venaient de passer avaient du lui faire du bien. Elle était surement plus robuste qu’elle n’en avait l’air. Je me baissais, déshabillant l’homme de son haut, de son pantalon et de ses chaussures. Les autres me regardèrent d’un air outré, me faisant levé les yeux au ciel.

- Ca va, je vais pas le violer, détendez vous. Ca nous sera utile. Tu peux me passer les affaires de l’autre homme s’il te plait ?

Je regardais l’homme à la hache qui avait bouger les affaires du premier homme. Après avoir tout récupéré, je vis un rapide tour sur moi même pour vérifier que rien n’allait nous attaquer ou nous repérer. Rien à l’horizon. Je commençais par ouvrir le pas, rapidement suivis des autres. A vrai dire, je me fichais de savoir s’ils me suivaient ou pas. S’ils voulaient finir leur vie dans cette forêt, c’était leur problème pas le miens. Dès que j’aurais retrouvé Jonah, je pourrais rentrer. Enfin, si je trouvais notre moyen de retour. Cette vision que j’avais eue durant la téléportation me polluait l’esprit. J’étais persuadée d’avoir vu les yeux bleus de mon ami. Mais elle n’était pas d’ici, comment aurait-elle pu atterrir parmi nous.

L’agitation à côté de moi me fit sortir de mes pensées. Le roux, toujours aussi étrange, évitait avec agilité et vitesse les branches sur son passage. Au delà de la scène, plutôt ridicule, je devais avoué qu’il se débrouillait plutôt bien. Il se baissa ensuite, faisant mine d’examiner le sol, comme je l’avais fais quelques secondes auparavant.

- Tu veux jouer les Sherlock Holmes ? Je t’en pris, passe devant.

J’étais bien curieuse de voir ce qu’il nous réservait. Je restais tout de même sur mes gardes, mais le roux avait l’air plutôt doué. Je lançais un regard à l’homme avec une hache, accompagné d’une femme avec un arc… Ils jouaient à robin des bois ou ? C’était plutôt utile dans ce genre de situation, mais les imaginer se balader comme ça dans la rue, ça pouvait être carrément flippant. Je n’étais pas doué pour les rapports humains, je ne pris donc pas la parole de la route. Et puis, plus on était discret, mieux ce serait. Le roux continua de mener sa petite enquête. Etonnée, je le regardais faire. Il était plutôt doué, puisque quelques minutes plus tard, un village se dessina devant nous.

- Pas mal le kangourou. T’enlève les sauts et tu rajoutes un peu de discrétion et je pourrais presque dire que tu es plutôt doué.

A force de le voir sauter comme ça, il me donnait le tournis. S’approchant du village, le groupe finit par se planquer derrière des fourrées assez épaisses. Voyant que le roux restait planté debout, je me relevais rapidement pour appuyer sur sa tête et le faire descendre de deux étages.

- T’es gentils, mais t’es pas invisible.

On venait d’arriver vers une des entrées du village. Quatre maisons étaient présentes devant nous, le reste était séparé d’une grande barrière faite en taule, comme les maisons d’ailleurs. Une grande grille était ouverte, faisant office de passage entre la forêt et le village. Je ne pouvais pas voir le mécanisme d’ici, mais je me doutais que ce n’était pas très évoluer, surement solidement attaché à une corde et une poulie, la grille devait être descendue seulement le soir ou en cas de force majeur comme des attaques d’animaux sauvages.

Une des maisons sur la droite avait une croix de peinte. Il s’agissait surement de l’infirmerie. La deuxième maison à droite était assez haute et un deuxième étage ouverte me laissait croire qu’il s’agissait d’une sorte de tour de guet pour avoir une vue d’ensemble sur une partie du village et de la forêt. Elle était positionnée juste à côté de la grille servant d’entrée sur le village. Elle n’était pas très haute, mais vue la construction de cette dernière, quelques mètres de plus l’auraient surement fait s’écrouler au premier coup de vent. Sur le côté gauche, une cabane solidement fermée d’où provenait des cris. Pas de doute, Jonah était là. Trois hommes étaient présent dehors et montait la garde, un autre était présent sur le toit de la maison, armé.

Me tournant vers les autres, je pris la parole.

- On va essayer de se la jouer discret si ça ne vous embête pas pour cette fois.

Je lançais un regard noir au brun qui m’avait collés pendant le premier combat et au roux avec sa guitare.

- On va se diviser en trois groupes. Pas le choix. Tiens, le roux, comme t’aime bien parler et que t’as envie de discuter de paix et d’extraterrestre avec les hommes, avec ton débit de parole, ils vont forcément être distrait.

Je lui balançais les vêtements du premier homme à la figure. Je pris l’autre en mains, la plaçant devant moi en reprenant.

- Tu vas être content, tu vas jouer à te déguiser. T’enfile ça, tu te mets de la terre un peu partout y compris dans les cheveux et sur la tête histoire qu’il ne te crame pas trop vite. J’te laisse aviser pour la suite, mais faut faire diversion. Un autre l’accompagne.. Aussi déguisé. Faut les distraire du mieux possible. Et puis vous pourrez toujours prendre quelqu’un pour faire la victime que vous venez de capturer. Au pire, vous le laissez et vous fuyez. Un volontaire ? Tiens le brun toi, t’es pas volontaire ? Je suis sûre que tu seras parfait dans ce rôle.


Je désignais l’homme brun qui nous avait fait repérer quelques minutes plus tôt. Au moins, il ne serait pas une grande perte pour nous, vu son habilité à la discrétion et au mensonge. Enfin, si on pouvait éviter les catastrophe, ce serait peut être pas mal. Regardant l’homme à la hache, je repris.

- Il nous faut un deuxième groupe. Après qu’ils aient attiré l’attention, il faut réussir à fermer la porte qui donne sur le village. Histoire qu’ils rameutent pas d’autres mecs. Avec ta grosse hache, t’arrivera bien à casser leur dispositif d’ouverture et de fermeture.

Posant de nouveau les yeux sur la femme avec l’arc, je désignais son arme puis l’homme en hauteur faisant le guet.

- Tu peux aller avec lui, avec ton arc, tu pourras toujours essayer de le tuer en hauteur et sans bruit. Si tu n’y arrives pas, quelqu’un d’autre peut venir t’aider pour s’infiltrer dans la tour et mettre l’homme hors d’état de nuire.

Je formulais les idées rapidement, essayant de nous donner le plus de chance possible. Bien évidemment, ils n’allaient surement pas être d’accord, mais il ne me fallait l’accord que d’une seule personne pour mener mon plan à bien. Je baissais les yeux vers la petite brune qui nous avait prouvé ses talents de discrétions.

- Je vais aller récupérer Jonah dans la maison. Tu as l’air plutôt discrète et solide, je me trompe ? Tu m’accompagnes ? Tu n’es pas obligé, si tu préfères rester derrière tu peux.

De la provocation ? Non du tout. Mais je ne connaissais que ça pour faire réagir les gens. Et là, il fallait vite prendre des décisions. Je n’attendis pas plus longtemps pour partir. Laissant quelques derniers mots échappés avant de disparaître avec ou sans la brune.

- Bonne chance, et essayer de pas tout faire foirer.

Je m’élançais, discrète comme une ombre jusqu’à la maison où était enfermé Jonah. Les hommes discutait entre eux et étaient trop occupé pour me voir. Me divisant de la brune qui m’avait accompagné, nous devions nous poster à deux positions différents pour avoir plus de chance de s’en sortir. Une première fenêtre sur le côté droit de la maison ferait parfaitement l’affaire, ainsi qu’une petite en hauteur. Déterminée et motivée, je m’élançais pour monter à la fenêtre. Une fois arrivée à sa hauteur, j’essayais le plus discrètement possible de la crocheter. Partant du principe que cette dernière était fermée, j’avais joué avec la serrure jusqu’à entendre un petit « clic ». Génial, elle venait de s’ouvrir. Essayant de doucement la pousser en l’ouvrant, je rencontrais une première difficulté. Poussant plus fort, je m’aperçu que le verrou était toujours fermé. Génial, je venais de fermer la fenêtre alors que cette dernière était préalablement ouverte. Soufflant, j’examinais discrètement par la fenêtre ce qu’il se passait et où se trouvait Rosalie. Un mouvement de sa part, et je me mettrais à l’action.

Lara : 90%
Expérience : 75%


*Violette Parr
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*Violette Parr

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[FE] Tomb Raider - Evenement #56 33ur

*Quelle belle bouche. STOP ! ARRETE DE PENSER*

[FE] Tomb Raider - Evenement #56 8uer
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| Conte : Les Indestructibles
| Dans le monde des contes, je suis : : Violette Parr

[FE] Tomb Raider - Evenement #56 Ahg2

| Cadavres : 6502



[FE] Tomb Raider - Evenement #56 _



________________________________________ 2015-12-29, 20:35



Pleins de monde !!
Tomb Raider ¤ Evénement #56
Très mauvaise idée. Rosalie n’aurait jamais dû détourner son attention de son ennemi. Pensant qu’il était trop blessé pour ré-attaquer de suite, Rosa en avait profité pour parler à celui qu’elle venait de sauver. Mais elle n’eut même pas le temps de savoir s’il allait la remercier ou non. En effet, après lui avoir parlé, second trou noir. La seule chose qu’elle sentit, c’est la douleur du coup que l’homme lui avait assené. Rosalie tomba à terre, vivante mais inconsciente. Ce n’est que quelques minutes plus tard que la brunette ouvrit les yeux. La première personne qu’elle vu, le visage au-dessus d’elle, fut une inconnue brune. C’était la première fois qu’elle la voyait. Est-ce qu’il s’agissait d’une personne de Storybrooke ou de ce monde ? L’avait-elle sauvé ? Sans aucun doute. Rosalie se releva avec l’aide de sa sauveuse. Elle lui adressa un léger sourire, tout en se touchant la tête. Un liquide chaud coula sur ses doigts lorsqu’elle passa la main dans ses cheveux. Elle grimaça légèrement de douleur. Ce n’était pas agréable du tout. Rosie chancelait un peu, ne tenant pas totalement sur ses jambes. Heureusement qu’il y avait la brune à ses côtés. D’ailleurs, il fallait qu’elle la remercie ! « Merci beaucoup pour l’aide. Qu’est-ce que j’ai manqué ? » L’homme qui l’avait frappé était au sol, il semblait mort ! Apparemment elle avait loupé beaucoup de chose. D’ailleurs, des nouvelles personnes venaient de se greffer au groupe, un homme et une femme brune aussi. Ils semblaient proches. Enfin bon, ce n’était pas très important et là, elle n’avait vraiment pas la tête à réfléchir. Tout ce qu’elle voulait s’était de retourner à Storybrooke. Mais la leader du groupe voulait aller dans un village. Quoi ? Rosalie n’était pas vraiment pour, jusqu’à ce qu’elle explique les raisons de ce voyage vers le village. Si le seul moyen pour retourner à Storybrooke était la guerrière, alors Rosalie allait la coller ! En plus, elle avait l’air vraiment badass. Rester avec elle, ça lui permettrait de mieux survivre dans ce monde inconnu. Une fois les vêtements volés, le petit groupe se mit en marche. La petite brune essaya de rester proche des personnes forte. Par exemple, sa sauveuse, et la leader aussi. Bien que le rouquin ne fût pas méchant, il parlait trop. En plus, il se croyait dans un cluedo ! Rosalie ne put s’empêcher de lui faire une remarque. Ce n’était pas méchant, mais elle préférait juste lui faire remarquer. « Eh ! Le musicien ! » Rosalie se rapprocha de lui pour pas parler trop fort. « On est pas dans un jeu, là ! Ca ce n’est pas un jeu, c’est du vrai sang ! C’est mon sang !! Et ça fait vraiment mal ! » Elle lui mettait sa main devant son visage, pour qu’il constate bien le sang qu’elle avait sur sa main. Si c’était vraiment un jeu, ils ne saigneraient pas ! Rosalie laissa le roux marcher un peu plus vite, puis elle alla à la hauteur de la brunette qui l’avait aidé à se relever. Cette personne était vraiment imposante ! Le groupe marcha quelques minutes avant d’arriver au village, tout du moins aux abords du village. Ils se cachèrent dans les buissons. Rosalie s’abaissa, observant en détail les bâtiments visibles. La leader avait déjà un plan. Rapide dis donc ! Rosie l’écouta attentivement. Le groupe allait être séparé en 3. La brunette n’était pas la meilleure en ce qui concerne les stratégies d’attaque. Alors elle gobait les paroles sans ronchonner. Tout ce qu’elle espérait c’était de ne pas tomber avec les boulets de groupe. Rosa tenait un minimum à la vie ! Ouf ! Rosalie faisait équipe avec la leader ! Chance de survie multipliée par 2 ! Bon par contre, elle n’était pas obligée de faire tout son baratin. Rosalie n’était pas bête. Avec l’autre brune, c’était sa meilleure chance de survie. Alors Rosalie hocha de la tête. « Discrète et solide. On peut dire ça. Disons que si j’arrivais à utiliser mes dons dans ce monde, ça irait mieux ! Mais oui, je t’accompagne ! » Ok. Rosalie venait de parler dans le vent. En effet, la guerrière venait de partir telle une ombre. Tout le groupe fut surpris. Rosalie était surtout surprise qu’elle fasse confiance à des inconnues. Peut-être que les autres membres du groupe ne suivraient pas les instructions, et tout allait foirer ?! Qu’importe, ils ne pouvaient plus reculer, la leader venait de partir, prête à l’action. Rosalie la suivit avec la même discrétion. Elles arrivèrent à la maison où il y avait des gardes. Super ! C’était dans ses moments-là que son don était indispensable. Mais pour l’instant, même sans, elle se débrouillait. La preuve, Rosie arriva jusqu’à la fenêtre en rez-de-chaussée. Sa coéquipière du jour s’était occupée d’aller à la fenêtre du haut. Mais que faire maintenant ? Entrer ? Le regard de Rosie se posa sur l’autre fenêtre, la femme qu’elle accompagnait lui faisait des petits signes. Elle ne parlait pas le langage des signes mais elle arrivait à comprendre qu’elle lui demandait de venir. Venir ? Mais pourquoi ? Rosie ne chercha pas à comprendre, elle s’exécuta. D’un pas de velours, tel un chat, Rosalie alla vers la fenêtre où se trouvait sa coéquipière. Avec son aide, elle arriva à la hauteur de la fenêtre. Elles étaient cachées grâce à l’inclinaison du toit. La brunette comprit rapidement que la femme avait besoin de son aide pour ouvrir la fenêtre. Comme si elle pouvait y arriver ! Il fallait tenter. Rosie sorti son petit poignard, sa fine lame permettait d’ouvrir beaucoup de serrure. Premier essai, rien. Deuxième essai, rien. Mais finalement, au troisième essai, Rosalie entendit le petit clic qui désignait que la fenêtre était ouverte. Elle l’ouvrit doucement, pour ne pas éveiller l’attention des différents gardes. Rosalie regarda l’aventurière en lui faisant un sourire, satisfaite d’avoir pu aider ! « Si tu répètes ça à quelqu'un je m'occuperais de ton cas ! » Sympa. Rosalie leva les yeux au ciel. Elle ne lui en voulait pas. Surtout qu’elle avait vu son petit sourire qui cachait de la reconnaissance. Cependant elle décida de répliquer, en chuchotant. « J’aurais préféré un Merci ! » La politesse ne devait pas être son fort. Pas de soucis, Rosalie lui donnerait des cours de bonne conduite, car pour l’instant ce n’était pas trop ça ! Rosalie descendit de la fenêtre, pour essayer de regagner sa position initiale. Par chance, ou peut-être grâce à sa grande discrétion, Rosalie ne se fit pas remarquer. Et en quelques instants elle était de nouveau à sa fenêtre. Elle aperçut alors, à l’intérieur, trois hommes dont un qui semblait être une victime dans cette situation. Il était en train de se faire ligoté par un des deux hommes, à un lit. Charmant ! Il comptait faire un plan à trois ? Apparemment non, vu que le deuxième homme pointait une arme vers le grand noir baraqué, celui attaché au lit. Il semblait fort et pourtant il était fait comme un rat. Heureusement, le duo de choc était là…ou pas ! Le regard de Rosie se stoppa sur les corps de deux autres gars. Ah oui d’accord ! 1 contre 4, c’était plus compréhensible que le baraqué se soit fait avoir ! Rosalie reprit son poignard pour faire entrer la fine lame et ouvrit sa fenêtre. Toute en discrétion, elle se faufila à l’intérieur de la maison. L'inconnue sauta de la fenêtre du toit, pour atterrir silencieusement sur le lit dans lequel était attaché l'homme baraqué. Les deux hommes étant trop occupés, ils ne virent pas la petite brunette. Mais maintenant…que faire ? Rosalie savait qu’il fallait que sa coéquipière détache les liens du prisonnier. Aussi, la seule manière de faire ça dans le calme et sans violence, c’était la diversion, et la manipulation. Sauf que mentir, ce n’était pas du tout le truc de la jeune femme ! Mais qui ne tente rien, n’a rien comme on dit ! Alors Rosalie essaya de pleurer. Elle se donna un coup à l’endroit où elle avait mal, pour que les larmes viennent plus naturellement. Une fois que les larmes roulèrent sur ses joues, Rosalie se montra. Elle prit une tête décomposée, faisant mine de pleurer. « Je me suis perdue…Est-ce que vous pouvez m’aider…S’il vous plait… » Soit elle était nulle comme actrice, soit ils avaient un cœur de pierre. Les hommes ne la crurent pas. Celui qui se trouvait non loin d’elle essaya de lui donner un coup avec la crosse de son arme. Ah non ! Pas deux fois ! Cette fois-ci, Rosie fut plus rapide, elle lui planta sa lame dans les côtes ! Celui-ci voulu de nouveau la frapper. Sympa ! Cette fois-ci elle arriva à contourner l’homme, et à se mettre derrière lui. Concernant l’autre homme, aucune idée. Espérons que sa coéquipière ne l’ait pas laissé toute seule ! Rosalie entendit un bruit sourd. La leader venait de tomber lourdement sur le sol, et pas du tout sur l’autre gars ! Pour l’instant elle s’occupait de celui le plus proche d’elle. « TON COUTEAU ! » C’est la jeune femme qui venait de crier, ou du moins de lui ordonner de lui lancer son poignard. Ayant prévu de s’attaquer à l’homme à mains nues, elle lui lança plutôt rapidement le couteau. Et une demi- seconde plus tard, elle ne s’occupa plus de sa coéquipière. Elle donna un gros coup à la tête de l’homme, à main nue. Le faisant légèrement chanceler, il n’était pas KO mais il venait de se faire assommer. Cela laissa le temps à Rosalie de baisser les yeux, sentant qu’elle marchait dans quelque chose de bizarre. A ses pieds elle aperçut du sang…Elle prit le temps aussi de regarder le dos de ses vêtements, ayant senti une projection…du sang là aussi ! BEURK ! Rosalie grimaça. Il commençait à y avoir un peu trop de sang à son gout…Pourvu que cela soit bientôt fini !
©️ wild bird



Rosalie : 90%
Homme 1 : 80%
Homme 2 : 70%
Barre d'expérience : 5% (level up [FE] Tomb Raider - Evenement #56 1634017881 )
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